En cette belle journée ensoleillée, j’avais décidé la veille de programmer un shooting photo pour la fin de journée, dans mon appartement de type haussmannien. Je voulais profiter des couleurs chaudes du soleil couchant filtrant à travers mes grandes fenêtres. J’avais contacté deux modèles avec lesquelles j’avais l’habitude de travailler. Elles furent immédiatement partantes quand je leur expliquai le projet. Je souhaitais faire un shooting mélangeant cocooning, lingerie et nu en duo. Les deux avaient déjà participé à de tels projets, mais chacune de leurs côtés et avec d’autres photographes. La fin d’après-midi arrivait. Je préparais l’appartement pour avoir les meilleures photos possibles niveau douceur et lumière. Je souhaitais que mes clichés puissent être tels que je les avais imaginés. Le lit avec les draps blancs immaculés sur un côté de la chambre. Le canapé Chester sur l’autre côté et un fauteuil club dans l’angle. Les voilages apporteraient une lumière douce et le soleil couchant la rendrait chaude. Et il y avait toujours les stores vénitiens pour faire des jeux d’ombres et de lumière. Niveau tenue pour les filles, elles faisaient toujours avec ce qu’elles avaient. Je leur indiquais juste une couleur et un type de tenue. Rien d’autre. Je préférais qu’elles se sentent bien dans ce qu’elles portaient, même si j’avais toujours, au cas où, des choses qui pourraient les intéresser si elles le désiraient. D’ailleurs, l’une d’elles m’avait fait part qu’elle aurait besoin d’une chemise d’homme blanche ou claire, car elle n’en avait pas ni ne pouvait en emprunter une à quelqu’un. Nous nous étions donné rendez-vous directement chez moi pour 18h. 17h48. Quelqu’un sonna à l’interphone. Je reconnus la voix de Chloé et pressai le bouton pour lui ouvrir la porte du bas. Malheureusement, je n’avais pas d’ascenseur et j’habitais au troisième. Elle monta donc jusque chez moi. Je l’attendis sur le seuil. Elle était vêtue d’un body bleu clair moulant, d’un short en jean au ras des fesses et de baskets blanches. — Salut Chloé ! Tu vas bien ?— Super oui ! Franchement ça fait plaisir de bosser à nouveau avec toi, lâcha-t-elle avec un sourire amical. J’ai déjà hâte de voir le résultat. Je suis toujours tellement ravie par nos photos. Chloé n’était pas mon style de femme, mais elle était très agréable à regarder. Elle était blonde, les cheveux tombants, légèrement ondulés, sous les épaules. Un nez bien dessiné avec une arête fine. Des lèvres fines. Les yeux verts. Un bon 90 C en poitrine. Des hanches légèrement marquées et un fessier peu rebondi. Timide de nature, avec le temps c’était devenu une bonne copine. Si mes souvenirs étaient bons, on devait en être au moins au cinquième shooting ensemble. Et c’était toujours un réel plaisir de la voir et de travailler avec elle. — Je te sers quelque chose à boire en attendant de passer aux festivités, demandais-je avec humour ?— Je veux bien, s’il te plaît ! Un jus de fruit me ferait du bien. Vu que de toute façon, tu as dit que tu nous invitais après je me rattraperais sur l’alcool plus tard, déclara-t-elle en riant. Vaut mieux pas que je sois éméchée pour le shooting. Pas sûr que ça colle à l’image que tu veux y donner. Je lui servis un jus de pomme tandis que l’interphone sonna à nouveau. Il y avait peu de chance pour que ce soit quelqu’un d’autre que Samia. Je déverrouillais à nouveau la porte d’entrée, et la laissais tranquillement monter tandis que je l’attendais devant ma porte. Elle était habillée d’une robe portefeuille s’arrêtant à mi-cuisse avec un décolleté particulièrement plongeant. Samia était beaucoup plus mon style de fille, physiquement en tout cas. Une Marocaine aux cheveux ébène longs et particulièrement bouclés. Les yeux