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Sex Friends

Chapitre 1

Début de relation

Erotique
Je m’appelle Axel et je suis un étudiant en médecine. En cinquième année, j’ai 23 ans et j’habite au dix-septième arrondissement. Je suis quelqu’un d’assez sportif, faisant régulièrement de la natation en club. Mes parents sont tous les deux médecins ce qui me permet d’avoir une situation assez confortable. J’ai la chance d’avoir un appartement rien que pour moi, entièrement financé par mes parents. Une aubaine lorsqu’il s’agissait de ramener des filles chez moi. De plus, j’ai hérité du physique assez balèze de mon père, je suis quelqu’un d’assez beau, ayant des cheveux de couleur jais et un visage fin. J’ai finalement, et j’en suis fier, un sexe très long et assez large : 23 centimètres. Tout le temps de bonne humeur, je ne me prends rarement la tête avec mon entourage.
J’ai beau avoir une vie assez confortable, un physique avantageux et de la bonne humeur, je me suis rarement mis en couple. Pourquoi ? Simplement parce que, étant en médecine, je n’ai pas trop de temps à consacrer aux filles. Et lorsqu’on sait à quel point il en faut du temps pour séduire une femme de nos jours, on ne préfère pas s’y attarder là-dessus.
De plus, ma dernière mise en couple m’avait dégoûté de l’amour. Nous avions rompu, moi et ma copine, de manière assez brutale car elle m’avait reproché mon manque d’implication dans notre couple. Au fond, ce n’était pas faux, je ne l’avais jamais vraiment aimé, préférant de loin son physique plutôt que son caractère de merde. Finalement, après plusieurs semaines de galères incessantes où mes potes avaient essayé de me caser, je me disais finalement que j’allais rester un éternel célibataire.
Ce qu’il me fallait finalement, c’était quelqu’un du même caractère que moi. Relax et sans prise de tête. Je ne voulais pas d’une relation amoureuse, dégoûté de mes anciennes copines, je voulais quelqu’un avec qui je pourrais profiter des bienfaits de la vie sans jamais que la fille me dise que je ne faisais pas assez, que je n’étais pas assez impliqué. Bref, je voulais, entre autres, un plan Q. J’avais commencé à faire des recherches sur les réseaux sociaux sans jamais rien trouver de concret. Je m’étais finalement résigné à terminer ma vie seul.
Mon regard s’était finalement porté sur une ancienne connaissance à moi, Sara. Cette jeune femme d’un an de moins que moi était d’une beauté légendaire. Une belle Slave qui avait su se servir de son physique à son avantage en devenant mannequin. Fille d’une riche famille qui avait fait fortune dans le commerce, elle continuait d’habiter chez ses parents mais avait pris toutefois ses distances. Sara était une belle brune qui avait les yeux vert clair. Dotée de forts atouts comme sa poitrine (95B) et d’un fessier assez développé et ferme, elle était, pour moi, la plus belle créature que je n’avais jamais vue.
Il m’arrivait de fantasmer sur elle sans jamais la voir car je la voyais inaccessible, dans le monde assez fermé qu’était le monde de la mode. Et puis, que ferait-elle avec un mec comme moi lorsqu’elle avait le physique d’une femme de footballeur ? J’en avais honte quelquefois de penser à elle pendant que je baisais ma copine, je l’imaginais à la place de celle-ci, ce qui arrivait à me faire tenir pendant beaucoup de temps. Quand je la voyais, je l’imaginais sans tous ses vêtements, nue et offerte à moi. Je l’imaginais de plus en plus dans des positions sexy et coquines ce qui avait pour effet de me faire bander. Je m’étais maintes fois remis en question, qui fantasmait sur sa pote ? Ce n’était pas normal mais mes pensées, mes rêves et enfin mes fantasmes étaient apparus comme ça, du jour au lendemain. Et je pouvais voir que Sara était dans le même cas que moi. Puisque lorsqu’elle m’attendait à la piscine, je la voyais loucher sur mon corps et plus particulièrement sur mon entrejambe seulement couvert par un maillot étroit. Je ne savais pas si Sara pouvait également fantasmer sur moi mais tout ce que je savais, c’était que je ne la laissais pas indifférente.
