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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 9

ShaMa - introduction, soumission, contusions (3)

Hétéro
Samedi.J’ai beaucoup pensé à ce qu’il s’est passé hier soir, cette séance de baise avait été hors norme et toutes les questions que je m’étais posé une fois fini, je me les pose encore aujourd’hui et, comme hier, toujours aucunes réponses à l’horizon.Jenny et Shama, deux nanas avec qui je bosse depuis plus de 3 ans et dont, à aucun moment, je n’avais soupçonné les vices, la palme revenant quand même à la belle indienne à tendance SM friandes de gifles et autres tortures. Il faut à tout prix que je lui parle pour en savoir plus, ne serait-ce que pour la curiosité de connaître l’origine de cette adorable passion. Elle n’a pas découvert ça subitement avec moi, ça c’est certain, elle a été initié, et je veux savoir quand, par qui, et comment. Mais au-delà d’une curiosité certaine, c’est aussi parce que malgré le fait qu’au fond de moi, je me sens quand même un peu mal de l’avoir à ce point violenté, et ce même si elle le désirait ardemment, j’ai malgré tout pris un plaisir immense à faire cela. Jamais je n’ai effleuré l’idée de me lancer dans ce genre de pratique, que ce soit en tant que dominant, et encore moins en tant que dominé au vu de ma réaction lorsqu’elle m’a giflé - je ne pourrais pas en supporter plus sans me mettre en rogne et finir par taper sur tout ce qui bouge !! - mais voilà, le fait d’avoir une femme soumise à ma volonté à ce point m’a transcendé, j’ai ressenti un surplus de plaisir et d’excitation affluer en moi tout au long de l’acte, un peu comme si je venais de baiser pour la première fois.
À 36 ans, j’en découvre encore sur moi et ma sexualité, et ça, c’est bien – encore – à Jenny que je le dois, Jenny qui, du jour où j’ai sorti ma queue devant elle dans son bureau, n’a plus jamais relâché son étreinte sur moi, continuant de rythmer ma vie et d’y mettre un bon gros grain de folie.Pour cette journée, je décide d’en profiter pour faire un peu de sport (sans baise cette fois!!!) et je me fais une belle sortie à VTT avec des amis. La journée se passe très bien et je la finis épuisé devant un bon film. Je suis étonné que Jenny ne m’ait pas appelé pour savoir comment ça s’était passé avec Shama. Sans doute a-t-elle fort à faire au travail, mais je ne me fais de soucis sur le fait que lundi au plus tard, elle va me bombarder de questions !!
Dimanche.Je suis confortablement couché dans mon lit, émergeant doucement et profitant du fait que l’on soit dimanche pour flemmarder. Il est à peine plus de 9h, j’ai encore le temps de profiter de la chaleur de mes draps. Soudain, la sonnerie de la porte retentit et je me redresse brusquement sur mon matelas.Bordel, mais qui vient sonner un dimanche matin à 9h ?? La sonnerie retentit à nouveau et je finis par me lever de mon lit pour me diriger vers la porte. Je jette un œil au judas, personne, même s’il me semble entendre du bruit sur le palier. Si c’est des gamins qui font les cons, ils vont m’entendre !! J’ouvre la porte et à peine celle-ci fut grande ouverte que quelqu’un vient sauter devant moi en criant, me faisant sursauter. Cette personne est habillée avec un équipement entier de moto, chaussures, pantalon et veste en cuir, gants et casque avec visière fumée, des cheveux dépassant de celui-ci. Il me semble que…
— Jenny, c’est toi ??
Elle ouvre la visière.
— Yes !!!— Mais qu’est-ce que tu fous habillée comme ça ?— Ben j’ai un équipement de moto, je t’avais dit qu’une copine me le passerait, tu t’en souviens pas le poisson rouge ??— Si, je m’en souviens très bien, mais pourquoi tu le portes là ? T’es venue à moto ?— Non, en voiture, mais j’allais pas venir avec pleins de tenues différentes, je l’ai mis directement et puis comme ça au moins, je me suis dit que si Shama était encore là et qu’elle me voyait, elle me reconnaîtrait pas !! D’ailleurs, elle est là ?— Euuuh, non, elle est pas là ;— Super !! Je crève de chaud là-dessous !!
Elle enlève son casque et rentre dans l’appartement. À côté de moi qui suis encore à moitié dans les vapes, Jenny est une vraie pile électrique, aussi réveillée qu’on peut l’être !!
— Alors, tu me trouves comment ?
Elle se met à tourner sur elle-même pour me faire admirer sa tenue. Elle lui va à merveille, elle est diablement sexy tout de cuir vêtue, le pantalon, peut-être un poil trop grand, moulant malgré tout très bien son cul. C’est d’ailleurs la seule chose que je trouve à lui dire :
— T’as un beau p’tit cul…— Ah ah ah, oui, t’as remarqué aussi !! C’est vrai que j’aime bien le cul que ça me fait !! dit-elle en se regardant les fesses ; Mais attends, c’est pas tout, regarde…
Elle se met à baisser la fermeture éclair de sa veste jusqu’à venir dévoiler une bonne partie de sa poitrine emprisonnée dans un soutien-gorge noir qui remonte parfaitement ses seins. Elle s’arrête de baisser sa fermeture jusqu’à laisser apparent un décolleté plongeant de toute beauté.
— Ça te plaît ? Ose-t-elle me demander ;
J’acquiesce de la tête, mon regard collé à cette vue magnifique.
— Si jamais t’as un accident fringué comme ça, c’est les services de secours qui vont être content !— Tant mieux, l’uniforme, ça m’excite !! me répond-elle en me lançant un clin d’œil ;— Mais dis-donc, y en a pour un sacré paquet de fric avec cet équipement, il s’est pas foutu de la gueule de ta copine son ex !— Oui, il était très amoureux !! dit-elle avant de partir d’un rire franc.
Jenny est pleine d’énergie, contrairement à moi qui suis un peu amorphe, debout et à moitié à poil, en train de la regarder se trémousser dans sa tenue de motarde. Même si ça a quelque chose d’excitant, rien que de la voir s’agiter, elle me fatigue encore plus…
— Alors, comment ça s’est passé ? Raconte !!! me dit-elle en m’agrippant le bras et en commençant à me secouer ;— Ooooooooh, mollo s’il te plaît, détends-toi, tu vois pas que je suis encore à moitié endormi ??— Bon, assieds-toi là !!
