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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 24

Avec plusieurs hommes
Suite :
Sans même attendre une seconde, tous les hommes qui m’entouraient se retirent des orifices qu’ils abusaient et me laissent aller vers leur patron. Celui-ci m’emmène sur le lit (jusqu’alors non utilisé…) et me fait me placer à quatre patte, face au groupe d’homme qui se redirigeaient tous sur Virginie.
— Ma chère Séverine, vous voir prendre tous ces hommes en même temps et en redemander m’a excité au plus haut point. Vous êtes vraiment faites pour le sexe.— J’y prends effectivement beaucoup de plaisir mais après plus d’une heure et demie de pénétration non stop…-… et un nombre d’orgasmes impressionnant…— …et, effectivement, après de nombreux orgasmes, mes orifices commencent à me faire souffrir !— Ne vous inquiétez pas, je pense qu’ils sont tous à deux doigts de craquer et que la fête est bientôt finie… En attendant, je veux vraiment tester votre cul dont on m’a dit tant de bien !— D’accord mais, je vous en prie, allez-y doucement !
En guise de réponse, le chef passe derrière moi et commence à me lécher l’anus. Sa langue et sa salive calment un peu l’échauffement de mon fion et me font beaucoup de bien. Il crache dans sa main et m’enfonce des doigts afin d’écarter, doucement, mes parois dans tous les sens. Il renfonce très loin sa langue et me lèche l’intérieur du cul pour bien me lubrifier. Puis il y retrouve avec ses doigts et enfonce maintenant le début de sa main en tournoyant pour la faire progresser à l’intérieur. Je sais, évidement, exactement où il veut en venir : m’enfoncer son poing dans le cul pour être sur que sa bite passe facilement… Autant, je sais que ça bite passera, même avec du mal, autant la perspective d’avoir un poing d’une taille impressionnante (ce mec est vraiment un géant) dans le cul m’effraie carrément. Je prends donc l’initiative de me doigter moi-même le cul et d’y enfoncer ma main.
— Profitez juste du spectacle… je vous dirai quand vous pourrez y aller !! lui dis-je alors que mon poing rentrait dans mon fion.
Je suis donc à genoux sur le lit, en train de me masturber le clito d’une main et de me fister le cul de l’autre. Ma main rentre en moi sans difficulté et j’admets éprouver pas mal de plaisir à faire ça moi-même pour une fois… Je sens que ma main va visiter mes orifices plus souvent sous la douche !! Derrière moi, le big boss me mate avec le sourire et en se masturbant doucement.
Pendant que j’écartèle mon anus, j’ai, depuis le lit, une magnifique vue sur le reste de la pièce et ce qui s’y passe. Quelques un des hommes d’affaires, ceux qui ont jouis il y a peu de temps ou qui ne veulent pas jouir maintenant, sont sur des fauteuils et boivent du champagne en regardant les autres.
Les autres, justement, sont 7 ou 8 et se déchaînent sur et dans Virginie qui s’en finit plus de gémir et de crier de plaisir. Ils la prennent de partout et dans tous les trous. Ma Virginie chérie n’est plus qu’une poupée gonflable qu’ils remplissent à volonté. A cheval sur un mec, elle est prise en double pénétration. A chaque fois qu’un des types sort de son cul, j’ai une magnifique vue sur son anus grand ouvert. Mais il est vite re-rempli par un autre chibre immense qui la matraque à nouveau. Virginie pleur littéralement de plaisir et de douleur mêlés car les orgasmes à répétition et la violence des pénétrations finissent par être de trop pour elle. Mais ils ne faiblissent pas : l’un d’eux s’allonge à coté d’elle, la prend par les hanches, la ramène sur lui en position de cowboy inversé et lui enfile la chatte. Immédiatement un autre arrive pour la prendre en double vaginale. Une première pour Virginie ! Au comble de l’excitation, le gars ne prend aucune précaution en enfonce sa queue d’un coup en elle. Celle-ci hurle de surprise mais voit sa bouche aussitôt remplie par une masse ébène immense qui lui baise le gosier.
Alors que ma main est maintenant entièrement dans mon cul je vois Virginie subir les assauts du reste du groupe et je compte au moins 6 ou 7 gars se succéder dans sa chatte déjà occupée. Son beau minou ne ressemble plus à rien, tout comme son magnifique corps enduit de sueur, de bave et de sperme.
