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Sexe à la Ferme

Chapitre 7

Zoophilie
Chapitre 7/7 le départ.
A notre réveil à 5 h comme chaque jour Gi et moi étions sur un nuage.Après la toilette et café Gi venait se frotter contre mon corps.— Al tu peux garder ta nudité dans la ferme, j’en serais ravi, par contre comme moi j’ai mis un short sur le porte manteau, moi c’est un jogging au cas ou une visite imprévue arrive, par contre dans la ferme aucun risque, pour les champs il y a personnes qui viennent sur les terres, mais garde bien ton short à porté de main. Les personnes qui viennent très peu, l’inséminateur pour les vaches mais je sais le jour, le vétérinaire c’est sur appel téléphonique. Le facteur laisse le courrier au portail, ma fille pareille elle me le dit. — Gi je suis heureux que l’on puisse vivre ainsi et profiter de la nature. Moi profiter du vent, de la chaleur du soir, de la pluie l’été quand elle tombe chaude rien à voir avec une douche. Travailler dans l’atelier un plaisir sans rien avoir sur le corps.— Tu me feras goûter au plaisir de la pluie, je n’ai jamais fait. Suis curieuse de te voir à l’atelier, avec moi tu découvriras le plaisir du soir, car maintenant ta chambre reste vide, je ne veux pas te laisser finir ta saison tout seul, ce fut si bon à partager. Tu sais je sens ta queue encore dans ma chatte, qui me laboure les parois.La saison avance bien et vite, chaque soir nous allons faire le tour à l’étable la petite vérification habituelle, plus de relation notre relation est au sommet. Parfois j’ai manque de puissance, elle me comprend et sait remédier au passage à vite il faut reconnaître son talent mais la petite elle a du jus et suce jusqu’à la dernière goutte.Un soir en revenant le vent souffle fort, je prends Gi face à moi je lui écarte les cuisses le vent pénètre entre nos cuisses remonte entre nos ventres.— Mais c’est extra je ne connaissais pas, le souffle du vent qui fait vibrer les poils de nos sexes, cette douceur. On dirait un voile de soie qui se promène sur nos corps.— Oui j’ai découvert cela par hasard ma Gi.Après je lui fais découvrir la pluie chaude en plein été, les grosses gouttes qui arrivent sur nous, l’eau qui glisse entre ses seins, pour finir au bout de ma queue et de sa chatte. L’eau qui coule sur nos reins tantôt de grosses gouttes tantôt fines, elles forment un petit filet qui longe les cuisses, une sensation de multiples caresses et l’envie de se prendre les sexes.Gi me fait goûter au plaisir de manger à table l’un dans l’autre, disons l’un à côté de l’autre, pouvant moi jouer avec ses seins et elle avec mes tétons, en principe au café elle frottait le bout des ses seins sur mes tétons, pendant que nos pubis se partagés les poils.A l’atelier nous avons passé un moment de rire et de partage. J’étais en train de limer une pièce à l’étau par les mouvements de mon corps ma queue se jetait dans tous les sens, pas en érection longue et fine. Gi entre et voit le spectacle ce qui la réjouit.— Tu as de la chance elle est belle et elle s’allonge à merveille, par contre fait attention quelle ne se détache pas c’est moi qui serais pénalisé.— Viens je vais te montrer ce que toi aussi tu peux faire.Je place Gi devant moi, je mets ses mains sur la lime et les miennes sur les siennes. Je commence à limer la pièce et là se sont ses seins qui ballottent dans tous les sens.— Alors toi aussi il y a du mouvement dans l’air !— Mais c’est super ton truc.Je m’écarte un peu de son corps afin de libérer ma bite et nous recommençons à limer la pièce, ses seins battent la mesure et ma queue je jette entre ses cuisses, dans tous les sens et devient vite raide. Gi me la bloque et reste sans bouger. Puis elle la regarde entre ses cuisses.— Ça c’est super mais je te garde pour ce soir.Nous rigolons un bon coup comme quoi il y a toujours à découvrir.Chaque soir est un bonheur le partage de corps, nous restons souvent assis l’un dans l’autre. Nos sexes savent se retrouver, s’enlacer, mon gland se pose vers l’ouverture et je me retire pour garder la raideur. Gi ne met jamais ma bite dans sa bouche pour me sucer, elle préfère poser sa bouche humide sur mes pruneaux et avec sa langue jouer avec en les faisant monter et descendre arrivant ainsi à faire tendre la peau et que les burles se bloquent contre la verge. C’est extra, et je trouve que de ce fait l’érection sera plus longue.Gi adore se faire prendre en levrette, moi aussi il y a plus de mouvements pour chacun, nous avons aussi pris d’autres positions dans le lit, sur le côté c’est pas mal mais ses mouvements sont limités, en missionnaire super par contre, c’est moi qui souffre, Gi croisant ses jambes dans les reins je suis bloqué, en plus elle ne me lâche pas facilement.Chaque fois que je vais détacher les vaches, j’ai droit à un coup de langue, à part mettre ma main sur les reins j’en reste là. On dirait que cela leurs convient.Les gros travaux sont faits, l’automne est là, il me reste à préparer les champs cette fois sa ferme est en état. Avec sa fille la tension monte au sujet des terres de son père. La dernière journée est un partage de nous, je vais aller au-delà de mes forces.Il pleut et c’est une aubaine pour profiter de nos sexes en feu, je ne sais pas comment elle fait mais elle arrive à relancer assez rapidement.— La saison prochaine je te reprends, mon Al tu as tellement fait pour nous.Je pars triste, mais je n’ai pas le choix, elle ne peut pas me garder à cause des assurances, qui la pénalise trop. Gi n’a rien d’extraordinaire, femme bien ronde, virile et à de nombreux endroits sur son corps, des seins imposants.Moi j’aime bien ce compromis, le physique n’ayant aucune importance, ce qui compte c’est ce quelle donne de bonheur et notre complicité qui est née de nos corps.Nous sommes animées par une seule volonté ; partager nos sexes en sentant par eux ce que l’autre personne sent dans son corps. A u bout de ma queue que de plaisir de sentir ses contractions, Gi dans sa chatte sentir la bête grossir et monter au plus haut.Beauté de sexes qui se mélange sans intervention ou par force, tout se passe en douceur.Pratiquer le nudisme sans tabou, génial et là aussi se comprendre pour trouver auprès de la nature des éléments qui vont pimenter la vie.Cœur triste en rentrant chez moi, oui il manque tout. Quelques semaines après Gi me téléphone pour me dire que sa fille vient s’installer avec son gendre chez elle.Celui ci possède une petite ferme et ils vont faire un gaec, il faut assurer financièrement, elle n’a pas le choix. Je ne peux pas y retourner, tout cela à cause de soucis de successions, et je suis trop loin pour la voir entre temps.Il me reste à trouver une autre personne, même si ce n’est pas une ferme, une quinqua qui pratique le nudisme et qui cherche une relation de corps intense sans tabou.Là c’est un rêve pas encore réalisé à ce jour, pas pour refaire la même chose, simplement dans le même esprit, chaque femme étant identique mais différente.Partager des moments de complicités sexuelles, pourvu que les deux personnes ne cherche que cela, faire plaisir à l’autre sans arrière pensé.J’aime donner, alors pourquoi pas attendre une personne qui le veut aussi, tout est possible il suffit parfois d’un peu de courage pour tenter l’aventure.Content d’avoir exprimé mes ressentis, bonne lecture et bonne inspiration. Qui sait ? Une âme charitable, non un corps qui cherche son complément, qui veut le faire vivre, réagir.
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