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Sexe à papa

Chapitre 1

Il faut un début à tout.

Inceste
Avant de vous raconter cette aventure si particulière, je pense qu’il est nécessaire de vous expliquer comment cela est arrivé, de remonter aux origines, aux causes qui ont fait que j’ai couché avec mon père.
D’aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours vécu avec mon père. Et ces mêmes souvenirs ne me font voir aucune femme durant toutes ces années durant lesquelles il s’est occupé de moi. J’ai beaucoup de respect pour lui. Il m’a tout appris et a été, lors de mon adolescence, un de mes confidents. Âgée d’à peine dix-huit ans, je n’ai expérimenté que la masturbation sur le tard, découvrant cela il y a quelques mois, à peine. J’avais surpris mon père dans la salle de bains. La porte était entrouverte. Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai regardé par l’entrebâillement. Il était sous la douche. Je n’avais eu qu’un copain pendant quelques mois avec lequel j’avais sauté le pas. Cela n’avait pas été des plus mémorables. Alors, je ne pus m’empêcher de regarder le sexe de mon paternel, voyeuse que j’étais en cet instant. Il était plus gros et plus long. Entouré de poils sombres. Sa main glissa entre ses cuisses pour se savonner et je le vis quelque peu se détendre.
Je m’étais vite éclipsée, de peur qu’il me voie. Le soir, lorsque je me retrouvais dans mon lit, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à nouveau à cette scène. Je ressentis une chaleur entre mes cuisses et ma main s’y glissa d’elle-même. Je découvris rapidement mon clitoris. Je revoyais ce sexe dans cette brousse. Cette main qui le détendait. J’étais mouillée, excitée de ces pensées. C’est en imaginant cette queue au fond de moi que j’ai joui pour la première fois de ma vie. J’étais un peu honteuse que cela soit l’image de mon père qui m’avait fait atteindre ce stade, mais de l’autre côté, j’étais très contente de cette expérience.
C’est ainsi que tout a commencé, selon moi. Les jours d’après, la porte était systématiquement fermée. Je me faisais jouir chaque soir, ou presque. Mais je voulais voir ce sexe de plus près. J’en étais comme fascinée. J’eus donc une idée, un peu folle, mais m’y résolus. Il devait être un peu avant vingt heures. Nous avions mangé. J’étais dans le canapé alors qu’il était assis dans son fauteuil.
— Papa, j’ai quelque chose à te montrer.
C’était le point de non-retour. Il leva les yeux de son journal et m’invita à lui montrer cette fameuse chose. Légèrement gênée, je me levais et me mis devant le poste de télévision éteint. À l’époque, j’étais élancée. J’avais des cheveux d’un châtain clair qui tendait vers le blond en été. J’étais fière de mes seins. Un 95B. Je n’avais pas encore pris ma douche. J’étais vêtue d’un jeans blanc et d’un polo bleu marine et il me regarda sans comprendre. J’enlevai d’abord mes chaussures, essayant de trouver plus de courage. J’eus l’audace d’enlever mon pantalon, me retrouvant ainsi en petite culotte. J’hésitais à continuer. J’avais peur qu’il se fâche et me dise de stopper cette comédie. À la place, il me lorgnait. J’enlevai alors mon haut. J’avais mis, à l’occasion, des sous-vêtements assortis. Blancs. Excitée par son regard, je fis rapidement tomber mon soutien au sol. J’avais encore gardé les traces de bronzage de l’été qui s’était écoulé.
Mes seins blancs dénotaient avec ma peau plus caramélisée. Je l’entendis apprécier le spectacle dans un petit gémissement. Je me mis de profil pour qu’il puisse voir mes seins sous un autre angle, avant d’enlever ma culotte, dernier rempart à ma nudité. À l’époque, j’avais un sexe assez poilu. Je m’allongeai à nouveau dans le canapé. Les jambes croisées.
— Écarte tes jambes.
Sa prise de paroles m’étonna. Sa voix autoritaire, lui qui était si calme d’habitude, aussi. Cela m’excita et j’obéis, lui offrant une vue des plus intimes. Je le vis se mordre la lèvre, gémir d’envie. Je me sentais devenir humide. Il me demanda d’écarter les lèvres de mon sexe. J’étais fortement gênée, m’exposer de la sorte devant lui. J’hésitais, mais il insistait, l’envie se trahissant dans sa voix et je n’ai pas pu m’empêcher de satisfaire sa demande, lui offrant une vue de quelques secondes sur mon sexe rosé.
Alors, il se leva et de déshabilla. Il avait la quarantaine passée et le physique de ceux qui manquent un peu de sport, trahi par ses quelques kilos en trop. Je vis son sexe à moitié dur. Cela m’excita. Il s’approcha de moi et vint m’embrasser. D’abord surprise, je répondis avec passion à l’appel de ses lèvres. Sentir ses lèvres, sa langue...
