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Sexothérapie

Chapitre 1

Trash
Le soleil filtre à travers les volets avec la douce ardeur du jour naissant. Dans la pièce voisine, quelqu’un s’affaire à préparer le petit-déjeuner avec une gestuelle maîtrisée qui ne laisse entendre que de petits chocs de vaisselle et des frottements difficilement identifiables. Je viens d’arriver la veille chez des amis, dans ce petit village au bord de l’Atlantique, pour soigner une longue période de repli sur soi semi-dépressive qui ne m’a pas quittée depuis une douloureuse rupture amoureuse. La fin de cette passion violente m’a laissée KO debout. La chaleur est telle que je supporte à peine le petit short et la courte tunique sans manches en élégantes larges mailles noires que j’ai achetés la veille dans l’un de ces nombreux magasins d’accessoires de plage qui peuplent les routes menant à la mer. Cette tenue s’est imposée à moi comme une évidence lorsque je me suis vue dans la glace. Elle me fait paraître encore plus indécente que si j’étais totalement nue.
Elle exhibe mon sexe épilé mieux que bien, dessine avec précision la raie de mes fesses, souligne ma petite poitrine un peu mobile aux aréoles peu marquées et aux tétons rendus proéminents par le frottement incessant du tissu. J’ai à nouveau besoin d’exister dans le regard et le désir des autres, et je compte sur ces vacances pour y parvenir. J’hésite à sortir ainsi de ma chambre même si mes hôtes m’ont déjà vue dans le plus simple appareil. Et puis zut ! Pourquoi se refuser d’être aussi terriblement désirable ?
J’ouvre la porte et m’engage dans le couloir où je tombe nez à nez avec mon hôte, Luc, qui d’emblée me semble très impressionné par ma tenue. Après un long face à face silencieux, ses bras puissants me repoussent vers la chambre et, une fois la porte fermée, ses mains s’activent avec fébrilité sur mes zones érogènes. Je n’ai pas le temps de prendre conscience de ce qui se passe que me voici à quatre pattes sur le lit, ma tunique à l’envers enserre ma tête, mes épaules et mes bras, mon short est baissé au niveau de mes genoux. Je suis au comble de l’émotion. Mon entrejambe est humide lorsqu’un doigt, puis deux s’y engagent. Quelques va-et-vient plus tard, je ressens le besoin de m’écarter plus. Je repousse le short...et un doigt en profite pour migrer dans mon cul où, trempé, il entre profondément. L’autre est rejoint par l’un de ses frères. Une deuxième main prend le contrôle de mon clitoris qu’elle branle avec vigueur. Je savoure l’offensive.
Un filet de salive sort de ma bouche et coule sur l’oreiller. Un frêle ruisseau de cyprine serpente sur mes cuisses. Mes tétons sont devenus durs. Tout mon corps tremble de plaisir et de désir. Je ressens une tension extrême dans mes muscles. Je voudrais écarteler mes organes pour faciliter encore cette prise de possession de tout mon être. Je crois que je vais défaillir ! Je sens vaguement Luc me prendre dans ses bras et sortir de la pièce avant de perdre le fil...
Lorsque je reviens à moi, je suis nue, allongée sur le carrelage de la pièce à vivre. A genoux à côté de moi, Aline, compagne de Luc, me caresse en souriant. « Eh bien ! dit-elle, voilà une jolie fille en incroyable état de manque ! Il va falloir y remédier. » Un autre couple d’invités inconnus, sans doute arrivés ce matin, me regarde avec gourmandise depuis le canapé, puis s’agenouille lui aussi près de moi. Luc nous rejoint. Ce sont, maintenant, huit mains qui me pincent les seins, me caressent les épaules et le dos, me triturent le ventre, me pelotent bras et jambes, envahissent tous mes trous et taquinent ma langue...
Je me disloque pour les accueillir. Ils possèdent tout mon corps, recouvrent toute ma peau. J’ai l’impression de ne plus du tout m’appartenir. Ils décident de ma jouissance et je jouirai quand ils l’auront décidé. Je ne contrôle plus rien quand soudain, mon dos se cambre en arc de cercle et quitte le sol ; quand tout mon corps est secoué par l’influx nerveux comme s’il venait de toucher une ligne à haute tension. La bave sort en abondance de ma bouche envahie. Mon sexe, lui aussi habité, laisse jaillir un flot d’urine claire. Alors je pousse un long cri d’une extrême puissance qui doit retentir dans tout le village. Et je retourne frémissante au néant...