noirs, mais le regard doux malgré tout. Le nez long et relativement large. La lèvre supérieure de sa bouche était fine et sa lèvre inférieure était plus charnue. Des formes bien plus marquées que Chloé, même si son tour de poitrine était un peu moins élevé. Je dirai un bon 85 C quand même. Et, sans mentir, j’avais déjà cru capter quelques appels de sa part envers moi que je n’avais jamais su saisir malgré nos huit séances photo ensemble. Elle avait quand même un petit défaut : son caractère bien trempé. Elle était partie de chez ses parents pour vivre sa vie, au grand désespoir de ses géniteurs, qui la déclarèrent irrécupérable. La honte de la famille, du fait de les avoir abandonnés, selon leur point de vue, et d’avoir décidé de vivre sans religion. — Salut Samia ! Pile à l’heure, la saluai-je avec un sourire.
— Que veux-tu ? C’est ma qualité première, me répondit-elle en me rendant mon sourire. Une fois entrée, je lui proposai également de boire quelque chose et ne souhaitai qu’un verre d’eau. Les deux filles ne se connaissaient que de réputation, mais n’avaient jamais participé ensemble à un shooting. Du coup, elles en profitèrent un peu pour faire connaissance autour de la table basse de mon salon. Le feeling était top entre les deux. Elles rigolaient bien. C’était franchement mieux quand ça se passait comme ça. Quand l’entente était juste cordiale et professionnelle, je n’étais pas toujours satisfait du résultat. Au moins là, tout irait comme sur des roulettes. J’en étais certain. Aucune mauvaise surprise. — Bon ! Eh bien maintenant qu’on a tous fait connaissance, on va se mettre dans le bain, lançais-je avec le sourire aux filles en me levant. Les deux femmes, habituées à être vues, ne prirent pas la peine de s’isoler dans la salle de bains pendant que je débarrassais les verres. Elles ôtèrent body et short pour l’une et robe pour l’autre et les déposèrent sur une chaise. Elles se retrouvèrent en ensemble dentelle noire pour Samia et rouge pour Chloé, laissant leurs formes apparentes. J’avais décidé de séparer mon shooting en trois parties distinctes : une partie cocooning en lingerie et chemise claire et ample, une autre clairement en lingerie et une dernière topless, nu caché ou nu tout court. Je prendrais majoritairement des photos des deux modèles ensemble, mais j’aimais aussi en faire quelques-unes de l’une ou de l’autre en solo également. Je partis dans mon dressing chercher une chemise blanche pour Samia et revins avec, tandis que Chloé en enfila une bleu clair. Je leur demandais de les nouer à hauteur sous poitrine, laissant ainsi le soutien-gorge apparent tout en n’ayant aucune connotation vulgaire. J’avais toujours eu horreur que mes photos puissent le paraître et je luttais farouchement contre ça. Les filles avaient toutes les deux un maquillage très nude et naturel qui correspondait totalement à mon souhait pour ce shooting. Je les priai de me suivre à la chambre, organisée pour la séance photo. Le temps n’avait pas changé et était encore au beau fixe. Le soleil descendait doucement dans le ciel et les couleurs se faisaient de plus en plus chaudes à travers les fenêtres. Je sortis mon appareil photo avec mon objectif 35mm, leur donnai une grande tasse et les fis poser sans jamais les toucher. (Il s’agissait d’une règle d’or pour moi.) Tout d’abord sur le canapé. Chloé était sur le bras de celui-ci, les deux jambes sur le côté extérieur, tandis que Samia était assise sur les coussins, les jambes pliées en dessous d’elle, adossée à sa collègue. Les positions varièrent sensiblement, l’angle de vue aussi. La lumière était magnifique. Ensuite, je les fis s’installer dans l’embrasure de la porte, chemises enlevées. Elles se trouvèrent alors en ensemble lingerie