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Sexy Univers

Chapitre 2

La forêt érotique

Divers
Sorana et Maxime se dirigèrent vers le palais à la rencontre du roi du royaume d’Eros. Il s’agissait d’un homme grand, moustachu, brun.
— Majesté ! Que s’est-il passé ?— Vous venez pour ma fille ? Elle a disparu soudainement, je vous laisse aller fouiller sa chambre, je n’y ai pas encore été, dit-il la mine triste.

Ils montèrent au deuxième étage, et ouvrirent une porte dorée, ils virent une femme en lingerie en dentelle. Elle était rousse avec des cheveux tressés, ses sous-vêtements étaient blancs. Elle était attachée au lit et recouverte de lubrifiant.
— James ! Hé, mais vous n’êtes pas James !?— Qui est James ? demanda Maxime.
Sorana caressait les lèvres de la femme sur sa culotte.
— Ces petites lèvres roses sont si mignonnes... dit-elle avec excitation.
Elle rougit et frémit un peu.
— Pouvez-vous arrêter et me détacher s’il vous plaît...— Oui bien sûr ! dit Maxime qui la détacha aussitôt.— Qui es-tu et que fais-tu ici ? demanda Sorana à la jeune femme en pelotant sa poitrine d’une voix sensuelle.— Vous pouvez arrêter... demanda-t-elle rougissant. Je suis la servante de la princesse Adélaïde. J’avais invité un ami... Il n’est jamais venu, on dirait, pourtant il arrivait, dit-elle déçue.— Et la princesse a été enlevée ! déclara Maxime. — Oh non ! Tout est ma faute ! dit la servante, les larmes aux yeux.— Mais non... la rassura Maxime en passant ses bras autour de ses épaules.— Je sais comment la consoler Maxime... Laisse-moi faire, dit Sorana en souriant.


Elle rattacha la servante qui se posait des questions et caressa doucement son vagin, la faisant frémir. Elle baissa sa culotte et embrassa son entrejambe puis commença à lécher. La servante gémissait, elle était toute rouge. Sorana rentra sa langue dans la chatte de la servante et la lécha, elle gémissait et bougeait dans tous les sens. Maxime se branlait en regardant la scène, Sorana se tourna vers lui en le regardant d’un air coquin tout en doigtant la servante.
— Mets-la dans sa bouche gros beta, lui dit-elle.
Sorana lécha les lèvres de la servante et mordilla son clitoris. Celle-ci était aux anges, elle suçait Maxime en léchant sa verge. Il allait éjaculer, mais il sentit des bras le retirer. Sorana avait arrêté.
— T’aimes bien chauffer les gens toi ? lui dit-il.— Regarde mieux.

La servante avait une peau brune avec des poils, des yeux verts et des moustaches ainsi qu’une queue de chat.
— Quoi ?! cria Maxime.— C’est une créature surprenante n’est-ce pas ? dit Sorana. Une féline.
La servante était toujours attachée, elle essayait de défaire ses liens.
— Elle doit se concentrer pour ressembler à une humaine sinon elle redevient ce qu’elle est. Je suis sûre que James fait partie de sa race.— Oui, James et moi sommes amants depuis longtemps ! J’ai prêté allégeance au roi, car mon père voulait me marier à un orc... Tout est ma faute. Détachez-moi et je vous aiderai à le retrouver, mais il n’y est sans doute pour rien.

Sorana et Maxime la détachèrent et partirent à la recherche de James. Leur royaume se trouvait sur une île, tout à l’ouest du continent.
Le roi leur prêta des chevaux et ils partirent directement. Plusieurs heures après, ils arrivèrent dans une forêt, un homme de la même espèce que Mathilda, la servante, était ligoté à un arbre. Il ressemblait à un homme-chat aussi, roux et blanc.
— James c’est toi ?!— Oui ! Détache-moi !
Mathilda s’exécuta et le libéra. Elle déposa un baiser sur ses lèvres.
— Que s’est-il passé ?— Ton père a envoyé des orcs te rechercher avec moi... Ton apparence humaine est presque celle de la princesse alors je l’ai kidnappée, mais tout ne s’est pas passé comme prévu. Les orcs l’ont enlevée pour la ramener chez eux !— Oh non... Tout est de ma faute, sanglota Mathilda.— Mais non Mathilda, mon amour. Nous allons les retrouver et nous fuirons votre père comme nous l’avons toujours fait.— Je t’aime James.