Néanmoins, malgré mes fantasmes persistants, Sara restait une bonne amie. Je la voyais quelquefois en rentrant de l’université, rayonnante et toujours aussi belle. On prenait régulièrement le déjeuner ensemble, dehors. Elle me racontait ce qu’elle faisait et je l’écoutais toujours avec curiosité. Au fond, j’avais développé un semblant d’affection pour elle mais je me le cachais.
Un jour, Sara m’avait envoyé un message pour me dire qu’elle finissait plutôt et que ça serait bien que l’on se voie. Naturellement, j’avais répondu oui et je l’avais donc attendu devant le bâtiment qui servait de studio pour son travail. Avec son trench-coat beige, sa jupe droite et ses escarpins Louboutin, elle était splendide. Sa tenue était classique mais allait parfaitement avec son teint. Son chignon, dont deux mèches encadraient son beau visage, était parfait. Pour compléter le tout, je remarquais un rouge à lèvres rouge mat et un trait d’eye-liner noir. La grande classe. C’était tout le temps comme ça avec elle, dès que je la voyais je ne pouvais m’empêcher de me dire « Waouh ».
— « Salut Sara. Déclarais-je en lui faisant la bise.— Axel, je suis trop contente de te voir ! dit-elle, elle avait l’air triste.— Qu’est-ce qu’il y a ? demandais-je, comprenant que quelque chose la tracassait. — Je vais t’expliquer en route. »
C’est ce qu’elle fit. Pendant le chemin qui séparait son lieu de travail d’un restaurant que l’on fréquentait, Sara m’expliqua ce qui la peinait. Je pus découvrir qu’elle avait rompu avec son copain, un certain Marc, mannequin lui aussi. Elle m’avait très vite expliqué que ça ne marchait pas entre elle et lui depuis un certain temps. Je n’avais jamais connu son copain mais l’entendre dire qu’elle venait de rompre avec lui éveillait en moi une étrange sensation.
Nous longeâmes les rues de la capitale pour finalement dans un restaurant assez cosy où nous avions, moi et Sara, l’habitude d’y aller. On se posa et prit connaissance du menu. Pendant ce temps d’attente, Sara avait retiré son manteau beige, dévoilant un chemisier blanc assez transparent. Très décolleté, je devinais la présence d’un soutien-gorge en dentelle noire.
— « Quand je pense qu’il m’avait proposé d’emménager avec lui ! C’est vraiment un salaud ! termina-t-elle. Je ne l’écoutais plus, plongé dans un autre monde s’apparentant à ce qu’il y avait à l’intérieur de ce chemisier. Axel ? T’as l’air perdu...— Oh... euh... Non. Non, c’est juste la fatigue. Je viens de sortir de huit heures d’amphi, je suis épuisé. Tentais-je comme excuse.— Tu as vraiment beaucoup de courage pour faire médecine. Dix ans d’étude, c’est beaucoup ! me sourit-elle.— Oh, tu sais... c’est pas si difficile que ça... dis-je.— Tu aurais pu faire mannequin comme moi ! fit-elle avec un immense sourire. »
Moi, mannequin ?
— « Je ne crois pas avoir la carrure pour. Déclarais-je.— Détrompe-toi, tu es quelqu’un de très beau. Me sourit-elle. »
Ça alors ? Elle me trouvait beau ?! Sans m’en rendre compte, mes joues devinrent cramoisies. Sara eut un sourire assez timide. Notre discussion prit fin car les plateaux arrivèrent. Comme à son habitude, Sara avait commandé une salade. Je connaissais ses goûts par cœur, je pouvais deviner à l’avance ce qu’elle allait commander.
— « Tiens, on prend une salade ? Ca ne m’étonne pas de toi. Ris-je en savourant mon burger.— Rappelle-toi que je suis mannequin Axel ! Je fais attention à ma ligne ! se vexa Sara. — Ne te vexe pas Sara je rigolais. Déclarais-je. »
Pourtant, la jeune femme continua à afficher une moue boudeuse.