Mes cuisses s’écartèrent de nouveau. Sa main se posa sur mon sein au téton déjà érigé par le plaisir. J’aimais la rudesse de sa peau, l’assurance de son toucher et rapidement, je sentis ses doigts se perdre entre mes cuisses. Il me caressait. Je gémissais. J’étais trempée. Le plaisir de mes jeux solitaires ou de mon expérience avec mon ancien petit ami ne m’avait jamais fait connaître cela. Son doigt glissa en moi. Je me sentais toute serrée. Cela ne faisait qu’alimenter mon envie. Debout face à moi, j’attrapai son sexe. Toucher enfin cet objet convoité envoya en moi une onde de plaisir. Je commençai à le masturber, maladroitement. Il sourit et m’ordonna de me mettre à genoux.
À genoux, devant son sexe tendu, je commençai à le sucer. Une main sur la base de son sexe alors que mes lèvres jouaient avec son gland avant de le prendre à moitié en bouche. Je prenais garde à ne pas mettre les dents. Alors que ma tête allait et venait sur son sexe, il glissa sa main dans mes cheveux, me poussant à l’avaler un peu plus profondément. Je dois vous avouer que j’aimais sa queue et que si j’avais pu, je l’aurais prise tout entière. Ma respiration devint un peu plus difficile de la sorte et après quelques mouvements, je le lâchai pour reprendre ma respiration. Je souris et le léchai sur toute sa longueur avant de le reprendre en bouche. Sa main se perdait dans mes cheveux alors que je reprenais mes mouvements de va-et-vient. Pendant une longue minute, avant de m’allonger à nouveau dans le canapé.
Il écarta mes jambes et s’y glissa entre. Je sentais mon sexe offert à sa vue. La gêne laissa place à une grande excitation. J’étais impatiente de découvrir ce qu’il voulait me faire. Sa langue lécha mon sexe déjà trempé, ses mains tenant fermement les cuisses pour que je ne les referme pas. Je le sentais titiller mon clitoris. Il savait s’y prendre et le plaisir m’envahit rapidement. Je n’arrivais plus à me concentrer. Ma respiration devenait plus lourde. Je gémissais, griffais le canapé. Je ne voulais qu’une chose : qu’il continue. Sa langue fouillait en moi sans aucune pudeur. J’étais au bord de l’extase. Je remontai mon pied sur son épaule, sentant sa langue avec plus de profondeur en moi. Je ne savais pas si j’allais encore tenir longtemps. Je n’avais jamais connu un tel plaisir. Sentir la langue de mon père en moi. Et plus il me léchait, plus il devenait affamé.
Il se redressa et prit mon polo au sol pour s’essuyer la bouche. Il se glissa entre mes cuisses et tenta de me pénétrer par petits coups de bassin. Je n’avais jamais senti un sexe aussi gros en moi. Je lâchai même un petit cri, entre douleur et surprise, lorsque, d’un mouvement un peu plus puissant, il se retrouva au fond de moi. J’avais désiré sa queue et j’étais en train de l’avoir. J’étais étroite. Ses mouvements étaient déterminés. Je ressentais à la fois une pointe douloureuse d’être ainsi écartelée, mais également beaucoup de plaisir de par l’acte en lui-même. Il me pénétrait sans vergogne, mais me faisait apprécier ce moment tout autant que lui. J’avais l’esprit complètement perdu.
Alors que je croyais qu’il ne pouvait pas me prendre plus profondément, il releva mes jambes. Ses mouvements puissants me firent lâcher quelques cris de pure extase. Je sentais mon vagin se détendre face à la grosseur de ce membre. Il se pencha sur moi, collé à mon corps et continua ses coups de reins. Je l’attrapai par la nuque alors que mon bassin, mû par le désir de ce moment, se mouvait à la rencontre de son sexe, rendant cette pénétration encore plus exquise. Je n’avais plus aucune retenue. Je faisais bruyamment retentir mon plaisir. Il vint m’embrasser avant que ses mouvements ne soient déchaînés. Je criais allègrement, subissant mon premier orgasme venant d’un homme. Mon père.
Il continua de me baiser, allant et venant en moi. Je ne m’étais pas encore remise de cet orgasme puissant. J’étais pendue à son cou, me laissant bercer par ce plaisir qui, à peine retombé, revenait fulgurant. Je le sentais prendre beaucoup de plaisir. Alors que mes gémissements reprenaient, il calma l’ardeur de ses reins pour m’embrasser la poitrine. Son sexe quitta l’antre de mes cuisses. Je compris qu’il voulait encore profiter de baiser sa petite fille quelques minutes supplémentaire et qu’il avait besoin d’une pause. Son sexe glissa à nouveau en moi. Ses mouvements reprirent. Profonds. Butant en moi, à chaque coup. D’abord lents, ses mouvements de va-et-vient devinrent plus rapides, presque bestiaux, tapant au fond de mon vagin avec rudesse. Sous cette emprise animale, il ne tarda pas à jouir en moi.
Il se releva et quelques minutes plus tard, j’entendis la douche couler. J’étais encore allongée, tremblante, le souffle court, le regard perdu dans le vide. Mes cuisses me faisaient mal et je sentais sa jouissance glisser le long de mon sexe. J’arborais un sourire béat.
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