De mon coté, me sentant prête, je retire la main de mon cul et écarte généreusement mes fesses en guise de top départ. J’imagine sans mal l’allure de mon anus qui s’offre alors à M. Sawaris. Celui-ci crache dans sa main, lubrifie sa bite et présente son gland de l’entrée de mon derrière. Il s’enfonce d’abord doucement, ce qui ne m’empêche pas de crier tant la taille de son sexe me dilate.
— Oh mon dieu que c’est gros….. Je vous en prie, allez-y doucement… Je…. OOOH Putain !!
Il venait en effet de l’enfoncer entièrement en moi. Une masse immense me rempli à présent le cul sur au moins 35 cm de profondeur. Et cette masse commence à aller et venir en moi, me remplissant le fion en totalité à chaque passage. Un véritable ramonage ! D’abord modéré, son rythme s’accélère bientôt et M. Sawaris me prend maintenant avec force. Il s’agrippe à mes hanches et tape à fond à chaque fois. Et il tape de plus en plus fort si bien que sous le double effet des coups et du plaisir, je m’effondre sur le lit, à plat ventre. Il me suit dans mon mouvement et m’encule de plus en plus violemment alors que j’ai les jambes grandes écartées, le cul légèrement relevé et le haut du corps qui dépasse du lit un peu plus à chaque coup de boutoir.
C’est à présent avec toute sa rage qu’il me déchire le fion alors que je suis secouée, à moitié hors du lit. Mes mains, posées au sol, peinent à me maintenir tant le pilonnage est intense. Je hurle tout ce que je peux que je vais mourir, qu’il va me tuer s’il continue mais j’ai aussi la langue pendue de jouissance et la bave qui coule car, en réalité, les orgasmes se succèdent pour moi ! Ce mec me fait jouir du cul à répétition !!
Un groupe d’homme d’affaire commence à nous entourer et à se masturber en regardant la scène.
— Si certains veulent essayer la double anal, c’est maintenant ! s’exclame alors le patron que je sens se retirer.— Oh non ! Je…. c’est vraiment trop ! tentais-je sans conviction.
Mais déjà deux hommes me redressaient et se mettaient en position sans m’écouter. L’un sous moi s’enfile directe dans mon cul et l’autre, derrière, qui force également l’entrée. Je sens les deux sexes progresser en moi et se retirer au gré des échanges de partenaires.
— Ooooh… Vous allez…. Me détruire le cul….. Vous allez me tuer…. Aahhhh….
Mes gémissements et mes supplications ne faisaient que les exciter d’avantage et je crois sincèrement que tous les hommes de cette pièce, sauf le patron qui n’aurait jamais pu passer, se sont succéder en double dans mon cul durant plusieurs minutes. Leurs énormes sexes se chevauchaient et se croisaient dans mon « étroit » conduit alors que j’arrivais à peine à gémir tant l’effort était intense. Des larmes coulaient sur mes jouent à chaque fois qu’un mec en remplaçait un autre dans mon cul car je me disais que cette fois, mon anus allait être réellement détruit. Ils m’ont prise en DAP dans cette position, mais également sur le coté, en cuillère et enfin debout, suspendue à deux types qui me massacraient l’anus. Je passais de bras en bars sans la moindre résistance, comme une marionnette, et constatais avec surprise que, malgré la douleur, mon anus tenait le coup et que, finalement, je n’allais peut être pas mourir…
Puis, à la demande du patron, ils me libèrent et me jette sur le lit, où je m’affale à plat ventre, presque inconsciente. Alors que je tente de me redresser, M. Sawaris m’appuie sur la nuque et reprend sa place dans mon cul, quasiment dans la même position qu’il m’avait laissé. Cette fois mes gémissements sont clairement plus dus à la douleur qu’au plaisir. Mes cris, devrais-je dire.
— Messieurs, déclara-t-il, je crois que Séverine à atteint ces limites. Il est temps de finir ! Alors jutez vite fait que l’on puisse se préparer pour ce soir. Et qu’on laisse à Séverine et Virginie le temps de se remettre et de se changer !
Mes limites ? Elles ont été explosées depuis un moment ! A ce moment je ne pense qu’à une chose : ais-je encore un anus fonctionnel ? Ma folie m’a t’elle rendue incontinente ??
Alors que je me lamente sur mon sort en gémissant, le boss me lime alors à fond, comme possédé, puis, enfin, craque et me remplit de sperme dans un dernier coup de boutoir à la violence inouïe. De longs spasmes me remuent les entrailles et je sens le foutre s’accumuler en moi. Je suis cependant incapable de bouger alors qu’il se retire et me laisse ainsi gisante, le cul en l’air au bord du lit, les jambes écartes et la tête sur le sol.
