Cette histoire prend forme juste après ‘Le merveilleux Noël de Claudia’. Commençant en janvier, juste après ce Noël. La lecture de cette histoire n’est pas nécessaire à la compréhension de celle ci.
Dans son lit, une jeune femme de trente ans se réveille doucement. Elle passe sa main droite dans ses cheveux noirs ondulés. Elle bâille puis s’étire, amenant ses bras le plus loin possible. Cela fait doucement remuer sa poitrine très volumineuse.Elle récupère son téléphone et regarde l’heure.
— Humm, putain j’me suis réveillé tôt… J’aurais facilement pu dormir encore une heure.
Clémentine se redresse légèrement dans son lit. Elle retire complètement sa couette. Il fait froid en ce début de mois de janvier, mais elle en a besoin pour se réveiller. Elle n’allume pas encore la lumière et reste dans le noir.Doucement, ses jambes s’écartent. Elle sent sa petite chatte se rafraîchir. Sa main gauche vient sur son entrecuisse et elle se caresse un peu. Sa main droite valse tendrement sur ses cuisses. Après quelques douces caresses qui réchauffent son pubis, elles passent à l’action. La gauche va sur un de ses seins, la droite sur sa chatte. Elle se malaxe le sein et caresse son sexe avec des mouvements circulaires.Sa masturbation monte crescendo.Sa main gauche passe d’un sein à l’autre pour un pétrissage plus intense tandis qu’un de ses doigts de sa main droite rentre dans son minou.Puis ce sont ses tétons qui sont titillés alors qu’un deuxième doigt visite sa grotte qui s’est humidifiée.Clémentine se sent bien, mais il lui en faut plus.Elle remonte un de ses gros seins et vient prendre son mamelon et son téton dans sa bouche pour le lécher, le mordiller et l’aspirer.Elle retire ses doigts de sa chatte pour pincer son clitoris.Un ‘Oooh’ sort de sa bouche et des frissons parcourent son corps.Elle passe alors à la dernière partie de sa masturbation. Sa poitrine est lâchée par la main qui remonte pour s’accrocher à la tête du lit tandis qu’elle se doigte énergiquement la chatte avec deux doigts. Les clapotis se font bien entendre dans la chambre d’ou aucun autre bruit ne se fait entendre, enfin presque…
À la fin de son orgasme, elle retire ses doigts et elle sent sortir de sa chatte, sans le voir dans l’obscurité de sa chambre, un jet de cyprine y sortir glorieusement. Un petit ‘poc’ est capté par ses oreilles, quand cette mouille jaillissante tombe sur son drap.
Clémentine a un petit sourire béat sur son visage et souffle un bon coup avant d’allumer lampe de chevet.Elle se contemple doucement, posant sa main droite sur le pubis de son sexe avec ses tout petits poils noirs.
— Il faut que je me rase moi… Allez, Lets’ go !
Elle quitte son lit et se retrouve dans sa salle de bain privé. Une belle pièce avec une baignoire pour pouvoir se coucher dans l’eau. Un de ces grands plaisirs.Elle se regarde dans le miroir et voit sa tête fatiguée.
— Oh la tronche que je j’ai ! Ça ne me réussit pas de manquer de sommeil.
Elle attache ses cheveux noirs en chignon pour libérer son visage et elle commence sa toilette. Elle se nettoie puis se maquille. Ses yeux marrons sont joliment mis en avant. Elle met aussi en valeur ses jolies lèvres pulpeuses avec du gloss. Elle détache ses cheveux puis elle les coiffe bien.Sa chevelure noire, légèrement bouclée, lui arrive aux épaules. Elle s’en occupe pour que les vagues de ses cheveux soit les mieux possibles. Elle se les attache ensuite en une petite queue-de-cheval et garde une mèche sur son front, finissant rangée derrière son oreille droite.Puis elle s’occupe de sa petite chatte. Elle rase tous ces vilains poils qu’elle déteste. Elle aime avoir son pubis tout lisse. Une fois qu’elle est belle comme il faut, elle passe au reste de son corps pour l’habiller.
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Une heure et demie plus tard, Clémentine est assise dans son bureau. Un café à la main, elle allume son ordi pour être prête à sa journée de travail. - Coucou ma chérie !— Claudia. Ça va ?— Ouais et toi.— Moyen. Je me suis réveillé une heure en avance ce matin. J’ai envie de retourner au lit. Les deux meilleures amies, également collègue, se font la bise et commence à discuter tranquillement ensemble. Ces deux femmes, qui il y a encore quelques jours, faisaient énergiquement l’amour devant le mari de la Latina, se parlent comme si rien ne s’est passé entre elles en cet instant présent.
