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Sexe à papa

Chapitre 2

Pulsion

Inceste
Mon père. Il a suffi que je le voie nu, une fois, sous la douche, pour en être des plus excitées. Pensez-vous, peut-être, que c’était de l’amour. Cela n’en était pas. Loin de là. Du désir à l’état brut. Ce genre de désir qui fait que j’avais l’entrecuisse humide, rien que de penser à sa manière de me baiser, à sa façon de me prendre. Chaque lectrice comprendra, peut-être, je l’espère, de quoi je parle. Ce sentiment. Cette sensation. Une période de désir, une personne de fantasme. J’avais envie de coucher. Mon père me faisait fantasmer. J’avais baisé avec mon père. C’est comme une journée ensoleillée et très chaude. L’orage arrive. Sauf que celui-là m’avait laissée dans le canapé, le sexe souillé de sa jouissance, reprenant tant bien que mal mon souffle après cet ébat électrique. Mais est-ce qu’on a déjà seulement vu un éclair pourfendre le ciel de sa violence ?
Cela aurait pu en rester là. Tant lui que moi pouvions arrêter cela. Ne plus dépasser les limites du raisonnable. Du socialement acceptable. Mais l’a-t-on fait ? Avions-nous seulement pensé à cette idée ? Pourquoi se priver de choses dont nous prenions un malin plaisir de savourer ? Les jours passèrent, se ressemblèrent. Parti pour quelques missions dans le cadre de son métier. Je rentrais des cours, faisais mes devoirs. Telle une élève sérieuse, cliché de l’ange. Mais, lorsque je me déshabillais pour entrer dans la douche, je perdais toute pudeur, abandonnais cette auréole d’innocence qui n’était pas mienne. Sous l’eau chaude, ma main glissait entre mes cuisses en feu. Mes doigts se perdaient dans mon intimité, mon souffle se faisait de plus en plus court. Plus coupé. Plus haché. Je me remémorais sa langue entre mes cuisses, son sexe allait et venait en moi, sa passion enragée. Sans aucune retenue.
Il avait aimé me baiser, sa fille de dix-huit ans, me faisant jouir comme une petite catin. J’étais sa salope.
Le soir était tombé. Les jours s’étaient succédé. Lorsqu’il rentra, je sus que ça allait recommencer, que tout cela n’était pas un éclair perdu dans un ciel torride. Le bruit de la porte qui se ferme, un peu trop rapidement, un peu trop fort. Le sac de voyage qui tombe sur le carrelage de l’entrée, d’un peu trop haut, avec un peu trop d’empressement. Les pas lourds dans les escaliers de bois, faisant craquer le plancher. La poignée de la porte s’abaissa. La porte s’ouvrit. Il rentra. Je devins humide. Très rapidement. J’étais dans son lit, uniquement vêtue d’une petite culotte en dentelle. Blanche. Il ouvrit la porte. Son envie était visible, déformant son jeans. Son regard me détaillant. Je le voyais saliver à la vue de mes petits seins aux tétons dressés par l’excitation. Je me glissai un doigt, sous le tissu de mon sous-vêtement. Il dut capter ce geste, du coin de l’œil car je vis son regard descendre aussitôt entre mes cuisses. Un bruit de ceinture qui se défait.
La sensation d’un second doigt. Un soupir de plaisir, mon regard braqué dans le sien, comme une invitation à me prendre. Là. Tout de suite.
Il se déshabilla, à la hâte. Je pris un malin plaisir à retirer ce dernier rempart à ma nudité, avant de lancer l’étoffe dans la pièce qui alla rejoindre ses vêtements. J’écartai mes cuisses, lui offrant la vue sur un petit sexe légèrement taillé. Il s’allongea sur les couvertures. La chaleur de sa présence se fit ressentir. Je vins sur lui. Je ne voulais pas attendre. J’avais assez attendu. Il ne voulait pas languir. Sa semaine fut longue. Je sentis son sexe dur contre mon intimité moite, son gland frotter contre mon clitoris gonflé. Une sensation de pénétration de plus en plus puissante au fur et à mesure que je glissais contre lui. Aucun mot ne sortit de ma bouche. J’eus le souffle coupé, la tête penchée, l’esprit perdu. La sensation de sa queue m’avait manqué. Ce plaisir d’être ainsi prise, remplie. Je prenais appui sur son torse, montant et descendant. Des mouvements secs et hésitants qui devinrent de plus en plus souples et assurés face au plaisir grandissant.
Ses mains glissèrent sur ma poitrine, serrant mes petits seins dans ses grandes mains, les sous-pesant, les découvrant avec, à la fois, douceur et fureur. Et j’accélérai alors qu’il jouait de mon corps. Montant et descendant. Le sentant au fond de moi à chaque retombée.
Il en voulait plus. Nous en voulions plus. Je me mis à quatre pattes, les fesses cambrées, le corps et l’envie ainsi exposés. Il vint derrière moi. Il me donna une fessée. Je lâchai un petit cri avant de serrer les dents. Une puissance qui m’avait fait trembler de désir. Une certaine sauvagerie qui m’avait fait écarter un peu plus les cuisses. Il guida son sexe, sans aucune attente, en moi et je sentis rapidement ce membre me pourfendre à nouveau. Ses mains se posèrent sur ma taille alors qu’il commença de forts et profonds mouvements de va-et-vient. Déchirants. Son bassin tapait contre mes fesses. J’étais, en ce moment, la chienne de mon père. Les sensations se perdaient, s’entremêlaient, convergeaient, divergeaient. Mes seins se balançaient au rythme presque fou de ces mouvements. Mes sens étaient troublés. Mon père. Son souffle se faisait plus court. Plus bruyant. Ses soupirs se faisaient entendre.
Mes gémissements étaient passés d’une douce mélodie à un concert des plus tonitruants.
Je me cambrai un peu plus. Il prit plus d’appui sur une de ses jambes. Ses mouvements n’en devinrent que plus profonds. Je serrais fortement les draps sous la puissance de ses assauts. Chaque coup me faisant vibrer au rythme de son plaisir. Ses mains devinrent plus fermes, plus assurées. Je fermais les yeux. Il me baisait de la meilleure des façons. Je prenais un plaisir dingue. Il me poussa. Je m’allongeai sur le dos. Il vint sur moi. Ses cris se faisaient plus bestiaux. Il se branlait d’une manière déchaînée. Il se raidit. Jouissait. Je sentis sa semence atterrir sur mes seins. Je me mordis la lèvre.
Il tomba dans le lit. Ses bras vinrent s’enrouler autour de moi. Je fermai les yeux. Je ressentais de cette douleur après les coups les plus sauvages, un sourire de satisfaction sur le visage. Mes yeux se fermèrent. Sa respiration reprit un rythme moins déchaîné. Nous étions vendredi soir et devant nous, s’étendait un week-end. La volupté de la luxure caressa mes seins d’une brise réconfortante. Je ne le savais pas encore, mais ce week-end allait être des plus chargés et épanouissants.
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