Il était une fois une jeune princesse qui aimait beaucoup se prendre des bites dans le cul. Un jour, elle sortit de son château, à la recherche d’un prince charmant qui puisse lui apporter tous les plaisirs anaux qu’elle désirait. Elle fit un appel à toute la population de son royaume. Bientôt, de nombreux prétendants se rendirent chez elle pour essayer de la séduire. Elle leur proposa de venir lui faire un annulingus afin de montrer leurs talents de langue. Ces messieurs allèrent donc avec leur langue tout au fond de son cul, afin de tester son goût et de lui prodiguer de nombreuses sensations, anales, extrêmes et puissantes. Cela faisait beaucoup jouir la princesse. Mais, taquine et coquine. Elle préférait faire venir encore et encore des prétendants pour lui bouffer le cul plutôt que de choisir parmi eux un prince qui la satisferait annalement tous les jours. Mais, un jour, un prétendant du nom de Tom, un grand blond aux yeux bruns avec une tête pas très jolie, et pourtant c’était quelqu’un de très cochon et de très excitant, se rendit dans son cul et lui prodigua un plaisir qu’elle n’avait jamais eu alors.
Mais, il partit bien vite, et la princesse ne savait pas comment le retrouver. Alors, elle lança de nombreux chevaliers à sa recherche, car les plaisirs anaux que lui procurait cet homme lui manquaient énormément. Les chevaliers redoublèrent d’efforts pour le trouver, mais rien n’y faisait. L’homme qui fourrait si bien de sa langue le cul de la princesse était introuvable. Après trois ans de recherche, la princesse resta dans un chagrin incommensurable, mais abandonna car il n’y avait plus d’espoir. Elle se rendit compte qu’en fait ce n’est pas si bon d’attendre si longtemps avant de choisir un prince, car il se peut bien que celui qui vous fourre le cul de sa langue disparaisse un beau jour et que vous ne le retrouviez jamais. Voilà toute la morale de cette histoire. J’espère que ce conte merveilleux vous a plu. Moi, j’ai pris beaucoup de plaisir à l’écrire. J’aime beaucoup faire jouir mes lecteurs de toutes leurs forces. J’espère que vous bandez fort et que vous éjaculez sur mon histoire. Si vous êtes une femme, bien sûr, j’espère que vous mouillez beaucoup en lisant mon histoire et que vous vous doigtez de toutes vos forces jusqu’à atteindre un orgasme extrême. Enfin, ce n’est pas tout à fait fini car il s’est encore passé quelques événements dans cette histoire qui pourraient beaucoup vous intéresser. Sachez d’abord que l’homme qui avait fourré de sa langue le cul de la princesse partit vivre une vie très spéciale. Il se rendit dans toutes les fermes du royaume et goûta le cul de toutes les paysannes qui s’y trouvaient. Elles y obtinrent beaucoup de plaisir. Car en effet, il ne se satisfaisait pas de seulement combler une princesse. Il était très généreux et préférait que toutes les femmes du royaume puissent bénéficier de son grand talent dans l’annulingus. Tom n’était pas riche. Il n’était pas beau. Mais, il avait un talent. Il était le maître des annulingus. Sachez qu’il n’est pas bon parfois de vouloir avoir la célébrité ou la richesse, car si vous avez un talent pour faire des annulingus, il vaut mieux en faire profiter tout le monde. C’est une morale complémentaire à cette histoire. Après quelques années à bouffer des culs, l’homme était fatigué. Il chercha le réconfort auprès d’une paysanne dont il tomba amoureux et à qui il fit de nombreux enfants. Tous ses enfants avaient hérité génétiquement d’une langue très puissante. En effet, l’épigénétique avait eu beaucoup d’impact sur la génétique de ses enfants. Ses enfants avaient donc hérité du talent de leur père pour prodiguer des annulingus. Quand ils furent tous grands, majeurs et très très adultes, alors tous ces individus, mûrs, de sexe masculin, se rendirent partout dans le royaume afin de prodiguer les mêmes soins qu’avait fait leur père. C’est alors que dans tout le royaume, les femmes se faisaient bouffer le cul avec entrain et grand plaisir. L’annulingus devint la pratique sexuelle la plus pratiquée de tout le royaume. Il y a donc une autre morale à cette histoire. Même une pratique sexuelle qui peut paraître marginale peut devenir la pratique sexuelle la plus commune si elle prodigue beaucoup de plaisir à tous ceux qui la reçoivent. Mais, laissez-moi vous raconter une scène d’annulingus qui eu lieu en ce royaume afin de vous faire envie. C’était un beau soir de printemps. Une paysanne avec une robe ancienne, très jolie, décida de relever cette robe et de montrer ses collants et sa culotte à toute l’auberge. L’aubergiste vint la voir et lui proposa un annulingus. Elle accepta volontiers, car l’annulingus était déjà devenu une pratique courante au royaume. Il vint lui écarter les cuisses puis chaque paroi de son anus étoilé. Ensuite, il introduisit sa langue tout au fond de son fondement. Il fouilla l’orifice en faisant bien attention de solliciter chaque fibre nerveuse de chaque muscle de chaque pli de son anus. Cela était exquis. La femme jouit fortement et lui mouilla sur la gueule de toutes ses forces. Cela la fatigua beaucoup mais elle y prit beaucoup de plaisir. Voilà, je vous ai raconté toute la scène que j’espère très excitante. C’est pour cela que je suis convaincu que certains de mes lecteurs doivent quand même un peu bander ou mouiller en me lisant. Dites-moi en commentaire si c’est vrai. Cela me fera très plaisir d’avoir vos impressions. N’hésitez pas non plus à critiquer si vous trouvez qu’il manque des ingrédients afin que je puisse vous faire jouir. J’accepte toutes les remarques et je ferai en sorte d’améliorer mon texte grâce à vos propositions. Encore merci de m’avoir lu, ça me fait très plaisir.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
