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SHANA

Chapitre 22

Trash
Un long chapitre complètement délirant. Une écriture "sadienne" typiquement " Chloé de Montsur".
- Tu ne t’es pas trop donnée, j’espère.Tu m’as l’air exténuée. Garde tes forces. Ceux qui arrivent ont des projets plein la tête pour te distraire et ils ne te ménageront pas !
- Tu sais bien que c’est encore meilleur quand je suis épuisée.
- Tant mieux, car je t’ai fait une promotion du tonnerre.As-tu encore en mémoire les délicieuses tortures du passé ?
Et il me mit sous les yeux un livret contenant une vingtaine d’anciennes photos prises chez Charles dans mes plus beaux moments d’égarement.
- Je ne m’en sépare jamais, c’est mon porte-bonheur.
Le traître!Mes photos les plus érotiques circulaient entre les mains de ces vicieux qui se pourléchaient d’avance.J’avais accepté qu’il leur parle sans honte de mes pulsions masochistes.Mais là, il avait pété les plombs.
- Tu as fait fort.
- Regarde mieux la page de couverture !
Mon homme avait verrouillé son piège à la perfection.Mon corps nu entravé était dévoilé, accompagné d’un texte sans équivoque en forme d’épitaphe…


    « Voici le corps voluptueux que je vous propose. »     « Vous pourrez m’utiliser et me marquer toute une nuit. »    « Bourreaux trop timorés, s’abstenir. »
    signé : Shana Valmont qui ne jouit jamais aussi fort que sous les décharges d’adrénaline.

- Faux et usage de faux ! Cela peut te valoir cinq ans ferme.
Tous les regards convergeaient vers moi. Certains pointaient des doigts accusateurs.Karl m’avait saisi le bout de mes mamelles et les déformait pour se rendre intéressant.
- Sous ses airs de Sainte Nitouche, cette gamine est donc une adepte des pratiques sexuelles extrêmes. C’est un précieux atout dans notre monde.
*
Ce monde, il venait de basculer autour d’elle en quelques heures.
La position difficile dans laquelle elle était étirée depuis deux heures exigeait un maximum d’effort musculaire. Il fut décidé d’en changer et de la détacher.Quand elle reprit possession de ses jambes, elle les serra l’une contre l’autre comme pour s’assurer que rien d’autre ne leur arriverait.
Elle s’était engagée à les satisfaire quoiqu’ils puissent lui demander.Il lui faudrait maintenant payer de sa personne.
*

