Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 221 J'aime
  • 1 Commentaire

Sexe dans un vieux manoir

Chapitre 1

Hétéro
J’ai loué cette maison avec des amis pour faire la fête. C’est un grand manoir avec beaucoup d’espace. Nous avons plein d’idées pour exploiter les spécificités du lieu. Dans la cave à vin, un grand local abandonné par les anciens propriétaires, nous installons une boule disco, des projecteurs de lumière vive, de longues tables pour dresser des buffets et une scène pour produire de la musique. Au-dessus, sur les deux étages du bâtiment, dans les petits salons, cuisines, salles de bain et chambres abandonnées, nous avons installé les décors d’un escape-game sexuel.
Le jour de la grande fête, plusieurs amis sont cachés un peu partout dans la maison pour tenir leur rôle dans l’escape-game sexuel que nous avons mis en scène et qui inaugurera la fête. Quelques-uns sont dans une cuisine pour préparer les buffets et les derniers, des musiciens, sont dans la cave où ils s’entraînent pour la soirée dansante dark de manoir abandonné prévue après l’escape-game.
À dix heures du matin, les invités arrivent et je me glisse parmi eux comme si j’étais aussi l’un d’entre eux. Je vais participer à l’escape-game pour contrôler que tout se passe bien sans que les invités ne soient au courant que je suis une joueuse un peu spéciale. Trois autres amis font la même chose. Nous nous infiltrons dans les quatre groupes de trois invités qui vont participer à notre escape-game.
Dans mon groupe, il y a moi, Valentine. Je suis une femme blanche rousse aux yeux verts, avec des taches de rousseurs, des petits seins ronds avec de petits tétons roses, une petite chatte poilue et des petites fesses. Il y a Brenda, c’est est une femme noire brune aux yeux châtains, avec des seins un peu plus gros que les miens, en poire, une chatte avec des lèvres qui ressortent un peu et des fesses un peu plus grosses que les miennes. Il y a Frédéric, c’est un homme à la peau mate, brun aussi avec des yeux noisette. Il a des épaules larges, des pectoraux saillants, un pénis épais circoncis avec le gland proéminent et de grosses testicules un peu tombantes. Enfin, il y a Patrick. C’est un homme noir, grand et maigre avec un pénis un peu plus long que celui de Frédéric mais un peu moins épais et avec des testicules plus petites.
– Bienvenue, nous dit Suzie, mon amie qui accueille les nouveaux visiteurs. Pour participer à l’escape-game, nous allons vous mettre des bandeaux et vous conduire jusqu’à votre salle de départ, au deuxième étage. Le but est d’arriver à descendre jusqu’à la cave où la fête a lieu. Si vous n’y arrivez pas d’ici la nuit tombée alors le jeu s’arrêtera et nous nous rejoindrons tous en bas pour la soirée dansante finale.
Comme prévu, Suzie nous met un bandeau à moi et aux membres de mon groupe. Je la prends par la main. Brenda me prend par la main. Frédéric prend Brenda par la main. Patrick prend Frédéric par la main. Nous formons ainsi une chaîne et quand Suzie avance, nous avançons tous. Nous marchons de la sorte dans les escaliers jusqu’à atteindre notre pièce du deuxième étage et alors nous pouvons enlever les bandeaux. Suzie est partie. Nous nous lâchons les mains et le jeu peut commencer.
Les pièces de la maison ne sont pas bien isolées entre elles et nous pouvons entendre discuter entre eux les autres groupes, positionnés dans des salles voisines. C’est un grand manoir avec de très nombreuses pièces, mais les cloisons sont assez fines et ce n’est pas isolé comme les maisons d’aujourd’hui. Le bâtiment, très ancien, est fait de nombreuses pièces de bois. Le plancher, d’ailleurs, grince sous nos pieds. Brenda se dirige vers la porte de sortie du petit salon particulier où nous débutons la partie. Évidemment, cette porte est verrouillée.