Ils s’enfoncèrent dans la forêt, les arbres avaient des formes étranges presque humanoïdes et leurs branches semblaient être des verges. Et les fleurs ressemblaient à des vagins, des rochers ressemblaient à des seins. Maxime toucha une fleur jaune qui lui fit penser à un vagin. Soudain , son pantalon tomba et la fleur goba sa verge.
— Les gars ! Aidez-moi !— Oh ! J’y suis ! Nous sommes dans la forêt érotique ! Chaque être ici aime le sexe ! Maxime, cette plante veut juste ton sperme ! cria Sorana.— Mais j’aime pas ! C’est si étrange !
Aussitôt qu’il finit sa phrase, la fleur suçait plus lentement et des petits filaments caressaient sa queue, ce qui lui donna beaucoup de plaisir. Il entendit des petits cris venant de derrière. Il se retourna et vit un arbre enculer Sorana, celle-ci était presque en transe et se cambrait dans tous les sens.
— Ça va Sorana ? s’inquiéta Maxime.— Oh oui ! Je me fais... Hmm ! Démonter le fion par un arbre ! Hmm ! Sorana allait visiblement jouir.
Sorana gémit de plus en plus fort, couvrant les bruits venant de l’autre côté. Elle se doigtait pendant que l’arbre la sodomisait. Pendant ce temps, une nymphe des bois, une femme recouverte de feuilles, aux longs cheveux verts avait pris Mathilda avec des lianes, elle lui en enfonçait dans le cul et lui caressait les seins en mordant son cou. Elle fit signe à James de venir, celui-ci prit sa copine par les jambes et la pénétra, elle criait de plaisir. La nymphe envoya des lianes branler James pendant qu’il baisait Mathilda. Mathilda gémissait et criait de plus en plus, elle était trempée.

Sorana eut un violent orgasme et fut couverte de sève, elle claqua des doigts et reprit une apparence plus "propre". Elle coupa la fleur tenant Maxime et caressa sa queue un petit peu avant de s’arrêter.
— Merci... On fait quoi pour eux ? demanda Sorana.— La nymphe risque de nous avoir ! Partons !— Ça a l’air sympa, dit Maxime en souriant.— Mais c’est dangereux, tu sais qu’on peut mourir de plaisir ?— Ça doit être une mort magnifique !— Pas ici... Nous possédons une libido bien plus élevée et c’est ce qui peut nous rendre déprimés... Si nous ne baisons pas, nous pouvons tomber en dépression et si on prend trop de plaisir, notre libido peut nous tuer. Certains tiennent bien plus... Wow !
Devant eux se tenait un centaure qui bandait énormément. Il était énorme, musclé avec une longue barbe.
— Hé jeune fille, peux-tu m’aider ? dit-il à Sorana.— On doit y aller... dit Sorana en rougissant.— Attendez, les centaures ont des armes non ? demanda Maxime.— Effectivement jeune homme.— On a deux amis pris au piège par une nymphe...— Si la jeune fille m’aide, je vous aide, dit-il en souriant.— Je mouille là... dit Sorana avant de se transformer aussi en centaure avec une énorme poitrine.
Elle s’abaissa, le centaure frotta d’abord son engin entre ses fesses et le rentra, lui faisant pousser un petit cri de douleur. Le centaure la pénétrait de plus en plus vite et fort, la faisant crier. Il éjacula, la faisant redevenir normale, étalée sur le sol, haletante.
— Sorana, ça va ? demanda Maxime.— C’est la première fois que j’ai deux orgasmes le même jour...— A présent, j’accepte de vous aider ! déclara le centaure.

Maxime aida son amie à se relever et ils se dirigèrent vers la nymphe qui était toujours occupée avec James et Mathilda. La jeune féline était trempée et hurlait de plaisir. Le centaure tira une flèche sur la nymphe, celle-ci fut irrésistiblement attirée par lui et libéra les deux amoureux.
— C’était si bon ! J’aurais aimé continuer ! déclara Mathilda en reléchant ses doigts.— Désolé ma belle, mais il faut y aller, lui dit James.— Par où doit-on aller ? demanda Maxime.— On doit encore s’enfoncer dans la forêt ensuite, nous devrons aller dans un monde moderne.

Ils s’enfoncèrent tous les quatre dans la forêt. Ils arrivèrent dans une ville tout à fait moderne avec des voitures, des maisons modernes et des prostituées.
— Sorana, ce sont des prostituées ?— Oui, mais n’y allons pas, c’est plus des esclaves... Je préfère les chaudasses libres, dit-elle en souriant.— On doit retrouver la princesse je vous rappelle, dit James.— Il fait nuit, on n’arrivera à rien, attendons la journée ! dit Mathilda.— Il y a un hôtel pas très loin, dit Sorana, allez-y, moi j’emmène Maxime dans un lieu magnifique...
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