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Un short

Chapitre 1

Hétéro
60 ans, seul. Je fais toutes les semaines mes courses en grande surface, et j’en profite pour mâter les femmes seules, jeunes ou moins jeunes. Il y en a des quelconques, mais aussi des mignonnes, des jolies, des belles, des encore plus comme celle de ce jour.Elle s’avance vers moi, et avec l’habitude je la juge vite fait: la trentaine passée, grande, mince, blonde, cheveux courts, tee-shirt largement échancré, une poitrine ferme et généreuse, une taille fine, des belles hanches, un mignon petit short, de longues et magnifiques jambes; bref elle est sculpturalement gaulée. On se croise et je ne manque pas de me retourner pour la voir de dos. Elle a des cuisses jusqu’au cul mais elle a surtout un short incroyable, un short sur lequel il est inscrit en grosses lettres capitales qui recouvrent ses belles miches le mot "LOVE". Il m’arrive souvent de penser que les femmes sont des salopes, à tort certainement, mais celle la en est une sans aucun doute, une qui cherche.Je m’arrange pour ne pas la perdre de vue, discrètement, et prendre des photos avec mon portable.J’ai terminé mes achats, prends ma voiture, et l’aperçois qui range ses courses dans son véhicule. Je me gare tout prêt et reprend des photos: elle reste plongée quelques secondes dans son coffre et j’ai une vue imprenable sur son cul de rêve.Elle s’en va et je la suis. Elle habite une petite villa dans un lotissement, et je me gare plus loin pour revenir à pied jusque devant chez elle, relever l’adresse et son nom sur la boite aux lettres, ou plutôt le nom de son mari.Je travaille dans une administration où j’ai accès aux informations de nombreuses personnes. Il travaille dans une grande boîte internationale, et je me dis qu’il doit être souvent en déplacement. J’appelle à son boulot pour lui parler, en numéro caché, et on me confirme qu’il vient de partir pour cinq semaines à l’étranger. Sa femme ne travaille pas et je l’appelle chez elle, toujours en numéro caché.Je lui dis que j’ai repéré son manège pour allumer les hommes et lui demande si son mari est au courant qu’elle fait la pute. Elle me dit d’aller me faire foutre et raccroche. Je la rappelle en suivant et lui parle des très jolies photos que j’ai faites; elle se radoucit et m’écoute. Je lui dis qu’elle m’a mis le feu, que j’ai envie d’elle, et qu’il vaudrait mieux qu’elle soit conciliante si elle ne veut pas que son conjoint sache tout de son comportement en son absence. On discute longuement, elle me dit que je bluffe, que son homme va rentrer, que je suis un impuissant, qu’elle va porter plainte, puis face à mes réparties finit par comprendre que c’est son intérêt de m’écouter et m’obéir.
Je ne tiens pas à ce qu’elle me voit et je lui donne rendez vous dans un sex-shop que je fréquente, à 17 heures précises, et lui énonce mes conditions. Elle doit demander la cabine individuelle, ça coute dix euros que je lui rembourserais. Je suis en planque à l’extérieur, pour m’assurer qu’elle vient seule, et je rentre deux minutes derrière elle. J’entre dans la cabine qu’elle a laissé ouverte, la referme à clé, Elle a sa tenue qui m’a tant excité, et me tourne le dos. Je lui tends des petites lunettes de plongée dont j’ai recouvert les verres d’un ruban adhésif pour qu’elle ne voit rien:— C’est bien d’être venue, salope, tiens mets ça et puis tu vas te déshabiller.Elle est à poil, encore plus belle que dans mes pensées, je suis nu moi aussi, et lui demande de se retourner pour me sucer. Elle sait qu’elle doit m’obéir sans rien dire et s’exécute sans un mot. Elle me pompe sans rechigner et je vois un œil boucher le glory hole. Il y a en effet un trou dans une des cloisons et qui correspond avec la salle commune de cinéma, lieu de rendez vous entre hommes.Je la fais se retourner à nouveau pour la prendre en levrette. Elle est toute mouillée et je rentre dans sa chatte comme dans du beurre:— Putain, que tu es bonne, tu as deux des meilleurs orifices que je connaisse. J’espère que ton cul est aussi accueillant.— Non, pas mon petit trou, s’il te plait!— Comme tu veux, mais c’est ton fion ou ton mari, tu choisis. Et puis avec le cul que tu as tu ne vas me faire croire qu’il est vierge.— Non, mais elle trop grosse ta queue.-Merci, mais ne t’en fait pas, je vais te la mettre en douceur et tu vas en redemander.Je la prépare à me recevoir, je l’embroche sans la faire crier, je la lime, et elle semble apprécier.L’œil s’est retiré et je vois une belle bite s’enfiler dans l’ouverture. Je demande à ma partenaire d’enlever ses lunettes, sans chercher à me voir:— Regarde la belle sucette qui t’attend.-Ah non, toi je n’ai pas le choix, mais je ne suis pas une pute.— Pas encore, mais tu vas le devenir. Tu vas faire tout ce que je te dis, et pour le moment tu vas pomper cette queue, à fonds, et avaler, comme si c’était la mienne.