Le poète de service vint aux nouvelles.
Karl entreprit de montrer à l’officiant la chaude lourdeur de mes seins en tirant outrageusement sur mes mamelons.
- Qu’en penses-tu, poète ?
- Aussi joliment nue, cette superbe femelle eût pu servir de modèle aux Grâces. Les lois de la pesanteur sont fort aimables, charmant visiteur qui semble se piquer de quelques raffinements élongatoires, et il n’est de mot plus juste que mamelle lorsqu’une femme bien pourvue est ainsi disposée. Si nous changions de lieu ?Celui-ci ne me paraît pas propice à mon inspiration poétique.Suivez-moi, je connais un endroit tout près d’ici où nous serons plus à l’aise pour nos libations !Mais dans l’instant, je souhaiterais que la donzelle quittât un bref instant la position verticale pour l’horizontale.
Plus émoustillée qu’effrayée par sa proposition, je lui répondis :
- Devant tout ce parterre, vous n’allez pas me violer, j’espère, mon cher poète.
Shana était sous le charme du versificateur, affichant une pause provocante qu’elle voulait canaille.
- Hélas ! damoiselle, de nombreux penchants, dont je ne suis pas le maître, m’éloignent absolument des femmes.
— Alors, je pars avec toi sans crainte.
- Vous ne m’avez pas bien ouï, je pense.Cette tournure d’esprit dont je suis affligé ne facilitera pas l’obligation où vous serez bientôt, en devenant mienne, de suivre mes inspirations perverses. Au risque de vous décevoir, je ne vous rendrai pas aussi heureuse que vous mériteriez de l’être.
Passant derrière elle, il relia ses bracelets entre eux.
- Quand les poignets se joignent sur les reins, voyez comment ses pis se tendent magnifiquement !
Il emprisonna ses coudes après avoir basculé brutalement son buste en avant, mettant la jeune femme en position bien inconfortable. Prête pour l’exhibition redoutée et cependant désirée, elle comprit qu’il ne plaisantait plus.
- Avouez qu’avec un tel cul, il serait dommage de ne pas s’y plier.
Chaque membre de l’assistance avait reçu une fine cravache.Un serviteur vint lui apporter la sienne pour faciliter ses explications.L’homme admira une dernière fois la cambrure que provoquait cette position.La cravache siffla et les premières traces rougeâtres strièrent ses fesses bronzées.Des larmes naissaient au recoin de ses yeux. Comme paralysée, elle écoutait sans l’entendre la cruelle éloquence du tyran.
- Douillette comme une petite fille, la victime pressent la magie du rite qui va s’opérer et dont elle sait que la fin signifiera la guérison des élancements capricieux qui secouent son ventre.Eh ! non, non, sirène, lui dis-je en étrillant son beau derrière, non, tu as beau faire. Tu auras beau m’adorer, je ne m’attendrirai point sur ton sort. Ce sont des plaisirs d’un bien autre genre que ceux de la délicatesse qui me font bander avec toi.
Shana écumait de rage sous les morsures de la cravache et hurlait sa douleur.
- Comme pour toute limite atteindre, le cocher savait que sa jument passerait par cette étape transitoire où la honte et la haine s’empareraient d’elle.Mais le maître est tout puissant et a le droit de cuissage.Il exerça son pouvoir en rayant à plaisir les cuisses affriolantes, pleines et fermes, de sa sulfureuse soumise.
Shana était en nage mais ne criait plus. Elle emmagasinait les sensations qui l’enivraient.Plus ses magnifiques cuisses se tigraient, plus son flot vaginal s’intensifiait.Dans ses yeux affolés, je voyais poindre la lueur d’un colossal orgasme libérateur.
- Quel cul sublime, quelles cuisses divines certes mais la céleste motte rebondie que je découvre se languit !Fais saillir ta croupe, écarte tes cuisseaux et ouvre ton temple en grand !
Elle avait tellement envie de lui faire plaisir qu’elle s’empressa de s’ouvrir, dévoilant une fissure parfaite au sommet de laquelle s’érigeait un clitoris superbement proéminent.
- J’aurais mauvaise grâce à rendre jalouse de ses voisines cet univers de chairs vermeilles et succulentes.
Il fut stupéfait de voir la fille se tendre dès les premières cinglées, révulser les yeux et manquer d’air. Dans un hurlement venant de ses entrailles, Shana s’abandonna au plaisir.Elle pulsait sa jouissance par flot sous les coups de plus en plus rudes du poète qui, surpris, en avait presque perdu toute sa verve.
- Puisque tu lâches tes eaux avant l’heure, ton sexe béant sera frappé jusqu’à marée basse.
Son orgasme s’éternisa plusieurs minutes tandis que son bourreau et les spectateurs les plus échauffés s’acharnaient sur les chairs tendres.Quelques flashs crépitèrent, histoire de compléter mon book.Les photos seront certainement ratées car pareils galbes feront certainement fondre la pellicule.Tiens, je deviens poète, moi.
A bout de force, la bienheureuse s’effondra aux pieds de l’humoriste versificateur.
Emerveillés de voir douleur et plaisir se confondre dans une même sensation, les spectateurs réclamèrent bruyamment plus de piment.
— Vilaine, tu as enfreint les règles.Il était dit que tu ne jouirais pas avant que le maître assiège ta fentille.Ton promis m’a confié que tu aimais faire l’amour plusieurs fois de suite. Tu vas nous le confirmer sur le champ.
Le mollet est joliment tourné et la cuisse appétissanteMais le maître a d’autres préoccupations.La main revient entre les cuisses.Elle ignore la béance lisse et grasse.Elle se faufile, telle le reptile, et s’abat, doigts tendus, entre les fesses.
- Non , pas ça ! Eric, empêche le…c’est trop!
- dit-elle en espérant secrètement que le maître ne tiendrait pas compte de son refus hypocrite.Son doigt trouve l’œillet, le flatte, le presse. Le cul tressaille.
