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Le sex-shop

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Je rentre de vacances à mi-août, il me reste trois jours avant le boulot et je décide d’aller au sex-shop pour faire un peu d’exhibition. Je me prépare comme d’habitude, douche et lavement, et j’enfile un petit short et une chemisette. Je prend un sac dans lequel je met un gode gros ventouse, mon gode gonflable avec ventouse, des préservatifs et du gel. Arrivé au sex-shop, il est fermé. L’adresse d’un autre sex-shop est indiqué sur la porte. j’hésite car, ne connaissant pas l’endroit, je ne pourrais pas m’exhiber comme je le désire. Je décide malgré tout de m’y rendre. En entrant j’ai la surprise de tomber sur un vieux copain que j’avais perdu de vue depuis très longtemps. J’ai une très mauvaise mémoire des nom et avec le temps, je ne peux pas me rappeler le nom de la personne devant moi. C’est un peu gênant.— Salut, que fais tu ici?— Je suis le gérant de la boutique. Tu viens t’encanailler?— Je vais d’habitude à "la boite ......", mais ils sont fermé pour travaux. J’avais l’intention de faire un peu d’exhibe. J’adore qu’on me regarde.— Oh là dis donc, je me rappelle d’un Jean très réservé et sérieux.Lui se rappelle mon nom. C’est encore plus gênant.— Tout le monde peut changer.— Vas voir au sous sol, cela ressemble beaucoup à la boite.Je descend et je tombe sur un couloir bordé d’un côté d’une immense glace et de l’autre une rangée de cabines. Toutes les cabines possède une glace en face de la porte. Au fond du couloir, un divan rouge. Cela me conviens très bien.Je remonte et je demande au gérant.— Comment ça marche chez toi?— C’est exactement comme à la boite, soit tu loues un film, soit tu regarde le panachage de films diffusés sur les canaux 2 à 15. Il y a de l’hétéro, du gay, du lesbien, et même du zoophile.Je loue une cabine pour deux heures avec un panachage de films et je descend au sous sol. Une des cabine est occupée par un homme, il a laissé la porte ouverte. je regarde à l’intérieur, il a sorti sa bite et se masturbe. J’entre dans ma cabine en laissant la porte ouverte et je me déshabille entièrement. Je m’assoie, sélectionne un film zoo et je commence à me caresser la bite. Je me positionne de manière à ce que l’on me voit bien de l’extérieur. Une homme s’encadre dans la porte et me regarde. Je continue à me masturber et écartant bien les jambes. L’homme s’approche mais je lui fait signe de rester ou il est. Je me lève, sort de mon sac le gel pour me badigeonner le cul. Je sort le gode ventouse et je vais le mettre sur la glace du couloir. A ce moment, le gérant descend.— J’ai quelqu’un qui me remplace, j’ai du temps, est ce que je peux te filmer?— Seulement le cul, est ce que tu peux le faire?— Ok, mais nous allons prendre des précautions. Attends moi.Il remonte et 5 minutes plus tard il redescend avec des grosses lunettes, une perruque et des fausses moustaches. — Met moi tout ça et on ne pourra pas te reconnaître si par hasard je te filme en entier.— Ok.Je me déguise donc et reprend mes activités devant sa caméra. Je positionne bien le gode à la bonne hauteur et je présente mon cul sur son gland. Je ressent toujours cette décharge électrique. J’appuis un peu de manière à faire rentrer le gode tout doucement. L’homme qui me regarde se branle de plus en plus vite. Quand je sent mes fesses sur la glace, je fait des va et vient très ample, sur toute la longueur du gode. A chaque introduction, je sent mon sphincter se dilater et se refermer sur le gland. Quel pied!! Je bande de plus en plus fort, l’homme veut me prendre la bite mais je le repousse, je veux jouir qu’avec mon cul, c’est plus long et plus intense. l’homme prend un essuie-tout et éjacule dedans en poussant des grognement inintelligibles. Au bout d’un bon moment, je sent le plaisir monter, les pieds s’électrisent, mes jambes flageolent, mon ventre se noue, mon coeur s’emballe et mon cerveau ne connait que mon cul. J’explose dans le couloir, mon corps est parcouru de spasmes, je m’immobilise. Je me redresse, toujours le gode dans le fion, et je recommence mes va et vient. Cela devient de plus en plus dur car le gel a séché. Je demande à l’homme, qui s’était assit sur le divan pour regarder, de me faire passer le gel sur ma chaise. J’en met sur le gode et je me pompe encore. Mais mes jambes me trahissent, je suis obligé de m’arrêter. Je me dégage du gode, le récupère et le met dans le sac. Là je prend mon gode gonflable, le gel et je me dirige vers le divan. L’homme se lève pour me laisser la place. Je m’allonge sur le dos pour récupérer un peu.