— « Tu vas pas me faire la gueule pour une glace quand même... commençais-je.-... — Bon allez. Ça te dirait une glace mousseuse au chocolat ? »
C’était son parfum préféré, son péché mignon. Les yeux de Sara s’illuminèrent.
— « Excuse acceptée. Sourit-elle. Tu me connais vraiment trop bien.— En même temps, ça fait dix ans que l’on s’est rencontré au collège. Me justifiais-je.— Tu as raison. Au fond, tu es le seul qui me connaisse vraiment bien. »
J’étais assez content qu’elle me dise cela. C’était vrai, je la connaissais mieux que quiconque et elle me connaissait mieux que quiconque. Nous finassâmes de manger et je payais l’addition en bon gentleman. Nous sortîmes du restaurant et nous continuâmes à parler tout en marchant jusqu’à sa demeure. Tout au long du trajet, nous nous étions rapprochés au point que nos mains s’effleuraient. Je commençais réellement à me dire qu’il était tout à fait probable que Sara soit aussi attirée par moi.
Sara habitait dans un assez grand appartement situé au premier étage d’un immeuble typiquement haussmannien. J’étais allé plusieurs fois, je connaissais ses parents et ils m’appréciaient. Je m’étais rapidement lié d’amitié avec son père. Ce qui avait permis à notre relation, moi et Sara, de se poursuivre sans restriction. Nous nous arrêtâmes devant la porte de l’immeuble. Sara était pensive. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Je me décidai à briser le silence.
— « Bon bah, nos chemins s’arrêtent ici. Déclarais-je, la tirant de ses pensées.— Oui... murmura-t-elle. »
Décidément, elle était dans un autre monde car d’habitude, elle parlait plus que ça. Surtout lorsqu’il s’agissait de quitter son meilleur ami. J’étais assez triste de ce détachement, peut-être qu’elle n’appréciait plus trop nos rendez-vous. Je me résignais à lui saluer de la main avant de partir. D’habitude, on se faisait une dernière fois la bise avant de partir mais là, je la sentais trop froide, trop distante.Une fois chez moi, je m’allongeais sur mon lit. Je sortis mon portable et décidai de lui envoyer un texto pour lui demander pourquoi elle avait été si froide avec moi. Car oui, nous avions toujours été très francs et honnêtes moi et elle. Ce n’était pas comme avec mes ex-copines où je mentais parfois pour arranger la situation. Là, le fait que Sara était mon amie, contribuait à ce que je lui dise les choses claires.
Moi : Salut Sara. Je voulais savoir pourquoi tu t’étais perdu dans tes pensées, j’ai fait quelque chose de mal ?
Je pris ma douche et vis qu’elle m’avait répondu.
Sara : Axel, c’est rien. Enfin si mais c’est pas vraiment important. Ne t’inquiète pas !
Pas convaincu par son message, je décidais de la laisser tranquille, lui disant juste de passer une bonne nuit. Je mis mon pyjama et me mis sous la couette. Rêvant, une énième fois, de Sara et de son corps. C’en était presque insoutenable, comment pouvais-je avoir ce genre de pensées lorsqu’il s’agissait d’une amie de longue date ? Pourtant, j’étais (presque...) sûr qu’il ne s’agissait là que d’une attirance purement physique, après tout, Sara était réellement mon type de femmes. Brune, des beaux yeux et un corps à en faire envier la déesse de l’amour et du sexe.
Il fallait que je lui parle, que je lui explique ce qui me tracassait derrière la tête depuis maintenant un mois. Que je lui explique enfin à quel point elle était désirable mais que j’étais presque sûr qu’il ne s’agissait là que de physique et non de sentiments.
J’avais néanmoins peur de la perdre, peur de perdre une précieuse amie. Comment allait-elle réagir lorsque je lui avouerais que je fantasme sur elle depuis pas mal de temps ? Je n’en avais aucune idée mais j’étais sûr qu’elle me comprendrait, où même qu’elle ressentirait le besoin, elle aussi, de m’en en parler.
