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Sibling Service

Chapitre 1

La première fois

Inceste
NOTE : Cette nouvelle est inspirée d’un doujinshi du même nom, mais j’ai pris beaucoup de liberté et ai modifié et ajouté du contenu. Si l’histoire vous a plu, je pourrais envisager d’inventer une suite. C’est aussi la toute première nouvelle que j’écris de ma vie, alors j’espère qu’elle vous plaira !
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Être étudiant n’était pas toujours facile, surtout pendant la période des révisions de partiels. Les profs nous répétaient sans cesse que pour ne pas finir submergé à l’aube des partiels, il fallait privilégier de réviser régulièrement et méthodiquement tout au long de l’année scolaire. Ce n’était pas aussi simple. Le manque de repos et les nombreuses heures de cours magistral rendaient difficile l’apprentissage des différentes matières. À cause de cette situation, je n’avais que très peu de vie sociale. Ma sœur avait fait un autre choix de vie, elle se foutait pas mal de ses études et enchaînait les soirées, quasiment quatre par semaines. On ne vit pas tous nos études de la même manière...
Ma sœur était en troisième année d’informatique, elle était plutôt douée et réussissait tous ses partiels presque sans effort, ça en devenait insultant au vu de son manque d’implication. Elle avait choisi un milieu majoritairement masculin, ça veut dire qu’elle fréquentait beaucoup de garçons. À l’université, il y avait des rumeurs sur les soirées étudiantes de la section informatique, alcool et sexe faisaient bon train. Je supposais qu’elle devait sans doute avoir de nombreux partenaires sexuels pendant que moi, je restais là, tristement puceau.
Un « bip » retentit soudain, me sortant de mes songes. Déjà une heure du matin, j’avais assez travaillé pour aujourd’hui, il fallait que je me couche si je ne voulais pas perdre mon rythme. Nous étions peut-être en pleines vacances de Noël, et dans quelques jours aurait déjà lieu la rentrée et le retour de la sainte routine.
J’ouvris les fenêtres pour fermer le volet quand une paire de fesses apparut, à quelques centimètres, face à moi. C’était un beau petit cul bordé d’une minijupe. Au centre se trouvait une culotte blanche laissant deviner les formes d’une délicieuse petite chatte.
— Oh mon Dieu ! Je dois être en train de rêver, c’est trop beau pour être réel, m’exclamai-je sous le choc et l’excitation.— Yo frérot ! Qu’est-ce que tu mates comme ça ? Pervers.
Ma sœur descendit de la balustrade, elle était montée à ma fenêtre, fesses en avant. Je remarquai qu’elle avait un petit sourire en coin qu’elle essayait de cacher, la situation devait l’amuser, quelle gamine !
— Louise putain ! Qu’est-ce que tu fous ? maugréai-je, embarrassé d’avoir fantasmé sur le cul de ma sœur.— Schh ! Maman et papa vont entendre ! Je devais rentrer discrètement, et la lumière de ta chambre était encore allumée !

L’excitation n’était pas encore totalement passée, à cause de ça, je commençais à envisager ma sœur comme une femme. Elle portait une minijupe rouge à motif écossais qui laissait admirer ses sublimes et douces jambes ainsi qu’un magnifique croc-top noir décolleté qui me faisait un effet de dingue. L’observer ne m’aidait pas à faire baisser mon excitation.
— J’ai manqué ce que tu disais il y a une seconde héhé, commença-t-elle en me lâchant un petit rire coquin, quelque chose à propos d’ « être en train de rêver » je crois ?
J’étais foutu ! Elle avait très bien entendu mon ovation à son petit cul, et maintenant, ça lui donnait une arme supplémentaire pour se moquer de moi. Mon cerveau tournait à plein régime, il fallait que je me sorte de cette situation, mais je ne trouvais aucune d’issue. Ma sœur, me voyant dans l’incapacité de répondre, renchérit.
— En tout cas, je ne m’attendais certainement pas en rentrant à avoir un accueil aussi chaleureux !
Elle lâcha de nouveau un petit rire coquin.
— Je... J’étais juste...— C’est bon, gloussa-t-elle, ta grande sœur est une bombe ! T’y peux rien !— Tu me saoules ! la coupai-je comme d’un demi-aveu.
Elle avait raison, son corps me faisait de l’effet. Était-ce parce que je voyais peu de monde en ce moment ou était-ce parce que j’étais toujours puceau à vingt ans ? Sans doute un bon mélange des deux. Tout ce que je pouvais dire, c’était que la situation, malgré son étrangeté, son petit cul et son décolleté, faisait de l’effet à mon entrejambe. Il fallait que je cache la bosse naissante.
