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SexClub ZoneX de Toulon

Chapitre 1

Gay
Comment vous raconter cette petite péripétie. C’est en discutant sur coco, un site web bien connue, qu’un homme de 60 ans m’a informé qu’il existait un sex-shop gay sur Toulon. Intrigué, intéressé, il me donna l’adresse. Pourquoi pas cet après-midi ? 14h30, après mes ablutions, me voilà parti pour cet endroit. A pied, ce n’est qu’à 500 mètres de chez moi. J’arrive dans une petite rue. Pas d’enseigne blafarde, juste un écriteau discret. J’entre.
— Bonsoir, c’est pour quoi? me dit le patron.
— Accès aux salles.
— C’est 10 euros, temps illimité jusque 19h00. Vestiaire ?
— Oui, s’il vous plait.
Il me tend un bracelet-pochette avec cadenas et clé et m’indique une porte.
— C’est par là. Vous avez des tubes de lubrifiant et des capotes en libre-service.
Je prends une bonne poignée de gel et je pousse la porte,Ne connaissant pas l’endroit, je demande mon chemin. Les vestiaires sont en face. Je prends un caisson et me déshabille. Je ressors complètement nue et je vais visiter les lieux. Des écrans projettent des films X de Trans et de mecs en train de se sodomiser ou de sucer. Je descends un escalier. A ma gauche une petite salle TV ou deux vieux mecs se sucent en 69. Au fond un large tréteau en bois recouvert de cuir. Je décide de m’y installer, ventre dessus et cul offert. Je n’ai pas dû attendre 10mn pour que je sente des mains parcourir mes fesses, mon sexe.
— Que veux-tu ? Me dit un homme.
— Ton sperme dans mon cul.
Il s’agenouille et commence un savant anulingus. Je bouge des fesses. Une petite claque sur mon cul et je sens un liquide gluant se déversé sur mon anus. Du gel ? Certainement, j’apprécie son geste prévenant. Puis il met son gland sur ma rosette. Il pousse et se fraie un chemin. Que c’est bon... Il me lime pendant dix minutes. Il Sort de mon cul et vient me faire sucer sa tige, puis retourne me besogner, non sans avoir remis du gel au plus profond de mon conduit. Je jouis comme jamais. Il se vide en moi. Comme un goujat, il se retire et se barre. Je suis là, le cul plein de sperme. Je cherche à me relever quand je sens une deuxième bite qui commencer à me forcer l’entrée. Je reste allongé sur le ventre, ne voyant pas mon enculeur. Il est mieux membré que le précédent, mais moins endurant. Au bout de cinq allers-retours, il décharge une quantité impressionnante de sperme. Il se casse, comme le précédant. Je n’ai pas eu ce que je voulais : Une bonne dose de sperme. je quitte mon tréteau. Le jus coule entre mes fesses. Je remonte et j’aperçois un escalier en colimaçon qui monte à l’étage. Il mène à deux pièces. La première est équipée d’une table gynécologique, La seconde d’un « sling ». Je m’installe sur la table et je regarde le film diffusé sur un écran plat. Trois mecs à la mine patibulaire se ramènent autour de moi. Ils me caressent. L’un d’entre eux veut m’embrasser.
— Je n’embrasse pas, je me fait baiser, c’est tout.
Il n’insiste pas. Ils sont plutôt bien membrés. Le premier casse un tube de lubrifiant et m’en badigeonne tout le corps. Le second, plus entreprenant, m’enduit l’anus et enfonce trois doigts, puis quatre. Il me matte d’un regard lubrique. Le troisième, me tourne la tête pour m’introduire sa queue dans ma bouche. Le deuxième retire ses doigts et introduit, sans précaution, son vît. Il me besogne sans ménagement.
— Regardez-moi cette salope, elle aime ça !!! Putain, qu’elle est bonne, elle a son cul bien ouvert.
La jouissance me gagne. Je me cambre sous ses coups de boutoir.
— La vache je viens… Dit-il.
Je sens de longue giclée de sperme m’inonder mon séant. Il se retire. Le premier prend sa place et m’encule profondément. Il est plus épais et plus long que le second. Il y va de toutes ses forces, ressortant sa bite à chaque aller-retour. Il transpire comme un porc et lâche sa purée au bout de 10mn. Le troisième, éjacule sur mon visage et sur ma poitrine. J’ai eu ce que je voulais. Une inondation de sperme. Ils repartent sans en demander plus. Je me relève, titubant, ne sachant plus où je suis. Une main forte me saisit, me fait mettre à quatre pattes. Je ne l’ai pas vu arriver. Il me prend comme un sauvage. Pendant un quart d’heure, il me lime mon fondement, sans aucune retenue. Je jouis. Puis il éjacule au plus profond de mon cul, sur mon dos et mes fesses. Sans demander son reste, il me laisse là. Je suis inerte. Je reprends mes esprits et me dirige vers les douches. Je me lave et reprends mes vêtements. J’essaies de marcher normalement mais j’ai le cul cassé. Je repasse par l’accueil et le patron me dit :— J’espère vous revoir.
— Oui très certainement...
— Il y a une soirée vendredi...
— Quel en est le thème ?
— Soirée cassage de cul, vous me semblez apprécier. Dit-il en regardant son moniteur d’ordinateur. On peut me voir me faire défoncer le cul sur le tréteau.
— Je veux des litres de sperme dans mon cul...

— Je peux vous garantir que vous aurez ce que vous attendez...
Je n’y suis pas retourné le vendredi suivant. Je n’y suis pas retourné de toute la semaine. Était-ce de la frustration. Certainement. J’y ai trouvé de la jouissance, mais il me manquait quelque chose. J’avais envie de me faire remplir comme une outre. Me sentir rempli par des litres de sperme. Le Samedi suivant j’y suis retourné. Ils organisaient une soirée de 20h00 à 02h00. Je me suis bien préparé. Lavement, graissage avec les tubes qu’il me resté. Habillé très légers. Tee-shirt blanc et short en jean très court. Le patron me reconnut.
— Bonsoir. Vestiaire ?
— Oui, il y a du monde ?
— Pas encore, vous avez le temps de vous mettre à l’aise et de vous préparer. Au fait, j’ai une clé USB avec vos performances de l’autre jour. Tenez c’est cadeau. Vous me ramènerez la clé une autre fois.
Je paie les 20 euros exigés pour ce genre de soirée, je prends une bonne vingtaine de tube de lubrifiant et me dirige vers les vestiaires. Ils sont tous vides. Je prends le moins défoncés. J’y dépose short, tee-shirt, et sandales. Je vais vers les douches. Il fait plus chaud que la dernière fois. L’eau à bonne température, je me glisse dessous. Que c’est bon. Je me sèche à l’aide du sèche-cheveux. Puis il me vient une idée farfelue. M’oindre le corps d’huile. Je casse 10 petits tubes et m’en passe de partout. Le ventre, les jambes, les bras, le sexe, sans oublier l’anus et l’intérieur de mon petit conduit anal. C’est ainsi préparé que je rejoins le tréteau, au 1er sous-sol. Je m’y installe. Que le spectacle commence ….
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