Je regarde dans le couloir et je vois qu’il y a maintenant 3 personnes de plus entrain de me regarder. Cela me donne du courage, je me lève, m’enduis le cul de gel, pose le gode gonflable par terre et pompe jusqu’à ce qu’il atteigne 6 cm de diamètre. C’est à cette taille qu’il devient vraiment rigide. En dessous, il se déforme quand on appuis dessus et c’est assez difficile de s’empaler. En me servant du divan pour me tenir, je m’accroupi doucement sur le gode les jambes bien écartées pour que tout le monde puisse voir. Je m’empale doucement dessus devant les yeux grands ouverts des homme et devant la caméra du gérant. Je vais jusqu’au fond et commence des va et vient. Je sent mon cul dilaté mais capable de plus. Je donne deux ou trois coups de pompe tout en continuant mes aller-retours sur le gode. Je gonfle encore et encore jusqu’à ce que je sente que je suis à la limite acceptable. Là je continu à m’enculer de plus en plus vite. Le plaisir monte, part des pieds, longe les jambes, arrive à mon ventre qui se crispe et fini dans mon cerveau qui explose. Un grand et unique jet de sperme sort de mon sexe. Je ralenti le rythme de mes va et vient pour m’immobiliser sur le gode au fond de mon cul. Je reste quelques instants comme ça, juste le temps de voir les hommes qui me regardaient jouir un après l’autre. J’ai un peu de regret de ne pas avaler tout ça mais je suis là pour m’exhiber, donc personne ne me touche et je touche personne.
Je me dégage du gode et m’allonge sur le divan. Le gérant me remercie pour le film.— Je vais te faire un DVD tout de suite comme ça tu auras un souvenir.
— Merci beaucoup.Je reste quelques minutes sur le divan pour récupérer lorsque je vois descendre une femme avec la caméra.— Bonjour, je suis Annie, la collaboratrice de Patrick. Il m’a dit de venir filmer, ça ne vous dérange pas?— Pas du tout, mais en ce moment je récupère un peu.C’est une très belle femme, très belle allure, assez grande, mince, belle poitrine apparemment libre de toute contrainte. Elle porte une petite jupe blanche très moulante à mi-cuisse, un chemisier bleu pâle assez transparent. Elle vient s’asseoir à côté de moi. Je sent son parfum assez fort mais agréable.— Je peux vous aider à faire quelque chose?— Non, je suis venu pour m’exhiber, donc je reste tout le temps seul, sans aide de quiconque.— Très bien.Nous discutons de choses et d’autres pendant quelques minutes quand je vois que les homme, au nombre de 8 maintenant, commencent à se demander ce qu’ils font ici. Je me lève, prend le gode gonflable et le fixe sur la glace du couloir sans le dégonfler. Je l’enduit de gel, me lubrifie le cul et me met en position. La caméra filme depuis que je me suis levé. Le gode entre doucement dans mon cul. Deux des hommes se déshabillent entièrement, l’un se met un préservatif et lubrifie le cul de l’autre. Il présente son sexe assez gros sur son cul et pousse un grand coup. L’homme se raidi, pousse un petit cri de douleur mais agrippe son enculeur par les fesses en mettant ses bras derrière lui et le maintient en position. L’enculeur pistonne de plus en plus vite ce cul offert. Moi je me concentre sur mon propre cul tout en appréciant le spectacle. Annie ne filme que moi, mais je verrais plus tard que les deux hommes sont filmés sur la