devant moi, restant toujours très professionnelles. J’avais l’habitude de ce type de shooting. Je les fis tout d’abord s’asseoir l’une face à l’autre puis l’une adossée au chambranle et l’autre assise sur une chaise, une jambe remontée devant elle qu’elle prit dans ses bras. Elles exécutèrent brillamment mes instructions. La séance photo pouvait avancer à bon rythme. Je leur demandais ensuite de se dévêtir entièrement. Je voulais réaliser quelques clairs obscurs avec la lumière tombante et me servir des stores vénitiens pour faire de jolis détails de leur corps, de la poitrine au pubis. Une fois ces quelques clichés effectués, je les priais de s’allonger sur le lit. Chloé adossée à un coussin et Samia la tête posée sur la cuisse de sa comparse masquant ainsi par sa chevelure fournie son entrejambe. Ce fut à ce moment-là que tout bascula. La main de Samia était posée sous ses boucles. Je n’avais donc aucun moyen de voir ce qui pouvait se passer. Mais, à ce moment-là, j’aperçus une expression sur le visage de Chloé. Une expression qui exprimait la surprise dans un premier temps et qui n’avait aucun rapport avec le shooting. Suivie d’une deuxième et d’une troisième auxquelles se mêlait de la gêne. Une fois cet incident passé, la séance reprit son cours. Chloé se ressaisit et nous pûmes avancer un peu dans les clichés. Je fis relever Samia et lui indiquai de poser sa tête sur l’épaule de Chloé. Puis je demandai à cette dernière de passer son bras autour de l’épaule de l’autre jeune femme. Je fis quelques photos, mais quelque chose d’étrange eut lieu sous mes yeux. La main de Chloé descendit lentement sur le haut de la poitrine de sa comparse. Sans que je ne leur indiquasse de changer de position, Samia abaissa sa tête pour regarder Chloé dans les yeux. J’en profitai pour effectuer quelques clichés qui, visiblement, s’orientaient plus vers de l’érotique. Une grande première pour moi, mais qui ne me déplût pas. Cela me permit d’apporter une corde supplémentaire à mes prouesses photographiques. La main de la blonde descendit du bout des doigts sur le sein fourni de sa collègue, lui pinça le téton et le fit rouler entre le pouce et l’index tandis que son regard parcourût la silhouette longiligne de Samia, de sa poitrine au bout de ses jambes. La jeune maghrébine se laissa docilement faire. Ses yeux suivirent la main qui lui descendait le long du corps et beaucoup de désir y était lisible. Je compris alors ce qui avait dû se passer lorsque Chloé eût cet étonnement furtif un peu plus tôt. C’était Samia qui avait probablement chauffé l’autre femme. Chloé étant bien trop timide pour agir de la sorte d’elle-même sans en avoir été sollicitée. Cachée par ses cheveux, ses doigts s’étaient posés sur le clitoris et les lèvres de la seconde, et s’étaient peut-être même insérés dans l’orifice humide de Chloé. Peut-être même qu’elle les y avait laissés jusqu’à ce que je ne les fasse changer de position. C’était bien le genre, mais il s’agissait là de la première fois où elle ne pût se tenir en ma présence. Quoi qu’il en soit, je n’allais pas mentir. Le spectacle me plaisait et j’en profitai pour continuer de les mitrailler en pleine action sensuelle. Le visage de Samia se trouva en dessous de la généreuse poitrine de Chloé. Elle souleva sa tête, attrapa à pleine main le sein sous lequel elle se trouvait, sortit sa langue et, avec le bout, titilla le téton de l’autre femme. Celle-ci apprécia visiblement, car, elle s’arrêta de parcourir le corps avec ses doigts et les approcha lentement du pubis rasé de la seconde. Du bout de ses ongles, elle le caressa puis descendit doucement son index et son annulaire dans les creux des hanches autour des lèvres de la Marocaine. Elle laissa son majeur à