Un des hommes qui regardaient enjambe alors ma tête et se penche en direction de me fesses. Il m’écarte alors l’anus avec deux doigts de chaque main et dit à son patron :
— Chef, je ne sais pas si elle s’en remettra… Son cul ne ressemble plus à rien !— Mais si ! C’est une déesse faite pour le sexe ! Elle s’en remettra…
Le plus terrifiant dans cette phrase était le fait qu’il pensait réellement que j’étais une déesse et que l’on pouvait me faire n’importe quoi sans soucis !! Un anus ouvert sur environ 10 cm de diamètre doit, il est vrai, lui donner en partie raison
Toujours est-il que celui-ci qui testait les limites de mon orifice monte sur le lit et se masturbe pour se finir. Puis, à son tour, il jute dans mon fion béant.
Il y eu alors un petit défilé derrière moi : trois mecs se sont succédé pour se branler ou me baiser la chatte et, au dernier moment, jouir dans mon cul grand ouvert. C’est donc avec le foutre de cinq personnes dans les fesses que je rejoignis, à quatre pattes, le groupe qui finissait de défoncer Virginie. Elle était les fesses en l’air et se faisait baiser (et remplir de sperme) la chatte à la chaîne.
Enfin, les derniers qui n’avaient pas encore jouis se vidèrent sur nos visages. Ils n’étaient que quatre mais ils n’avaient encore pas jouis de l’après midi et se furent donc des flots inimaginables de foutre épais et chaud qui s’abattirent sur nous, nous recouvrant totalement le visage.
Mais ce n’était pas tout à fait finit. A la demande générale, Virginie et moi commençons à nous lécher réciproquement pour avaler tout le sperme qui nous souillait les joues, le front, la bouche. Puis on nous « invitât » à lécher le sol pour récupérer le foutre qui s’échappait de nos trous, en particulier de mon cul dont les sphincters furent incapables de retenir le flot blanchâtre qui format une mare sous moi. Il nous fallu beaucoup de courage et de gorgées pour venir à bout de tout ce sperme.
Mais, enfin, les hommes se rhabillaient et sortaient de la chambre, nous laissant seules, totalement souillées, avec nos habits déchirés qui gisaient ça et là. Seul resta M. Diallo qui appela M. Roland pour organiser le reste de la soirée. Virginie et moi, épuisées et détruites avons passés une heure sous la douche avant de pouvoir ressortir pour nous changer. Dans la salle de bain, nous avons pris le temps de nous « ausculter » mutuellement pour voir les dégâts. La chatte et l’anus de Virginie étaient distendus et je n’ose vous décrire l’état des miens…
Enfin, nous estimant suffisamment remises et présentables, nous décidons de sortir de la chambre. Malgré des nouvelles tenues plus sobres apportées par M. Roland, les gens de l’hôtel nous dévisagèrent alors que nous sortions pour nous rendre au restaurant qui allait voir se conclure cette incroyable journée. Deux heures de hurlements ne passent pas inaperçus...
Le reste de la soirée fut également mémorable, mais sur un autre aspect. M. Roland se comporta en effet tout le long du repas en homme victorieux, sûr de lui et surtout méprisant envers moi. Il me considérait comme sa sous-directrice indispensable il y a encore quelques semaines. Je ne suis maintenant plus qu’une pute sans d’autres valeurs que son cul.
Durant le repas, les élus des deux CA discutèrent de l’accord dans ses grandes lignes, du principe du partenariat, etc. Heureusement pour moi, ils n’entrèrent pas dans les détails techniques et je sentis que le Président, qui dirigeait la discussion, faisait tout pour couvrir notre arrangement. Puis arriva le moment de signer l’accord qui allait sceller mon destin, celui de mon enfoiré de patron et de mon entreprise. Virginie nous emmena le contrat et les pages firent le tour de la table, recevant à chaque fois la signature de mon président et du boss africain qui, un peu plus tôt dans la journée, me ramonait le fion. A chaque page signée sans aucune remarque, un poids s’envolait de mes épaules.
Puis, enfin, la dernière page fut signée dans une salve d’applaudissement. M. Sawaris pris la parole :
— C’est un grand jour ! Réunies, nos deux sociétés seront plus fortes que jamais. De nouveaux marchés s’offriront à nous, en France et en Europe mais surtout en Afrique où de nombreuses choses restent à faire pour développer le Continent ! Je voudrais ainsi remercier Séverine, sans qui cet accord n’aurait jamais vu le jour, et évidemment M. Roland dont les compétences qui ont permis à votre entreprise de devenir une multinationale feront, j’en suis sûr, des merveilles au siège de notre société à Abidjan . — P... PARDON ?? s’étonna-t-il alors. Que voulez-vous dire par là ? — Et bien simplement ce que prévois cet accord : que nos deux sociétés fusionnent et que vous preniez la tête du pôle Afrique, a Abidjan ! Vous ne voulez plus partir ??— Et bien, M. Roland ? Ce n’est pas la requête dont vous m’aviez fait part ? surenchérit mon président pour le coincer.