Mon troisième réveil est provoqué par l’odeur du café, les bruits de voix d’une discussion. Je reste ainsi, les yeux fermés, détendue. Mes compagnons parlent de moi en des termes qui m’offusquent autant qu’ils me rassurent. Il n’est question que de mes prouesses sexuelles, de ma capacité à me donner sans aucune pudeur ni retenue en toute circonstance. Ils identifient mon séjour comme une merveilleuse occasion de s’offrir à mes dépens des orgies de sexe. Je suis toujours allongée sur le carrelage, abandonnée par eux, sans que j’en perçoive la raison jusqu’à ce que...je ressente sur mes cuisses et mon ventre un curieux contact froid et humide. J’ouvre un œil. Un grand chien blond au regard amical renifle à mon entrejambe mes senteurs animales. Dès qu’il me voit consciente, il commence à me lécher les cuisses et le ventre avant de se mettre à laper mes liqueurs entre mes grandes lèvres. J’aime beaucoup cette nouvelle sensation.
Mon corps, encore excité par les épisodes précédents, donne à mon nouvel ami des gages du plaisir ressenti et s’ouvre à lui. Il le remarque et s’agite avec ferveur. Tout le monde s’est tu, et je perçois soudain que je suis encore en train de me donner en spectacle.
J’essaie donc de me soustraire à l’assaut. Je roule sur moi-même et me mets à quatre pattes. Lorsque je veux me relever, une grosse patte autoritaire se pose sur mon dos tandis que la truffe humide s’intéresse maintenant à mon fondement. Je me fige, obéissante. Il me hume longuement puis commence à me lécher les fesses. Lorsqu’il pousse sa langue dans ma raie du cul, mes jambes s’écartent de façon instinctive pour libérer l’accès à mon intimité. Mon compagnon de jeux érotiques peut maintenant, tout à son aise, détremper ma rosette et accéder à mon sexe. Sa langue trapue arrive peu à peu à pénétrer l’un et l’autre alternativement entre deux léchages. Mon dos se creuse sous l’assaut, et ma tête se relève fièrement. Je sens le plaisir monter à nouveau. Quelle salope je fais !
Qu’importe ! Laisse-toi aller ! Je suscite les applaudissements des spectateurs lorsque quelques hululements aigus commencent à sortir de ma gorge. Cela encourage le chien qui, au comble de l’excitation, finit par me « couvrir ». Au passage, ses ergots éraflent mes flancs. Il s’installe pesamment sur mon dos puis son long sexe fin pénètre profondément mes entrailles. Je sens son bassin et ses pattes arrière entre mes cuisses que j’écartèle encore pour m’adapter à lui. Dès qu’il est stable, bien dressé sur ses postérieures, il donne de grands coups de reins qui me bousculent autant qu’ils font monter d’un cran mon orgasme. Je hurle tandis que je sens sa queue gonfler et me dilater le vagin. Son sperme chaud coule doucement en moi. Il s’affale de tout son poids sur mon dos épuisé. Nous restons comme cela quelques longues minutes immobiles. J’aime le contact de son corps velu ! Puis, au prix de complexes contorsions, il se retourne toujours verrouillé à moi.
Nous voici cul à cul, toujours liés par nos sexes pour le plus grand plaisir des spectateurs qui éclatent d’un rire sonore. Ce que je ressens à ce moment est contradictoire : un mélange de honte et de fierté, un sentiment d’obscénité et un plaisir d’être ainsi exhibée, magnifiquement avilie, réduite à mon état bestial...Cela dure ! J’ai l’impression que cela ne va jamais se terminer, et pourtant, je me sens bien. Je ne suis vraiment qu’une chienne !
A partir de ce moment, mon bel animal devient mon garde du corps et me suit absolument partout y compris ma chambre, les toilettes, la salle de bains. Il ne cesse de respirer mes odeurs corporelles en tout lieu. Pendant les repas, il est sous la table et sa truffe ne quitte pas mon entrejambe. J’ai renoncé à la culotte pour rendre cela plus agréable. Aux w.c., son menton est posé sur ma cuisse. La nuit, il est au pied de mon lit et ne manque jamais à la fin de chaque période de sommeil de venir me humer et me lécher. Par contre, il ne me fait l’amour que sur le carrelage de la pièce à vivre, le plus souvent en public. Il aime sans doute exhiber notre relation hors normes. Si un de mes compagnons me touche, il émet un grognement amical, comme pour dire : « Elle est à moi ! ».
