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Sexe à la Ferme

Chapitre 6

Zoophilie
Chapitre 6 /7 le plaisir.Effectivement je rentre il est plus de 20h, j’ai bien travaillé, mais demain j’aurai encore plusieurs voyages à faire. Gi a raison c’est dans un mauvais état, les saisonniers pas top.Je rentre et une voie venant de la salle de bain.— c’est toi, je n’en ai pas pour longtemps, tu peux te laver dans l’évier, il y a une serviette.Je me lave et une pensé me traverse l’esprit suite a notre discussion de ce matin : je vais enlever mon short si elle se présente nue pas de souci, si ce n’est pas le cas je peux prétexter qu’il est sale et j’ai pas trouvé l’autre. Prêt je m’installe à la table et je me plonge dans la revu technique du taille haie afin de pouvoir faire son entretien demain.Gi sort de la salle de bain. Bingo elle est nue, elle me regarde mais elle ne peut pas voir comment je suis. La conversation va bon train sur ce que j’ai fait, et sur son travail. Mais elle veut savoir et là la finesse de la femme entre action, de la ruse bien déguisée.— Al je prends un café tu en veut aussi ?— OkJe suis servi et elle reprend sa place.— Tu peux prendre le sucre dans le placard s’il te plaît ?Je me lève, je sais pourquoi elle l’a oublié, quand je reviens son regard se porte sur tout mon corps, et une insistance sur le bas du nombril. Elle se lève pour reprendre sa serviette sur le dossier de la chaise et en profite pour appuyer la fourrure de sa chatte sur le bord de la table.Je sens son pied toucher les miens et doucement ses orteils remonte le long de mon tibia et viennent s’enrouler autour de mon mollet. Douceur extrême, bonne excitation, je déplace mon pied et je lui rends la politesse. Son visage s’illumine, ses seins bougent et Gi mets ses bras dessous, les tétons bien droits. Puis je sens que elle remonte plus haut vers la cuisse, m’écarte un peu ceci dans le but d’ouvrir ses cuisses et de libérer son entre jambe.Je me lève et je viens vers elle, ma queue se développe, elle fait un quart de tour prend ses deux seins dans ses mains et me coince la bite entre en serrant fort le gland bien en évidence au plein milieu de l’échancrure des deux mamelles. Avec le bout de sa langue Gi titille le méat bien ouvert, de forme ovale ou un soupçon de liquide séminal pointe son nez.Gi se lève, nous nous collons l’un à l’autre ma bite bien debout contre son ventre, mes mains glissent le long de sa colonne et caressent ses reins, larges, puissants qui donnent des petits à-coups à chaque passage de mes doigts au creux des reins.Nos regards se croisent, nos lèvres se rejoignent, ma langue se faufile au travers et la jonction avec la sienne se fait. Elle entoure la mienne et me tire au son de sa bouche en me retenant. Des va et vient incessants pendant de longues minutes. Ma bouche va mordiller le lobe de son oreille, puis je dépose mes lèvres sur seins en faisant des léchages réguliers.— ohooooooooo tu es si doux, ouiiiiiiiiiii !Mes lèvres prennent le téton et je me mets à sucer, alors que ses mains parcourent mes reins.Je continue à déplacer ma bouche sur son corps, le nombril bien accueillant, et la toison d’or est là, bien fournie comme j’aime. Mes mains sont entre ses cuisses que je masse de l’arrière vers l’avant. Je fourre ma tête dans la pelouse et doucement je trouve une petite boursouflure qui s’agite un peu. Mes doigts écartent la belle fente mais debout pas facile de faire plus.Gi me prend la tête et me fais remonter, corps contre corps, par un léger mouvement elle se retrouve derrière moi. Une de ses mains prend ma queue, l’autre se colle sur les pruneaux et la un massage commence, elle joue avec ses doigts pour les faire naviguer et que la peau soit bien tendu. Avec les poils de sa chatte délicatement elle caresse le bout de mes fesses.