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SHANA

Chapitre 29

Trash
Je meurs de faim et rien pour me rassasier. Ah si ! Mon joli minou…mais loin de la caméra…tant pis pour vous, gros vicieux !
- Mais qu’est-ce que je vois là ! C’est à qui ce mignon clito? Tu es déjà bien réveillé, toi.Shana, tu as fait des sottises avec moi. Je suis hyper sensible et c’est de ta faute. Je vais me fâcher tout rouge si tu m’obliges à rester gonflé et tout dur toute la journée. Laisse-toi faire! Si tu n’es pas sage, vilain clito, je vais demander aux vilains messieurs de te punir et de te faire très mal…
Surprise et honte sur moi ! Mon appel au secours avait été entendu. Confirmation, si besoin était que quelqu’un me surveillait nuit et jour, jusque dans mon lit.La femme du nabab, le Dr Kirsh et son compère le poète, m’apportaient de quoi me restaurer.Florence, qui ne s’était pas annoncée, n’avait rien raté de ma masturbation matinale. Et, s’adressant à mon clito…
- Mon bijou! Ils t’ont fait mal les vilains messieurs ? Répond à ta maman! Maman se fait du souci pour son petit bout de chou.
- C’est bon! Ca va! Ce n’est pas parce que j’ai un peu déliré que je suis devenue complètement gaga non plus.
Tout en continuant à me lustrer la chatte…
- Il faut que je te prépare un peu. Regarde ce que je t’ai apporté ! Une femme active aux journées bien remplies doit porter des vêtements souples et agréables
- Si c’’est de ce bikini ridicule que tu parles, réfléchis un peu! Je ne peux quand même pas diriger mon escouade toute nue.
- Niarchos et moi, nous y avons pensé un instant. Dans l’urgence, nous t’avons confié ce, ce...truc. Mais ensuite, j’ai trouvé qu’il serait plus excitant de te voir travailler avec ceci.
Le petit sachet qu’elle me tendait contenait une dizaine de strings aux triangles minuscules, tout aussi transparents que les soutiens ficelles assortis.
- Mais, ce sont des vêtements de poupée. C’est horriblement indécent!
- Je suis bien d’accord. Poupée est le terme exact. Ce sera ton nom d’esclave.Attifée de la sorte, il ne sera pas très difficile de faire participer tes ouvriers à ton éducation.Tu as promis d’accepter toutes nos exigences, rappelle-toi !
— Tu sais depuis longtemps que je suis prête à tout accepter venant de toi. Le problème, vois-tu, c’est surtout ce que tes amis vont exiger de moi si je les excite à longueur de journée en montrant mes fesses et le reste.
- Il ne faut négliger aucun détail pour que ton sexe devienne une plaine de jeux.Sakis exige que tes courtisans en fassent un vrai champ de bataille! Je me régale déjà de t’imaginer, essayant vainement de cacher au travail ce clitoris tourmenté et ces lèvres de feu.
- Non ! Florence ! Ne joue pas avec mes seins ! Je ne vais plus assumer….non !
- Il faudra t’y faire ! Tu te farderas les seins deux fois par jour avec le baume du Dr Kirsh.
- C’est horrible ! Mes tétons se tendent comme deux pitons ! Je vais devenir folle. Arrête de les masser !
Elle obtempéra et ouvrit le deuxième pot.- Pourquoi deux potiquets ?Le Docteur répondit à la place de Florence, trop occupée par le massage vulvaire qu’elle avait entrepris.- Le coloré pour les seins et l’incolore pour le sexe et l’anus. A renouveler toutes les douze heures, pas plus surtout sinon, gare au priapisme ! Ah Ah Ah !C’est trop fort…C’est trop fort ! Pas sur mon clitoris, non ! Docteur !!! Dites-lui d’arrêter de me masser ! C’est atroce. C(est quoi cette crème ?- Une commande de Mr Niarchos. Une crème rapidement pénétrante et lubrifiante, riche en stimulants divers à appliquer une à deux fois par jour pour que sa chienne arbore une belle truffe toujours bien humide. Il veut te voir bander tout le temps et si ça ne suffit pas, il faudra utiliser des injections dans la hampe de ton clito. Si tu te laisses bien guider, ce sera une expérience formidable pour toi. Tant que tu ne videras pas tes glandes, ton corps s’infusera de empreintes étourdissantes comme aucune femme n’en connaîtra jamais.