Dans la pièce, il y a une grande armoire avec une porte à deux battants. Il y a un vieux secrétaire, c’est-à-dire un meuble bas avec plusieurs tiroirs qu’on pourrait facilement convertir en bureau. Il y a un petit canapé en cuir suffisamment grand pour deux personnes. Enfin, il y a un grand tapis au centre, avec des motifs d’animaux du moyen-âge. Au centre du tapis, un papier plié en quatre a été posé par l’équipe de mise en place de l’escape game. Patrick prend le papier et le déplie. Il lit son contenu à tout le monde :
– Chers invités, bienvenue dans notre escape-game sexuel. Comme prévu, des caméras ont été dissimulées un peu partout. Elle permettent à l’équipe qui a mis en place le jeu de voir où vous en êtes à tout moment, de vous réserver ainsi des mécaniques de jeu uniques et de surveiller que tout va bien. Pour commencer, vous devez trouver le monstre de latex, un être humanoïde avec une peau entièrement faite de latex noir. Il se cache quelque part dans la pièce. Quand vous l’aurez trouvé, vous jouerez avec lui au premier mini-jeu sexuel de notre grand jeu d’aventure sexuelle dans ce manoir. Nous vous souhaitons une bonne partie !
Notre premier réflexe est de vérifier la grande armoire, puis nous regardons partout sous et dans le canapé. Nous remuons toute la pièce en vain, jusqu’à ce que Brenda ait l’idée de soulever le tapis. Nous découvrons alors un double fond sous le plancher, et à l’intérieur, le « monstre de latex » qui est bien évidemment un membre de l’équipe du jeu dans une combinaison de latex intégrale.
– Bravo, vous m’avez trouvé, dit le monstre avec une voix féminine.
Nous sourions car c’est un peu cheap. Enfin, on joue le jeu et on fait comme si c’était réel.
Frédéric demande :

– Et maintenant, que faisons-nous ?
Le « monstre de latex » prend un jeu de cartes dans un tiroir du secrétaire et répond :
– Nous allons jouer à un jeu de cartes très simple. Chacun son tour, vous allez tirer une carte. Si la carte est rouge, vous enlèverez un vêtement. Si la carte est noire, je marque un point. Si je marque treize points, je me déshabillerai et je vous garantis qu’on baisera comme des fous. Je vous ferai jouir un à un et vous deviendrez des monstres de latex à votre tour, ce qui vous permettra d’accéder aux autres pièces. Mais, si l’un d’entre vous se retrouve nu avant que j’atteigne treize points, je ne ferai jouir que cette personne. Les autres resteront dans la pièce pour participer à un jeu de rattrapage et seul lui sortira d’ici pour le moment.
Je suis perplexe. Le jeu a été simplifié à l’extrême. Je ne comprends pas ce changement de dernière minute. D’ailleurs, les invités ont un sourire amusé un peu moqueur. Heureusement, la perspective de jouir bientôt grâce au « monstres de latex » excite tout le monde et mes trois partenaires s’empressent de tirer chacun leur tour une carte du jeu. Curieusement, nous tirons sept cartes rouges d’affilée. Ainsi, nous avons déjà tous enlevé nos vestes. Moi-même, j’ai dû enlever mon haut et me retrouve en soutien-gorge, de même que Brenda. Patrick est déjà torsenu. Cela m’agace. La triche n’était pas non plus prévue au programme, et je ne comprends pas ce qu’essaie de faire le « monstre de latex » en prenant cette liberté par rapport au scénario dont nous avions convenu à la base.
Brenda demande à vérifier le jeu de cartes, pour être sûre qu’il n’y a pas de la triche. Le « monstre de latex » étale le jeu devant nous et nous constatons que c’est un jeu tout à fait normal. Il mélange les cartes et continue la distribution. Mais il ne tombe alors à nouveau que des cartes rouges pendant trois tours. Alors, Brenda demande à avoir le jeu de cartes en main pour le vérifier elle-même puis distribuer elle-même les cartes. Elle mélange les cartes, puis étale le jeu avec toutes les cartes en face visible.
