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Sex Machine ou l'expérience interdite d'Eugénie Pakhanon ...

Chapitre 3

Première expérience d'une jouvencelle ...

Erotique
Dans sa cave, allongée sur le lit avec son masque de réalité virtuelle, revêtue de sa combinaison en néoprène bourrée de stimulus, mise sous perfusion de PEA, Eugénie est comme transportée dans une autre époque, un autre univers, une autre dimension. Le scénario choisit de manière aléatoire par l’ordinateur s’intitule « Initiation d’une jouvencelle » et se déroule au XVIIème siècle.La voici donc rajeunie de quarante ans, elle est là dans un champ avec d’autres jeunes femmes en train de faire les foins. Il fait chaud, son chemisier de coton lui colle à la peau, ses longues chausses blanches retenues par des jarretières lui donnent des bouffées de chaleur. Cela fait maintenant plus de trois heures que les donzelles s’activent dans ce pré à mettre en meule l’herbe fauchée il y a quelques jours et aujourd’hui sèche. Demain ou après-demain, il faudra rentré le foin à la ferme et le mettre dans la grange. Les bêtes auront ainsi à manger cet hiver. Midi sonne à l’église de Mont Désir, le petit village niché sur le bord de la rivière tout près de là. Après une rapide prière pour remercier Dieu et lui rendre grâce, les jeunes filles se regroupent à l’ombre d’un arbre et s’assoient dans l’herbe. C’est enfin l’heure tant attendue du déjeuner.Comme toutes les autres, Eugénie prend son panier d’osier dans lequel elle a mis ce matin son repas du midi ainsi qu’une outre d’eau. Tout en reprenant des forces, elles parlent du prochain dimanche, de leur sortie au bal et de leur amoureux qui va venir leur conter fleurette. Elles ont a peine vingt ans et ne savent pas grand-chose de la vie. Leurs sorties se limitent aux frontières du canton et elles ne connaissent rien du vaste monde qui s’étend là-bas au-delà des premières collines.Soudain, on entend une galopade dans le lointain et un nuage de poussière apparaît au loin sur le chemin. Les filles arrêtent de manger et s’interrogent— Qui peut bien venir sur le chemin avec un cheval au galop ?Il faut dire qu’aucun membre de leur entourage ne possède une monture capable d’aller aussi vite ; ce ne sont que vieilles carnes et chevaux de trait, peu rapides mais oh combien utiles pour les travaux des champs. Le nuage de poussière est de plus en plus proche et les jeunes femmes peuvent enfin reconnaître le cavalier dont la monture vient maintenant de se s’arrêter au pied de l’arbre sous lequel elles sont installées. Elles se lèvent et le saluent en chœur en tentant de faire la plus belle des révérences— Bonjour monsieur le comte !Toutes ont reconnu le vieux comte Hubert de Grivois qui vit là-bas au manoir et possède la quasi-totalité des fermes et des métairies des environs. En fait il n’est pas si vieux que cela car il n’a que 45 ans ; mais pour ces jeunes paysannes, il est d’un autre âge.Du haut de son cheval, le comte leur répond— Bonjour jolies demoiselles. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu un tel aréopage de belles oies blanches.Comme les autres, Eugénie prend cela pour un joli compliment. Pourtant, comme les autres, elle connaît la réputation du comte : un homme obsédé et pervers, grand amateur de jeunes pucelles.Le comte met alors le pied à terre, attache les rênes de son cheval à une branche basse et fait lentement le tour du groupe de jeunes femmes en les détaillant avec attention. A l’une d’elle, il dit— Tu es la fille du père Anselme à la ferme des deux chênes ?Intimidée, on lui répond— Oui monsieur le comte.A la suivante il demande— Et toi, tu es la cadette de la métairie des dix arpents ?De nouveau on lui répond avec timidité— Oui c’est cela monsieur le comte.S’arrêtant devant Eugénie, il la regarde avec attention de la tête aux pieds puis lui dit
— Et toi, d’où es-tu ? Je ne t’ai jamais vue par ici, pourtant je connais tout le monde !Eugénie le regarde droit dans les yeux, avec un léger air de défi, et lui répond— Je viens de la borderie des trois fontaines près de Saint-Vincent à cinq lieues d’ici. Je suis en ce moment chez mon oncle à la ferme des quatre vents pour l’aider pendant tout l’été. Le seigneur des lieux la regarde avec convoitise ; en voici une qu’il n’a pas encore culbutée et Dieu qu’elle est agréable à regarder. Il se penche vers Eugénie, l’attrape par la main et l’oblige à se lever. Puis il lui dit— Viens, suis-moi. Tu vas me montrer si les filles de Saint-Vincent sont aussi chaudes que celles de Mont Désir que je connais par cœur.Eugénie tente de résister mais l’homme est costaud et elle comprend vite qu’elle n’a aucune chance de lui échapper.Une fois à côté d’une belle meule, le comte fait un épais tapis de foin par terre puis y allonge Eugénie. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, il libère sa bite et le voici sur la jeune pucelle. D’un geste rapide, il ouvre le chemisier et libère les petits seins aux aréoles bien dessinées. Puis, toujours aussi vif, il remonte la jupe et le jupon ; la vue de ce sexe dissimulé dans une fine toison blonde l’excite au plus haut point. Il bande dur, tel un chevalier le glaive brandi prêt à partir au combat.Il frotte son gland sur cette fente juvénile qui semble avoir du mal à s’entrouvrir. Il force un peu et sa queue se glisse doucement dans l’étroite porte. Prendre une pucelle, il n’y a rien de meilleur. C’est un peu comme si on découvre une contrée inexplorée, on est le premier à voir et découvrir les lieux. La jeune Eugénie voudrait défendre sa virginité, la conserver pour son mariage mais le comte est bien trop fort pour elle. Dans le sous-sol du petit pavillon près de la Porte d’Orléans, la vraie Eugénie découvre ses premiers émois érotiques. La combinaison de néoprène réagit parfaitement aux informations de l’ordinateur ; les ergots intérieurs au niveau du buste se comportent exactement comme les doigts du comte sur les tétons d’Eugénie. Entre ses jambes, le sexe factice en néoprène gonfle et se tend, la pénétrant de plus en plus profondément ; perforant enfin cet hymen gardé intact pendant six décennies. Les gouttes de PEA qui s’écoulent dans son avant-bras depuis maintenant une dizaine de minutes produisent leurs effets ; une douce chaleur lui envahit le ventre, ses tétons se dressent et son sexe est déjà tout moite.L’image du comte dans les lunettes de réalité virtuelle est plus vraie que nature. Elle sent son souffle sur son visage et elle ressent sa langue qui se glisse entre ses lèvres. Elle a complètement oublié qu’il s’agit là d’une expérience ; sa réalité n’a plus rien de virtuelle.A soixante-deux ans, elle va enfin perdre sa virginité avec un comte vicieux sur un tas de foin en pleine campagne. Tout son corps est en ébullition, elle ouvre grand le compas de ses jambes pour mieux être pénétrée. La bite du comte cogne au fond de sa chatte, sa bouche lui dévore les seins et ses mains pétrissent ses formes.Eugénie ferme maintenant les yeux mais l’image du comte est toujours aussi présente. Elle s’abandonne à ses assauts et l’encourage de la voix— Oui c’est bon monsieur le comte. Prenez moi bien !Le comte accentue ses mouvements de va et vient, retire entièrement sa bite pour mieux la replonger dans ce jeune con si accueillant. Il n’en revient pas de baiser une pucelle aussi réceptive à ses assauts. D’habitude, lorsqu’il exerce son droit seigneurial de cuissage sur les jouvencelles du canton, elles pleurnichent, se débattent un peu avant de s’abandonner sans passion. Celle-ci lui convient bien, elle se donne comme le ferait une courtisane confirmée, chaude comme ce soleil estival. Voilà un bon moment que le comte ahane entre les cuisses d’Eugénie et transpire à grosses gouttes. La jeune salope l’enserre dans ses jambes comme si elle voulait qu’il ne se retire jamais. Mais son endurance a des limites et il sent déjà venir en lui la montée de sève. Il tente de se retenir encore un peu mais il n’en peut plus. Dans un ultime et puissant coup de bite, il déverse tout son foutre dans cette grotte humide qui n’avait jusqu’alors jamais été visitée par le moindre mâle.Le corps de la donzelle est collé au sien, ses petits seins sont durs comme de la pierre, ses tétons sont dressés comme des petits menhirs au sommet d’une colline, sa chatte est trempée de mouille et poisseuse de foutre. La belle semble vraiment avoir apprécié ce dépucelage estival.Le comte se relève, remballe ses bijoux de famille puis remonte son pantalon de velours côtelé avant de resserrer sa ceinture de flanelle autour sa bedaine. Il n’en revient pas du comportement de cette pucelle ; elle semble cacher un beau tempérament de salope. Cela n’est pas pour lui déplaire et il a déjà des projets en tête.A peine est-il remonté sur son cheval qu’il lance à Eugénie— Je vais de ce pas aller voir le père Anselme, ton vieil oncle, à la ferme des quatre vents. Ce soir, je reçois des amis à dîner et tu viendras au manoir pour prêter main forte à mes servantes lors du service. Deux secondes plus tard, le cavalier et sa monture repartent à bride abattue sur le sentier puis disparaissent derrière la colline. A peine Eugénie a-t-elle rejoint les autres jeunes femmes que les questions fusent— Alors, qu’est-ce qu’il t’a dit ?— Il t’a culbutée comme il le fait avec toutes les jeunes filles du pays ?— Nous sommes passées par là nous aussi. Tu verras, on n’en meurt pas.Sur la jupe d’Eugénie, une auréole rouge sang s’étale et témoigne de l’issue du corps à corps. Elle n’est plus vierge mais n’est-ce pas le sort de toutes les jeunes femmes ? Elle sait déjà que son oncle la forcera à aller chez le comte ce soir, trop fier de rendre service à son seigneur et avec l’espoir d’en tirer quelques menus avantages.Sur son lit, la vraie Eugénie ne s’est pas encore remise de la violence de son orgasme et son corps est encore agité des spasmes de la jouissance. Jamais elle n’aurait imaginée que c’était aussi bon de perdre sa virginité. Toujours installé sur le siège devant l’ordinateur, le chat Ecstasy ne sait plus où donné de la tête. Les échos de jouissance de sa maîtresse, allongée là sur le lit, résonnent encore en écho de ceux de la jolie paysanne couchée dans le foin sur l’écran. Cela ne fait que quinze minutes qu’il est là mais il a l’impression que cela fait toute une matinée.Soudain, la nuit tombe sur la campagne qu’il contemple sur l’ordinateur et le voici qui se retrouve dans la grande salle d’un manoir. L’expérience continue …
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