Le lendemain, nous étions dimanche. Pas de cours, j’avais le champ libre pour avoir ma petite discussion avec Sara. Je l’avais appelé pour lui dire que j’avais moi aussi à lui parler et que ça serait bien si l’on se retrouvait en bas de mon appartement. Je savais qu’elle n’habitait pas très loin de chez moi. Elle m’avait répondu positivement et qu’elle serait là dans un quart d’heure.
Je m’habillais rapidement pour être à peu près convenable et je sortis de l’appartement. Je sortis une cigarette de la poche de ma veste et je l’allumais pour me détendre un peu. Car, j’étais grandement stressé par la suite. Je ne savais pas ce qui allait se passer, peut être qu’elle allait se foutre de moi en rigolant et ensuite partir lorsque je lui aurai avoué que c’était vrai ou alors qu’elle dira que c’était réciproque, peut-être bien.
Je la vis arriver, toujours resplendissante. Un pantalon tailleur, des baskets et une veste de marque. Mon regard se porta sur son visage. Elle semblait elle aussi stressée. Super... Je jetais ma cigarette avant de l’écraser à l’aide de mon pied, incognito. Sara ne supportait pas que je fume et la simple vue d’une cigarette et de sa fumée cancérigène la dégoûtait au plus haut point.
— « Salut Axel. Me dit-elle calmement en me faisant la bise. Je la sentais fébrile comme si elle redoutait elle aussi cet instant.— Ça va ? lui demandais-je tandis qu’elle se tortillait les doigts.— Ça peut être mieux... Tu voulais me voir ?— Oui... commençais-je. »
Je ne savais vraiment pas comment aborder la situation, de manière douce ou de manière cash ? J’étais perdu. Nos regards s’étaient croisés, Sara me regardait de la même façon dont je la regardais. Un regard rempli de désir. C’est à ce moment-là que je sus que Sara partageait ce même problème.
— « Alors toi aussi... commençais-je en ravalant ma salive. J’étais angoissé et en même temps excité.— Je... je suis vraiment confuse Axel. Mais je sais pas ce que j’ai, dès que je te vois, ça me fait bizarre comme sensation. Alors que pourtant, tu es mon ami ! Mon confident ! bégaya-t-elle, les joues rosées.— Je pense la même chose que toi. J’ai pas envie de casser notre amitié à cause de ça. Mais tu m’attires physiquement parlant. Mais tu es mon amie, je m’entends bien avec toi. Déclarais-je finalement en baissant la tête.— Tu penses que l’on pourrait... ? me demanda-t-elle en rougissant encore plus.— Certains de mes amis ont ce genre de relation. Ils disent que c’est vraiment le top mais aussi que l’on doit faire attention.— C’est-à-dire ?— Eh bien... faire attention à ne pas développer des sentiments pour son ou sa partenaire...— Tu es mon meilleur ami et je souhaite que tu le restes jusqu’à la fin. C’est pareil pour toi ? — Bien sûr... dis-je. Sara, t’es une amie en or, j’ai pas envie de te perdre à cause d’une histoire de sentiments. — J’ai une idée alors. Termina-t-elle en s’avançant vers moi. »
D’une démarche peu rassurée, Sara se mit devant moi. Elle me regarda, prit mon visage entre ses deux mains pour sceller nos lèvres. Comme je me l’étais imaginé, les lèvres de mon amie étaient tout simplement délicieuses. Je frissonnais de toute part en sentant ses lèvres féminines bien appuyées sur les miennes comme pour forcer le passage. Même si j’étais très excité par ce baiser, je ne voulais pas aller trop vite, je voulais d’abord savoir si elle voulait vraiment de ce genre de relation. Nous nous détachâmes à contrecœur avant de se regarder.
— « Tu veux vraiment qu’on le fasse ? Entre amis ? demandais-je même si j’en avais terriblement envie.— Oui Axel... tu resteras mon ami mais on pourrait profiter l’un de l’autre. Je sais que tu en as envie toi aussi. Dit-elle finalement en regardant ma bosse.— Je veux bien alors. Déclarais-je finalement avant de la réembrasser. »
Cette fois-ci notre baiser fut plus intense et plus long. Une fois le baiser terminé dû au manque de souffle, je pris la main de Sara et l’emmenai dans mon appartement.