Et devant tous les élus, noirs comme blancs, qui le dévisageaient en ce demandant qu’est-ce qui n’allait pas chez ce mec, mon (ancien) patron bafouillant, tourna la tête vers moi et compris tout de suite en voyant ma mine ravie et triomphante.
— Si, si bien sûr que je veux toujours partir… C’est juste que je ne…. réalise pas encore… l’opportunité, répondis-t-il sans une ombre de conviction. Et qui prendra la direction de mon… de l’entreprise en France ?— Et bien, répondit mon président, étant donné son expérience et son rôle dans cette affaire, nous avons unanimement décidé de nommer Séverine comme nouvelle directrice du pôle France.
Une salve d’applaudissement accompagna cette annonce à laquelle je répondis par de respectueux et raisonnables remerciements, histoire de ne pas trop en rajouter.
Puis les discussions plus légères reprirent et du champagne fût servit. Profitant d’un moment d’agitation, M. Roland me pris par le bras et m’emmena à l’écart de la salle.
— Félicitation pour votre nomination, M. Roland, lui dis-je, sarcastique.— Espèce de salope, vous avez modifié le contrat pour me prendre mon entreprise !! Comment vous avez pu me faire ça ??— Parce que je suis une salope, vous n’arrêtez pas de me le dire depuis des semaines ! Et bien la salope, elle vient de te baiser royalement, connard, et elle a prit ta place !— Tu vas me le payer sale pute !!— Ah oui ? Et comment depuis Abidjan ?? — Je vais te….— Tu ne vas rien faire du tout car à tout moment, je passe cet enregistrement à M. Diallo.
Je sors alors mon Smartphone de mon sac et lui fait écouter un passage croustillant de notre dernière conversation dans son bureau : « … ces sauvages ont du pognon alors je leur prends ! Mais ça reste des singes bouffeurs de bananes, des sauvages… ».
Devant sa mine déconfite, je surenchéris :
— Donc soit tu te tiens tranquille dans ton nouveau poste, soit je fais en sorte que M. Diallo soit au courant de ce que tu penses de tes nouveaux collègues. Tu sais, certaines rues de la ville sont de véritables coupes gorges… Il ne faudrait pas qu’il t’arrive malheur… — Espèce de sale…— … pute, oui je sais. Ou, salope, garce, trainée… si tu préfère. Ca ne change rien au fait que tu viens de te faire enculer à sec et que si tu proteste, il t’arrivera des bricoles. Maintenant tu dégage de ma vue et tu prépares tes affaires. Tu as deux jours pour disparaître du pays.
La dessus je me retourne et le plante là, pour aller discuter avec mes deux présidents préférés, l’un grabataire qui pourra assouvir tous ses phantasmes grâces à sa nouvelle marionnette (moi) et l’autre, plus membré qu’un étalon, qui ne manquera pas de m’élargir les conduis à chacune de ses visites en France… Que de bonnes choses en perspectives !!
Dans les jours qui ont suivis cette superbe soirée, M. Roland pris son nouveau poste a Abidjan et moi, je pris sa place, dans le bureau juste à coté. J’ai, bien évidemment, nommé Virginie comme mon adjointe et lui laisse dorénavant le plaisir de négocier, à sa manière, les contrats avec nos partenaires. Elle n’a jamais été aussi belle que depuis qu’elle se fait baiser à longueur de semaines et que le reste du temps, elle partage ma vie. En effet, j’ai décidé de virer définitivement mon mari du foyer conjugal et songe maintenant sérieusement à divorcer.
Mes nouvelles fonctions m’ont-elles fait renoncer aux orgies ? Bien sûr que non : je me réserve certains clients pour des négociations musclées, je me plais aussi à rendre fous (et parfois à soulager) certains de mes employés masculins et l’ensemble du CA me passe régulièrement dessus. Si ces papys ne me posent guère de soucis, mon Président s’est avéré finalement très pervers, si bien que durant l’heure hebdomadaire de soumissions totale que je lui dois, j’ai fais des choses à la fois extraordinaires et jouissives, inavouables et avilissantes.
Mais ceci est une autre histoire.
Fin
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