— Tu es un salaud.— Oui je sais, mais je sais surtout comment traiter les putains de ton espèce. Alors maintenant tu la fermes et tu bouffes, sinon je te jure que tu vas le regretter.Elle s’exécute, suce cette bite inconnue, tout comme la mienne qui lui pilonne la chatte et le cul en alternance, et je prends d’autre photos. Je me suis branlé avant de venir et je peux triquer une ou deux heures avant de jouir, sauf que je commence à avoir mal aux reins:— Dépêche toi de le faire venir, j’ai envie que tu t’occupes de ma queue. Elle accélère le mouvement et à entendre les bruits de l’autre côté de la paroi je sais que son partenaire éphémère éjacule violemment. Il se retire, elle remet ses lunettes noires et se retourne pour me turluter. Je suis assis sur une chaise, cuisses ouvertes et elle s’agenouille entre mes jambes. Je la guide vers mon sexe et pose mes mains sur sa tête:-Salope ça t’a plus de lui vider ses couilles à ce queutard. J’aime moi aussi jouir dans la bouche de chiennes gourmandes, et je vais te donner ma bonne sauce à engloutir.Elle me suce un bon moment, non stop, sans répondre, vu que je la maintiens contre moi, ma bite bien au chaud dans sa bouche qui salive abondamment. Elle me fait venir et je décharge sans retenue:— Ouiii, oui, avale salope, avale, bouffes tout putain de chienne.Elle boit tout et me nettoie la queue sans même que je n’ai à le lui demander.On se rhabille et je lui donne vingt euros, dix pour rembourser son entrée, et dix pour revenir le lendemain, même heure. Elle se rebiffe pour refuser et je la recadre aussi sec et lui montre mes dernières photos, où on la voit nettement sucer une queue qui traverse un mur. J’ai à nouveau droit à des qualificatifs injurieux mais dont je me fous complet; elle va revenir et c’est tout ce qui compte.
Deuxième rencontre, même conditions, et elle me suce dans la cabine sans me voir. Une queue apparait dans le glory hole Je prends sa main pour la poser dessus:— Deux jours, deux bites! Tu as du succès salope, mets te la dans le cul.— Non, je...Elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle se prend une tarte dans la gueule:— Tu as du mal à comprendre, tu es ma pute et tu fais ce que je te demande, ok?Elle répond un petit oui à peine audible, et je me penche sur elle pour l’embrasser à pleine bouche. Elle me repousse et je lui assène une deuxième gifle. Je la saisis par les cheveux, penche sa tête en arrière, et soude à nouveau mes lèvres à ses lèvres. Elle ne se défend plus, s’abandonne, laisse ma langue pénétrer sa bouche, puis participe activement. Sa langue s’enroule à la mienne, me pénètre, elle salive autant que moi, et reste soudée alors que j’ai relâché ma prise et que rien ne l’y oblige. Je me décolle et ses bras m’enserrent pour me ramener à elle, pour une nouvelle et longue pelle goulue. C’est à mon tour de la repousser:— C’est bien salope, je vois que tu as compris les règles du jeu. Alors fous toi cette bite dans le cul et offre toi bien à son maître.— Salaud, tu sais ce que j’aime.— Oui ma chérie, dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une bonne. Mais on a assez discuté, empales toi sur son manche et suces moi. Elle frotte son petit trou sur cette belle trique, pousse dessus jusqu’à la sentir toute en elle. Elle a les fesses collées au mur et je devine son inconnu la matraquer de toute ses forces. Elle gémit, jouit, crie, et je stoppe ses bruits en fourrant mon gland dans sa gorge. On la baise à deux, moi par la bouche, lui par le cul. Je l’entends qui se libère et qui se soulage en elle.Il retire sa bite ramollie et je lui demande de se retourner. J’enfonce ma queue bien raide dans la chaleur de son cul rempli de foutre et je la ramone comme un sauvage. Elle gémit encore, jouit comme une chienne en chaleur, et m’encourage à la défoncer. J’éjacule à mon tour et finis de la remplir. Je me retire, j’ai du sperme partout, le mien et celui du précédent, et je la fait me nettoyer. Elle se met à l’œuvre, dans le noir, et lèche tout jusqu’à la dernière goutte. Je suis satisfait d’elle et lui roule une pelle. Elle se donne à moi, m’embrasse comme une folle, et on se bouffe la poire comme des voraces. Elle me demande l’autorisation d’enlever ses lunettes, veut me voir, me jure de rester ma pute soumise. Je fais peut-être une connerie mais j’accepte:— Ah c’est vous! Je me doutais, je vous ai repéré au magasin.— Eh oui, c’est moi. Mais tu ne me tutoies plus?— Excusez moi, mais j’ai toujours eu du mal avec les personnes mûres, même au boulot.— Je ne suis pas si mûr que ça, je pense même être encore bien vert.-Oui, ça c’est vrai, vous me baisez trop bien.— Tu me fais plaisir ma chérie, mais tu me ferais encore plus plaisir si tu continuais à me dire "tu".— Ok, si tu veux, mais moi j’aimerais que tu m’insultes encore, je préfère être ta pute ou ta salope, plutôt que ta chérie.On s’accorde la dessus, et on se roule à nouveau de longues pelles.
Je lui propose d’aller prendre un verre et que l’on organise nos prochaines rencontres. Je la questionne sur nos premiers rapports et elle m’avoue, sans vouloir me vexer, qu’elle a pris un énorme plaisir à prendre des queues d’inconnus encore plus anonymes que moi dont elle se doutait me connaitre.Je lui propose alors de se retrouver la prochaine fois dans la salle commune et non dans la cabine particulière. On est vendredi, et le lendemain, samedi, est le jour de la semaine où il y a le plus de clients.Elle est hésitante et me propose de passer la soirée chez elle, et même la nuit, pour en discuter.
A suivre..................
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