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Sexe , Inceste et Triolisme

Chapitre 1

1ere partie

Inceste
Je fais une petite pose dans les récits de mes aventures personnelles et vais raconter l’histoire de Marc, 60 ans, qui a débuté en 2018. Il vient régulièrement sur Xstory, et il aime le sexe.A la suite d’un post que j’avais mis sur le forum début 2018 concernant un sujet qui en fait fantasmer plus d’un, c’est-à-dire l’inceste, j’ai été contacté par Marc d’abord en privé puis en direct. A la suite de multiples contacts, il m’a raconté avec des détails extrêmement intimes, parfois "trash", accompagnés de photos sur lesquelles le doute n’est pas permis, l’histoire de la relation qu’il vit avec Cécile depuis avril 2018. Je lui ai dit de raconter son histoire, mais il m’a répondu que je saurai mieux trouver les mots pour la raconter à sa place.
J’ai entamé le brouillon de son histoire il y a pratiquement un an. Je vais donc le faire comme si c’était lui.En ce dimanche après-midi de fin avril 2018, je déambulais dans un jardin public de la ville où je réside. Sans être un obsédé, à 60 ans, célibataire, j’ai des besoins de sexe. Bientôt en congé pour le mois de juillet, je cherchais une partenaire pour du sexe sans prise de tête. Mon attention fut attirée par une femme seule, la quarantaine, appelons la Cécile, assise sur un banc.
Je lui ai demandé si je pouvais prendre place aussi sur le banc, elle me répondit que oui, et de fil en aiguille nous avons engagé la conversation. Petit à petit, le courant semblait passer entre nous.Alors qu’elle s’apprêtait à rentrer chez elle, repartant dans la même direction, je lui ai demandé si je pouvais l’accompagner un bout de chemin ; elle ne fut pas contre. Devant l’immeuble où elle résidait, j’allais lui dire au revoir, elle m’invita à prendre un rafraîchissement..... je n’allais pas rater une telle occasion. Il y avait matière à pousse plus avant ce début de relation.
Elle habitait seule depuis deux ans, avec son fils Julien 18 ans, un appartement au quatrième étage d’un petit immeuble coquet. Son fils, chevelure bouclée, corpulence fine, petit cul, faisait efféminer.Alors que j’allais prendre congé, la remerciant pour le rafraîchissement, elle me proposa de rester et partager leur repas en toute simplicité. C’était là une invitation à ne pas refuser.Le repas terminé, nous sommes allés sur le balcon prendre place sur la balancelle. Cécile s’installa entre son fils et moi.Était-ce un présage ????????La nuit tombée, ayant cours le lendemain, Julien partit se coucher. Mon bras par dessus ses épaules, Cécile s’est laissée aller, la tête tournée vers moi, elle m’offrit ses lèvres.....Une main sur sa poitrine, j’ai déboutonné lentement son chemisier..... elle soupirait. Ma main sous son soutien-gorge, je l’ai remonté, libérant deux seins épanouis, lourds, aux larges aréoles proéminentes à gros tétons.
A l’étroit dans mon slip, discrètement j’ai extirpé mon gourdin et lui ai mis en main. Elle inspira longuement, semblant étonnée. Abandonnant sa poitrine, sous sa jupe je remontais entre ses cuisses. Plus je remontais, plus elle s’ouvrait. Sa culotte était mouillée. Soulevant l’élastique, j’écartais les bords de sa fente...... trempée. Sans attendre, je l’ai basculée sur le dos. Elle n’opposa aucune résistance quand je lui ai retiré sa culotte... au contraire.
Cuisses écartées, vulve ouverte et gluante, agrippée à mes épaules, je n’ai pas eu à forcer... l’entrée du temple était largement ouverte.
— Ooooooooooooooooooohhhhhhhhhhh...
La nature m’a doté d’un engin qui frise les 20 centimètres de long au gland bien joufflu en érection. En lui mettant bien à fond d’emblée, elle a su comment j’étais monté.Sans sexe depuis deux ans, bien qu’elle ait dû se toucher le bourgeon entre temps, ouverte à ma queue bandée, le vagin coulant et dilaté par le désir, Cécile s’offrait.Quelques va-et-vient ont suffi et elle a joui en gémissant le visage enfoui dans mon cou.
Trop vite... J’avais encore envie de profiter de sa chatte et continuais à la besogner.