— Hé au fait ! changea-t-elle de sujet malgré son petit rictus persistant, qu’est-ce que tu fous debout encore à cette heure-ci ?— Tu sais très bien que je révise pour les partiels en ce moment. D’ailleurs, je voudrais bien continuer à étudier MOI, lui répondis-je sèchement. Retourne à ta soirée d’insouciants et laisse-moi tranquille si tu réclames autant d’attention.— Mais putain Léo ! Qu’est-ce que tu sais ou crois à propos de moi ? C’est toi qui matais mon cul, je te rappelle, tu n’es pas en position pour m’envoyer balader.
Ce retour au sujet principal me fit l’effet d’une douche froide et calma mes ardeurs ainsi que la bosse naissante.
— Tu m’as juste surpris, c’est tout, faut pas en faire toute une histoire. Maintenant, laisse-moi étudier en paix s’il te plaît et on en parle plus.— Non ! Maintenant tout ça me travaille. Je reste jusqu’à ce que tu admettes ce que tu as ressenti.
Elle était tenace, je ne savais pas trop comment me sortir de ce pétrin. Je m’assis à mon bureau.
— Bon, j’admets que dans ma stupeur, j’ai peut-être, et je dis bien peut-être, presque pensé que tu étais une véritable fille ! Je reconnais aussi que j’étais proche de vomir quand j’ai compris que c’était à toi qu’appartenait ce petit cul et je dois dire que si ma bite pouvait vomir, elle l’aurait fait elle aussi.
Ma sœur resta quelques secondes figées, sans voix. « J’ai enfin fini par m’en sortir », pensai-je en faisant semblant de reprendre mes révisions. Elle finirait par partir dans sa chambre, je me branlerais un petit coup en pensant à son petit cul bien bandant et aux formes de sa chatte que laissait imaginer sa culotte avant de me coucher, et tout finirait par rentrer dans l’ordre. J’avais même recommencé à avoir un début d’érection en pensant à ce petit programme. Malheureusement, mes plans furent réduits à néant quand ma sœur me fit un câlin par-derrière. Je pouvais sentir ses seins contre mon dos et ses bras contre ma poitrine. Ma bosse était vigoureusement revenue, j’étais pris au piège et je ne comprenais pas pourquoi elle faisait ça.
— Trou d’uc ! Tu sais toucher là où ça fait mal ! rit-elle coquinement. Mais je sais que tu te mets toujours sur la défensive quand tu te fais choper, et là, c’est pareil !
Panique à bord, j’étais complètement déboussolé par son analyse et très excité en même temps, ses seins étaient complètement pressés contre moi et nos visages étaient proches à présent. J’étais sur mes derniers retranchements.
— Lâche... lâche-moi ! Je ne vois pas de quoi tu parles !— Même si tu ne veux pas dire la vérité...
Sa main parcourut le long de mon ventre jusqu’à se retrouver sur la bosse, preuve irréfutable de ma culpabilité.
—... Le petit soldat ne peut pas mentir lui. Et ce petit soldat veut saluer ma beauté !
Échec et Mat. Elle lâcha un petit rire coquin et très mignon tout en commençant à masser mon pénis. J’essayai une dernière fois d’intervenir, mais c’était trop tard.
— Je l’admets ! Tu es canon... Je pense que tu es canon Louise !— Ah bah tu vois ! C’était pas si dur que ça ! Allez Léo, mets-toi sur le lit, je vais m’occuper de ton « petit problème ».
Je m’exécutai, mon excitation avait atteint son paroxysme. Je n’attendais plus que ça, pour la première fois, une fille allait s’occuper de ma bite. Louise enleva sa minijupe, me laissant admirer sa petite culotte et ses magnifiques fesses qu’elle secoua pour m’exciter davantage en me faisant un clin d’œil. J’ai vraiment cru que mon entrejambe allait exploser. Ma sœur se rapprocha ensuite et se mit à genoux. Elle tira sur la cordelette de mon bas de pyjama et tira mon pantalon, révélant ainsi mon sexe dans sa forme excitée qu’elle observa d’un regard pervers.
— Oh wow ! Tu en as une belle Léo ! Je savais que tu étais excité.
Ses mains se déplacèrent lentement de mes genoux à mon entrejambe, c’était un véritable supplice. Finalement, sa main gauche prit mes testicules délicatement, tandis que l’autre se posa sur mon sexe et commença à le caresser. Ça me faisait beaucoup de bien.
— C’est beaucoup plus gros que quand on prenait notre bain ensemble, ricana-t-elle. Ça sent différemment aussi, ça sent l’homme !
Elle continua son va-et-vient en augmentant l’intensité, je gémis. Comme ça faisait quelques jours que je ne m’étais pas masturbé, j’atteignais déjà ma limite.
