Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 155 J'aime
  • 10 Commentaires

Sexe o[g]ra[a]l

Chapitre 1

La rencontre

Hétéro
Ceci est ma première nouvelle (prévue en trois chapitres), soyez indulgents, la mise en place du contexte est un peu longue, mais ça va devenir de plus en plus chaud pour le protagoniste.
—-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------— hentai facesitting.
C’est la recherche par défaut qu’effectuait Sylvain quand il se mettait sur son ordi et qu’il manquait d’inspiration.Bien planqué dans son grenier, la bonne excuse de la visioconférence pour être tranquille et que sa femme ne vienne pas le déranger, et c’est parti pour 10 minutes de branlette hygiénique.Cette recherche basique le menait généralement sur des vidéos de quelques minutes où des nymphettes numériques tortillaient du fessier devant l’écran, avec une définition plus ou moins convaincante, mais ça lui donnait une base de random pour démarrer une recherche plus élargie en cliquant ensuite sur des vignettes au hasard et se laisser surprendre par les recommandations de l’algorithme, il aimait être surpris.
Ca finissait souvent dans la rubrique "Oral sex", entre soixante-neuf lesbiens et dominatrices en latex qui donnaient leurs talons aiguilles à lécher.Sylvain avait des goûts orientés en matière de porno, le soixante-neuf et le facesitting étaient ses excitants favoris, sous différentes variations, il adorait le cunnilingus. Sa femme un peu moins, mais elle le laissait faire. Tant que ça ne durait pas des heures...
Est-ce cette frustration qui a exacerbé un intérêt paradoxal pour cette pratique ? Toujours est-il qu’à force de faire la même recherche en commençant ses séances masturbatoires, il s’est habitué à faire venir son érection sur des images de clitoris se faisant sucer.
Ca en devenait une vraie obsession.
— Cheri, tu fais quoi ??
La voix de sa femme qui traverse la porte lui indique une proximité dangereuse, elle est sans doute déjà au milieu de l’escalier. Il remonte son pantalon qui était descendu aux chevilles, boucle la ceinture rapidement et balance deux doigts sur son clavier pour fermer l’onglet en mode Navigation privée de son navigateur.Et merde, il voit son érection fondre rapidement alors qu’il commençait tout juste à haleter devant sa vidéo, un gros plan intitulé "Wet pussy licking closeup", il faut savoir être concis et efficace dans le monde impitoyable du titre de vidéo porno. La porte s’ouvre sur Josy, la femme de Sylvain, cheveux châtains tirés en queue-de-cheval, un nez mutin entre deux beaux yeux bleu très clair, c’est ce qui l’avait séduit chez elle.
— Quand tu auras fini, tu pourras sortir le linge de la machine ? Je dois aller faire des courses, j’en ai pour deux heures.
Ca voulait dire trois ou quatre, autant dire qu’il allait se retrouver seul l’après-midi entière. Les deux petits monstres étant en stage chez papi et mamie à presque cent bornes d’ici pour le reste de la semaine. Ca lui laissait du temps pour s’organiser une branlette royale un peu plus avancée que ce qu’il s’apprêtait à faire.

— Pas de soucis, je le ferai, bonne après’m.

Quand sa femme claque la porte, il sort sur le balcon pour fumer une cigarette et se demander comment mettre à profit cette après-midi où il n’avait rien prévu de faire si ce n’est s’adonner à quelques plaisirs solitaires pour soulager une tension sexuelle prégnante ces jours-ci ?
Ce n’est pas qu’il était en froid avec Josy, elle est gentille, mais chaque rapport sexuel semblait être une épreuve pour elle, et comme Sylvain l’aimait bien toujours, il ne voulait pas lui infliger un moment qu’elle ressentait de manière désagréable.
En fait ce qu’il lui faudrait, c’est une maîtresse, un bon plan cul comme disent les jeunes, une fille pas trop chiante et qui accepte de le recevoir discrètement seulement quelques heures dans la semaine.
Il écrase son mégot en secouant la tête.N’importe quoi, faut arrêter de rêver, ça n’existe... Et, mais pourquoi pas au fond, Internet est là pour ça, pour trouver ce qui n’existe pas.Il s’installe devant son ordi et commence à pianoter, des recherches qui concernent les mots "rencontres", "extra-conjugal", "discret", "non-vénal", mais aussi "cunnilingus", "préliminaires", "plaisirs oraux", c’est comme un automatisme issu de ses réflexes de recherche pornos, et au fond, tant qu’à chercher l’impossible, autant être précis.
De fil en aiguille, son navigateur l’oriente invariablement vers des sites de rencontres, Gleeden, Meetic et d’autres. Il passe quelques questionnaires, mais ne s’arrête pas là.Il laisse quelques annonces sur d’autres sites et envoie des messages à toutes les femmes qui ont laissé de leur côté une annonce qui pourrait être prometteuse. Il cherche l’amazone infidèle friande de cunnilingus, surtout pas une célibataire, il vaut mieux éviter les ennuis, ce qu’il cherche, c’est un plan cul, pas une nouvelle relation.

