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Sexe o[g]ra[a]l

Chapitre 2

addict

Trash
Plusieurs jours passent avant qu’il n’ait des nouvelles de cette femme. Dès le lendemain, il essaye de la recontacter mais il n’a que cette adresse email. Il tente, tantôt bref et concis, par mimétisme, puis se fend d’une lettre plus travaillée le lendemain, mais elle ne répond plus.Un coup d’un soir ou plutôt d’une heure en l’occurrence, qui n’a que peu de chances de se reproduire, se dit-il. Il a été marqué plus qu’il ne le pense. Le soir, il rêve de cette chatte merveilleuse, rose et tendre, il se rappelle le clitoris bien caché sous un gros capuchon qui se déployait sur un bon centimètre une fois bien excité. Il lui arrive le matin de se réveiller avec en bouche le goût caramélisé de sa cyprine et avec une érection matinale incroyable.Puis soudain :
— Ce soir 20h chez moi. E.
Sylvain réfléchit à toute vitesse, il ne peut pas ne pas y aller: 20 heures, c’est un peu tard. Il faut qu’il sorte une excuse à sa femme, mais ça ira. Il vérifie son rasage et termine sa journée tranquillement, un problème client sert de bon prétexte pour son épouse et il se retrouve sans avoir préparé ce qu’il allait dire, devant l’immeuble imposant où vit Emilie.Il sonne et grimpe les marches deux à deux.La porte est entrouverte, Sylvain entre en toquant rapidement. Emilie apparaît devant lui, elle porte une longue robe de soirée rouge avec de gros boutons sur tout le côté jusqu’au-dessus des hanches. Aucun n’est attaché, ce qui confère à sa démarche féline une irrésistible attraction et Sylvain ne peut détacher ses yeux de la cuisse pâle qui jaillit de la robe à chaque pas. Elle ne porte toujours pas de culotte, il en a la confirmation rapidement.C’est le souffle coupé qu’il la regarde enfin dans les yeux, abasourdi par le ton énergique qu’elle emploie.
— J’aurais dû te dire de venir un peu plus tôt, va falloir faire vite. Tony passe me prendre dans moins une heure et tu ne dois plus être là.
Sans attendre de réponse, elle l’entraîne vers une chambre, la sienne à n’en pas douter, le mobilier est élégant et raffiné. Elle retrousse sa robe jusqu’aux hanches, dévoilant son popotin tout blanc et s’installe à quatre pattes sur le large lit au style sobre par rapport au reste de la pièce. Elle se cambre un peu plus et baisse les épaules dans une pose très indécente et ordonne:
— Lèche-moi! Ce soir, je sors avec un homme, disons bien pourvu. Je ne voudrais pas qu’il me déchire, alors tu vas faire un travail d’assouplissement pour que ça se passe bien. Vas-y, lèche bien et n’hésite pas à étirer les muqueuses...
Sylvain se débarrasse de sa veste et vient se positionner derrière le fessier majestueux. Il commence par de doux baisers sur les grandes lèvres, mais elle le tance immédiatement.
— Vas-y, chipote pas, lèche-moi fort... Et lèche-moi le cul aussi.
Comme ça, les choses sont claires. Il n’a jamais pratiqué l’anulingus, mais il est curieux et cela fait partie de ce que lui proposait Pornhub depuis longtemps déjà. Il passe sa langue en pressant fort depuis l’intérieur de la fente vaginale jusqu’à l’anus sans hésiter. Il détecte un petit goût âcre et salé, mais pas désagréable. Sa langue fait quelques ronds autour de l’orifice étoilé, puis encouragé par les mouvements du bassin de la belle rousse, il essaye de forcer le passage avec sa langue, mais ça résiste trop pour l’instant. Il tente de glisser un doigt, mais se fait reprendre vertement.
— Tu vas où ? Ta langue, c’est tout ce que tu as le droit d’utiliser, c’est compris ? Allez continue, t’es sur la bonne voie.