Elle me traîne jusqu’au canapé.
— Moi, je vais te préparer le meilleur café du monde pour bien te réveiller, et toi, tu vas me raconter tout ce qu’il s’est passé vendredi soir, ok ??— Tu vas me préparer le meilleur café du monde ?— Le meilleur !!— Avec une dosette de Tassimo ? T’es sérieuse ?— Euuuh, certes…. Mais un café Tassimo servi sur un plateau par ta patronne habillée full cuir avec un beau p’tit cul et un décolleté de folie, ça peut bien en faire le meilleur café du monde, non ?
Argument imparable.Elle va donc me faire un café et je lui raconte tout ce qu’il s’est passé vendredi, sans omettre le moindre détail. Son visage passe par tout un tas d’expressions différentes, de l’excitation à l’étonnement, en passant par le rire quand je lui raconte les différentes gifles et autres griffures que Shama a pu me faire.
— Je te crois pas… Tu jures que t’es pas en train de me raconter des conneries au moins ??— Ben oui, je vois pas pourquoi j’irais inventer ça !!— Montre-moi ta fesse, je veux voir de mes yeux !!
Je soupire.
— Alleeeeez !!!
Je me lève et lui montre ma fesse meurtrie. Elle éclate de rire en voyant les quatre belles traces d’ongles encore visibles sur ma peau. Elle passe son doigt dessus :
— Roh la pouffiasse, elle y est pas allée de main morte !! Ça te fait mal ?— Non, ça va, elle m’a pas planté un couteau non plus hein !!— Et rassure-moi, elle t’a pas arraché les couilles au moins ? Dit-elle avant d’aller empoigner mon paquet à travers mon boxer, me faisant tressauter ; Non, ça va, tout est encore là !!
Jenny est surprise par mon histoire, mais semble aussi fortement intéressée, tout comme moi au final.
— Mais elle est partie comme ça, sans rien dire ?— Oui, elle est partie en quatrième vitesse et puis voilà ;— Pourquoi tu l’as pas retenue, ou appelé après ?— Je l’ai pas retenu parce que sur le coup, j’étais aussi un peu paumé, et je l’ai pas rappelé parce que je veux pas non plus la harceler. Je laisse passer le week-end et je verrais demain déjà comment elle va se comporter ;— Il faut ab-so-lu-ment que tu en saches plus sur tout ça !! J’ai jamais fait de truc trop SM mais c’est quelque chose que je me suis toujours dit qu’il fallait que je teste un jour !!— Si tu veux, je te file une rouste hein !!— Amuse-toi à me toucher comme ça, tu vas voir tes couilles !! Quoique c’est vrai que t’aime bien me mettre des gifles sur les fesses parfois…— Je peux t’assurer qu’à côté de ce que je lui ai mis, c’est des caresses que tu as subi…— Et c’est très bien, change rien !! Je ne me vois pas du tout me soumettre mais je me vois bien soumettre quelqu’un comme ça… dit-elle avec un air presque sadique. Mais t’as kiffé ?— Ben étonnamment oui, ça m’a bien plu, je sais pas trop pourquoi…— Maître Florian, ça ferait classe qu’elle t’appelle comme ça non ?— Oui, toi aussi tu peux m’appeler comme ça si tu veux…— Bien sûr. Et une petite pipe avec ça ?— Si c’est si gentiment proposé…
Elle se rapproche alors lentement de moi et commence à me caresser le sexe à travers mon sous-vêtement. Elle vient effleurer ma bouche de ses lèvres avant de se décaler vers mon oreille, de m’en lécher le lobe et de me chuchoter :
— Je suis ta patronne, donc un peu aussi ta maîtresse, et ta maîtresse t’ordonne d’aller te préparer pour l’emmener faire un tour à moto. Et si et seulement si ce tour me satisfait, tu auras peut-être droit à un petit moment de détente à notre retour…
Elle se redresse, non sans être d’abord repassée par mes lèvres pour les effleurer de sa langue.
— C’est vache ce que tu fais là Jenny…— Je sais !!
Elle m’adresse un clin d’œil suivi d’un grand sourire, fière d’elle de me faire rager !Je vais donc m’habiller et nous partons faire cette balade à moto.Nous faisons un beau tour, passant au pied de la Sainte Victoire avec de bifurquer vers la Sainte Baume, ensuite direction le bord de mer où nous nous arrêtons pour manger, puis retour chez moi en longeant la côte. Jenny a l’air satisfaite au vue de ses rires et de ses manifestations de joie à différents moments. Et je confirme que sa tenue la met parfaitement en valeur si j’en juge par les regards appuyés des hommes, et même des femmes, qu’on a pu croiser lors de nos différents arrêts. Elle ne semble pas gênée, bien au contraire même, en rajoutant en se cambrant plus que de raison une fois assise derrière moi et en ouvrant la fermeture éclair de sa veste très largement lors de nos arrêts - « pour aérer, il fait chaud !! » dit-elle – dévoilant ainsi, au grand bonheur des hommes qui l’admiraient plus ou moins subtilement, son magnifique décolleté. Elle aime ça se faire mater, exciter l’imagination des hommes et faire maronner les femmes, elle adore en jouer et ne s’en prive pas !! Étant un homme, forcément, je suis moi aussi excité, mais à ça il faut rajouter le fait que mademoiselle ne se gêne pas pour venir me caresser l’entrejambe dès que possible, parfois en roulant mais surtout à l’arrêt, au feu rouge par exemple, où je suis quasiment sûr que certains automobilistes ont remarqués son petit jeu.
Je la laisse faire, faisant mine de rien, mais étant quand même de plus en plus excité. Inutile de préciser à quel point j’ai hâte de rentrer…Une fois chez moi, je remarque que je ne suis pas le seul à avoir été échauffé par cette virée. À peine rentré, Jenny pose tout son équipement – pantalon et veste compris – sur le canapé, restant en lingerie, avant de se diriger vers la salle de bain, n’oubliant pas de me jeter un regard plus qu’appuyé avant de rentrer dans la pièce. Cette fois-ci, je ne ferais pas la même erreur que l’autre fois, et je compte bien la rejoindre !! Je me déshabille à mon tour et pose toutes mes affaires dans ma chambre avant de filer la rejoindre. Elle est déjà sous la douche et elle m’accueille en venant m’embrasser fougueusement tout en lançant sa main vers mon sexe déjà bien formé. Il ne tarde d’ailleurs pas à durcir sous les caresses de ses doigts, finissant rapidement par devenir bien dur et droit. Nous nous mettons tout deux à nous enduire de gel douche, cela servant plus à nous caresser mutuellement qu’à nous laver. Je me fais un plaisir de faire glisser mes doigts dans chaque recoin de son corps et bien sûr, elle se laisse faire, gémissant de satisfaction lorsque mes doigts s’attardent sur ses zones les plus érogènes.