— Louise, tu peux ralentir un petit p...
Je ne pus terminer ma phrase qu’une petite goûte blanchâtre sortie de ma bite, je n’avais pas encore joui, mais c’en était les prémices. Ma sœur ralentit les caresses.
— Hé... Qu’est-ce qu’on a là... Du présperme déjà ? Puis-je y goûter ?
Sans attendre ma réponse, Louise récolta la petite quantité de présemence avec son doigt qu’elle mit en bouche, puis, elle approcha sa tête de mon pénis et le lécha du bas vers le haut. Cette langue faisait des aller-retour le long de ma bite, et s’arrêtait parfois au niveau de mon gland en tournant autour tout en le léchant. La main gauche de ma sœur me tenait les couilles bien au chaud... C’était divin.
— Hmm ! Comme une sucette ! Allez Léo, tu sais ce que je veux ! Donne-moi un bain de sperme ! Jouis partout sur mon visage.
Elle reprit les caresses tout en me tenant les couilles et en me léchant le gland. L’intensité des caresses était parfaite, ni trop lente, ni trop rapide, et rendait toute résistance impossible.
— Ha ! Louise, je vais jouir !! Je ne peux plus me retenir !— Oui Léo, vas-y ! Arrose-moi de ton sperme !
Mon pénis explosa, une immense quantité de sperme en jaillit et se déversa sur sa langue en premier puis sur son visage. Ma sœur n’en resta pas là et goba ma bite entièrement dans sa bouche afin d’avaler le reste du sperme qui continuait d’en sortir.
— Oh mon Dieu, c’est si bon Louise ! Tu es un ange... Non, tu es une déesse !
Elle suçait mon sexe tout en prenant soin d’avaler chaque vague de semence. C’était juste trop bon, personne n’aurait pu résister à sa fellation d’experte.
— Hmm frérot, je ne peux me passer de ton sperme chaud et collant, dit-elle avant de remettre mon pénis dans sa bouche.— Louise, tu es incroyable ! Tu m’as entièrement vidé ! Tu peux t’arrêter, tu vas te rendre malade !
Je sentais mon sexe comblé se rétrécir. C’était si bon. Je pris quelques mouchoirs de ma table de nuit et les donnai à ma sœur pour qu’elle puisse se nettoyer le visage.
— Tiens, tu peux te nettoyer avec ça, tu en as partout ! m’esclaffai-je.
Je n’aurais jamais pensé que je dirais ça à ma sœur un jour. C’était peut-être le début d’une complicité entre nous deux. Ma sœur prit les mouchoirs et s’essuya le visage avec.
— Ton goût est si bon ! Peut-être que c’est parce que nous partageons le même sang, qui sait ? En tout cas, je ne peux pas m’en passer !
Elle renifla avec lubricité le mouchoir plein de sperme.
— Ha Léo ! Hmm ! Merci pour tout ça p’tit frère ! Nous devrions recommencer de temps en temps !
Comment avais-je fait pendant tout ce temps pour ne pas me rendre compte que ma sœur était aussi bonne ? Louise mit le mouchoir dans ma poubelle et me fit un petit clin d’œil avant de se diriger vers sa jupe. Ça n’était pas juste, je ne pouvais pas la laisser partir comme ça sans lui donner de récompense. Et puis, moi aussi je voulais savoir... Je désirais savoir quel goût elle avait. Je remarquai, quand elle se pencha pour prendre sa minijupe, que sa culotte était toute trempée, ce qui relançait mon excitation de plus belle. Je ne pouvais décidément pas la laisser comme ça. Je lui attrapai subitement la main.
— ATTENDS ! Je... Je veux aussi te goûter !
Je tirai violemment sur son bras pour l’envoyer sur mon lit, puis je me mis sur elle et là, nos regards se croisèrent. Nous nous étions tous les deux compris, plus aucun retour en arrière n’était possible, j’embrassai ma sœur avec fougue.
— Je ne t’ai jamais vu comme ça... haleta ma sœur d’excitation, j’aime un homme qui peut prendre le contrôle... Petit excité.
Elle me lâcha un petit sourire coquin. Ma bite était de nouveau revigorée, je n’avais plus qu’une seule envie, rentrer en elle. Mais avant ça, je devais lui rendre la pareille. Je commençai par lui faire des suçons sur la nuque, elle gémit. Puis, avec mes mains, je descendis en lui caressant les côtes tout en l’embrassant. Elle tentait de contenir ses gémissements, car nos parents ne dormaient pas loin d’ici, ce qui la rendait encore plus mignonne. Je remontai son croc-top et je vis face à moi ses magnifiques seins. Hors de question que je laisse ces deux-là sur leur faim. Après leurs ascensions, mes mains touchèrent sa poitrine. Elle était si belle, si douce et moelleuse. Je fis un dernier suçon à sa nuque avant de descendre à coup de lèches et de bisous jusqu’à sa poitrine. Je commençai à sucer ses tétons, son corps tremblait d’excitation et sa respiration s’emballa. Je sentis quelque chose frotter contre ma jambe, c’était elle.