Kirsh venait de prononcer un mot magique. Le moment n’était plus aux tergiversations. Il fallait que je me dévoile sans traînailler.
- Faites ce qu’il faut pour entretenir une douce frustration dans mon ventre. Comme je suis condamnée à jeûner un certain temps, autant confier docilement mon corps à un virtuose.
Florence trifouillait dans son sac en arborant un sourre qui ne me disait rien qui vaille.
— Tu m’épates, Poupée. Je vais finir par croire que tu aimes vraiment ça. Impossible de penser autrement ! Ecarte tes cuisses ! Je vais glisser le petit ovule du bon Docteur dans la grande bouche de la vilaine chatte affamée !
L’engin qu’elle venait de m’introduire ne cessait de me harceler d’une manière incroyablement énergique.
- Je t’ai aussi apporté, pour ton petit déjeuner, un médicament qui fait fureur aux U.S.A.Tu prends un comprimé matin et soir et toutes tes sécrétions seront parfumées au jasmin.
- Quelles sécrétions?
- Toutes tes sécrétions ! Qu’elles soient cutanées ou vaginales! Un vrai bouquet de printemps qu’on pourra suivre à la trace.
J’étais au bord de m’envoler. Il fallait que je me calme vite avant que Kirsh ne sorte son teaser. Angoisse inutile car le Doc prit la porte et prit congé.
- Flo, il est bizarre le Dr Kirsh. Dis-moi pourquoi tu ne l’as jamais laissé s’occuper de toi? J’aimerai comprendre.
- Parce qu’il voulait me transformer en vache laitière quand Sakis lui a dit que j’étais une femme fontaine…
- ???
- Il prétend que nos éjaculations sont aphrodisiaques et il est même parvenu à en convaincre la moitié des vieillards de cette île.
Depuis que j’avais mis le pied sur Xhios, j’étais vraiment tombée chez les dingues. Je me raccrochais à l’idée qu’Eric serait aux anges en me voyant déjà si bien partie dès le matin. Il m’avait habituée à vivre dans un vertige perpétuel, aspirée dans un gouffre ou chacun entraînait l’autre mais le précipice qui s’ouvrait devant moi semblait ne pas avoir de fond.
- Il faut s’habiller maintenant. Sakis souhaite que tu fasses très jeune fille. Voici ton baby-string !
Je pris le minuscule bout de triangle blanc garni de trois cordons de la grosseur d’un lacet de chaussure et le posai devant mon pubis.
- Tu n’as pas trouvé plus petit.
- Non en effet, si cela avait été le cas, je l’aurai pris.
- C’est quoi cette matière ? C’est joli.
- De la fibre de verre effilochée et tressée lâche pour être plus irritante à porter.
Effet sexy garanti et contraste saisissant avec mon hâle ! Revers de la médaille, transparence inévitable car maillage trop large.
- Tu m’excuseras mais j’ai le sexe trop sensible en ce moment. Je n’achète pas. N’as-tu rien d’autre en stock ?
- Enfile-le !
J’essayai sincèrement d’ajuster au mieux le simulacre de cache sexe mais ma déception fut grande car le haut du triangle ne couvrait qu’à grand peine ma fente.
- Il y a un problème, Flo. Mes lèvres ont du mal à être voilées par le tissu qui n’est même pas doublé.
- Ce sont tes lèvres qui ont doublé à force de les tripoter. Et puis, personne ne t’oblige à le porter. Regarde, il faut que tu tires sur les cordons pour emprisonner ton minou et tes lèvres seront complètement moulées par le tissu et si je resserre un peu là...
- On verra toute ma fente.