Quand elle tire les cartes de cette façon, tout se déroule normalement. Elle commence une première distribution face cachée, et nous tirons à nouveau trois cartes rouge d’affilée. Elle décide alors d’interrompre le jeu et de révéler toutes les cartes qui suivent pour vérifier si la distribution n’a pas été truquée d’une façon ou d’une autre. Ce sont alors trois cartes noires qui suivent. Mais, comme elle a retourné le jeu, on doit mélanger à nouveau et au prochain tirage, nous ne tirons alors à nouveau que des cartes rouges plusieurs tours d’affilée. Ne trouvant pas ce qui cloche, nous nous résignons à cette distribution étrange, jusqu’à ce que finalement je me retrouve toute nue la première.
Je ne suis pas mécontente de me livrer ainsi pour que le « monstre de latex » s’occupe de moi jusqu’à me faire jouir. Cependant, c’est la confusion dans ma tête concernant l’escape-game. De cette façon, je vais me retrouver isolée des autres joueurs, puisque je franchirais seule le seuil de cette première pièce. Ils joueront sans moi au « jeu de rattrapage ». Je suis pourtant censée les accompagner dans la partie. Mais bon, quand je me retrouverai seule avec le « monstre de latex » qui n’est autre qu’une de mes amies participant à l’organisation, je pourrais lui demander des explications discrètement.
Je me pose donc au milieu de la pièce, sur le grand tapis à motifs d’animaux. Je suis totalement nue. Je m’allonge, écarte les jambes et ferme les yeux. Je dis :
– Vas-y, monstre de latex, fais-moi jouir, tu as carte blanche.
Je me concentre sur mes sensations tactiles. Je garde les yeux bien fermés. Cependant, je peux tout de même sentir le regard des autres participants à l’escape game. Je peux entendre que Brenda, Frédéric et Patrick ont pris l’initiative de se déshabiller complètement. Je les entends alors se masturber et en même temps, je sens leur regard sur mon corps en offrande au monstre. Cela m’excite beaucoup.
Je sens le monstre s’approcher. Il me saisit les fesses et me prodigue un annulingus. Cela me surprend et m’excite. Il enfonce sa langue profondément. Je n’en reviens pas. J’ai l’impression qu’il est tout au fond de mes entrailles. En même temps, il prend mon clito avec deux doigts et commence à le branler comme une bite, puis appuie dessus, le masse puis continue de jouer avec le capuchon de mon clitoris pour me donner la sensation que je me fais branler le museau du minou. Je sais qu’on nous regarde et cela m’excite encore plus. Ensuite, il arrête ses soins. Cela me rend folle, j’aurais pu jouir s’il avait continué. Mais, il me caresse, m’embrasse longuement et me lèche partout en passant la langue en me frôlant presque à peine, ce qui est curieusement très plaisant. Je sens comme des vapeurs de chaleur m’envahir. Bientôt, il m’embrasse le cou. Je suis subjuguée par ses caresses. Je m’abandonne complètement. Je le sens mordiller mon cou et j’y prends beaucoup de plaisir. Puis, je ne sens plus rien. Je suis comme anesthésiée. Je suis prise de spasmes et je jouis brutalement. J’ouvre les yeux et remercie le « monstre de latex » en souriant. Je me sens un peu patraque et fatiguée et habitée de plaisir en même temps.
Brenda me regarde en écarquillant les yeux. Je luis souris et lui demande qu’est-ce qu’il y a. Elle me dit :
– Ah ouais, les morsures dans le cou, c’est vraiment bien fait. On dirait vraiment que tu viens de te faire mordre par un vampire.
Diffuse en direct !
Regarder son live