Terriblement excité, j’ouvris rapidement la porte de mon appartement. Une fois que je l’avais refermée d’un geste de mon pied, je plaquais Sara contre le mur du couloir. Ivres de plaisir, on s’embrassa avec plus de passion, avec plus de sauvagerie. Je dévorais littéralement la bouche de mon amie, faisant entrer ma langue à l’intérieur de sa bouche pour commencer une danse passionnée avec sa jumelle. Mes mains parcouraient sa veste, effleuraient ses hanches avant d’empoigner fermement son fessier. Je la soulevais tandis que, par réflexe, mon amie enroula ses jambes autour de mes hanches et passa ses deux mains autour de mon cou.
Je ne savais pas ce qui se passait, tout se bousculait dans ma tête. C’était bien la première fois que j’agissais comme ça. D’habitude, cela se faisait doucement. Mais là, je ne pouvais pas résister, mon corps et plus précisément mon sexe réclamaient l’étreinte du corps de mon amie.
— « Axel, je t’en supplie, dans ta chambre s’il te plaît... murmura-t-elle tandis qu’elle déboutonnait ma veste, me laissant en t-shirt. »
Je l’emmenais à ma chambre, toujours en la soulevant. Une fois arrivés, je la déposais sur le lit avant de mettre au-dessus d’elle. Sans ménagements, Sara enleva sa veste et son t-shirt. Elle aussi en avait envie. J’enlevais moi aussi mon t-shirt, me laissant torse nu pour le plus grand plaisir de mon amie qui ne pouvait s’empêcher de se mordre les lèvres.
Nous enlevâmes le bas de nos vêtements tout en nous embrassant passionnément. Nous étions à présent en sous-vêtements. D’un geste expert, je défis les bretelles de son soutien-gorge, libérant ses seins blancs et fermes de taille moyenne dont la forme rappelait celle d’un volcan. Ses tétons arrogants pointaient vers le haut et paraissaient durs, signe de son excitation. Je me mis à les palper de mes deux mains, l’arrachant des petits gémissements. Leur texture était douce et assez moelleuse et je me mis soudain à les embrasser et ensuite à les téter comme un nourrisson le ferait auprès de sa mère.
Je mordillais un des lobes de ses seins, tout doucement, l’arrachant un petit gémissement. Amusé, je descendis plus bas et n’oubliant pas de promener ma bouche et de la parsemer de baisers. Je voulais goûter à centimètre carré de sa peau blanche afin d’imprégner mes lèvres sur son corps et de la savoir mienne. Elle frissonnait lorsque je m’amusais à sortir ma langue pour lécher sa peau et je me délectais de la saveur exquise de son corps. Une fois arrivé devant le bas de son bassin, Sara, d’un geste de son bassin, me renversa pour se mettre au-dessus de moi. A califourchon sur moi, elle avait posé mes mains sur son bassin.
— « Ce n’est pas du jeu si tu es le seul à en profiter... me sourit-elle tout en déposant de tendres baisers sur mon torse. »
Je la laissais me couvrir de baisers. J’appréciais tout particulièrement le contact de sa poitrine sur la mienne et elle me fit savoir que c’était réciproque en se frottant ardemment contre mon torse.
— « Voyons voir si c’est jouable... me susurra-t-elle en caressant la bosse que formait mon sexe à l’intérieur du boxer. »
Je frissonnais de plaisir. De ses mains expertes, elle sortit mon sexe de sa cage en tissu. Elle sembla étonnée par la taille de mon sexe mais se reprit vite et me branla doucement. Que c’était bon ! Tout en m’embrassant, elle accéléra la cadence de sa main sur mon sexe. Elle retira sa main et enleva sa culotte pour la jeter on-ne-sait-où.
La voilà complètement nue, son sexe était dissimulé sous une fine toison de poils pubiens. Nue et belle comme dans mes rêves...