Ce truc vicieux me sciait plus le sexe qu’il ne le dissimulait. Je fis quelques pas et d’évidence, mon clito était en grande souffrance.
- Qu’est-ce que tu as donc entre les jambes? On dirait une groseille.
- Pas toucher ! Pitié ! Pas toucher ! Tu l’as acheté au « Bonheur des Exhibitionnistes ». Dis-moi si je me trompe!
- Plus tu mouilleras, mieux on verra ta moule et son corail dans ta feuille de vigne. Maintenant, tu es vraiment une salope. Poète ! Scelle-le en brûlant les nœuds ! Qu’elle ne puisse plus l’enlever sans le couper avant que je ne le décide.
- Horreur ! C’est ignoble ! Et si je dois faire pipi !!!!
- Tu iras dans la mer, jolie sirène, cueillir les embruns salé sur ton coquillage mortifié pour que mieux se cabre encore le pistil agacé!
- Le soutien, maintenant!
- Inutile! Mes seins sont suffisamment fermes pour que je puisse me permettre, MOI, de ne pas mettre de soutien-gorge.
Pour l’instant, Poupée, pour l’instant seulement…rectifia Florence.
Ma voie chevrotante trahissait mon trouble morbide. Je commençais à comprendre qu’à force de me maintenir dans un état permanent d’excitation, je n’échapperai plus à mon destin. Le Docteur nous observait par la fenêtre. Il jubilait du malaise qui me submergeait. Quand il fit irruption dans la pièce, ma vulnérabilité me sauta à la figure et une peur immense ne noua le ventre.La seule solution que j’entrevoyais était d’arrêter de fanfaronner avant qu’il ne commette l’irréparable.
- Docteur, je ne sais comment vous remercier des efforts que vous faites pour que je sois totalement disponible à tous les désirs. Venant de vous, je me sens prête à accepter n’importe quelle vexation mais un autre jour peut-être.
Le monstre de Xhios était suffisamment persuadé de son génie qu’il était tout disposé à me croire.
- Je te remercie de ce compliment très prématuré. Tu as décidé de te confier à mes bons soins et je t’en félicite.Tu ne viens de faire que le premier pas sur le chemin de la connaissance de ton corps. Je serai à tes côtés lorsque tu marcheras sur les braises, le corps criblé de flèches, vers la croix cloutée où t’attend l’impensable supplice que tu auras choisi grâce à ma guidance. La grandiose frustration de tes sens te poussera à réclamer d’être écorchée vive, bandelette par bandelette, pour que ton agonie soit interminable. Empalée jusqu’à la gorge, l’ultime fustigation de ton sexe t’ouvrira les portes du Nirvana tandis que sonneront les trompettes sur l’apothéose ruisselante d’un dernier et interminable orgasme.Voilà une idée qu’elle est bonne ! Et si vous commenciez tout de suite par mon clitoris. Il est tout joyeux et drôlement frustré et en plus, il n’est pas sage. Il cherche à traverser la fibre de verre de mon baby string, le vilain. Beaucoup d’imagination mais peu d’humour le Docteur !
- Nous en reparlerons de tout cela demain soir. Je te recevrai dans ma modeste demeure du cap Girios.Mme Niarchos te conduira. Mon travail sur toi sera d’ordre psychanalytique et physique dans le sens d’une purification libératrice.Je te ferai connaître les bienfaits du jeûne, de la saignée et de la privation sensorielle et du manque de sommeil sur ta sensualité.Pour gagner un peu de temps, je te demanderai de mettre sur papier toutes tes attentes et de déposer ta missive dès ce soir chez mon ami Sakis qui me transmettra.Ce courrier est très important pour moi mais constituera aussi une sorte de serment d’allégeance pour tes nouveaux Maîtres.
- Je le ferai humblement en m’excusant par avance de la modestie de mes appétits.
Le poète, chatouillé par mon impudence, sortit de sa réserve. Il voulait me faire comprendre que le gros morceau était à venir. Cela se voyait sur sa figure.
— Méfie-toi, Poupée fragile et si belle, que je ne sois pas dépassé par les miens !
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