Il répondait à ses premières touches quand il entend la porte d’entrée carillonner, sa femme vient de rentrer, un coup d’œil à la pendule sur l’écran, trois heures avaient passé en un clin d’œil et il ne s’était finalement même pas masturbé, trop occupé à trier et filtrer les centaines de petites annonces qu’il a épluchées pendant l’après-midi. Et merde, le linge dans la machine !!Il se dépêche de fermer tous ses onglets, son ordi, simuler une sieste sur le gros fauteuil et descend aider sa femme à rentrer les courses.
Il avait établi le contact avec trois femmes au profil intéressant, délaissant les prostituées aguicheuses, les folles dingues inquiétantes et les brouteurs africains. L’une d’elles lui avait donné rendez-vous pour le lendemain matin, quand son époux sera au travail, dans un café près de chez elle, pour ne pas donner son adresse à un inconnu.La deuxième avait besoin de quelques jours pour s’organiser ou était d’accord pour un hôtel, à condition que ce soit Sylvain qui paye.Et la troisième était super excitée à l’idée de tromper son fiancé et débitait des insanités censées l’exciter, son discours était confus, peut-être le lendemain, elle se sera calmée et ils pourront discuter d’un rendez-vous. Mais ça sentait le plan foireux quelque part. A tenter quand même tout en restant prudent, se décide-t-il tout en embrassant sa femme. Il s’extasie devant le petit haut qu’elle a choisi, mais qui ressemble tellement aux 10 autres dans son placard...
Le lendemain, sa motivation n’était pas retombée, Sylvain se prépare fébrilement à ce qui devait être sa première expérience extra-conjugale depuis son mariage.Il n’en revenait pas de la facilité avec laquelle il avait admis cette idée, peut-être parce que sa libido était la seule maîtresse de sa volonté depuis quelque temps.Il devait donc rencontrer cette Audrey à ce café aujourd’hui, mariée et apparemment revancharde envers son mari, ses courts échanges avec elle montraient clairement qu’elle voulait se venger d’une infidélité de son mari toujours pas digéré. Pourquoi pas, Sylvain avait beaucoup d’espoir dans ce premier rendez-vous qui correspondait exactement à sa recherche.
Mais elle ne vint pas, et resta muette aux notifications qu’il essaya de lui faire parvenir.Enervé d’avoir attendu près d’une heure en vain, Sylvain se défoule sur les suivantes, Virginie, la femme qui a du mal à organiser son planning lui confirme contre toute attente un rendez-vous chez elle pour le lendemain. Et Nathalie, l’excitée du sexto se révèle encore plus chaude que la veille, elle proposait d’aller plus loin, de faire venir des copains pour un gang-bang... Ca en devient trop suspect, surtout qu’il n’a toujours pas réussi à fixer une date pour la rencontrer... Il laisse tomber celle-ci.
Virginie le laissera perplexe devant une adresse introuvable, entre un vieux commerce fermé qui devait être un bar et une laverie automatique, il n’eut plus jamais de nouvelles.Bien d’autres rendez-vous s’organiseront, mais aucun d’eux n’aboutit. Et cela demande un temps considérable pour filtrer et rechercher des contacts...
Il a presque fini par se convaincre que c’est une mauvaise idée quand il reçoit une étrange réponse sur la messagerie qu’il avait créée pour cette activité de recherche.
8 rue de Garenne. Vendredi 18h30
Et c’est tout, rien de plus.Ca vient d’un des nombreux sites de petites annonces sur lesquelles il a déposé différents petits cailloux.Sylvain clique sur le lien de l’annonce pour se remémorer en quels termes il l’avait formulée pour obtenir ce genre de réponse, il avait tenté plusieurs variations pour ratisser le plus large possible.
Cherche relation discrète - Cunnilinguiste éclairé met à votre disposition sa langue et son talent pour votre seul plaisir. Discrétion demandée et assurée, etc.
