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Sexe sur internet

Chapitre 1

Le commencement

Divers
Cela fait maintenant 6 mois que je me masturbe, face à ma webcam, pour le plaisir d’inconnus.
Mais aussi, et surtout, pour le mien.
Tout a commencé en décembre, il avait neigé toute la journée. En sortant du bus, vers 17:00, après les cours, je n’attendais plus qu’une bonne douche bien chaude. Je suis rentrée, ai salué ma mère et son nouveau mec et suis montée à l’étage, dans la salle de bain. Après m’être déshabillée, j’ai ouvert le robinet de la douche et me suis glissé sous l’eau qui était d’une chaleur réconfortante.
Tandis que celle-ci ruisselait sur mon corps, mes pensées divaguèrent. Je me mis à imaginer des trucs plutôt bestiaux avec un inconnu.
Je n’ai jamais vécu de traumatisme ou quoi, mais j’ai toujours eu envie de me faire baiser par un inconnu, voir plusieurs. J’ai même carrément l’envie de me soumettre totalement à un type que je ne connaîtrais pas. Drôle de fantasme, non ?
Quoi qu’il en soit, sans m’en rendre compte, j’ai commencé à me toucher. D’abord en me caressant la poitrine : mon petit bonnet B n’était pas très impressionnant, mais mes seins étaient ronds et bien fermes. J’ai ensuite délicatement stimulé mes mamelons qui sont d’un rose très clair. Après quelques secondes de stimulations, ma chatte bien épilée en réclamait également. Ma main descendit donc à son niveau et commença à chatouiller mon clitoris...
Je m’imaginais dans une allée sombre un soir d’hiver... : Il fait nuit, et je suis habillée d’un manteau noir, cachant une petite robe couleur taupe et de bas en dentelle. Mise à part la neige qui craque sous mes bottines, le silence est le plus complet. Après quelques mètres, concentrée sur le bruit de mes pas, je n’aperçois pas que l’homme qui vient de passer à côté de moi se retourne et fait demi-tour. D’un coup, celui-ci m’attrape par la taille et me retourne face à lui. Il se presse contre moi et son visage n’est qu’à quelques centimètres du mien.
— Bonsoir mademoiselle... Il est bien tard pour se promener, tu ne crois pas ?— Qu’est-ce que...
Il m’embrasse. Sa langue force le passage de mes lèvres. Je ne lutte pas. Son corps se presse encore plus fort contre le mien. Je sens son penis contre mon sexe. Je ne lutte toujours pas. Il me lâche et me regarde :
— Dis-moi... T’as l’air d’aimer ce que je te fais ?— Oui. — Petite salope.
Sur ce, il plante à nouveau sa langue dans ma bouche. Il me pousse contre un mur de briques, ses mains m’arrachent mon manteau qui tombe sur le sol. Il empoigne ensuite mes seins sans ménagement. La douleur que je ressens m’excite.
— Ta bouche m’a l’air parfaite pour me tailler la queue.
Il a dit ça contre mes lèvres. Il me force à m’agenouiller, pressant sur mes épaules. Je lui déboutonne son pantalon et retire son caleçon. Une énorme verge en émerge, comme si elle était sur ressort. J’aime les queues épaisses et longues : c’est toujours bon quand elles sont à l’étroit en moi...
— Lèche.
Je m’exécute. Je lèche, je suce, je masturbe. Et je me masturbe aussi pendant ce temps. Je n’arrive pas à l’avaler entièrement, il m’y force. Ma gorge n’a jamais accueilli une bite aussi profondément. Je l’entend respirer bruyamment. J’ai envie de sa queue en moi. D’un coup, il me repousse et me relève. Il arrache mon string en dentelle. Il m’empoigne par les fesses et me soulève. Sans avoir le temps de tout assimiler, il insère sa grosse queue en moi et...
Soudain, un flacon de shampoing s’écrasa à mes pieds. Je sursautais et ouvrais les yeux.
C’est à ce moment là que je m’aperçus dans le miroir de pied situé juste en face de la cabine de douche. Mes mains me baisaient. J’avais inséré 3 doigts en moi, je mouillais comme jamais.
Je ne m’étais jamais regardée entrain de me masturber. Pour quelle raison, je l’ignore.
Cette vue m’excitait terriblement. J’ai donc entrepris de continuer ma masturbation, mais les yeux ouverts cette fois-ci...
Je continuais à remuer mes doigts en moi. Mon autre main chatouillait mon clitoris. Dans le miroir, j’avais l’air... Bandante. J’avais retiré la buée sur la vitre de la cabine afin de mieux me voir. J’imaginais, toujours les yeux ouverts, cet inconnu me baiser... Ses ongles griffer mon cul... ses lèvres mordent mon cou... Soudain, l’orgasme fut renversant.
Je ne gémissais pas, je criais. Je n’avais pas les jambes légèrement tremblotantes, j’avais du mal à tenir debout. Ma respiration n’était pas un peu plus rapide que d’habitude, elle était complètement folle.
Des coups retentirent à la porte :
— Que se passe-t-il, Jade ? J’ai cru entendre crier !
C’était Evan, le nouveau mec de ma mère. Paniquée, je répondis :
— Oh, heu, rien ! Y’avait une araignée dans le lavabo ! Je l’ai eue !— Aha, je vois... On mange dans 10 minutes. Dépêche!
Après avoir enfilé mon pyjama (simple t-shirt XXL avec le logo du groupe “Nirvana” et un short gris), je descendis manger. Ma mère et Evan étaient déjà assis, ils m’attendaient.
— Comment a été ta journée, maman ?— Plutôt bien... Je risque de partir d’ici quelques temps pour un voyage d’affaires. Ce sera fin juin. Je reviendrai à la mi-juillet.
Ma mère, Joëlle, est directrice d’une grande enseigne de lingerie. Elle a des boutiques dans plusieurs pays, elle se déplace donc souvent pour les affaires. Elle poursuivit :
— Je ne serai donc pas là pour ton 19ème anniversaire. J’en suis désolée. Tu pourrais organiser une fête ici, dans le jardin, avec tes amis ? — Oui, j’y penserai...
J’avais la tête ailleurs. Je pensais à mon inconnu imaginaire et à tout ce qu’il pourrait me faire, plus tard dans la soirée, quand je serai allongée sur mon lit... Ou face à mon miroir.
Nous terminions donc le dîner. Evan et ma mère parlaient de choses et d’autres. En mangeant mes pâtes au pesto, cependant, je ne pensais qu’à me toucher. Ma chatte était à nouveau très humide et, en soulevant mon t-shirt discrètement, je m’aperçus que le gris clair de mon short était devenu très foncé à mon entre-jambes.
J’avais la chatte en feu.
Je finissais rapidement mon assiette et prétextais un mal de tête pour aller m’enfermer dans ma chambre.
À peine avais-je fermé la porte que mon short était à mes pieds. Un autre scénario me vint à l’esprit... À moins que cela ne soit une idée ?
Ce soir-là, il me fallut me masturber pendant plus de 40 minutes avant d’éliminer toute mon excitation. J’avais une idée...
J’allais me faire baiser par des inconnus. Ou du moins, j’allais leur donner envie de me baiser.
.....
La suite au prochain chapitre, si l’histoire vous plait, évidemment... J’attends impatiemment vos retours.
Milles baisers coquins, Wolfie.
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