—..... oui... encore..... a-t-elle murmuré.
A chaque remontée, j’allais buter au fond de sa grotte appuyant mon gros joufflu contre son dernier rempart. Un deuxième orgasme l’emporta dans un autre profond gémissement... Je n’étais pas mécontent de moi... dès la première rencontre, je la baisais et la faisais jouir deux fois de suite sans me retirer.A mon tour, coup de reins, planté à fond, je prenais mon plaisir, me vidant les boules...
— Mon Dieu...... souffla-t-elle.
Deux semaines sans avoir pu baiser, je venais de lui envoyer quatre à cinq jets de sperme bien gras et sirupeux.Emboîté le temps que mes dernières contractions évacuent, le jus resté dans ma lance, et je me suis retiré, la queue molle, soulagé. Il était temps de rentrer chez moi pour ne pas attirer l’attention de son fils.
Sur le pas de la porte, échangeant un dernier baiser, elle s’est offerte sans retenue. Je profitais de dégrafer totalement son soutien-gorge, pétrir sa poitrine épanouie, sucer ses gros bouts. Ma main dans son entrejambe, je lui massais la motte, Cécile soupirait doucement le ventre en avant. Sans culotte, sur les bords de sa fente, sa toison était gluante. Je bandais de nouveau.
Une main sur chaque épaule, je l’ai fait descendre à bonne hauteur... soumise, une main sous mes testicules, l’autre tenant mon cierge, sa bouche a enveloppé mon gros joufflu. Elle avait la bouche pleine. Sa langue me chatouillait agréablement sous le gland. Elle savait sucer, juste comme j’aime, face à moi sa langue faisant de petits va-et-vient, pas besoin de bouger, juste lui maintenir la tête.
Mon plaisir est venu, sans prévenir j’ai joui, ma queue a tressauté dans sa bouche. J’avais encore quelques réserves, elle a avalé mon sperme sans réticence jusqu’à la dernière goutte.Après m’avoir nettoyé et remballé la queue.
— Tu m’appelles demain... dit-elle sur un ton presque suppliant.
Le lundi matin, prenant de ses nouvelles elle me confia qu’elle avait aimé ce qui s’était passé la veille entre nous, par précaution elle avait acheté la pilule du lendemain et se faisait poser un stérilet afin que je puisse continuer à éjaculer sans problème.
Je venais de décrocher le gros lot, de rencontrer mon âme sœur. Sous des abords de femme discrète, de maman sage et réservée, Cécile allait se révéler une superbe salope, baiseuse, jouisseuse, pour qui entrejambe et bouche, par là même tout son corps n’était que sources à prendre et laisser prendre du plaisir sans état d’âme. Je n’avais pas souvenir d’avoir rencontré une femme en rut permanente comme elle..... Je m’étais trouvé au bon endroit au bon moment.
Fin juin arriva ainsi que mes congés pour tout le mois de juillet. Je ne me voyais pas venir qu’une à deux nuits par semaine pour baiser. J’invitais donc Cécile et son fils à venir passer les vacances d’été chez moi.....
Cela faisait trois jours que Cécile et son fils séjournaient à la maison et chaque soir elle allait lui dire bonsoir. Mais ce soir-là, je trouvais qu’elle était restée plus de temps avec lui.
— Le " petit" va bien ?... demandais-je tout en glissant mes doigts dans sa chatte, que je trouvais très baveuse.
Autant Cécile est physiquement très expressive sexuellement, autant elle est réservée quand elle en parle.
— Oui... c’est compliqué tu sais... tu vois comme il est timide et efféminé... je voulais t’en parler... il n’a jamais eu de copine... il fait un complexe...— Pourquoi... ?—... Son sexe... il n’est pas gros... son bout est tout en pointe...— Tu l’as vu ?— Oui... un soir il était à la salle de bain après sa douche... il m’a dit qu’il avait vu ton... la première fois quand tu étais dans ma bouche... il n’avait pas le moral... comment dire..... il me l’a montré... c’est vrai qu’à côté de toi..... le sien est comme ça...
Cécile fit un anneau avec son pouce et son index...
— Et comme ça... entre ses deux index... quand il est en...
Son fils était doté d’un sexe qui ne devait pas excéder trois centimètres de diamètre et dans les 15 centimètres en érection. Question grosseur, ce n’était pas le top pour déchirer une chatte, mais pour le reste il était dans la norme.