Une fois que nous sommes rincés, elle vient se mettre à genoux puis commence à me sucer délicatement, dégustant ma queue arrosée par une fine pluie chaude venant du pommeau de douche. Je déguste ce moment quand soudain, il me semble entendre une sonnerie. Je viens alors couper l’eau pour mieux entendre, le seul bruit restant étant celui de succion de Jenny s’occupant de ma bite.
— Pourquoi tu arrêtes l’eau ? Me demande-t-elle avant de remettre ma queue dans sa bouche ;— Il me semble avoir entendu un bruit…
À peine ai-je fini ma phrase qu’une nouvelle sonnerie se fait entendre, c’est celle de la porte d’entrée !!
— Merde, mais qui c’est qui sonne encore !!— T’attends quelqu’un ? Me demande Jenny tout en se relevant ;— Ben non, personne ! Bon attends ici, je vais voir.
Je sors de la douche et enroule une serviette autour de ma taille en essayant de dissimuler comme je peux ma violente érection. La sonnerie retentit encore une fois et je crie « J’arrive !! » avant de sortir de la salle de bain et de prendre la direction de la porte, essayant de ne pas glisser sur le chemin. Je regarde à l’œilleton, et qu’elle n’est pas ma surprise d’y voir Shama !!Mais qu’est-ce qu’elle fout là ??Je reste la main sur la poignée de la porte à réfléchir quelques secondes avant de prendre la décision d’ouvrir. De toute manière, elle m’a sûrement entendu crier donc inutile de rester silencieux maintenant. Une fois la porte ouverte, Shama me sourit, non sans être étonnée de me voir enroulé d’une simple serviette.
— Salut Flo, je te dérange peut-être, tu n’es pas seule ;— Euuuuh, si si, je suis seul, en fait j’étais en train de prendre une douche, je viens de rentrer d’une balade à moto avec des amis ;— Ah d’accord.
Nous restons là à nous regarder, Shama toujours sur le pas de la porte en train de me sourire et moi la regardant en tenant ma serviette histoire d’éviter de finir à poil devant elle (même si j’ai l’intuition que cela ne la dérangerait pas…). Après quelques secondes, elle me dit :
— Je vais te laisser peut-être, tu as l’air occupé, je veux pas te déranger ;— Non non non non non, désolé, tu ne me déranges pas, c’est juste que je suis un peu étonné de te voir, je ne m’y attendais pas du tout !— Oui, je me doute. Je devrais pas être là normalement mais mon mec a été appelé pour un transport de dernière minute jusqu’en Pologne, du coup il n’est pas là pendant deux ou trois jours, donc je me suis dit que ça serait bien qu’on discute de ce qu’il s’est passé vendredi avant qu’on se revoit demain au travail, histoire qu’on se sente pas trop mal à l’aise l’un envers l’autre ;— D’accord, d’accord… Ben écoute rentre, je t’en prie !! Désolé pour le bordel, j’ai pas eu le temps de ranger !!— C’est pas grave t’inquiète pas !
Je la fais asseoir à la table, le canapé étant encombré des affaires moto de Jenny. Je prends soin de la placer dos au couloir, de manière à ce qu’elle ne risque pas de voir ce qu’il pourrait s’y passer.
— Tu veux boire quelque chose ?— Non merci ça ira ;— Ok. Laisse moi deux minutes, je vais m’habiller et je reviens ;— Pas de problèmes, vas-y !
Je prends la direction de la salle de bain et au moment où je rentre dans celle-ci, Jenny, qui est debout couverte d’une serviette, sursaute en me voyant.
— Qui c’est ? Me demande-t-elle en chuchotant ;— C’est Shama !— Quoi ?!? Shama ?? Mais qu’est-ce qu’elle fiche ici ??— Elle veut parler de ce qu’il s’est passé vendredi apparemment ;— Mais pourquoi tu lui as ouvert espèce de débile ??— Elle m’a sûrement entendu gueuler, j’allais pas faire le mort !!— Ben fallait lui dire que t’étais pas seul !!— Je me voyais pas lui mettre un rebond de ce genre après ce qu’on a fait vendredi, et puis elle veut m’en parler, tu devrais être contente toi qui veut ab-so-lu-ment en savoir plus sur tout ça !!— Oui, mais pas quand je suis à poil au milieu de ta salle de bain !!— Écoute, maintenant elle est là, je vais pas la virer à coups de pied au cul, si ??— C’est toi qui en mériterais des coups de pied au cul !! Bordel, si elle me voit ici, ça va être la merde !!— Y a pas de raison qu’elle te voit, tu vas rester là, moi je vais aller lui parler, et puis voilà !— Et si jamais elle veut se rafraîchir ??— Se rafraîchir de quoi ? Elle est venue parler, pas prendre une douche !!— Et si jamais ??— Bon, ok, alors tu vas aller dans ma chambre et…— Mais…— Mais quoi encore ?? Promis, si elle veut faire un somme, je l’installe sur le canapé !!— Et si elle veut baiser ??— Et bien je la baiserais dans le salon, comme l’autre fois !! Allez, arrête de discuter sinon elle va finir par débarquer ici et te surprendre !! Allez, vas-y !!— Elle risque pas de me voir passer ?— Normalement non, je l’ai installé dos au couloir ;— Normalement ?? Alors pour que je traverse ce couloir, il va me falloir du plus solide que du normalement !!— Ok, ok, je vais y aller et dès que je suis avec elle et qu’on commence à discuter, tu y vas, ça te convient ?— Non !! Mais j’ai pas le choix donc go !!
Je vais dans ma chambre pour enfiler un bas de survet’ et un t-shirt.
— J’arrive Shama, désolé !!— Oui oui !!
