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SHANA

Chapitre 28

Trash
Karl Kirshmédecin de profession né à Genève (Suisse)dangerosité *****
ETUDES :-niveau primaire et secondaire à Genève.-études supérieures à La Sorbonne (Paris)-Thèse de doctorat sur la physiopathologie des voies sensitives de la douleur.-Spécialisation en gynécologie, obstétrique et chirurgie plastique
CASIER JUDICIAIRE:
-1ère condamnation pour faits de mœurs à Toulouse à 32 ans. Cet ex-citoyen suisse avait fait fortune en exploitant une clinique très privée dans la banlieue de Genève.Il en avait gardé quantité de relations scabreuses parmi tous les psychopathes fortunés qui fréquentaient assidûment son établissement.Son domaine de recherche favori : l’hypnose et le sexe.Il a beaucoup étudié et publié sur les arcs réflexes neurologiques dans l’orgasme masculin et féminin.Il rencontre fortuitement, au début des années 90, un Français multirécidiviste épinglé dans toute une série de dossiers étiquetés mœurs.Karl Kirsh s’associe d’emblée avec celui qui est mieux connu sous le pseudonyme de « poète ».Il s’agir d’un riche pédant désœuvré qui a hérité l’empire industriel de papa et l’utilise pour se livrer sans retenue à tous les perfides égarements de son imagination. Les deux font rapidement la paire et se stimulent mutuellement dans une quête insatiable de distractions illégales.Les collaborateurs de Karl Kirsh étaient bien sûr dans le secret des Dieux.Max Delarue dit le poète est un homosexuel notoire.Il avoue une telle aversion pour les femmes qu’il profitera de la violence mal maîtrisée de son comparse, emporté par une fièvre charnelle, pour aboutir un jour au crime.

Eric lâchait au compte goutte les détails qu’il avait glané sur le docteur.
Depuis sa rencontre avec le poète, Karl se livrait quasiment nuit et jour à son exaltation pseudo scientifique.Les années passant, il s’était découvert un irrésistible penchant pour la torture de très jeunes femmes.Au mépris de la plus élémentaire déontologie, il se lançait dans des expériences mettant en scène des filles dépravées. Il en abusait sexuellement et chirurgicalement dès qu’il les avait placées en état d’hypnose, avec, à la clé, quelques accidents retentissants.La clinique de Genève était l’endroit idéal pour satisfaire les penchants sadiques du poète qui ne manquait jamais d’enflammer l’imagination de son compère pour le pousser à soumettre ses clientes à ses sinistres caprices.L’argent du poète servait à proposer à des dames, avides de se faire un peu d’argent facile derrière le dos de leur mari. Des contrats certes abusifs mais bien rémunérés pour quelques prestations scabreuses sous hypnose.La notoriété usurpée du médecin et le baratin de son complice leur permettaient un recrutement relativement aisé.
- Je vais t’expliquer l’entourloupe: " Et s’il n’y avait aucun risque, accepteriez-vous… ?" " Bien sûr, si je pouvais être certaine…et si ce n’est que pour une seule expérience."Une fois le poisson ferré, il pouvait se livrer à ses expériences funestes.
Pour épater ses confrères et prouver une bonne fois pour toutes que ses théories sur l’hypnose étaient fondées, il lui fallait réaliser une dernière expérience indiscutable sans laisser la moindre faille pour éviter que le monde scientifique s’y engouffre et attaque ses méthodes.Aveuglé par sa perversité, il voulut démontrer formellement l’indifférence à la douleur que procurait sa soi-disant technique révolutionnaire de narco hypnose.Le moyen fut aussi bien conçu qu’exécuté pour mettre en scène une starlette de vingt deux ans en mal d’argent, avec toute l’infamie et tout le piquant imaginable, comme disait Max le poète.Dès qu’il commençait à tourmenter une proie, il devenait enragé.Ce n’était plus un homme, c’était un tigre en fureur. On serait bientôt obligé de le lier.Pour mieux éprouver le seuil de la douleur de sa victime, il se lança dans une véritable dissection de son sexe après l’avoir enchaînée sur sa table d’examen.Durant des heures, il testa sur l’infortunée toutes les intensités électriques et autres acides que Max lui proposait.Après un calvaire indescriptible, la fille succomba.Sa méthodologie abjecte n’était évidemment pas étrangère à ce nouvel accident irréparable qui précipita sa déchéance.Son corps fut repêché huit jours plus tard dans le lac mais nos associés avaient depuis longtemps abandonné leur repaire pour trouver refuge sur Xhios où ils résidaient depuis cinq ans.Tu comprends mieux pourquoi je m’inquiète tellement pour toi.
- Ils sont peut-être guéris de leurs pulsions puisque tu me dis qu’ils sont ici depuis cinq ans sans faire parler d’eux.
- Moi aussi, je croyais cela, mais depuis hier soir, je suis certain qu’ils ne peuvent plus se passer de leur passion.Ici, il peut exercer impunément ses talents sous le protectorat de Sakis qui est quasi intouchable à cause des innombrables protections dont il bénéficie.Je suis convaincu qu’il compte en profiter.Il suffisait de voir la lumière qui s’est allumée dans leurs yeux quand tu étais entre leurs mains hier soir pour tout comprendre.Si je trahis ma promesse en te livrant ces informations, c’est que je n’ai pas la moindre envie de te prêter pour une séance « d’essai »si je peux dire.Tu aurais préféré que je t’en réserve la surprise, peut-être?
- Arrête, Eric, tu ne donnes froid dans le dos !Je veux bien risquer ma vertu mais pas dans cette partie-là.
Je mentais effrontément pour ne pas l’inquiéter avant son départ. J’étais atteinte par ce mal qui me minait depuis l’enfance : le masochisme. Une seule pensée délirante me hantait: combien de secondes encore avant qu’ils ne me soumettent à nouveau à un immense fardeau de souffrances et de privations.
Tandis qu’Eric préparait sa valise, je m’empressai d’écrire un mot.