Et donc il continue, s’évertuant à tourner sa langue dans tous les sens pour assouplir le vagin et les muscles anaux d’une demoiselle pour qu’elle se fasse défoncer par un autre plus tard.A un moment, il prend conscience de la situation absolument humiliante dans laquelle il est, mais il ne voit aucune réaction de sa part qui pourrait le sortir de là sans augmenter encore plus son humiliation. Au bout de quelques tentatives, il parvient à franchir le sphincter du bout de la langue, celui-ci palpite quelques secondes puis se lâche complètement. Il peut alors s’enfoncer aussi profondément que lui permet sa courte langue dans le rectum de la belle rousse.
— Ahhh ! C’est bon, continue, je t’interdis de t’arrêter. Ahhhh ouiiiii... mmmmmm
Elle prend un plaisir visible à cette exploration intime et le menton de Sylvain trempe entre les deux lèvres gorgées de cyprine. Il doit parfois s’interrompre pour aspirer le surplus avant de replonger, la langue gluante, au fond des entrailles d’Emilie.Puis elle ralentit ses halètements et commence à remuer un peu sur place.
— Allez ça va comme ça, essuie bien tout, je voudrais pas tacher ma robe... Et puis tu dégages.
Encore une fois, Sylvain prend cette frustration comme une gifle. Elle va de nouveau le laisser repartir sans aucune contrepartie. Elle s’en est servi comme d’un vulgaire assouplisseur de muqueuses, une courgette aurait fait le même job.Il se demande un instant s’il doit discuter son ordre, histoire de la remettre à sa place, ou simplement discuter entre gens civilisés. Mais il hésite trop longtemps, il ne veut pas compromettre une chance de la revoir encore, malgré la façon dont elle le traite. Elle ne lui a pas demandé son avis pour lui faire lécher son cul tout en lui indiquant bien son rôle de sous-merde bonne à préparer l’anus de madame pour la sodomie de monsieur.Et pourtant, il ne veut rien dire qui risque de la froisser et de compromettre la possibilité de glisser à nouveau sa langue dans cette chatte lisse et moite.Elle reboutonne sa robe et le hèle un instant avant qu’il ne quitte l’appartement.
— Tu me donneras ton 06, c’est chiant les e-mails.
Il lui envoie son numéro de téléphone le soir même.Il ne sait plus trop quoi penser d’elle. Elle le prend pour quoi en fin de compte ?Pourtant, il n’arrive même pas à envisager de mettre un terme à cette relation malsaine. Il a joui. Sans même se toucher, sa verge est restée tout ce temps bien sagement dans son slip, et pourtant, il a joui, juste en léchant le cul d’Emilie. Les mouvements réguliers de sa langue à l’intérieur du sphincter ont agi comme une masturbation de sa langue, nouvelle zone érogène, et les doigts poisseux qu’il retire de son pantalon confirment bien qu’il y a eu éjaculation.Il est comme un ado devant son téléphone toute la journée du lendemain et du surlendemain, ce n’est qu’au bout du 3eme jour qu’un sms "chez moi 17h, E.", lui rend sa joie de vivre.Il se prépare en hâte, sort un prétexte bidon au stagiaire dont il avait la garde jusqu’à 18h et fonce vers la rue de Garenne qu’il commence à bien connaître. Elle ouvre la porte et c’est à chaque fois le même émerveillement pour Sylvain quand il croise ses beaux yeux verts. Elle met un doigt sur ses lèvres et fait :
— Absolument, je vous enverrai les dossiers demain.
Il remarque alors les air pods dans ses fines oreilles. Elle discute avec quelqu’un d’autre, mais fait signe à Sylvain de la suivre au salon. Ca devient une habitude, elle n’a pas de culotte, ni de jupe d’ailleurs: aujourd’hui, elle est fesses à l’air, mais avec un chemisier strict sur le buste, un maquillage discret, mais bien présent adapté à ses fines lunettes rectangulaires et un chignon serré complète un portrait (en buste) de la parfaite business woman.Mais Sylvain ne détache pas son regard du popotin majestueux qui se balance devant lui. Emilie a un fessier généreux. C’est un cul fier qui bombe le torse et aussi soyeux et chaud qu’un bun de hamburger qui sort du four, les grains de sésame étant représentés par les quelques charmantes taches de rousseur qui en garnissent la partie haute.
