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SHANA

Chapitre 19

Trash
Le corps halé et totalement nu de la jeune femme fut tiré de l’ombre par un puissant projecteur.C’est vraiment la seule femelle que je connaisse qui n’a pas une once de masculinité.Ma beauté fermait les yeux pour échapper à cette lumière trop crue.Son pubis apparaissait plus bombé et plus troublant que jamais.
Un sexagénaire retardataire, qui se croyait toujours alerte, buta sur le bord de la piste avec un juron de charretier.En se relevant, il admira brièvement l’écartement des jambes de la miss immobilisée et ses lèvres intimes gonflées qui lui faisaient une bouche gourmande.
- Ne te moque pas ! Dans ta position, tu as intérêt à te montrer douce comme un agneau !A partir de maintenant, tu ne t’exprimeras plus qu’avec ton sexe.
Et il se mit à vérifier l’état d’esprit qui l’animait à cet endroit.Ebahi, il s’intéressa au long fleuve tranquille qui s’écoulait de sa vulve.
- Tu es de plus en plus mouillée ma petite, tu aimes être exhibée, on dirait. Réponds-moi !
    *
Son coquillage brillait de tous ses sortilègesL’impudeur de son sexe ouvert rendait son clitoris et ses nymphes immédiatement accessibles à toutes les câlineries. Il réveilla le bourgeon tumescent figé en haut de la plus belle arche gothique.
- Oh oui, Monsieur! c’est trop bon ! Je vais jouiiiiir…..
- Ne t’affole pas, Princesse ! Je vais tout simplement chauffer ton bouton à blanc pour voir de quoi il est capable. Réponds-moi maintenant! Cela t’excite d’être contrainte de te montrer nue en public ?