Je sors de la chambre et en passant devant la salle de bain où Jenny est toujours debout couverte de sa serviette, je jette la mienne à ses pieds, geste qui ne manque pas de la faire grommeler.Je rejoins Shama dans le salon.
— Voilà, excuse-moi, j’arrivais pas à mettre la main sur mes affaires !! T’es sûre que tu veux rien boire ?— Non merci, vraiment !— Ok !! Bon, ben je t’écoute, tu veux qu’on parle de ce qu’il s’est passé vendredi alors.
Du coin de l’œil, je vois Jenny se précipiter silencieusement dans ma chambre, le corps enroulé de sa serviette. Bon, voilà une bonne chose de faite, je vais pouvoir me concentrer sur ce qu’a à me dire Shama, car même si la situation est quelque peu périlleuse, j’ai malgré tout très envie d’avoir le fin mot de tout ça !!
— Oui, je voulais déjà m’excuser d’être un peu partie comme une voleuse. J’aurais sans doute dû rester mais sur le coup, partir m’a semblé une bonne idée ;— Non, t’as pas à t’excuser, ou alors il faut que je m’excuse moi aussi de ne pas t’avoir retenu. Le moment était un peu « spécial » et je pense qu’on était un peu paumé tous les deux ;— Oui, sans doute. Et puis…
Shama baisse la tête avant de reprendre sa respiration, de la relever et de continuer :
— Je voulais aussi m’excuser pour les gifles, griffures, morsures, enfin, toutes ces choses que j’ai pu te faire.
Je regarde Shama en silence. Elle est vraiment en train de s’excuser ??
— Tu… Tu t’excuses de m’avoir fait tout ça ?— Oui… Désolé…— Mais… Shama, je… Je t’ai fait dix fois pire de mon côté !!
Elle rigole en baissant de nouveau la tête, puis en la relevant, l’air presque détendu :
— Oui, mais la différence, c’est que moi j’ai l’habitude. Enfin, j’avais l’habitude. Enfin, je pensais ne plus l’avoir mais en fait, je l’ai encore apparemment, dit-elle en me souriant ;— D’accord… Tu m’expliques ?
Elle prend une grande inspiration avant de se lancer.
— Il y a 8 ou 9 ans de ça, j’étais en colocation avec une nana qui est devenue rapidement ma meilleure amie, on s’entendait super bien, même si j’étais comme aujourd’hui plutôt discrète et réservée, contrairement à elle qui était pas mal délurée. Elle avait des délires sexuelles assez spéciaux, souvent elle ramenait des mecs à la maison et quand ils baisaient, je pouvais entendre des claquements, des cris, des fouettements, bref, tu vois de quoi je parle. J’ai fini par lui poser la question et elle m’a expliqué qu’elle aimait ce genre de choses, elle aimait soumettre des mecs, leur faire mal, ça l’excitait et elle m’a dit qu’elle y prenait un pied pas possible. Elle m’a proposé d’essayer mais j’ai pas voulu, déjà que j’avais pas une vie sexuelle hyper épanouie à l’époque, je me voyais pas partir dans ce genre de choses. Puis elle a rencontré un mec à une soirée et elle s’est mise avec. Il était dans le même délire qu’elle et ils aimaient se soumettre l’un à l’autre, alternant les rôles de dominant/soumis.
Ce mec était super beau, il me plaisait beaucoup, j’étais très sensible à ses charmes et il avait un charisme incroyable ! Du coup, quand un jour ma meilleure amie m’a de nouveau proposé de m’initier à ses délires, et vu que son mec et elle étaient un peu libertins sur les bords, dans l’espoir qu’il nous rejoigne, j’ai accepté. Ça m’a pris du temps pour passer par dessus ma timidité et me lâcher. J’ai commencé par donner de petites fessées à ma copine, quelques petites gifles, mais ça ne me faisait pas grand-chose. C’était sympa parce qu’il y avait un aspect sexuel bien sûr important, mais rien de plus. Puis on a alterné les rôles, c’est elle qui s’est mise à me maltraiter, et là bizarrement, ça m’a beaucoup plus plu. Elle a commencé doucement mais je sentais qu’à chaque gifle, j’avais des frissons, quelque chose bouillonnait en moi et faisait augmenter mon plaisir, et plus les gifles étaient appuyées, plus le ressenti était intense ! Et un jour, enfin, elle a fait venir son mec, et là, on est passé un cran au-dessus.
Il était beaucoup plus dans la soumission, il aimait m’attacher, m’ôter tout contrôle pour que je sois à sa merci. Lui et ma copine s’en donnaient à cœur joie de me faire subir tout un tas de sévices, bien sûr sexuels, mais aussi physiques, et tout était lié. La seule chose que je ne supportais pas, c’était tout ce qui était brûlures, cire fondue, etc.… Ces douleurs là ne provoquaient aucune excitation, au contraire même, ça me bloquait. On s’est amusé pas mal de temps comme ça, où je passais des soirées, voir des journées entières à être soumis à leur volonté, c’était intense, vraiment. À cette période, mon corps était constamment couvert de marques de coups, de griffures, de morsures, à tel point qu’il fallait que je me dissimule bien lorsque je voyais mes proches, histoire qu’ils ne se posent pas de questions. Et puis au fur et à mesure, je me suis rapproché du mec de ma copine, on s’est mis à se voir sans elle, à coucher ensemble de manière plus « normale », je suis vite tombé amoureuse, mais ma copine s’en est aperçue et elle n’a pas du tout apprécié.
On s’est violemment pris la tête puis au final, elle a fini par déménager chez son mec et à partir de là, on s’est perdu de vue, avec elle comme avec lui.Je bois ses paroles, son récit et la voix qu’elle prend pour le narrer commencent à m’exciter sérieusement...
— Et tu as continué dans ce délire ensuite ?— Non. J’ai bien essayé de regarder sur internet s’il y avait des endroits où on pouvait pratiquer ce genre de choses, mais je n’étais pas emballée à l’idée de faire ça avec des inconnus. Du coup, j’ai abandonné l’idée. Tous les mecs que j’ai eu ensuite avaient des mœurs sexuelles standards et au fur et à mesure, je suis rentré dans le moule. Comme tu as pu t’en apercevoir, je suis une clitoridienne très sensible. Je l’étais depuis toujours, je le savais, mais ça a été exacerbé avec tout ce que j’ai fait, du coup, j’arrivais très bien à la jouissance comme ça sans avoir besoin d’en passer par les coups. Quand je tombais sur un mec doué, il s’en chargeait très bien, mais quand c’était pas le cas, ou quand j’étais célibataire, je m’en occupais moi-même, un peu comme mon mec actuel pour qui le schéma d’une baise se résume à : 1-Je le suce, 2-Il me pénètre, en missionnaire ou en levrette quand il est motivé, 3-Il jouit et 4-Il dort.— Et t’as pas peur qu’il voit les marques sur tes fesses ?