OK, donc au moins il sait ce qu’elle attend de lui. Mais il aurait aimé en savoir un peu plus, engager une conversation de séduction, même sommaire, histoire de se mettre en jambes.Il clique donc sur Répondre pour engager la discussion et se rassurer, c’est peut-être juste un petit con qui veut "taper du pervers" derrière une barre d’immeuble... Mais non, il a vérifié l’adresse sur Google Maps en mode StreetView, quartier résidentiel, immeuble bourgeois trois étages. Vu comme il est parti sur un style ampoulé dans l’annonce, il allait continuer dans la même veine, ça lui avait réussi jusque-là.Bonjour chère demoiselle, madame ? Pourrais-je en savoir plus sur vous ? Par politesse, laissez-moi me présenter, blablabla...Une vraie lettre de gentleman. Il envoie sa réponse et attend fébrilement la réponse... Attente qu’il prolonge encore une heure à surfer au hasard sur internet quand une notification de réponse apparaît à l’écran.
Sois bien rasé, j’ai horreur quand ça pique. Emilie.
Sylvain reste stupéfait quelques minutes devant cet email laconique. Bon il a un prénom, c’est déjà ça, mais le ton péremptoire le refroidit un peu. Doit-il accepter d’obéir ainsi à cette injonction dépourvue de tout effort d’empathie ? Bon il cherchait un plan cul, il ne connaît pas trop ce milieu ni ses pratiques, si ça se trouve, ça se passe comme ça, on va au plus direct et basta.Sa décision fut facile à prendre et le lendemain après son travail, rasé de près, il régla son GPS vers l’adresse qu’il n’avait pas eu besoin de noter pour s’en rappeler.Le même immeuble cossu qu’aperçu sur StreetView, fin XIXe sans doute. Sylvain a un moment de panique en pensant qu’il n’a rien d’autre qu’un prénom, comment trouvera-t-il la bonne sonnette ?Son stress redescend quand il s’approche de la porte d’entrée et voit seulement deux sonnettes, dont la plus haute au nom d’Emilie B.
Il sonne, on lui ouvre.Il gravit les larges marches en bois d’un escalier de maître et finit par accéder au deuxième palier quand une porte s’ouvre.Une femme entre deux âges, peut-être la trentaine, rousse ou blonde, difficile à dire dans la pénombre du couloir, elle le scrute un moment puis lui fait signe d’entrer.Elle porte une chemise blanche et une jupette bleue à motifs floraux qui s’arrête juste sous le genou.Il passe le pas de porte et referme derrière lui. Sylvain s’était attendu à devoir réagir vite selon la situation, il a une bonne aptitude à évaluer les gens sur leur allure, il se flatte d’un instinct à reconnaître les gens ; et là tous les voyants affichent vert. Cette femme est tout simplement magnifique. La lumière provenant du salon met en valeur les yeux verts et les taches de rousseur, elle fait un sourire poli, mais expéditif.
Elle pouvait lui demander ce qu’elle voulait, Sylvain était prêt à tout, la situation devient irréelle... Et elle l’avait fait venir pour un motif clairement sexuel ? Il n’en revenait pas que ça lui arrive à lui.
— Déshabille-toi et viens par ici.
Sa voix est rauque, mais encore juvénile, peut-être attaquée par la nicotine. Il retire sa veste et avance d’un pas.Le téléphone se met à sonner, les badineries de Bach, elle ramasse son portable sur la table et répond sans plus se soucier de lui :
— Emilie, j’écoute...
Ah salut Sophe, ça roule ma poule ?
La conversation semble anodine et Sylvain se tortille sur place en attendant qu’elle mette fin à ce qui ne semble pas si important vu la teneur des propos.
— Sans blague, quel con ce mec, tu m’excuseras, mais déjà la dernière fois au mariage de ta sœur, il était vraiment pas correct...
Elle semblait vraiment partie pour préférer cette discussion téléphonique avec son amie à la perspective qui avait fait venir Sylvain en ce lieu. Il commence à redouter un fatidique "Une autre fois" qui l’aurait renvoyé dans ses pénates, le bon vieux coup de fil de la copine au moment fatidique pour donner la bonne excuse si le plan cul est moche et qu’il faut l’éconduire poliment, il aurait du le voir venir... Si ça se trouve, il n’y a même pas de copine, juste un rappel automatique qu’elle a programmé juste avant qu’il n’arrive.Emilie s’assoit au milieu de son canapé en cuir recouvert de petites couvertures. Elle continue sa discussion anodine en prenant ses aises, jambes ouvertes, elle laisse retomber sa tête sur le dossier et semble soudain apercevoir Sylvain du coin de l’œil.Elle le fixe, écarte les jambes et relève sa jupe, un geste du doigt vers son entrejambe et elle reprend sa discussion :