Lorsque nous nous promenons, je ne peux m’arrêter trop longtemps pour papoter avec quelques connaissances, car il ne sait résister au plaisir de humer mon cul ou de poser sa truffe puis sa langue sur mon sexe au risque de détremper ma vêture ou, en mini-robe, de découvrir mon bas-ventre libre de toute entrave.
Le matin de bonne heure, après un sommeil réparateur, je me risque parfois à l’emmener se promener sur la plage naturiste. Dès que j’ai posé mon maillot et mes chaussures, il est prêt pour le jeu. Nous courrons sur le sable humide, nous affrontons ensemble les vagues et les rouleaux, et nous séchons en profitant, côte à côte, du soleil du matin. Souvent, j’emporte un ballon pour m’amuser avec lui. Lorsque nous nous baignons, il ne cesse de me sauter aux épaules, ou de me pousser du museau pour me faire tomber dans les flots. Lorsqu’il y réussit, il me gratifie de joyeux aboiements. Au repos, le contraste entre sa somptueuse fourrure blonde et mon corps rougeoyant de soleil et son attitude d’attention excessive à mon égard attirent le regard des passants.

Par contre, lorsque ses maîtres ou mes hôtes me réclament un moment d’intimité, il va sagement se coucher dans la pelouse du jardin de notre résidence et s’endort. Luc, Aline et leurs amis sont aussi demandeurs que lui de ma complète et indécente soumission. Combien de fois ai-je dû, à l’heure de la sieste, accepter d’être prise en double par les garçons, ravie de sentir leurs deux sexes se caresser à travers mon fin périnée ? Combien de fois ai-je exulté sous leurs assauts sodomites, au milieu de la terrasse, au vu et au su du voisinage ? Leur jeu favori consiste à m’attacher nue à une petite table de jardin pour pouvoir plus facilement envahir ma vulve ou ma bouche sans même avoir à se déshabiller. Ils ne manquent pas, à chaque fois, de me couvrir de leur foutre et de me laisser ainsi de longues minutes exposée. Je les ai souvent sucés entre deux voitures sur un parking alors que je m’étais dénudée pendant le trajet pour mieux accepter leurs caresses intrusives.
Quant aux filles, elles ont fait bien pire dès qu’elles se sont retrouvées seules avec moi. Le jeu favori d’Aline consiste, après lubrification, à emplir mon cul et ma vulve de différents légumes de saison, puis de me prier, entièrement nue, de participer aux tâches ménagères. Je vous laisse imaginer le ridicule de mes douloureuses postures ! Pourtant, j’éprouve du plaisir à être ainsi fourrée et exposée à leurs regards lubriques. Elles m’ont exhibée, dans cet équipement, à quelques voisines mi-gênées, mi-ravies. Lorsqu’elles reçoivent pour le thé, je me glisse dans le plus simple appareil sous la table, mains liées dans le dos, pour dévorer toutes leurs chattes jusqu’à les amener les unes après les autres à l’orgasme. Elles combinent parfois les deux ce qui me permet de me forger une réputation de salope absolue dans tout le village. La nuit, je suis parfois réveillée par l’une ou l’autre venue me demander quelque privauté.
J’excelle dans le cunnilingus anal ou clitoridien au moins autant que dans la pipe.
Mais pourquoi, me direz-vous, te laisses-tu ainsi dégrader et avilir ? Tout simplement parce que c’est devenu pour moi le seul moyen de jouir. Sans l’humiliation et le regard réprobateur de ceux qui m’entourent, je ne ressens plus rien. Mon dernier amant, que j’ai idolâtré, m’a amenée tellement loin dans l’ignominie que celle-ci est devenue une deuxième peau. Lorsque quelqu’un (e) me plaît, j’ai envie que ma bouche s’occupe de son sexe sans même avoir fait connaissance. Je veux m’exhiber devant lui (ou elle) dans les pires attitudes pour l’inviter à se vautrer avec moi dans la fange. Quand je travaille, ma tenue idéale sous un tailleur strict est rien, nada, nothing, que dalle... une absolue nudité...prête à tout pour le sexe et la dépravation. Mais je m’égare !
Si tu le souhaites, cher lecteur, je t’offrirai peut-être, dans un prochain texte, le récit de nos bains de mer, de nos randonnées en vélo, de nos promenades en bateau et de nos incroyables obscénités en plein air...Si tu le souhaites !
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