— Et........ ?— Je l’ai pris entre deux doigts... j’ai pas eu le temps de lui retrousser la peau comme quand il était petit lors de sa toilette... il s’est raidi et d’un seul coup, son sperme a giclé plusieurs fois jusque sur le miroir... depuis quand il est dans la salle de bain je le rejoins, sans rien dire je lui prends dans une main, il me tient le bras, se raidit en quelques secondes, je mets l’autre main devant, je sors son bout, il se contacte et il se vide entre mes doigts ; je me lave les mains et je vais me coucher.— Tu le branles un peu ?— Non... ça va trop vite...— Il n’a jamais demandé que tu le suces..... ?— Non plus...— Tu n’as pas pensé à lui faire tirer son coup... ?— Oui j’y ai pensé... plusieurs fois... mais j’ai jamais osé lui demander... je sais... ça lui redonnerai confiance de faire ça normalement...
Savoir que Cécile tripotait la bite de son fils régulièrement pour le faire dégorger, qu’elle était prête à le dépuceler, l’initier et baiser pour le soulager m’excitait au plus haut point. J’étais curieux de voir l’engin et les deux jumelles du " petit ".Après m’avoir raconté comme elle soulageait son fils, sa chatte était trempée, le vagin plus ouvert et dégoulinant que jamais... elle mourait d’envie d’être baisée par son fils... et sentir sa semence se répandre ailleurs qu’entre ses doigts... elle n’attendait que mon accord...Je devais apporter mon aide au " petit"... comme on me l’avait apporté à son âge... et je réfléchissais au moment le plus propice pour que le " petit " soit dépucelé.
— Demain après la piscine... c’est le mieux...
Cécile mit quelques secondes pour réaliser
— Tu veux dire... tu es d’accord pour que je... Julien..... avec moi...... ?— Oui... demain après-midi... ça ne lui fera pas de mal... tu n’en as plus envie ?— Si, bien sûr... mais... avec toi alors...— Oui je serai là... je lui en parle demain matin.
A peine l’avoir emmanchée, je l’ai senti venir, doigts plantés dans mon dos, la salope a joui en gémissant comme une pucelle qui se fait décapsuler. La pensée d’avoir bientôt la bite de son fils lui fourrer la chatte n’était pas étrangère à la rapidité de son plaisir.L’aspect immoral de cette relation incestueuse ne me préoccupait pas du tout, et Cécile encore moins. Comme elle me regardait, je lui ai raconté qu’à l’âge de son fils, c’était ma tante qui m’avait dépucelé, que j’avais eu des relations sexuelles avec elle pendant de nombreuses années et que je ne voyais pas pourquoi aujourd’hui je ne la laisserais pas prendre le pucelage de son fils et canaliser ses besoins sexuels... dans un cadre défini...A ceux qui seraient tentés de se fendre d’un commentaire du genre " relation malsaine ou autre " je ne répondrai qu’une chose :
— Du moment que chacun y trouve son compte et son plaisir, où est le problème ?
A 40 passés, la mère de Julien entrait dans la catégorie des femmes mûres qui, dans le sexe, ne cherchent plus que le plaisir. Un corps désirable, une poitrine épanouie, de belles hanches, un cul d’enfer, de belles cuisses..... l’entrejambe disponible à tout moment, que demander de plus ? La mère de Julien était une " MILF"
Nous sommes sortis ensemble de la piscine, direction le pool house pour se changer. J’ai fait glisser le maillot de main de sa mère et demandé à Julien de m’aider à la sécher, profitant pour observer sa réaction.
A 18 ans, Julien, physique efféminé, avait l’air d’un ado. Cheveux bouclés, visage fin, tout était imberbe chez lui, joues, poitrine, pubis... Epaules et hanches étroites, il avait un service trois-pièces je dirai un peu curieux. Une queue fine genre petit tuyau d’arrosage, une douzaine de centimètres de long au repos qui se terminait vraiment en pointe, des testicules, deux grosses olives qui pendaient encore plus bas que le bout de sa bite, genre petite montgolfière à l’envers. C’est vrai qu’à côté de moi, il y avait une différence dans le volume, mais dans l’ensemble le " petit" avait ce qu’il fallait entre les cuisses pour faire jouir une femme.