Docteur de mon cœur,
Voici ma prière ! Ne laissez pas ma chair s’accoutumer jusqu’à ce que la douleur se mue en cette sœur obscure et tendre dont je ne peux plus me passer ! Aidez-moi à trouver le moyen le plus efficace pour me prodiguer le plus longtemps possible des souffrances optimales sans que je puisse m’y soustraire ! J’ose vous supplier de m’aider à différer mes orgasmes car je crains de ne plus être assez forte bien longtemps. Les douleurs fulgurantes, qui précédemment bloquaient toute recherche de jouissance, sont devenues maintenant une condition préliminaire au plaisir pour le rendre plus intense. Ravivez sans cesse mon désir par des supplices toujours plus cruels !Je serai une patiente docile mais permettez-moi de cumuler les plaisirs du sexe et de l’archéologie !
AMEN
Poupée

Profitant, de sa présence dans la salle de bain, je plaçai, avec un grand sourire, mon papier bien en vue devant la caméra espion dont j’avais repéré l’objectif caché dans une applique murale.
- Bisous chérie ! Je file….je vais être en retard.
- Attend ! Primo : J’ai accepté mon challenge d’être portée à ébullition avec une envie déraisonnable. C’est vrai.Secundo : Je vais me promener quasi à poil devant toute la population d’île avec la chatte en feu sans pouvoir me soulager. Ca me stimule, tu ne peux pas savoir. Tertio : Leur teaser est le seul engin capable de m’arrêter quand les chevaux seront emballés et je ne tiens pas à ce que tu me retrouves chauve si je m’égare.Il faut que tu t’en procures un pour Pascal. Je lui parlerai et il me comprendra.Tu dois le mettre au courant du contrat qui me lie à Niarchos et à ses concitoyens ou il ne va plus rien comprendre.
- Promis ! Je le brancherai sur ton cas.
- Dis, tu m’en voudras si je consulte le Docteur ?Je compte sur ses bons soins pour que ces vilaines marques sur le ventre disparaissent au plus vite.
- Je file. Fais ce que tu veux de tes fesses !
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