— Arrête ça, l’autre jour, j’ai vu la même chez Zara, tu imagines ? Et cette conne de Sandra qui l’avait payé 2000 balles...
Les pensées fusent dans le crâne de Sylvain, il ne voyait pas ça comme ça, mais au fond, il était la pour ça.Il s’agenouille entre les genoux de la jolie rousse, elle ne porte pas de culotte.Son sexe encore caché dans ses grandes lèvres fermées exhale un parfum enivrant. Le mont de Vénus est bombé et légèrement moite, elle est épilée intégralement.Sylvain déglutit machinalement à la promesse du festin. Il approche doucement son visage jusqu’à frôler de ses oreilles les cuisses blanches d’Emilie.Celle-ci fait un mouvement de bassin pour s’avancer au bord du canapé et écarte un peu plus ses cuisses, ses grandes lèvres s’entrebâillent sur l’entrée suintante de son vagin, Sylvain ne résiste plus et se jette langue en avant à l’assaut de cette splendide chatte.
Comme en transe, Sylvain donne tout. Il se régale de cette vulve suintant un jus clair et vaguement sucré. Sa langue tourne autour du clitoris, s’humectant en revenant à la source de temps en temps. Conscient de la chance incroyable qu’il a de se retrouver là, à lécher la chatte d’une aussi belle femme, il déploie tout son talent pour lui donner un maximum de plaisir, avec un peu de chances, cette expérience pourra se réitérer.
Emilie semble réceptive et parle de moins en moins à son amie qui n’était finalement pas si imaginaire que ça.A un moment où Sylvain fait coulisser doucement le clitoris dans un pli de sa langue, Emilie se tait pour profiter de l’instant, visiblement, ses yeux se ferment et le seul son qu’on entendait était la voix de "Sophe" à l’autre bout du fil qui racontait sa vie :
— Je t’avais dit que ce connard est rentré du taf à 22h mercredi dernier, le jour de notre anniversaire de rencontre, et quand je lui ai dit sa seule réaction a été de vouloir me sauter, nan, mais t’imagines le level de connarditude, hi hi, ça se dit, ça ?...
Quand Emilie lui passe la main derrière la tête, il croit à un début de geste tendre, mais elle lui saisit les cheveux pour presser son visage contre son sexe, elle dirige la manoeuvre pour accentuer le travail de Sylvain sur tel ou tel côté. Puis clairement, elle lui fait comprendre qu’il doit enfoncer sa langue au plus profond de sa vulve, ce qu’il fit avec application, se délectant d’une cyprine abondante au goût si particulier.Tandis que sa correspondante téléphonique continue de débiter des banalités, Emilie se met le dos de la main devant la bouche en pressant encore plus fort à l’arrière du crâne de Sylvain.Quelques convulsions vaginales lui confirment qu’elle a un orgasme. Puis elle reprend sa conversation comme si de rien n’était.
— Ouais non, je fais rien ce soir, j’avais prévu de me mater Koh Lanta après une bonne détente... On se verra demain, c’est ça...
Ses mains caressent maintenant distraitement le sommet de la tête de Sylvain tandis qu’il léchouille plus calmement l’entrée du vagin pour récupérer toutes les sécrétions. Elle raccroche et repousse Sylvain du pied avant de rabattre sa jupe.
— Tu sais y faire, maintenant file, j’ai envie de prendre un bain.
Et sans autre formule de politesse, elle se lève et part dans la pièce du fond, apparemment la salle de bain.Confus, Sylvain s’essuie le côté de la bouche d’un revers de manche, il peut encore sentir les effluves vaginaux de cette femme sécher autour de sa bouche.Il n’imaginait pas ça comme ça, mais à quoi s’attendait-il au juste ? Peut-être une fellation en retour, un enchaînement sur un coït, enfin un rapport sexuel quoi !Mais les termes de son annonce ne lui permettaient aucune défense, il avait fait des promesses dans le style "Votre plaisir d’abord", il devait assumer, quitte à se faire renvoyer frustré ensuite. Au fond, il a eu ce qu’il voulait, il s’est régalé et ne regrette rien. Cette chatte était délicieuse, le parfum suave de ce qui sèche autour de sa bouche l’enivre encore. Il prend sa veste et sort de l’appartement.
Diffuse en direct !
Regarder son live