Elle rigole.
— Faudrait déjà qu’il fasse attention à mon cul !! Au pire, je resterais en missionnaire ou je lui grimperais dessus et il n’y verra que du feu !!— D’accord, je comprends que ça puisse être frustrant… Mais pourquoi es-tu toujours avec lui depuis si longtemps s’il ne te satisfait pas ?— Je sais pas… Avant lui, je changeais souvent de mecs, je pense que j’en ai eu marre et à un moment, j’ai voulu me poser. Au début, ça allait bien, même sexuellement, il était bien plus à l’écoute de mon plaisir et on s’amusait bien, c’est plus tard que ça s’est dégradé et entre-temps, je me suis attachée, je suis tombé amoureuse, on a rapidement habité ensemble puis voilà. Une fois que t’es enfermé dans une rengaine, c’est difficile de se donner un coup de pied au cul pour en sortir, je crois que j’en ai pas non plus la motivation. Bref, voilà, tu sais tout…— Je comprends mieux maintenant.
Shama me sourit et nous restons là, à nous regarder silencieusement.Une folle idée commence soudain à germer dans mon esprit. J’ai entre mes murs deux des femmes les plus excitantes que je connaisse, en tout cas celles qui, à l’heure actuelle, me font le plus d’effets. Et si je profitais de l’occasion pour faire d’une pierre, deux coups ? Jenny était en train de me sucer avec que Shama n’arrive, j’ai donc cette excitation en moi, et à ça, il faut rajouter ce que vient de me raconter la belle indienne en face de moi, ce qui a encore fait augmenter mon désir.Et si je les réunissais dès maintenant ? Je sais que je joue un jeu très dangereux mais à cet instant T, je ne résonne plus avec ma tête mais avec ma bite. Shama est en train de me fixer d’un air qui me donne envie de tout sauf de la mettre dehors, même si je sais que si je fais ça, j’aurais ma séance de baise avec Jenny. Mais ça ne me suffit pas, je veux les deux, maintenant.Shama rompt alors le silence et me dit :
— Et toi, tu as déjà fait ce genre de choses, non ?— De quoi ? Tendance SM, gifles, tout ça ?— Oui ;— Non, du tout. Une petite gifle sur les fesses par ci par là, oui, mais à ce point, non ;— Ah… C’est étonnant car tu avais l’air vraiment à l’aise…— Oui, je sais pas pourquoi. J’avoue que ça m’a beaucoup plu en effet.
Un nouveau silence s’installe. Ma queue commence à bien se tendre. J’ai pris ma décision, tant pis si ce n’est pas la bonne, mais je suis trop excité pour passer à côté !!Cette fois, c’est moi qui brise le silence :
— Maintenant, si je peux être honnête avec toi…— Bien sûr, vas-y ;— Et bien, j’avoue que les coups que tu m’as porté, et bien… J’ai pas vraiment apprécié, ça m’a pas fait plaisir du tout…— Oh… Et bien je suis vraiment, vraiment désolé… Si je peux faire quoique ce soit pour me faire pardonner…
Cette échange a lieu sans que nos regards ne se quittent ni que l’un ou l’autre ne cligne des yeux. Je lui lance alors :
— Mets-toi à genoux.
Après quelques secondes, Shama se met à glisser lentement de sa chaise pour venir se poser sur ses genoux, à quelques pas de moi. Je me lève et fais glisser mon pantalon le long de mes jambes, dévoilant mon sexe presque entièrement en érection.
— Suce-moi.
Shama s’avance à quatre pattes et vient prendre mon sexe en bouche. Je pousse un long soupir de satisfaction en sentant ma queue entourée de sa langue. Ses gestes sont lents et doux, à des années-lumière de la fellation que je lui avais fait subir vendredi. Elle est ici appliquée à me sucer du mieux qu’elle peut, et je savoure ça avec délectation.Les yeux à demi-fermés, je suis debout avec Shama s’occupant de moi. En face de moi, je peux voir le couloir, puis à un moment, je vois une tête doucement passer par la porte de ma chambre. Quand Jenny voit ce qui est en train de se passer, elle passe complètement le pas de la porte. Elle est toujours enroulée de sa serviette et me regarde d’un air complètement ahuri, faisant un signe de la main et de la tête semblant dire « mais qu’est-ce que t’es en train de faire !! »Je lui souris en la fixant, attrapant les cheveux de Shama pour accompagner sa fellation. Jenny alterne son regard entre moi et Shama, puis, son air ahuri change petit à petit et laisse place à une attitude plus lascive, elle commence à se mordiller et à se lécher les lèvres, puis une de ses mains passe doucement dans sa serviette et elle se met à se caresser. Elle s’appuie contre l’encadrement de la porte et finit par lâcher sa serviette qui tombe à ses pieds. La voilà nue, me regardant me faire sucer par Shama, en train de se masturber et de se masser les seins. Toujours en la fixant, je me mets à accélérer la fellation en faisant moi-même les mouvements en la tirant par les cheveux. Shama se laisse faire, gérant comme elle peut les assauts de ma queue dans sa bouche. Les bruits de bouche et de succion rajoutant de l’excitation à la situation. Jenny aussi accélère ses caresses, commençant à se tordre de plaisir, les jambes à demi-écartées, elle se met à se doigter, la bouche entrouverte, elle doit se faire violence pour ne pas gémir de plaisir.
Puis elle finit par couvrir la bouche de sa main avant de se précipiter dans la chambre, sans doute de peur de se mettre à jouir. De mon côté, j’arrête la fellation en retirant vivement la tête de Shama. Le visage rougeoyant, elle reprend sa respiration tout en me regardant en se léchant les lèvres.
— Lève-toi et déshabille-toi entièrement !