— « Ça te plaît ? me demanda-t-elle, un sourire affiché sur son doux visage.— Oh que oui. »
Je vis quelques perles du liquide intime décorer son entrée. Je posais un tendre baiser sur son mont de Vénus, comme pour la rassurer. J’introduis un premier doigt dans son intimité, la faisant gémir. Elle était très étroite pour une femme qui n’était plus vierge. Peut-être que cela faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas fait. Je mis un deuxième doigt et enfin un troisième. Je commençai à les faire bouger, arrachant quelques gémissements à mon amie ne s’empêchait pas d’exprimer son plaisir sous mes doigts habiles. Je jouais avec elle pendant une bonne minute, c’est elle qui me rappela à l’ordre.
— « Axel... je la veux maintenant... me supplia-t-elle. »
Peut-être était-ce la raison qu’elle ait rompu avec son ancien copain ? Personnellement, je ne le comprenais pas. Je le remerciais néanmoins intérieurement de l’avoir envoyé à moi. J’allais la garder le plus longtemps possible maintenant qu’elle était avec moi. Je retirais mes doigts dans un bruit pas très glamour avant de les lécher. Délicieux...
Visiblement impatiente et sans qu’elle me prévienne, elle se positionna au-dessus de ma virilité et s’abaissa tout doucement. Elle me chevauchait, mon pieu à l’intérieur d’elle. Lorsque je la regardais, elle avait toujours ce visage rougi par l’excitation mais aussi par un sentiment de lubricité.
— « Ne me regarde pas comme ça s’il te plaît... Haann... cela fait tellement longtemps que je ne l’ai pas fait... murmura-t-elle en détournant mon regard, les joues cramoisies. »
Elle commença à onduler son bassin, m’arrachant des soupirs rauques. Je décidais de l’aider un peu en soulevant ses fesses pour synchroniser les mouvements de mon sexe avec ses mouvements. Nous étions dans un autre état, plus aucune pensée ne nous vint, nous étions tous dans un état plongé dans la passion et le plaisir. Elle continua ses va-et-vient de manière plus rapide et avec un meilleur rythme. Sara attrapa mes mains et les posa sur ses seins, je me mis à les caresser doucement, accentuant le plaisir que prenait mon amie. Son visage rougi par l’excitation, ses cheveux entremêlés par la sueur et ses vocalises érotiques me faisaient perdre la tête. On se fichait de notre relation amicale, on savourait cet intense moment et c’était tout ce qui nous importait.
Elle se mit à crier son plaisir, sans pour autant l’amener à l’orgasme. Je commençais à me sentir au bout du gouffre, je serrais fortement le bassin de mon amie. Je lui prévenais que j’allais bientôt venir, elle s’extirpa de mon pénis et j’éjaculais enfin. Mon sperme s’étala au niveau de son pubis. Elle se rassit sur moi, mon pénis contre son pubis. Nous restâmes comme ça pendant une bonne minute, le temps que Sara retrouve ses esprits. Elle se redressa et caressa tout doucement son pubis imprégné de mon sperme. Je m’allongeais et elle me rejoignit, se lovant dans mes bras tout en se caressant.
— « Toujours amis ? me demanda-t-elle en frissonnant. — Bien sûr Sara. Répondis-je avec un immense sourire. — Je peux rester là jusqu’à demain ? Je dirais à mes parents que je dormirais chez ma copine. — Bien sûr. Il faudra d’ailleurs que l’on s’organise pour nos prochaines galipettes. Ris-je en caressant ses seins du bout des doigts. Je vais me doucher. »
Elle s’enleva de mon emprise et se dirigea vers la salle de bain. Je la suivais des yeux, matant son fessier particulièrement ferme ainsi que ses courbes. Nous étions désormais sex friends. Une relation assez complexe lorsque ta sex friend était ta meilleure amie. Enfin, peu importe... notre relation était purement fondée sur le physique et non sur les sentiments, il n’y avait aucun risque à ce que je tombe amoureux d’elle ou inversement...
Si ?
A suivre...
NDLA : J’espère que ce premier chapitre vous a plu... assez long à mettre en place (vous m’excuserez) mais les chapitres seront un peu moins longs. Merci et à la semaine prochaine !
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