— Tu t’es levé direct ?— Non, je me suis doigté un peu pour me réchauffer, histoire de ne pas perdre mon temps.— Le contraire m’aurait étonné.— C’est là où je t’envie. Toi, si tu te réveilles plus tôt, tu peux directement baiser avec ta bite à domicile.— Il faut qu’il soit aussi réveillé, hein.— Tu ne vas pas me faire croire que tu n’as jamais réveillé monsieur pour finir les jambes en l’air.— Bien sûr que je l’ai déjà fait. Mais je n’en ai pas eu besoin ce matin.— T’as baisé ?— Ouais. Quand je me suis réveillée et il me regardait avec une queue plus dure que jamais.— T’as eu le temps de tout faire ?— Oui, mais ça n’a pas duré longtemps. Excité comme il était, il a été précoce. Cinq minutes pas plus. Mais vraiment intense par contre. Ce genre de grosse baise rapide. Ça tape fort. Tu sais ce moment où il jouit en s’écrasant sur toi en te serrant les seins comme si c’est la dernière fois qu’il les a en main ?— Oh ouais, ce sont parmi les meilleurs ceux-là.— Donc, voilà comment ma journée a commencé.— Mais ça fait au moins une semaine que vous baisez à chaque réveil non ?— Plutôt deux. Depuis notre fameux cadeau, on le fait presque matin midi et soir.— Déjà que vous baisiez beaucoup avant…— Ouais. Tu verrais l’état de ma chatte ! Elle est toute rouge !— Vas-y, fais-moi voir.— Non pas ici. Et puis il fait super froid.— C’est vrai qu’il caille.— Mais je t’enverrais une petite photo ce soir. Je suis sûre que ça va exciter mon mari.— Volontiers. Oh, et en parlant de froid, regarde !
Sur ce, Clémentine relève son pull et dévoile ses deux énormes seins. Mais pas de soutien-gorge. Non, il s’agit de deux bonnets pour la tête qui englobent chaque sein. Claudia ne peut s’empêcher d’écarquiller les yeux et d’arrondir sa bouche de surprise.
— Mais non ! Comment t’as fait ça ?— J’ai galéré pour rentrer me seins dedans, mais j’ai réussi. C’est bien plus chaud qu’un soutif.— Tu me surprendras toujours.
Clem se remet en tenue et les deux femmes continuent de discuter.
— Au fait, j’ai croisé Béatrice de la compta. Il paraît qu’il y a de l’eau dans le gaz entre le patron et sa femme. Dit Clémentine.— Ah ouais ? Pourquoi ?— Elle ne sait pas trop. Peut-être une histoire d’adultère. Mais elle ne sait pas si c’est lui ou elle.— Je ne pense pas qu’il soit du genre infidèle.— Par contre elle…— Ouais, ça ne m’étonnerait pas. On verra bien hein. Bon, je te laisse, je vais rallier mon bureau. Il y a le stagiaire qui arrive aujourd’hui, tu te rappelles ?— Ah oui. Tu l’as ce matin et moi l’aprèm, c’est ça ?— Exact. Allez à plus.— À toute ma belle. Dit Clem.»
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Le midi, elle se retrouve avec Claudia et Nolan à la cantine de l’entreprise. Nolan, c’est le stagiaire. Il est tout maigre, pas très grand et porte des lunettes. Il ne semble pas être un homme avec le plus de confiance en soi. Il est brun et se rase intégralement le visage et possède des yeux bleus qui sont sûrement son plus grand atout. Alors qu’ils se mettent à table, Claudia explique au nouveau où aller chercher l’eau. Le jeune homme part à sa quête.
— Il ne parle pas beaucoup. Dis Clémentine.— Oui, un peu timide. Bon, après, c’est son premier jour.— Il a quel âge ?— Vingt ans.— Ah ouais, c’est un petit jeunot.— Ouais. Une phrase de vieille quand même.— J’avoue. Et dire qu’on avait encore le 2 en premier chiffre de notre âge l’année dernière.— Et oui la trentenaire ça donne un coup de vieux !— Mais on est encore sexy !— Tu m’en diras tant.— Il va manger tout le temps avec nous ? Pas que ça me dérange, mais j’aime te parler de cul moi.— Je ne sais pas. Mais pour son premier jour, Éric veut qu’on ne le lâche pas. Alors lui montrer comment fonctionne la cantine c’est aussi important. Il va y passer tous les jours.— Il est gentil le patron, mais je ne vais quand même pas lui tenir la bite quand il va pisser.— Oui… mais ça ne te dérangerait pas de la lui tenir pour l’aider à se branler.