Elle s’exécute, se levant et commençant son effeuillage. Pendant ce temps, je vais vers le canapé pour récupérer la ceinture du pantalon de Jenny. À mon retour, elle est nue, debout, les affaires à ses pieds. J’admire son corps, elle a vraiment de belles formes, loin de la taille mannequin des magazines, mais très bien proportionnée. Je lui tourne autour, la détaillant du regard. Ses fesses portent encore les marques de mon traitement de vendredi. Je commence à passer mes doigts dans son dos, ce premier contact la faisant frémir, je descends doucement puis arrive à ses fesses que je caresse l’une après l’autre avant de soudain venir y mettre une belle gifle sur chacune d’elles. Elle gémit et tressaille à chacune de mes gifles. Je lui en mets encore quelques unes avant de tirer ses cheveux vers l’arrière, faisant basculer sa tête. Je la colle à mon corps et viens caresser sa voluptueuse poitrine, la massant et venant pincer ses tétons. Elle continue à gémir, les yeux fermés en se mordant les lèvres, puis je descends ma main et commence à lui caresser le sexe.
Elle se met à se crisper et à se tendre, gémissant plus franchement quand mes doigts se mettent à stimuler son clito. Elle semble vouloir s’écrouler au sol sous mes caresses mais je la retiens par les cheveux, calée contre moi. Elle sert ses cuisses autant qu’elle peut, ce qui ne m’empêche pas de venir la pénétrer de mes doigts en calant la paume de ma main sur son clito pour continuer à le masser. Elle se met à gémir de manière plus sonore et saccadée, son sexe s’humidifiant de plus en plus sous mes caresses appuyées. Elle finit par jouir, s’écroulant au sol quand je lui lâche les cheveux. Son corps frémit et elle gémit toujours. Pendant ce temps, je prends ses mains et viens les mettre dans son dos, puis je les attache ensemble à l’aide de la ceinture. Après quelques secondes, je la relève en la prenant par les cheveux puis la bascule sur la table, la faisant prendre appuie sur sa poitrine qui s’étale en dessous d’elle. Installée comme elle est, elle ne peut voir le couloir, au contraire de moi qui me mets face à lui.
Jenny est de nouveau dans l’encadrement en train de me regarder, toujours nue. Tout en la fixant de nouveau, je viens commencer à fesser Shama, la faisant de nouveau gémir. Elle semble déguster chacune de mes claques, finissant presque par pleurnicher mais ne protestant à aucun moment. Toujours sous les yeux de Jenny qui recommence à se caresser, je viens me positionner derrière Shama et lui pénètre la chatte d’une traite. Tout en lui agrippant très fermement les fesses, je me mets à la pilonner durement, les gémissements sonores de Shama se mélangeant aux crissements des pieds de la table sur le sol à chacun de mes coups de reins. Je peux voir Jenny se doigter et se tordre de plaisir à me voir baiser Shama comme cela, elle se lèche les doigts, se caresse et me regarde intensément. J’attrape les mains de Shama attachées dans son dos et la relève légèrement en continuant ma pénétration appuyée. Elle ne cesse de me demander de continuer, d’y aller plus fort et d’encore claquer son gros cul malgré les nombreuses gifles qu’elle a déjà prise.
Je continue encore quelques instants puis je me retire, la laissant retomber sur la table. Elle gémit en ondulant ses fesses.
— Je veux que tu m’encules, vas-y s’il te plaît !!! m’implore-t-elle.
Sans rien dire, j’enlève mon haut et la relève en la tirant par les mains, puis je le lui enroule autour des yeux en l’attachant solidement derrière sa tête, m’assurant qu’elle ne peut rien voir. Je la retourne vers moi et passe ma main devant ses yeux ; elle ne réagit pas. Je lui mets alors une petite gifle qui la surprend mais ne lui déplaît pas pour autant. En l’attrapant par le cou, je lui fais prendre la direction de la chambre. Jenny est repartie dans celle-ci, sans doute a-t-elle eu de nouveau envie de jouir quand je baisais Shama. Je finis par rentrer dans la chambre et Jenny est debout à côté du lit, se crispant et me lançant un regard appuyé en me faisant signe de la main de repartir, que je suis fou de faire ça. C’est vrai, je prends de gros risques, mais à ce moment, je pense à tout sauf aux risques. Je lui fais signe de se calmer, montrant mon vêtement enroulé autour des yeux de Shama. Je la tourne face à Jenny pour lui prouver qu’elle ne voit rien.
— Bouge pas d’ici !! dis-je à Shama tout en lui mettant une gifle sur les fesses.
Elle sursaute et pousse un petit cri mais respecte mon ordre. Je vais récupérer la ceinture sur mon pantalon posé sur le lit et jette toutes mes affaires au sol. En me retournant, je peux voir un tableau magnifique : Jenny et Shama nues, face à face. C’est diablement excitant…Je délie les mains de Shama et la fais allonger sur le lit. Je lui dis de tendre les bras sur les côtés et je viens attacher les ceintures à chacune de ses mains avant de venir attacher celles-ci aux montant du lit. Heureusement, les ceintures sont assez longues et les montants du lit étant plutôt fins, j’arrive sans trop de mal à attacher solidement le tout. Je me relève et admire Shama, complètement immobilisée et nue. Je lance un regard à Jenny en lui faisant un signe de la main pour lui montrer Shama. Elle me fait « non » de la tête, n’osant pas approcher d’elle de peur qu’elle la voit.Je prends la main de Jenny pour l’inciter à venir caresser la poitrine de Shama. Au début résistante, elle finit par se laisser faire et pose sa main sur une des grosses mamelles devant ses yeux tout en fixant Shama qui sent de suite que ce n’est pas ma main, celle de Jenny étant bien plus petite et fine que la mienne.
— Qui c’est ?? demande Shama en tournant sa tête dans tous les sens.