Son entrejambe, par le biais de sa culotte humide, se frottait à ma jambe, ou plutôt, ma sœur utilisait ma jambe pour se masturber !
— On dirait que c’est à moi de m’occuper de ton problème cette fois-ci...
En lui adressant un petit sourire, je commençai à descendre vers son entrejambe en léchant tout ce que je trouvais sur mon passage, ce qui ne manqua pas de faire monter notre excitation.
— J’aime ton corps Louise !— Ah... Léo, c’est si bon... Tu es si bon... Tu me rends folle ! haleta-t-elle.
Je continuai de descendre jusqu’à arriver devant son entrée. Je commençai à la taquiner en léchouillant sa cuisse tout en me rapprochant dangereusement de sa zone de plaisir.
— Hmm... Léo... Je ne tiens plus, lèche-moi la chatte ! me supplia-t-elle.
Je m’exécutai plein de miséricorde. Ma langue se rapprocha de plus en plus de sa culotte toute mouillée puis, d’un geste de la main, je décalai le bout de tissu entre moi et l’entrée de son vagin. Ses lèvres étaient sublimes et gonflées. J’entamai mon va-et-vient de la langue. Sa chatte était délicieuse, sa cyprine était sucrée...
— Oh oui Léo ! Continue, c’est si bon !
Épris par ses encouragements, je lui retirai complètement sa culotte et lui fis un cunnilingus royal. Tout y est passé, grandes lèvres, petites lèvres, clitoris et même l’entrée intérieure du vagin. Louise avait entièrement succombé à ma langue.
— Hmm... Quand as-tu appris à faire ça ? Qu’est-ce que tu attends pour me la mettre ?
Il suffit de ces quelques mots pour que, mon sexe dur, soit déjà devant son intimité, prêt à y pénétrer.
— Oh oui... je te sens à l’entrée Léo ! Rentre en moi !
Nos chairs allaient enfin se rencontrer. Mais je me souvins de quelque chose de primordial.
— Louise, il nous faut un préservatif pour que tu ne tombes pas enceinte !— Hmm... ne t’inquiète pas... haleta-t-elle, j’ai un stérilet... Il n’y a aucun risque !
Pris sous le coup de l’émotion, j’embrassai ma sœur vigoureusement.
— Je... te veux... remplis-moi de ton amour !
Mon gland s’avança doucement à l’intérieur de son vagin et ça y était, j’étais enfin dedans. Cette sensation... c’était incomparable à tout ce que j’avais imaginé. C’était doux, chaud, humide, c’était la meilleure sensation au monde.
— Oh... tu es en moi ! Je te sens tellement bien Léo ! Baise-moi à fond... Vide-toi en moi !
Les mots de ma sœur m’excitaient tellement. J’entrepris le premier va-et-vient. Ça y était, j’étais devenu accro à son vagin, je ne pouvais plus m’arrêter, mon corps ne voulait plus qu’une seule chose, continuer à ses allées et venues en elle. Nous gémîmes de plaisir tous les deux. Ma bite glissait dans son sexe serré.
— Ha... Louise... ton vagin est trop bon !— Appelle... moi... « Grande Sœur »... Ah... Je suis ta grande sœur !
Les va-et-vient étaient de plus en plus frénétiques, le bassin de ma sœur répondait au mien par ses propres mouvements. Nous arrivions tous deux au point culminant.
— Hmm... Je te sens grossir en moi petit frère...— Hmm... Grande sœur ! C’est trop bon !— Oh mon Dieu !! Je vais jouir Léo ! Je vais jouir !— Moi aussi grande sœur... Je vais jouir grande sœur !— Ha ! Oui ! Mon petit frère ! Jouis en moi !!!
Mon pénis pulsa violemment, remplissant de semence le vagin de ma sœur qui était parcouru de nombreux spasmes de plaisir. Nous jouissions ensemble. Je pris Louise dans mes bras et nous restâmes étendus comme ça, de nombreuses minutes, le temps de reprendre nos esprits.
Finalement, ma sœur se redressa quelque temps après, sortit du lit et m’embrassa sur le front.
— C’était parfait petit frère, j’espère que nous pourrons recommencer ça souvent !— Moi aussi grande sœur !
Elle s’habilla, sans oublier sa minijupe, et se dirigea à la salle de bain.
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