glace. Mon cul accepte sans trop de mal cet énorme gode, d’au moins 8 cm de diamètre, et je peux faire des aller-retour pour faire monter le plaisir. Je ne bande que très mollement, après deux éjaculation, mon sexe demande grâce. Je continue néanmoins mes mouvements sur le gode. Je donne un coup de pompe pour voir ce que ça donne, mais je me rend compte que je suis au taquet, je ne peux pas augmenter le diamètre. Mes mouvements sont très lents et les hommes autour de moi sont soit entrain de se masturber, soit entrain de s’enculer à qui mieux mieux. Il y a maintenant 2 couples qui s’enculent. Je me positionne pour que le gode appuie sur ma prostate et je vois mon sexe couler d’un liquide blanchâtre. Annie a relevé sa jupe jusqu’à la taille et se caresse le clitoris tout en me filmant. Le plaisir monte, mon cul est aux anges, je vois des mec s’enfiler et une femme se branler devant moi. J’ai une décharge dans tout le corps et je perd l’équilibre. Je me retrouve sur le sol, le gode toujours dans le cul. Annie s’agenouille à côté de moi et j’ai sa chatte à 20 cm de mon visage. Je vois un clitoris pas très proéminent, de belles lèvres très humides. Je ne résiste pas et j’avance ma tête vers son sexe. Elle ne bouge pas. Je lèche ses lèvres, titille le clitoris avec ma langue. Elle devait être au bord de la jouissance car cela a suffit à la faire partir dans un orgasme très sonore.— C’est le pied, oui, oui, je joui, suce moi encore, encore, bien au fond, aaaaaaah que c’est bon.Elle finit par s’asseoir par terre, les jambes écartées. Tous les hommes sont fous et se battent pour pouvoir voir son sexe ainsi exposé.— Excusez moi, mais c’était plus fort que moi, voir votre chatte si près de ma langue, je n’ai pas pu résister. J’ai failli à ma règle, mais vous êtes tellement belle.— Je crois que je n’attendais que ça. Et comme vous avez pu le voir ou l’entendre, j’ai pris beaucoup de plaisir. Elle se relève, là je peux voir ses fesses somptueuses, se rajuste, récupère la caméra posée par terre et remonte en ondulant des fesses.Je me relève, récupère mes objets et je vais m’asseoir dans ma cabine. Il me reste 25 minutes, juste le temps de récupérer un peu.Tous les hommes se rhabillent et, soit entrent dans une cabine, soit ressortent.A la fin de la projection, Patrick me remet un DVD.— Il y a tout dessus, les deux films. Est ce que je pourrais m’en servir comme publicité pour mes films hards?— Je les visionne d’abord en rentrant chez moi et je te fait signe dans la foulée.— Attend, je crois que je doit te rembourser car le spectacle était super, Annie a bien apprécié, comme moi.— Pas question de me rembourser. Je me suis fait moi aussi très plaisir et je pense que ça valait bien le prix que j’ai payé.— Ok ok.Annie vient vers moi et me tend une carte.— C’est la carte du sex-shop.Je regarde la carte, il y a tout les renseignements nécessaires. Je la retourne et je vois, écrit à la main, un numéro de téléphone. Je regarde Annie, elle me sourit et je comprend que c’est le sien. Je quitte le sex-shop, visionne le DVD une fois arrivé chez moi. On ne peut pas me reconnaître, je donne donc mon accord à Patrick pour ses pubs.
J’ai téléphoné à Annie, on s’est revu.
Mais ceci est une autre histoire.
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