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Sexnote

Chapitre 1

Science fiction

Hétéro
Cinq années de célibat total, à prendre des râteaux, à perdre totalement confiance, à m’enticher de la première fille avec laquelle j’échange quelques SMS, cinq années à me contenter de la masturbation et à m’addicter de plus en plus aux films pornographiques, développant une totale dépendance en la masturbation et un mécanisme psychique grave me poussant à imaginer toutes les belles filles que je vois sur ma queue, à regarder la poitrine et les fesses de chacune d’entres elles avant même de leur dire bonjour, je suis devenu un obsédé sexuel dont la solitude a rongé le charme et la confiance que j’avais étant jeune lycéen et enchaînant les petites copines toutes plus mignonnes les unes que les autres. À chaque soirée où j’étais invité je m’imaginais que je rencontrerai la perle rare, une confidente, un cœur à prendre; à chaque nouvelle étape de ma vie je croyais trouver ce graal. Et puis au fur et à mesure, mes sens se bousculèrent et laissant tomber l’amour je voulais avant tout faire l’amour, découvrir l’acte de chair.
  A 20 ans n’ayant pas encore fait l’amour et étant célibataire depuis mes 18 ans, ne trouvant personne j’engagea sur un site une escort girl, Eleana, une rousse dont les photos trompeuses montraient une véritable bombe mais la réalité se montra plus cruelle et Eleana avait de nombreux kilos en trop, même si son visage restait angélique. Elle su me donner du plaisir tout de même, me procurant ma première fellation, me chevauchant plusieurs minutes et me laissa jouir dans la position de levrette au bout de seulement dix minutes de sexe. Je parti honteux mais tout de même satisfait. Mais toujours aucune conquête et ce fut même de pire en pire car je devenais de plus en plus timide et névrosé, incapable de parler aux filles qui me plaisaient, je m’inscrivais sur des applis de rencontres mais n’obtenait aucun « match » ou ceux de filles tout aussi désespérées qui ne m’intéressaient pas. Je retourna deux fois dans la même année visiter une escrt, jamais la même. Tout cela était ridicule mais je n’arrivais pas à en sortir et je rentrais tout doucement dans une sorte de dépression.
  Tout changea le jour où seul dans mon petit appartement, allumant l’ordinateur pour regarder un nouveau film pour adulte, potentiellement après avoir vu une fille extrêmement sexy en jupe dans la rue, un énorme nuage bleu sorti de mon écran et « BOOM ! ». Je ferma les yeux et lorsque je l’ai rouvrit, je vis une créature bleue, entourée d’un halo lumineux : 
 « Bonjour !! Je me présente, je suis ton sauveur. Je te suis depuis longtemps et ta situation est désespérée gamin … Fais pas ses yeux là mon gars ! 
 - Désolé … euh … bonjour ? Répondis-je - Mais oui tu progresses dis donc ! Mais bon il nous reste tout de même du boulot avant que tu sois un don Juan mais bon … Je ne suis pas là pour ça !  - Je comprends pas tout … - Tu vas comprendre ! Je suis Lary, un génie du porno … un peu comme celui d’Aladin, me chuchota-t-il à l’oreille, mais en mieux.  - Un génie ?! Je ne comprenais rien à ce qu’il se passait, totalement déboussolé je me frottais les yeux. - J’ai un cadeau pour toi, un carnet : le sexnote. Tiens prends le !  - Qu’est ce que c’est ? Dis-je en saisissant l’objet. - Tu veux baiser ? Qui tu veux ? Quand tu veux ? Selon tes propres envies ? Ce carnet est fait pour toi ! S’exclama-t-il, Le principe est simple, lorsque tu vois une fille près de toi, tu n’as qu’à inscrire son prénom et son nom sur le carnet, le fermer et le tenir contre ta poitrine en pensant extrêmement fort à la façon dont tu veux quelle soit habillée, où tu veux le faire et quand ! La fille s’approchera de toi et comme un filtre d’amour elle suivra tes désirs comme si elle en avait envie ! Et le mieux dans tout ça ? Elle ne se souviendra plus de rien après ! J’insiste sur ce point ! Alors réalise tes fantasmes gamin ! » Et sans même dire un autre mot, il disparu dans le même nuage de fumée bleu et mon ordinateur grilla. Je venais de ne rien comprendre, je tenais ce cahier noir dans mes mains, mon ordinateur complètement grillé.
 Je ne croyais en rien à ce qui venait de m’arriver, je me dis qu’il fallait tout de même que j’essaye de cahier pour être sur. Je savais qu’une fille que je connaissais travaillait dans un bar près de chez moi. Bérénice, je m’étais très souvent masturbé en pensant à elle. Elle était arrivée en cour d’année en première au lycée, tout les garçons l’avaient remarqué si bien qu’en terminale elle hérita même d’un surnom peu glorieux, pourtant elle était très digne et n’était pas du genre libre et ouverte, bien que ses tenues extrêmement moulante et ses robes saillantes la rendaient régulièrement plus que désirable et provocante. Elle serait mon cobaye car j’ai trop souvent rêvé d’elle.  Je me rendis donc au bar, elle y était bien mais sa tenue n’était pas vraiment celle que j’espérais, un pantalon large, un haut peu sexy avec un tablier … mais je me rappela des paroles du génie qui disait que je pouvais choisir sa tenue en y pensant. Je marqua son nom et son prénom, ferma le bloc note et le serra fort contre mon poitrail, je pensais à elle, habillée d’une robe noire très légère et moulante, décolletée laissant apparaître sa délicate poitrine, juchée sur une paire de talons hauts, ses cheveux détachés et sa bouche vernis d’un rouge à lèvre vif; je nous voyais aux toilettes de son bar, partir lorsqu’elle m’apporterait ma boisson, elle devant et moi la suivant quelques secondes plus tard … je rouvris les yeux et je l’aperçus venant vers moi, un café dans les mains, habillées exactement comme je l’avais imaginé ! Quelle était cette magie ? Tout se produisit selon mon bon vouloir, elle parti et je la suivit, arrivé dans la cabine j’étais ultra stressé, extrêmement excité aussi ! Je réalisais l’un de mes fantasmes, j’ai tant rêvé d’elle aussi bonne et belle.
  Elle s’assit sur la cuvette et déboutonna mon pantalon puis me fit une pipe douce et absolument divine, marquant son passage de son rouge à lèvres, durant plusieurs minutes elle se délectait de ma queue et je luttais pour ne pas jouir tellement cela était bon. Je n’en pouvais plus, je la regardais habillée aussi élégamment et à la fois sexy, si belle et me procurant un tel plaisir, je n’en pouvais plus, je ne tenais plus, je vins malgré moi dans sa bouche. Au moment ou je lâcha toute ma semence dans sa bouche je fut envahi d’un sentiment de fierté, de plaisir intense, de jouissance extrême, j’avais tant fantasmé la dessus que je ne pouvais qu’être satisfait. Elle avala mon foutre, se leva et reparti faire son service en m’embrassant. Je parti quelques minutes après elle et en sortant du bar je lui dis :  « Au revoir Bérénice.
 - Ah tiens Victor je t’avais pas vu ! Comment tu vas ? Me repondit-elle »
Elle ne se souvenait plus de rien, même pas de ma présence. Un peu déçu tout de même je réalisa le pouvoir que j’avais entre mes mains, je pourrais coucher avec n’importe qui et aucun problème ne m’arriverait !  Je rentrais chez moi hyper heureux et en passant je me racheta un pc portable.
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