quelques millimètres sans les toucher pour le moment. Son but était clairement de lui faire monter l’excitation à son paroxysme avant de passer aux choses sérieuses. J’étais quand même particulièrement surpris de voir Chloé se lâcher autant et ça me faisait plaisir de la voir différemment. Je sentis un afflux sanguin monter dans mon entrejambe devant un tel spectacle et me surpris à toucher la bosse par-dessus mon pantalon tout en continuant de prendre quelques clichés. Chloé continua sur la même voie. Elle frotta sur les bords de la vulve de Samia, mais finit par poser son majeur sur les lèvres trempées de l’autre femme. Son doigt descendit le long des parties intimes et remonta son majeur jusqu’au clitoris pour le stimuler. Elle finit par l’insérer doucement à l’intérieur. Elle recommença la manœuvre à plusieurs reprises jusqu’à enfoncer carrément le doigt à l’intérieur, bientôt rejoint par l’index et l’annulaire. Samia les sentait bien au fond. Elle gémissait fort de plaisir lançant la tête vers l’arrière, fermant les yeux et ouvrant la bouche en respiration forte et saccadée. N’en pouvant plus, elle saisit la cuisse de Chloé pour la passer de l’autre côté d’elle. Sa chatte rasée se trouva pile au-dessus de son visage. La jeune maghrébine passa les bras autour des cuisses de sa comparse, les serra fort comme pour s’y agripper, leva sa tête et sortit le bout de sa langue pour titiller le clitoris de Chloé et goûter à la cyprine coulant de sa vulve. Cette dernière lui pressait la poitrine et la malaxait fortement. La jeune blonde devait avoir tellement bon goût que Samia força sur ses bras pour relever sa tête au maximum afin d’y plaquer sa bouche et d’y enfoncer sa langue bien profondément. Elle devait y aller vraiment vite et bien, au vu de la réaction de Chloé qui ne pouvait se retenir de gémir de plus en plus fort. — Ouiiiiiii ! Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ne put-elle se retenir lorsqu’elle atteignit l’orgasme. Samia, qui, visiblement, adorait vouloir la faire jouir, la maintint de toutes ses forces pour qu’elle ait un trop-plein de plaisir. Elle devait également chercher à ce qu’elle puisse lui recouvrir le visage d’un peu de mouille supplémentaire. C’était visiblement une vraie gourmande cette femme ! Elle me plut encore plus à ce moment-là. Devant tant d’excitation, je ne me retins plus. J’ouvris ma braguette et finis par sortir mon pénis gonflé de mon pantalon et commença à faire des va-et-vient tout légers entre mes doigts tout en regardant les deux femmes se donner du plaisir mutuellement. Lorsque Chloé n’en pût plus, elle s’allongea aux côtés de l’autre jeune femme. A ce moment-là, Samia aperçut probablement que j’avais sorti mon manche parce qu’elle glissa quelque chose à l’oreille de la blonde à qui elle venait de donner de nombreux orgasmes et, juste après, elles s’avancèrent à quatre pattes vers moi, puis descendirent du lit. Je sentis leurs regards lubriques sur moi et continuais de m’agiter sur ma queue. Arrivées à mon niveau, je relâchai mon pénis et leur laissai à disposition. Samia en profita la première et approcha sa bouche de mon gland. Elle le titilla du bout de la langue tandis que Chloé déboutonna mon pantalon afin de libérer mes testicules. Elle le fit glisser à mes pieds, suivi de mon boxer. Une fois tout le service trois-pièces sorti, elle me fit écarter les jambes au maximum pour pouvoir passer sous Samia et me lécher les testicules. J’avais deux langues sur mes parties génitales et ça m’excitait encore plus. Jusque-là, ça relevait du fantasme, mais, aujourd’hui, c’était bien réel ! Chloé me goba les couilles une par une et tira légèrement dessus avec ses lèvres tandis que Samia humidifiait mon bâton de bas en haut. Au