Shana était déjà secouée par les prémices d’un nouvel embrasement.La frénésie dont elle était dévorée ne pouvait supporter longtemps la manœuvre dilatatoire.Ivre de volupté, elle redécolla illico au firmament.Shana rugit son plaisir et un flot nouveau de sève lui noya les fesses.
Les spectateurs n’en croyaient pas leurs yeux et devenaient de plus en plus gourmands.
- Je crois comme vous que ce n’est qu’en recommençant qu’il me sera possible de décider de son avenir.Ce clitoris présomptueusement dressé au faîte de la grotte des plaisirs brille comme une enseigne.Allons de ce pas l’allumer !Le corps ondule, vague écumante annonciateur de tempêtes. L’esprit s’embrume.Peur de céder à l’instinct, de casser net le fil trop tendu de son désir.Il fouille, elle le sait, l’épicentre de ses sens.
Le clitoris malmené durcissait comme du marbre sous ses doigts.Il perçut que sa jouissance à peine décroissante revenait en une nouvelle vague.Un flot soudain coula sur sa main. Shana avait rompu toutes ses digues et jouissait comme une folle sans discontinuer.Elle mugit agitée de spasmes alarmants.Une sourde angoisse m’étreignit tant elle se donnait au point d’avoir des craintes pour sa vie.Mais le poète, encouragé par un public exigeant, ne se lassait pas de la faire chavirer.
- Le spectacle de la mignonne en transes est réjouissant pour l’esprit et l’organe toujours aussi fier.Il faut lui faire rendre l’âme en l’assaillant à la base.Le maître enfonça ses doigts dans la gaine soyeuse jusqu’à faire bouillonner le sang à ses tempes.
Le brasier dévorant ne s’éteignait que pour mieux se rallumer et Shana hululait son plaisir en se vidant de sa substance.
Elle avait joui plus de vingt fois et « Le maître » cherchait ses mots pour ne pas avouer qu’il était fort dépourvu devant pareille bombe sexuelle.
- La pénitente gît dans un étang d`eau salée.La posture ne sied pas à son éclatante beauté.
Il l’obligea à se relever promptement.
- Voyez ce petit promontoire hérissé qui supplie à l’outrance, cette peau brune qui ne demande qu’à être célébrée lorsque des perles de sueur l’habillent !Nous avons toute la nuit pour lui faire perdre sa superbe.Tu l’as écrit de ta main dans ton ouvrage et nous l’avons compulsé.« Une fille comme elle a d’autres réserves et ne se satisfait pas de si peu ».Il faut la faire recommencer en d’autres lieux mieux nantis pour dresser les fauves.En offre de preuve, j’invite mes voisins à venir, avec moi, tâter la chair dans un site plus propice.
Hagarde, encore secouée par les derniers spasmes de ses exploits, elle se tenait fière et droite devant sa cour médusée.Shana y prenait un goût certain.Elle avait décidé de sa décadence et éclaboussait de son étonnante fraîcheur son entourage.Sa plastique toujours aussi appétissante trahissait sa longue habitude des orgasmes répétés.
On lui détacha les mains et nous descendîmes le grand escalier vers la plage.
- Afin que ses seins épargnés ne tardent pas à souffrir de la leçon de choses, quemes amis les pétrissent sans douceur. Ils sont friands des traitements les plus rudes.Il n’y aura plus alors, pour Shana, que le regret amer de ce surplus d’appâts.Tétons tordus, meurtris, pincés... seins alourdis, ballottés, claqués, et violacés.Elle tremblera et sanglotera pour vous amuser.Si l’invitée est ravie de la thérapeutique, après lui avoir échauffé le mitan de ses cuisses pour l’assaisonner, elle s’épanchera plus d’une fois encore en flots épais.
- Oui, par pitié, occupez-vous de mes seins !
Shana se comportait comme une midinette nymphomane.Je la savais bien capable d’exploits stupéfiants quand on la privait de jouissance.Mais là, je ne la reconnaissais plus tant son appétit devenait éléphantesque.La potion du Dr Kirsh était magique et son rendement stupéfiant.
- Dites-moi, Docteur, par quel prodige avez-vous rendu ma Shana aussi productive ?
— Je n’ai pas la prétention de m’attribuer tous les mérites de sa prestation.Elle cache bien sous ses airs de pucelle des dispositions de jouisseuse exceptionnelle.Elle est endurante et talentueuse.La double dose qu’elle a reçue n’a servie qu’à retarder son plaisir d’une petite heure.Tout le reste est le fruit de son imagination alimentée par les paroles de Laura.Votre amie est très cérébrale, très jeune et surtout très douée pour les choses de l’amour.Moi qui ai beaucoup « voyagé », je peux vous dire qu’une jouisseuse pareille, c’est rare, très rare.Vous verrez quand vous me l’aurez confiée, il n’y aura plus de limites à l’intensité de son extase.
Mais tu ne l’auras pas mon ami ! Tu croupiras en prison avec tes camarades et nous aurons quitté ton île avant que tu ne la tues, fais-moi confiance ! pensai-je.
La descente des marches s’apparenta pour Shana à un véritable chemin de croix.Elle sentait l’air frais flageller ses fesses rouges.Je crois qu’elle a battu son record et dépassé les vingt orgasmes tant les vicelards de Xhios s’en donnait à cœur joie pour l’affoler.
Toute pantelante et ravagée de s’être tant donnée, elle pénétra dans le bunker en bas de la falaise.
La salle qui s’ouvrait devant elle était chichement éclairée…une salle pleine de requins se déplaçant dans les profondeurs entre ombre et lumière.
Le poète nous avait précédé et l’attendait sous un treuil avec une télécommande à la main.
Des dizaines de fouets à lanières multiples étaient alignés en demi-cercle autour de l’arène.
Cette fois, Shana était totalement paniquée et me suppliait sincèrement :
— Eric !...Ne me laisse pas entre leurs mains ! Regarde mes jambes ! Ils vont me les détruire.
Mais il était déjà trop tard.
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