Les deux femmes rigolent de la plaisanterie. Clem le zieute discrètement.
— À ton avis, puceau ?— Complètement puceau. Réponds Claudia sans aucune hésitation.— C’est ce que je me disais.— Et pas discret. Mais j’aime bien la façon dont il me matte les fesses. Trop mignon.— Ouh, pas bien pour une femme mariée.— Rho ça va, je ne vais pas lui offrir mes fesses non plus.— T’as vu les yeux qu’il a faits quand il a vu mes obus. Trop drôle.— C’est vrai.— Il est un peu empoté. Je veux dire, il ne semble pas être très doué avec les gens. Alors tu imagines avec les filles ?— Je suis d’accord. Mais par contre, il a des yeux magnifiques. Dis Claudia.— Oui. Bleus océan. C’est canon. Ce serait son meilleur atout s’il n’avait pas un balai dans le cul.— Hummpf ! Mais Clem, ça va pas !
Claudia qui a commencé un manger un bout de sa cuisse de poulet, a bien failli s’étouffer avec.
— Bah quoi, c’est vrai qu’il est coincé.— Oui, mais quand même. Ne me sors pas des trucs comme ça quand j’avale. J’ai failli mourir.— Désolée, ma chérie. Je ferai plus attention la prochaine fois. Chut, il arrive.
Nolan pose la carafe d’eau sur la table.
— Merci, Nolan, Claudia m’a dit que tu as vingt ans. Pourquoi tu ne fais plus d’études à ton âge ?— J’ai fait un BTS, madame.— Pas de madame avec moi. Appelle-moi Clémentine. Ou Clem. Un BTS, c’est deux ans c’est ça ?— Oui ma… Clémentine.— On aurait dû y penser. Nous on s’est tapé trois ans de fac.
Claudia lance un petit regard à Clem qui veut dire, ‘Il n’y a pas que la fac que tu t’es tapée’. Nolan n’a rien vu s’assoit à côté d’elle.
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Clémentine est dans son canapé. Elle regarde la télé sans grand intérêt. Elle réfléchit surtout à cette journée.Son après-midi avec le stagiaire fut très sympathique. Il est adorable et toujours à l’écoute et Clémentine adore apprendre à quelqu’un. Et puis il est mignon.Et puis il y a Claudia. Toujours aussi portée sur le sexe et follement épanouie avec son bel étalon de mari.Par certains moments, la vie de célibataire exaspère Clémentine. Avoir un mec prêt à la baiser à n’importe quel moment, ça peut être chouette.Mais elle aime trop séduire et baiser avec de nouveaux mecs pour en choisir qu’un seul.
Mais chaque hiver, il fait froid et madame a la flemme de se préparer pour sortir et se taper un mec. Alors elle met la chaîne porno qu’elle a avec son offre canal + et elle se mate des pornos à la chaîne tout en se masturbant.
— Une vie de pornstar. Ça aurait pu être cool. Payé pour se faire baiser par de grosses bites. Et devenir la star de tous les puceaux avant leur future femme. La vie d’artiste quand même…
Alors que Clémentine s’imagine une énième fois star du X, le son de son téléphone la réveille. Elle y regarde et voit un MMS de sa meilleure amie.Elle y découvre sa petite chatte toute rougie comme elle l’a affirmé plus tôt dans la journée.
— En effet. C’est rouge !— Et ça ne va pas s’arranger…
Après son dernier message, Claudia envoie une deuxième photo. Celle de sa petite chatte pénétrée par un beau gland gonflé de désir. La tête d’une longue queue dure comme de la pierre qui doit avoir pris possession de la totalité de son vagin la seconde qui a suivi la prise de la photo.
— Bonne baise Ma Chérie !— Mezrccio
Clem lit le message et ne peut s’empêcher de rire.
— Et bien, ça a commencé fort on dirait. Elle ne peut même pas écrire un message correctement. Bon, à moi de me faire plaisir maintenant ! Où est mon gode ?
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