Jenny se fige, sa main toujours posée sur le sein. Je viens me placer de l’autre côté de Shama et lui chuchote à l’oreille :
— Chuuuut, calme-toi, c’est une bonne amie à moi qui n’a pas non plus apprécié que tu me fasses du mal…
Je lance un regard à Jenny en lui faisant un clin d’œil. Elle commence enfin à se détendre et me sourit, puis va pincer un téton de Shama, provoquant un petit cri chez celle-ci. Jenny continue et fais de même avec l’autre avant de venir commencer à lui lécher les seins. À ce moment précis, la retenue que pouvait encore avoir Jenny s’évapore et elle commence à déguster l’opulente poitrine de Shama avec gourmandise, déboîtant presque sa mâchoire pour pouvoir aspirer le plus de peau possible. Elle masse et compresse ces imposants nichons d’une manière presque frénétique, elle ne mentait pas lorsqu’elle me disait qu’elle rêvait de plonger son nez dans ses seins…De mon côté, je récupère un coussin et viens surélever le cul de Shama pour le placer dessous. Comme par habitude, je lâche quelques gifles sur ses cuisses et ses fesses durant l’opération, ce qui, rajouté au traitement de Jenny, ne manque pas de la faire copieusement gémir, son corps se tortillant et ses mains agrippant les ceintures la maintenant immobile. J’écarte largement ses cuisses, son sexe luisant s’offrant à moi ; je commence par venir y passer ma langue, la rentrant entièrement dans sa caverne bouillante et humide. Puis, de mes deux mains, je viens écarter franchement les lèvres de sa chatte pour l’ouvrir au maximum. En voyant ceci, Jenny se précipite entre les cuisses de son employée pour lui dévorer le sexe. Shama se met à gémir de manière éclatante et je laisse Jenny à cette dégustation pour venir derrière elle. Elle est à genoux sur le lit, à côté de Shama, et après avoir léché son sexe quelques secondes, je la pénètre, ses gémissements venant alors se mélanger à ceux de Shama.
Je prends Jenny en levrette pendant qu’elle bouffe la chatte de Shama, ce que je m’étais imaginé quelques minutes auparavant dans le salon prend forme, cette situation est fantastique !!! Ma pénétration rend Jenny de plus en plus acharnée sur la chatte de Shama qui elle-même est en pleine extase. Jenny se retourne vers moi quand j’appuie un peu plus ma pénétration, se mordant les lèvres, puis elle agrippe la cuisse de Shama avant de se mettre à serrer sa peau entre ses doigts. Elle se met alors à dire, d’une voix plus aiguë que ne l’est sa voix habituelle :
— Alors t’as été méchante avec Florian petite catin ? T’as abîmé ses fesses ? C’est vraiment pas bien d’avoir fait ça…
Elle commence à gifler les cuisses et les fesses de Shama, qui se met aussi à crier franchement. Jenny, que je suis toujours en train de prendre en levrette, s’acharne sur Shama :
— Tiens petite salope, je vais faire la même chose sur ton gros cul de vilaine fille…
Jenny vient alors planter ses ongles dans la fesse de Shama, la faisant crier, mais pas de douleur, plutôt de contentement, son cri étant suivi de gémissements et d’un comportement corporel indiquant plus une prise de plaisir intense qu’autre chose. Je me retire de Jenny et viens me placer entre les jambes de Shama, toujours largement écartées. Je les relève bien pour regarder ce que lui a fait Jenny. Elle n’y est pas allé de main morte car non pas quatre, mais cinq marques d’ongles sont clairement incrustées dans la fesse de Shama, certaines suintantes. Je mets une nouvelle gifle sur cette marque avant de me placer entre ses cuisses pour lui prendre la chatte, la faisant de nouveau gémir de manière très sonore. Jenny quant à elle vient littéralement s’asseoir sur le visage de Shama, ondulant ses hanches pour lui offrir un coup sa chatte et un coup son cul. Face à moi, Jenny se caresse les seins en se donnant du plaisir sur le visage de Shama, les cris et gémissements de celle-ci étouffés par sa dégustation forcée, pendant que je suis en train de la pénétrer sur un rythme rapide.
Jenny se met à venir gifler et pincer les seins ballottant entre ses cuisses tout en prenant beaucoup de plaisir, Shama ne se gênant pas pour venir la pénétrer de sa langue. Je sais que Jenny est très friande de ça, et je sais aussi que vue son attitude à ce moment, elle n’est vraiment pas loin de jouir, ce qui finit rapidement par arriver, Jenny se relevant légèrement en gémissant pour venir asperger le visage de Shama de sa jouissance, celle-ci se léchant les lèvres et levant la tête pour essayer de continuer à laper la chatte de sa patronne. Je finis par me retirer de Shama et Jenny bascule alors immédiatement pour venir gober ma queue, me suçant énergiquement pendant qu’elle va de nouveau onduler ses hanches sur le visage de Shama.Je cale bien le coussin sous les fesses de Shama pour encore un peu plus relever son cul.
— Tiens, écarte le cul de cette petite salope, dis-je à Jenny ;— Huuuummmmm, oui, vas-y, encule là bien profondément !! répond-elle en venant placer ses mains sur les fesses de Shama pour les écarter, dévoilant ainsi son petit trou ;— Tu veux que je t’encule salope ? Dis-je en venant gifler la chatte de Shama ;— Oui, oui, dit-elle, le son de sa voix étouffée par le cul de Jenny la recouvrant ;— J’ai rien entendu, tu veux que je t’encule salope ?? Dis-je à nouveau, continuant à martyriser son sexe ;— OUI, OUI, ENCULE-MOI !!! crie-t-elle alors.
Je mets ma bite de nouveau dans la bouche de Jenny pour qu’elle me suce encore un peu, venant laisser une bonne dose de salive sur mon gland avec lequel je viens ensuite enduire l’anus de Shama. Elle gémit en sentant ce contact, Jenny vient de nouveau prendre ma bite en bouche, cette fois-ci entièrement, mon gland venant appuyer au fond de sa gorge. Elle insiste comme ça quelques secondes, je peux sentir ma queue vraiment forcer au fond de sa gorge, des bruits de déglutition accompagnant ce délicieux moment, puis elle retire soudainement ma queue bien recouverte de sa salive. Elle m’étale bien le tout à l’aide de sa main, ma bite glissant parfaitement dans sa paume, puis elle présente mon gland devant l’anus de Shama. Ma queue tendue et veinée au maximum, je commence alors à avancer et dès que mon gland à commencer à la dilater, Jenny lâche ma queue et va de nouveau écarter les fesses de Shama, celle-ci se mettant presque à crier en sentant ma bite avancer en elle petit à petit. Je l’encule entièrement, mettant ma bite jusqu’à la garde avant de doucement reculer et de me retirer complètement, Jenny venant de nouveau me sucer avec gourmandise, puis je la sodomise à nouveau, cette fois plus franchement, déclenchant de nouveaux braillements de sa part.