Sylvain remarque aussi une rougeur sur une des fesses, comme si elle avait été fessée. Il se demande s’il pourrait se permettre ce geste sur elle sans que ça gâche tout. Elle s’agenouille alors sur un tabouret rembourré de tissu moelleux et pose ses coudes sur la table devant elle, face à un ordinateur portable.Elle coupe son micro et lui jette un regard rapide suivi d’une consigne :
— Reste sous la table et te fais pas voir, sinon je t’arrache les couilles.
Il sait ce qu’il a à faire et s’assoit à même le sol, les jambes autour du tabouret, et il colle sa bouche sur le sexe de la jolie rousse. Il la lèche consciencieusement et sans relâche pendant qu’elle poursuit sa vidéo-conférence. Il comprend qu’elle est responsable commerciale d’un truc qui fait de l’import-export. Peu importe, Sylvain n’écoute pas, son attention est centrée sur ses mouvements de langue, ses digressions vers l’anus, zone dont elle semble apprécier la stimulation, mais il est difficile d’en être sûr, tant elle réussit à rester impassible devant son écran.Elle se permettra juste un petit "Un instant s’il vous plaît" pour couper la caméra et s’affaler sur la table en se cambrant. Elle se soulage d’un gémissement pour lâcher tout le plaisir qu’elle a accumulé avant de redresser son buste et de rallumer la webcam.
— Désolée, une livraison, je suis à vous.
A la fin de sa conf-call, elle pose ses écouteurs et se retourne sur son tabouret, lui présentant son sexe humide :
— allez, finis-moi et va-t’en.
Ce qu’il fait avec reconnaissance.

Emilie occupe ses journées et hante ses nuits. Il n’ose même plus embrasser Josy de peur qu’elle ne renifle quelques odeurs suspectes. Il a beau se laver le visage à grandes eaux après ses passages chez elle, il a l’impression de porter son odeur vaginale sur son visage en permanence.Les semaines qui suivent sont plus chaotiques, de temps en temps, elle lui laisse un SMS. Heureusement qu’elle ne s’immisce pas plus en appelant directement, il ne sait pas s’il pourrait cacher ça très longtemps à sa femme...Car il répond presque toujours dans la minute, se dérobant parfois une heure en douce de son bureau. Merci à son travail plutôt autonome de gestionnaire de système informatique. Ca permet d’avoir des trous dans la raquette de l’emploi du temps, du moment que le job est fait, tout va bien.
Et il va la retrouver pour la lécher. Elle est très friande de ses cunnilingus et les exige avec l’insistance d’une enfant gâtée. Un jour, elle le fait venir à 13h: elle a envie de voir le match Federer - Djokovic en se faisant lécher. Ca dure cinq sets sur quatre heures avant que le Suisse ne l’emporte. Il finit la mâchoire engourdie et la langue paralysée. Et pendant ces quatre heures, il reste à genoux sur un petit coussin, passe et repasse sa langue dans tous les recoins de son intimité odorante.Il fait chaud ce jour-là et Emilie  commence à suer de partout à force de rester au bord de la jouissance pendant tout ce temps. Son sexe est devenu encore plus moite que d’habitude et elle est en retard de quelques jours sur son épilation. Les quelques poils roux qui parsèment son pubis commencent à sentir fort, mais peu importe à Sylvain qui, sans hésiter, suçote, aspire, masse du plat de la langue ce sexe si hypnotique.
Elle commence à remarquer que ses odeurs corporelles ont un pouvoir paralysant sur cet homme si soumis à son désir, et elle a pris l’habitude de l’appeler après le sport. Tous les mercredis, elle rentre de la salle de sport sans prendre de douche. Il l’attend sur le bord du trottoir et la suit dans l’escalier. L’odeur piquante de sa sueur ôte à Sylvain toute raison et il n’a plus qu’une idée en tête, la lécher pour récupérer à même la peau ce goût salé, et surtout pouvoir s’occuper de son minou recouvert de transpiration, fleurant la macération pubienne de deux heures de footing sur tapis roulant.Il est devenu accro à son goût, et plus il est prononcé, plus Sylvain perd le contrôle de sa volonté. Il a des érections qui en sont presque douloureuses, tellement le sang gonfle ses tissus, mais elle ne le laisse pas se masturber devant elle :
— Range ça, gros dégueulasse, je veux pas voir ta queue, fait-elle sèchement.
Et il referme sa braguette et retourne à sa tâche, surtout qu’elle ne le prive pas de ça.