— Ouiiiiiiiiiiiiii tu me cela avec classe, tu es une expert de sensibilité ma Gi.Ma main la ramène devant moi, je saisie ses seins trop petites pour eux, je titille les deux bouts, Gi frétille des fesses, elle prend la chaise et la met devant elle, écarte les cuisses, pose sa tête entre les bras sur la chaise. Devant moi un dos large que je m’empresse de caresser tout le long et mes mains glissent sur le côté de ses cuisses. Je bande trop alors pour couper l’élan je m’accroupie cela me permets de diminuer l’envie. Je suis a genoux, et là sa chatte est en bonne position pour un culi, pas besoin d’ouvrir la moule elle est écarté. Je pose mes lèvres dessus un fruit bien mûr, ma langue parcourt son intérieur et je prends du temps avec le clito,— Ouiiiiiiii encore, encore, encore.Ma bite est moins gonflé, doucement je me relève en prenant soins que elle la sente monter le long de ses cuisses, et je sens le gland arriver à la porte, pas le temps de réagir elle vient de le sentir, elle recule et je me retrouve dans la fente. Une chaleur immense monte en moi.Lentement je m’enfonce dans ce volcan, plus je m’avance plus l’ouverture se fait.A chaque fois que je recule, elle me serre fort pour me retenir. Je sens les contractions de sa chatte à chaque mouvement.— Ouiiiiii, ouiiiiii, ouiiiiii continue c’est bon je te veux en entier ouiiiiii.La pression monte, je suis à la limite, j’accélère le mouvement je touche le fond ohoooooooo que c’est bon, elle me donne un coup de rein qui me colle contre sa chatte.— ouiiiiiiii, oulala, oulala, ouoooooo, fouooooooooo.J’éjacule au fond, elle vient de jouir, mais elle me retient dedans et en place elle a placée ses mains derrière mes genoux pour m’empêcher de partir. Je n’ai rien a dire moi aussi car mes mains placées au départ de son entre jambes bloque tout mouvement Tellement je suis bien je voudrais y rester, et en plus belle communion des corps.Ma queue se décontracte et nous nous libérons, mais Gi me fait assoir sur la chaise, elle passe ses mains tout autour de ma bite pour étaler les surplus de l’éjaculation, sa main en fait autant avec sa chatte et elle vient s’assoir sur moi, nous sommes sexe contre sexe.Je ne connaissais pas ceci ni la suite que Gi va me proposer.Ma queue se trouvait sous sa chatte bien chaude et Gi attendait que son expulsion se fasse sur celle-ci pour encore l’étaler entre nous. Nos lèvres ne faisaient que une, nos langues unies.Gi se lève nos poils des pubis collés, encore une sensation extrême pour la séparation, on a l’impression de garder une partie de l’autre. Je passe ma main sur ma queue et entre ses jambes, je récupère encore un peu de liquide et je viens le déposer sur le bout de ses seins en les caressant, le téton est encore dur.— Al là tu me fais plaisir, donc toi tu partages, tu prends le temps de donner du plaisir, tu me considère comme une femme et non comme un objet qui ta soulagé.— Gi dans une relation si c’est chacun pour soit ou est le plaisir.— Il est temps d’aller se coucher, notre journée fut longue mais si belle.Je vais vers la salle de bain, ce qui semble logique.— Non ce soir je souhaite que nous gardions les émissions de chacun et notre mélange.Je mets la main sur la poignée de la porte de ma chambre.— Al nos corps ont le droit de passer la nuit ensemble, de toute façon ils savent ce qui est bon pour eux. Ta présence en plus sera un réconfort et une forme de Merci.Allongés sur le lit mélanges des jambes sa chatte sur une des miennes, ma bite sur une des siennes. Un de ses seins reposant sur ma poitrine. Pendant la nuit j’ai senti sa main venir me caresser le zizi, mais je n’étais pas en reste pour fouiller sa toison et parcourir le charnu de sa moule ; qui avait tendance à s’entrouvrir, mais ma queue aussi avait tendance à se réveiller.Pendant toute la nuit je sentais sa chatte me serrer la queue, également ses contractions et un frisson me parcourait le corps.La suite à lire sera une période de communion des corps, puis se sera mon départ, et là une profonde solitude.
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