Jenny se positionne à nouveau bien sur son visage, étouffant par la même ses cris, et elle vient commencer à lui bouffer la chatte, lui léchant le clito tout en se mettant à la doigter énergiquement, ma queue allant et venant dans le cul de Shama, quelques centimètres en-dessous. J’accélère encore ma sodomie et Jenny s’acharne toujours plus sur la chatte trempée dont elle s’occupe, Shama est en train de crier, implorant, un coup de s’arrêter, un coup de continuer, ses mains tirant de toutes leur force sur leurs liens, faisant grincer les montants du lit, puis Jenny vient frénétiquement caresser le clito de ses doigts, achevant de faire hurler Shama qui, au bout de quelques secondes de ce traitement, finit par jouir, venant lâcher un petit jet illustrant sa jouissance et aspergeant la main de Jenny ainsi que mon bas ventre et ma queue, toujours en train de la sodomiser.
— Oooooooh ouaiiiiis, ça c’est bon, voilà une belle salope qui jouit !!! dit Jenny en continuant encore de stimuler Shama dont les jambes luttent pour se refermer.
Shama ne cesse de continuer à crier, subissant encore les assauts de ma queue lui ramonant l’anus.
— vas-y, rajoute ton sperme sur sa chatte trempée !!
J’accélère alors, accentuant les hurlements de Shama, puis je me retire, Jenny attrapant ma queue pour me branler rapidement, suivant mes gémissements, puis quand ceux-ci deviennent plus saccadés, elle dirige mon gland vers la chatte de Shama, plusieurs giclées de sperme se mettant à recouvrir son sexe trempée. Mes mains agrippées aux cuisses de Shama, je jouis en laissant moi-aussi échapper plusieurs râles de contentement. Mon sperme dégouline sur sa chatte, s’écoulant aussi sur son anus, Jenny venant étaler encore plus le tout à l’aide de mon gland, avant de venir commencer à lécher ce délicieux mélange de sperme et de cyprine. Elle alterne entre la chatte de Shama et ma queue. Je déguste ce moment quand je vois, en posant mon regard sur le visage de Shama, que le t-shirt a glissé de sa tête, sûrement à cause de son agitation pendant sa jouissance. Elle a les yeux à demi-ouverts en train de continuer à lécher le cul de Jenny, celle-ci voulant se redresser, je l’en empêche, la maintenant allongée sur Shama.
Elle doit sans doute penser que je veux qu’elle continue à me sucer et elle prend donc ma bite en bouche, la suçant délicatement. Je me penche comme je peux et viens repositionner le tissu sur les yeux de Shama. Elle ne bronche même pas, continuant de lécher le cul à sa disposition. Je me redresse, Jenny faisant de même, se décalant de Shama par la même occasion. Elle me regarde avec un large sourire tout en reprenant, comme nous tous, sa respiration. Elle continue à caresser les nichons de Shama, celle-ci se trémoussant lascivement sur le lit.
— T’as aimé petite vicieuse ? Demande Jenny à Shama en lui pinçant les tétons ;— Oui, oui, c’était trop bon, j’en veux encore !! répond Shama tout en gémissant ;— Huummmmm, quelle belle salope gourmande que voilà, dit Jenny avant de claquer les seins sous ses doigts, provoquant de nouvelles complaintes de Shama.
Au bout de quelques instants, Jenny prend la direction du couloir et sort de la chambre. Je la suis, et une fois dans le couloir, elle se retourne vers moi et me chuchote :
— T’es vraiment un grand malade…
Puis elle vient m’embrasser langoureusement en me prenant dans ses bras, nos corps nus collés l’un à l’autre. Nous nous enlaçons comme ça un petit moment, puis elle me dit :
— Je vais y aller moi ;— Déjà, t’es sûre que tu veux pas rester ? T’as bien vu ce qu’elle a dit, elle en veut encore !— Non, c’est déjà très dangereux ce qu’on vient de faire, je veux pas prendre plus de risques que ça. C’est…. énorme ce qu’il vient de se passer, j’ai kiffé, tu peux pas savoir, mais je veux pas tout gâcher, on recommencera plus tard, vu comment elle est, je suis sûr qu’on a pas fini avec elle !— T’es vraiment sûre que tu veux pas rester ?
Elle me sourit, puis vient de nouveau m’embrasser.
— Non espèce de coquin, j’y vais !! Je te la laisse !!
Jenny file au salon enfiler ses habits puis sort de l’appart’. Je retourne dans la chambre pour regarder Shama, elle ne bouge pas, attendant les jambes toujours écartées que je vienne de nouveau m’occuper d’elle. Je vais à la salle de bain afin de me rafraîchir un peu en prenant une douche rapide. Je vois que Jenny a oublié sa lingerie sur le sol, elle est donc reparti sans la coquine… Je planque le tout dans un meuble puis retourne dans la chambre. Je viens me placer à côté du visage de Shama et lui enlève son masque de fortune. Elle commence par me regarder, puis elle balaye la pièce des yeux.
— Où est-elle ?— Partie, elle ne pouvait pas rester plus longtemps malheureusement ;— C’est ta copine ?— Non, c’est juste une très bonne amie ;— Pourquoi tu m’as pas dit qu’elle était là quand j’étais à la porte ?— Sinon tu aurais pas voulu rester, et je voulais entendre ce que tu avais à me dire ;— Et le t-shirt sur les yeux ?— Histoire de rajouter un peu de piment ;— Et elle reviendra ta très bonne amie ?— Peut-être oui, elle t’a plu ?— J’aime la saveur de sa peau et de son sexe…— Comme nous tous !
Elle me sourit, puis me dit, droit dans les yeux :
— Baise-moi encore…
Je viens lui mettre ma queue bien ramollie dans la bouche, qui finit par rapidement durcir sous ses coups de langue, puis je viens la détacher, la faisant mettre à quatre pattes et la fouettant un peu avec une des ceintures, avant de finir par la prendre en levrette.Son mec étant absent, Shama est resté chez moi et nous avons passé une bonne partie de la soirée, ainsi que la nuit, à baiser, à peine quelques périodes de repos où nous fermons l’œil avant de recommencer.Cette femme est une vraie furie, et comme l’a dit Jenny, je pense qu’on n’a pas fini de s’amuser avec Shama, ce qui me donne l’eau à la bouche...
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