— Tu pourrais te libérer une soirée ?
Sylvain relève la tête, Emilie se sèche les cheveux à l’aide d’un souffleur bruyant devant le miroir de sa salle de bain, une simple serviette posée sur les épaules, jambes écartées et fesses bien cambrées pour laisser libre accès à l’homme agenouillé entre ses jambes de venir butiner son sexe brûlant.Elle coupe le séchoir pour mieux se faire entendre.
— La préparation que tu m’as faite la dernière fois a bien plu à Tony. Je t’ai déjà parlé de lui, non ? Mais je voudrais que ce soit plus direct cette fois. Samedi, 20h ? Ce mec est un vrai fou, ça peut durer des heures. Prévois la soirée entière.
Et elle rallume son sèche-cheveux pour éviter toute contradiction. Sylvain a abandonné l’idée de discuter ses ordres, il viendra, il ne sait pas encore comment il va expliquer à sa femme une absence d’une soirée entière un samedi soir, mais il viendra.

— L’anniversaire de Jean-Luc ? Et pourquoi t’as dit oui ?
Le front de Josy s’est plissé d’une barre de contrariété quand il lui dit ça. Jean-Luc est un sale con prétentieux qui monopolise toujours la parole pour raconter ses voyages qui sont toujours de grandes aventures. Il sait que Josy a du mal à le supporter.
— Il fait du cochon grillé, ça fait une éternité que j’en ai pas mangé.
Double combo, il sait qu’elle déteste les méchouis.
— Ca te dérange pas si je te laisse y aller tout seul ?
Et voilà, comme une lettre à la poste. Il a réservé sa soirée avec Emilie et son Tony, ou Tonio ?Il se demande bien comment Emilie va encore l’humilier devant son petit copain. Du moment qu’il peut lécher sa chatte, ça vaut le coup de supporter n’importe quelle humiliation.Il se présente avec 15 bonnes minutes d’avance. Elle met du temps à activer l’ouverture de la porte d’entrée massive de la résidence, ce n’était pas bon signe. Il arrive au palier de la belle, elle l’attend, vêtue d’un pyjama en pilou de petite fille.
— J’aurais dû te prévenir pour annuler, déso.
Elle fait la moue deux secondes et ajoute :
— Viens quand même, ça va me détendre.
Il la suit au salon où elle s’affale dans le large canapé en cuir, elle allume la télé et baisse le bas de son pyjama.
— Vas-y, fais durer, je dois me consoler...
Il se cale sur le bras du divan pour laisser tomber sa tête pile au-dessus du pubis, passe ses bras autour de ses cuisses blanches et le voilà installé pour l’honorer de sa langue aussi longtemps qu’elle le voudra.Elle est fraîchement épilée, c’est un plaisir pour Sylvain de venir humer sa peau délicate, un léger parfum de fleur d’oranger, son gel douche probablement. En dessous, on distingue la chaleur suave de son parfum intime naturel. Il glisse irrésistiblement sa langue dardée au fond de la vulve et commence un va-et-vient doux et régulier en s’humectant de salive un peu au fur et à mesure.Elle est plus humide d’habitude, se dit-il.Mais il parvient à faire monter la cyprine après quelques minutes.Emilie reste plutôt impassible malgré les efforts de son larbin. A peine quelques ajustements de bassin ou réglages de la tête pour signifier qu’il doit insister à certains endroits. Puis elle baisse le son de la télé et prend son téléphone.
— Salut Sophe, c’est moi.— ...— Ben non figure-toi que cet abruti a préféré rester chez un pote pour mater le match. Cet idiot a trois cousins à Turin et il croit qu’il ne doit pas rater un match de la Juve... Quel connard...— ...— Ouais... ouais...— ...— Mm mm...— ...— Non ça va, j’ai un jouet pour me consoler.—...— Nan pas celui-là.— ...— T’as envie de l’essayer ? Je peux te le prêter si tu veux...— ...— Evidemment grosse coquine, tu croyais quoi !!? OK je t’attends, à toute...

Elle raccroche.
— Continue, toi.