Curieusement la bite du " petit " s’allongea sans prendre de volume, se raidit et se redressa... On aurait dit que l’extrémité de son sexe avait été passée dans une taille crayon.J’ai attiré Cécile doucement en arrière afin qu’elle s’allonge sur le clic-clac déployé, Julien a suivi le mouvement à genoux entre les lambes de sa mère.Cécile a écarté et replié les cuisses, sa fente s’est largement ouverte offrant l’entrée de son vagin à la vue de son fils, le bourgeon gonflé par le désir commençait à sortir de son capuchon. Julien découvrait le corps et l’intimité d’une femme... celui de sa mère.
J’ai écarté les petites lèvres roses qui se dilataient, élargissant le cratère. Cécile était excitée d’être offerte, une épaisse coulée de liqueur s’échappait de son vagin... elle était disponible.Le petit bandait, sa queue regardait le plafond. Il était urgent qu’il enfile sa mère sinon sa semence jaillirait encore dans le vide. Main sur son épaule, je l’ai invité à s’allonger sur sa mère.Cécile a pris le sexe de son fiston pour le guider. La bite du " petit " entre deux doigts elle retroussa le prépuce à fond. Un gland violet tout en pointe, style gros capuchon de stylo à bille, apparu.
La queue du " petit " n’eut aucun mal à disparaître dans la chatte de sa mère.Je regardais Julien, planté dans le ventre de sa mère, les yeux clos, l’extase se lisait sur son visage.Il poussa comme un cri de joie, commença à bouger en gémissant, sa mère le serra contre elle
— Ce n’est rien mon chéri... ça arrive la première fois...
Cécile avait senti que son fils jouissait et que sa semence se répandait enfin en elle.Quasiment groggy après ce plaisir foudroyant qu’il n’avait jamais du ressentir même lors de ses branlettes les plus intenses Julien glissa sur le côté hors de la chatte de sa mère, les couilles pendantes. Sa queue fine, luisante de mouille donnait une impression de longueur, une goutte de sperme s’échappait à la pointe de son gland.Restée ouverte, je remplaçais Julien dans entre les cuisses de sa mère. Sans aucune retenue, j’ai pris possession de son fourreau, tiré mon coup, soulageant mon excitation de plusieurs jets de foutre.Allongée entre nous, Cécile n’éprouvait aucune gêne ni pudeur. Elle était radieuse, les deux hommes qui venaient de la baiser la caressaient. Julien découvrait le corps de sa mère, penché sur elle, il suçait la tétine droite... main sur sa chatte, il commençait l’exploration de son entrejambe.
— Cet endroit appartient à ton beau-père mon chéri, il faut demander l’autorisation...
Dit-elle tout en caressant la tête de son fils qui continuait à la téter, la main entre ses cuisses.Le gland pointu du " petit " était de nouveau sorti de son manchon.
— Je vais prendre une douche, prends ton temps,
Dis-je au petit en déposant un baiser sur les lèvres de sa mère.Juste sorti de la pièce, Julien devait monter sa mère...
— Tu as entendu ton beau-père... prends ton temps...
Petite douche vite faite, en m’essuyant, j’ai entendu des gémissements. Un coup d’œil et je les voyais de dos. Le "petit" était sur sa mère, sa queue entrait et sortait du ventre de sa mère avec régularité, les jambes crochetées autour de ses reins, Cécile gémissait
—... oui mon chéri... oui... oui..... oui.....
Les coups de queue se sont faits plus rapides et quelques instants plus tard, tous deux râlèrent de plaisir presque en même temps.La mère et le fils venaient de jouir ensemble pour la première fois... moment de silence... jetant de nouveau un coup d’œil, côte à côte ils reprenaient leurs esprits. Cécile, une jambe encore repliée, la fente ouverte débordait de sperme. J’avais bien fait d’étaler une serviette sur le clic-clac.
— À mon tour d’aller à la douche...
Dit-elle, flattant les testicules de son fils.Après sa douche, Cécile me retrouva, elle avait juste enfilé sa sortie de bain sans la fermer. Nouant ses bras autour de mon cou.
— Merci mon chéri.....
Reconnaissante de l’avoir offerte à son fils, ou l’inverse suivant comment on voit la chose.J’étais content de moi, j’avais la main mise sur la mère et le fils.....Plus tard dans la soirée, installés sur le canapé en attendant sa mère Julien me remercia... sa main posée sur ma cuisse...Le fils de Cécile serait-il bi ???????????????A suivre...
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