- Oh oui ! Monsieur…je bande trop…arrêtez !!!!! Aaarrrrhhhhh !
L’assemblée retenait sa respiration. Shana était parcourue de frissons comme sa vulve qui se mouvait comme une huître qu’on venait d’ouvrir.
Le pervers n’hésita pas à user sa paume pour lui redonner du volume. Utilisant ses ongles sur sa fente comme une fine lime, il lui arracha une grimace de volupté.Ses hanches larges suivaient le mouvement, en proie à cette fièvre intense et brutale qui éveillait tous ses nerfs. Totalement abandonné à la passivité, son corps ondulait sous la brise dans l’attente fiévreuse de l’ouragan.
- Notre courtisane raffole de ce traitement. Regardez, elle en danse de plaisir !Tu aimes aussi la douleur, petite truie?
- Oh oui ! Faites-moi mal ! S’il vous plait !!! Je vais partir…
S’appliquant à respecter les délais nécessaires à cette mise en condition qui, seule, permet aux femmes de s’armer pour une équipée au long cours, il lui refusait systématiquement le plaisir naissant.Il s’intéressa ensuite aux fesses somptueuses, hautes, dodues et tendres qui témoignaient de la pure féminité de ce corps athlétique.
- Ah les délicieuses cuisses, rondes, fermes et appétissantes !
Pouce par pouce, il revenait vers l’épicentre de ses sensations.Frictionné par la paume cajoleuse, le minuscule gland s’érigea héroïquement dans l’attente de l’orgasme.L’homme contemplait incrédule la métamorphose obscène de son sexe.Son clitoris avait atteint les trois centimètres.
— Il me semble que j’ai lu quelque part qu’il existait quelques rares femmes avec un clitoris ainsi constitué mais j’avoue que c’est le premier que j’ai l’occasion de titiller.Dr Kirsh ! N’est-ce pas ce que vous recherchiez pour vos expériences ?Quel bonheur de polir ce superbe organe. Tiens! Comme c’est bizarre…
- Vous avez dit bizarre… ce qui est beau est toujours bizarre !
Karl avait été brutalement tiré de sa torpeur.Il s’approcha pour investir l’écrin dont le corail émergeait d’impatience et se tourna vers moi.
Shana ne lui inspirait pas seulement de fortes envies de viol mais possédait une particularité précieuse qui lui était absolument indispensable pour ses projets malsains.
- Votre magnifique compagne est un cas vraiment très intéressant !Il faudra penser à me la confier.Je pourrai imaginer de grandes choses avec une gamine qui possède un tel trésor.Tu verras ma belle que la science peut amplifier fabuleusement tes prédispositions.Si tu es un tant soit peu douée pour la jouissance et je ne doute pas un seul instant que tu le sois, je pourrai te faire découvrir le plaisir infini.Approchez tous et venez admirer cette perle rare ! Je suppose que tu n’as rien à cacher à mes amis, belle garce?
- Oooohhhhh ! Monsieur ! Faites-le souffrir….mon petit clito….il est trop gros….il me tue….Eric, fais quelque chose!
- Dis au docteur que tu trouves que ton sexe est trop beau pour être caché
- Ooohhhhh ! Oui, Docteur….pour que tout le monde puisse le toucher…mes seins aussi….
Sentant la biche aux abois, Sakis m’invita à m’approcher de Shana pour lui porter l’estocade.
- Shana ! Mr Sakis va annoncer le gage qu’il a choisi de t’imposer si tu t’abandonnes au plaisir. J’ai confiance en toi et je te demande de résister à cette envie qui te tenaille car si d’aventure, tu t’abandonnes, je te ferais fouetter en public.
Un énorme frisson passa entre les omoplates de ma belle.
Sakis empauma le sexe turgescent de la bacchante.
- Tu aimerais qu’ils te fassent très mal aux seins et à ton vilain clito qui te fait trembler si fort quand on le touche ?
- Oui, punissez-le ! Pitié ! Je suis trop loin. J’ai besoin de souffrir. Tant pis si je jouis. Achevez-moi !
*
J’étais dans une extase silencieuse depuis un quart d’heure.La portée de ces propos m’avait alors complètement échappé.Et, je l’avoue, le plaisir incroyable que je ressentais tenait mes sens dans un délire où j’aurais voulu vivre éternellement.
- Je te ferai jouir quand je le déciderai. Si le plaisir t’emporte, dès cet instant, l’exhibitionnisme fera partie de ta vie tout le temps que tu seras sur cette île. Tu ne porteras pour tout vêtement qu’un cache-sexe dont la taille sera à définir.
- Oh! Ce n’est pas bien méchant. Pas de soucis pour moi! Faites-moi jouir maintenant!
— Je n’ai pas encore terminé. Tu te verras dans l’obligation de l’enlever pour montrer ton sexe dans sa nudité intégrale à la moindre sollicitation. Et arrête de mouiller quand je te parles!
Quand je ne me maîtrise plus, les ennuis ne sont jamais loin et là, le navire était, il faut le dire en perdition.Rien ne pouvait m’être plus insupportable que cette attente. Insupportable pour moi mais alléchante pour mon Eric qui prit possession de mon corps.
L’incident oublié, les sollicitations recommencèrent de plus belle.Mon chevalier servant chatouillait la peau sensible du pli du coude et remontait à la naissance de mes seins.Mes pointes exubérantes étaient emportées à nouveau par le besoin irrépressible d’afficher leur héroïque indécence devant cette assemblée de voyeurs.Il se plaisait à les pincer suffisamment pour qu’elles commandent au corps de se manifester par ces signes d’excitation « délicatement » relevés par mon bourreau d’époux.
- Je recommande aux amateurs les jolis tétons de cette jeune fille. Ne la trouvez-vous pas délicieuse ? Elle est prête à aller nettement plus loin si on l’aide un peu.Qui la veut ? D’autres encore?Il faudra être au moins quatre pour immerger parfaitement cette femme dans l’ivresse totale. Attendez! Je vais d’abord lui bander les yeux pour que son imagination puisse tourner à plein régime.
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