Et elle remonte le son de la télé.Une vingtaine de minutes plus tard, un petit carillon stressant le fait sursauter alors qu’il essaye de forcer l’anus un peu récalcitrant ce soir du bout de la langue. Ou alors, il commence à fatiguer et n’a plus autant de vigueur pour contracter suffisamment ses muscles linguaux.Emilie se jette sur ses pieds et va ouvrir à sa copine. Elle ne lui a donné aucune indication sur la façon de se tenir ou de se présenter, alors il se lève et essaye de prendre une posture décontractée. Une femme un peu plus jeune qu’Emilie arrive au salon. Elle a l’air jolie, des yeux bleus rieurs, un petit nez retroussé, des cheveux bruns coiffés en queue-de-cheval:
— Bonsoir, Sophie, dit-elle en tendant la main.
Elle a une voix très agréable, haut perchée et arrondie, on dirait la voix d’une enfant. Pourtant deux minuscules rides au coin des yeux trahissent la trentaine passée.
— Te fatigue pas, la coupe Emilie, c’est juste mon lécheur de service, il a pas de conversation.
C’est vrai que Sylvain n’a pas particulièrement brillé par son éloquence depuis qu’il a rencontré la jolie rousse, c’est peut-être le moment de le faire ?
— Si je peux me permettre, je ne demande que...
Il ne peut finir sa phrase, Emilie lui ayant saisi les joues avec une main.
— Mais c’est qu’il utilise sa langue pour autre chose ? Tutututt, allez montre tes talents à ma copine.
Elle s’adresse à son amie:
— Vas-y, assieds-toi et baisse ton pantalon, tu vas aimer. Il sait bien y faire, je m’en suis pas encore lassée.
Sophie hésite un peu et regarde Sylvain pour essayer de flairer un piège ou une mauvaise blague. Il ne sait plus trop où se mettre, il sent que la situation a tendance à lui échapper, mais pour l’instant, il n’y a que du positif, il ne voit aucune raison de refuser de rentrer dans le jeu de la grande rousse. Ca lui va très bien, il est bien parti pour lécher un nouveau sexe féminin ce soir.Sophie lui fait un petit sourire mutin et déboutonne son jean.
— Allez, je suis venue pour voir ça de toute manière.
Sophie porte une large culotte en coton blanc qui ne tient plus trop et glisse en même temps que le pantalon de toile quand elle le retire avant de s’en débarrasser. Elle arbore un vague ticket de métro, plus entretenu depuis quelques semaines apparemment, des grandes lèvres un peu plus charnues et un gros grain de beauté près du périnée.Elle se cale au fond du canapé, jambes grandes ouvertes, pendant qu’Emilie part préparer un thé à la cuisine. Sylvain fait tourner sa langue dans la bouche, comme un sportif qui s’échauffe avant le grand effort. Il descend entre les cuisses et attaque son travail de sape. Il se dégage de son sexe une odeur forte, pas désagréable, mais forte. Une sorte de remugle de fermentation acidulée. Ses poils pubiens soyeux lui chatouillent le nez. Il commence à avoir une bonne technique maintenant et trouve rapidement les mouvements clef qui font décoller la jeune femme. Le point faible est rapidement trouvé : le pli de peau autour du capuchon du clitoris.
— Ah oui, t’avais raison Milie, il sait y faire...— Je te le prête si tu veux.— Mmmm, je dirais bien oui... Ouh, continue comme ça c’est bon... Qu’est-ce que je disais...? Ah, mais non t’es folle, et je fais quoi de Dimitri, il va le démonter si je le ramène à la maison...— Ecoute, je te laisse l’appart ce soir si tu veux, moi je vais en boîte, il faut que je me trouve un mec pour me sauter comme il faut.
Sylvain prend comme un affront qu’elle n’ait même pas pensé à l’envisager pour ça ?Il relève les yeux pour essayer de voir si elle l’a fait exprès pour le vexer ou s’il a juste été friendzoné, en l’occurrence, cunnizoné.Emilie s’est changée pendant qu’il s’occupait de son amie. Elle porte à présent une minijupe noire, un haut rouge échancré, un maquillage outrancier. Si elle veut choper un mec ce soir, elle n’aura aucun mal à ça. Elle le regarde à peine, elle ne l’a juste même pas calculé comme amant potentiel, alors qu’il lui lèche amoureusement la chatte depuis des semaines.Sophie passe distraitement ses doigts dans les cheveux de son lécheur, elle est moins directive qu’Emilie, mais elle a l’air encore plus friande de cunnis.