bout de quelques minutes, la blonde rejoignit l’autre modèle et leurs langues glissèrent d’un accord parfait sur ma queue bien dure et bien droite. Elles se touchèrent à l’occasion. Les veines de mon pénis étaient apparentes tellement l’excitation était importante. Puis, elles continuèrent le mouvement à pleine bouche l’une après l’autre. Je sentais leurs dents me mordiller légèrement. J’étais au paradis... ! Ensuite, Samia m’enleva mon t-shirt pour découvrir mes abdos et mes pectoraux, qu’elle s’empressa de me tâter de long en large, tandis que Chloé gardait ma bite tout au fond de sa gorge. J’entendais des bruits de salive et de succions qui ne pouvaient faire qu’augmenter mon excitation. Samia approcha sa bouche de la mienne. Elle l’ouvrit, colla ses lèvres aux miennes et sortit sa langue qui se mélangea à la mienne au fond de ma gorge. Pendant ce temps, je tâtai le sein bien fourni de la jeune maghrébine, mon autre main maintenant la tête de Chloé où elle était. Je léchai le téton que j’avais attrapé avant de le sucer vivement à pleine bouche. Samia poussait de petits gémissements et elle émit un cri mêlant douleur et plaisir lorsque je lui mordis volontairement le bout. Je l’avais tellement excitée qu’elle nous attrapa, Chloé et moi, et nous fit nous allonger sur le lit. Je m’allongeai sur le dos, à la merci des jeunes femmes lubriques que j’avais invitées pour un shooting photo. Jamais je n’aurai pensé qu’il se terminerait ainsi ! J’attrapai un préservatif dans la table de nuit, à ma gauche. Samia le saisit, l’ouvrit et prit tout son temps pour le dérouler sur mon pénis tout droit et tout dur, millimètre par millimètre. Puis elle s’assit directement dessus. Je sentis sa chatte toute chaude et humide entourer mon gland et descendre doucement jusqu’à ce que je tape le fond de sa chatte. Elle monta et descendit lentement puis plus vivement. Elle prenait son pied ; ça se voyait. Elle me regardait tout en se mordant la lèvre inférieure. Chloé, elle, avait visiblement apprécié ce que sa collègue lui avait fait et en redemanda encore. Au bout de quelques minutes, elle s’assit sur mon visage, faisant ainsi face à Samia. Ma langue s’agita doucement sur ses lèvres. Elles étaient encore toutes humides des effets de son orgasme à répétition. Je ne voulais pas en perdre une seule goutte. Je goûtais sa cyprine à pleine langue et lui insérai deux doigts en même temps que je lui titillais, par petits coups rapides et répétés, le petit appendice en haut de ses lèvres, source du plaisir féminin. Je fis de nombreux va-et-vient avec mes doigts. Un nouvel orgasme arriva très rapidement et elle me trempa le visage. Les gouttes de sa mouille perlèrent sur mon front et mon nez avant de rouler le long de mes joues. Que c’était bon de sentir ce liquide si chaud et excitant sur moi ! Samia continuait de monter et descendre sur moi. Elle prenait beaucoup de plaisir à sentir mon membre bien gros et dur taper au fond de sa chatte. Je décidai, pourtant, de passer à autre chose. Je fis relever Chloé et indiquai à Samia que j’allais récupérer mon bâton pour une autre utilisation. De plus, Chloé avait envie de tester l’effet que ça faisait de lécher la vulve d’une femme, elle qui en avait déjà pris pour son grade depuis une bonne demi-heure. Je lui en offris l’occasion. Samia s’allongea sur le dos, tandis que Chloé se mit à quatre pattes, le visage dans l’entrejambe de la première. Moi, je m’installai derrière la blonde, ma bite toujours raide comme un piquet et la capote imprégnée de la mouille de Samia. Je la pénétrai lentement, commençant par le gland et avançant doucement dans l’antre très humide de Chloé. Lorsque je sentis le fond, je ressortis et re-rentrai. Je répétai cette manœuvre à de