— Bon d’accord. Je claquerai la porte en partant. Je vais quand même le laisser finir, regarde-le le pauvre, comme il a l’air affamé.— OK. A demain !
Emilie s’en va sans autre forme de politesse. Elle est finalement aussi rude avec lui qu’avec ses propres amies. Le nez dans les poils pubiens, la langue bien au chaud au fond du vagin, il lève les yeux vers sa nouvelle maîtresse d’un soir. Elle est vraiment mignonne cette Sophie, avec son petit nez retroussé, toujours un petit sourire en coin, ses yeux bleus foncés brillent d’un éclat malicieux.
— Tu sais mon mec, il ne me lèche jamais. Emilie a de la chance de t’avoir trouvé, j’aimerai bien un lécheur de service moi aussi...
Sylvain accentue ses mouvements en la fixant du regard pour lui montrer que le plaisir est partagé. Elle n’a pas l’air pressée de partir et laisse doucement monter son propre plaisir pour en profiter le plus longtemps possible.
— Han, c’est trop bon, j’en peux plus, je te laisserai bien me baiser, mais je ne prends pas la pilule en ce moment.
Quel con, se dit Sylvain, s’il avait su. Mais il n’a pas amené de capotes non plus. Pour lui, il était clair qu’il n’avait aucune chance de baiser Emilie. Et il ne se voyait pas fouiller ses affaires pour trouver la cachette des préservatifs.
— Attends, faut que j’aille pisser, dit-elle brusquement.
Elle se lève et fait dandiner son derrière joufflu jusqu’aux toilettes. Elle a un cul un peu plus massu, mais la démarche est plus chaloupée, contemple Sylvain. Il entend le tintement du jet d’urine sur la faïence qui se réduit peu à peu.
— Viens par ici, machin. Comment tu t’appelles au fait ?— Sylvain.— Ouais ben viens là Sylvain, tu vas m’essuyer. Elle te fait ça des fois Milie ?
Sylvain qui est assis sur le côté , vient sans qu’elle ne le lui demande à quatre pattes jusque devant les w.c. Non, elle ne lui a jamais demandé ça, mais nul doute qu’il aurait bien aimé.Elle se redresse et vient s’asseoir sur sa bouche. Les poils dégoulinent de liquide odorant, mais il va les sécher de sa langue un par un.La manœuvre a fait couler un peu d’urine le long des cuisses de la coquine, il va passer sa langue tout du long pour qu’il n’en reste rien. Même l’odeur d’urine finit par disparaître au bout d’un moment tant l’acharnement de Sylvain à passer sa langue l’a remplacée par un mélange de salive et de cyprine. C’est qu’elle commence à mouiller grave la petite Sophie.
Dans le feu de l’action, il descendra sa langue jusque sur l’anus, mais les contractions de son fessier lui indiqueront vite que ce n’est pas ce qu’elle veut.Et la cochonne veut juste qu’on la lèche. Elle finit par s’asseoir si lourdement sur lui, qu’il se retrouve sur le dos, dans l’embrasure de la porte des toilettes. Et elle tenant les montants de la porte se frotte toute la chatte sur son visage en marmonnant des imprécations décousues ; lui n’en finit pas de faire tourner sa langue, de la darder aussi dur qu’il le peut, une érection douloureuse lui déformant le pantalon.
Elle jouit au moins deux fois avant de changer de position et de lui libérer la braguette. Il s’est tellement habitué au comportement égoïste d’Emilie qu’il a un mouvement de surprise quand il sent une poche chaude et humide se former autour de sa bite.Il lèche de plus belle pour l’encourager à continuer. Sophie lâche quelques gouttes de pipi supplémentaires qu’il avale sans même s’en rendre compte. De toute façon, il n’a en bouche que le goût poivré de son vagin qui déborde de sécrétions en tous genres, alors une de plus ou de moins. Il finit par lui éjaculer dans la bouche en soixante-neuf, des étoiles devant les yeux, il n’a jamais joui aussi fort.Sophie se retourne vers lui et lui roule une pelle, son haleine a le goût de son sperme.
— Trop bien, faudra qu’on remette ça un jour...

(Suite et fin bientôt... Keep in touch !)
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