très nombreuses reprises. J’aimais tellement taper au fond de ce vagin ! Je ne pouvais voir ce qui se passait devant, mais j’entendis très nettement des gémissements forts et une respiration haletante de la part des deux filles, quoique quelque peu étouffés pour Chloé. C’était parfaitement compréhensible vu où se trouvait sa bouche. Je gérais le rythme de mes mouvements afin de ne pas venir trop vite. C’était compliqué. Elles m’avaient beaucoup trop excité en commençant toutes les deux. Et maintenant que je les avais rejointes, je ne tenais plus, mais je souhaitais leur donner entière satisfaction. J’insérai un doigt dans le cul de Chloé pendant que je la pilonnais de plus en plus fort. Je remarquai que, la surprise passée, elle apprécia tellement la sensation que, du coin de l’œil, je la vis copier cette opération sur Samia. Je la vis lui écarter les fesses et entrer son index lentement dans l’anus de la Marocaine tandis qu’elle continuait de la lécher. Pour moi, cette dernière était aux anges. J’aperçus sa tête partir en arrière, ses boucles noires s’étaler sur le lit et ses yeux se révulser de plaisir. J’étais à deux doigts de lâcher la sauce, mais je voulais encore profiter un peu de ces deux amazones. Alors je me retirai de Chloé. Je plaçai Samia à plat ventre sur le lit, jambe au sol, cul face à moi et l’autre jeune femme au-dessus d’elle à quatre pattes. Ainsi les deux vulves déjà dégoulinantes se trouvaient l’une au-dessus de l’autre. Ce changement de position me permit de relâcher légèrement la pression de ma queue afin de ne pas éjaculer trop vite. J’insérai d’abord mon pénis gonflé à l’intérieur de Samia, le poussai au fond et ressortis. Je répétai le geste par trois fois avant de mélanger le fluide de la jeune femme à celui de Chloé. Tout le monde prenait son pied ! C’était l’extase ! Samia sentait la poitrine de Chloé se presser dans son dos et elle avait l’air d’apprécier sentir ses formes sur elle. J’accélérai mes entrées-sorties entre les deux et la pression était vraiment remontée à bloc. — J’en peux plus les filles. Je vais jouir, lâchais-je me mordant la lèvre pensant peut-être que ça m’aiderait à tenir. Ni une ni deux les jeunes femmes se posèrent à genoux devant moi, leur visage face à ma bite, bouche grande ouverte et les yeux fermés pendant que j’agitais de manière très saccadée la main sur mon manche. — Je sens que ça vient... Je me branlai encore plus fort jusqu’à ce qu’un jet concentré de sperme ne termine sur le nez et la bouche de Samia. Je me tournai légèrement afin de donner la prochaine giclée à Chloé qui attendait sa récompense. Elle en reçut sur la joue. Je lui fis recevoir les deux dernières également puisqu’elles étaient moins importantes et elle les prit directement en bouche. Aucune des deux ne souhaitait en perdre une seule goutte. Elles récupérèrent avec leur langue ce qui se trouvait sur le visage de l’autre avant de mélanger le tout dans leur bouche. Une fois que tout le monde eut joui, nous nous allongeâmes ensemble sur le lit, les deux femmes à chacun de mes bras. Je me tournai vers Samia et lui demandai si ce qui s’était passé était parti d’elle. Elle me le confirma du regard et par un sourire coquin. — J’espère qu’avec tout ça je vais quand même avoir des photos de qualité à publier !? ironisai-je.— Je pense qu’il y aura toujours moyen de se faire pardonner, s’empressa de répondre la jeune Marocaine en relevant le visage pour capter le regard de Chloé qui acquiesça. Nous restâmes longuement ainsi, nos corps allongés côte à côte. Cela nous permit de reprendre nos esprits et de savourer le moment présent avant de profiter d’une belle soirée tous les trois, comme c’était prévu.
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