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Signal (thriller érotique)

Chapitre 1

Le jour du signal

Hétéro
— Ana… je vais jouir.George, la main enroulant son sexe dans un mouvement de va-et-vient frénétique, se branle devant une jeune étudiante en chaussettes longues, jupe relevée, un gros cul pâle ferme et luisant de mouille dressé face à lui. Cela fait bientôt cinq ans qu’ils ont une liaison. Ana revêt l’uniforme cliché de l’universitaire américaine pom-pom girl et salope à chaque fois qu’ils se voient. George, lui, la chemise déboutonnée et la cravate ballante, exhibe le torse du député le plus sexy de l’assemblée nationale. Il éjacule sur le dos d’Ana juste au-dessus de son tatouage, un papillon bleu clair magnifique. Le couple secret se fait dépister toutes les trois semaines pour baiser sans protection. George se retire et termine à la main chaque fois qu’ils ont un rapport afin d’éviter à Ana l’inconfort physiologique de la pilule. Il sort ensuite un mouchoir humidifié propre de la poche de son veston et retire entièrement le sperme du buste de sa partenaire. Elle prend un bain mousseux pendant qu’il se rince sous la douche avant de se coucher ensemble. Leur lit est toujours très confortable. Ils dorment dans une chambre de l’un des dix hôtels les plus luxueux de Paris.
La chambre est réservée, sous un faux nom, par la préparatrice de thèse de philosophie, à dix-huit heures. L’élu de circonscription parlementaire la rejoint discrètement, à vingt-deux heures trente. Le lendemain matin, George porte au lit des croissants chauds, deux spéculoos à la cannelle et un chocolat au lait qu’ils boivent à deux. Mieux vaut réduire les soupçons que la chambre est occupée à plusieurs. C’est terriblement excitant, aussi, de se cacher du monde.
— Je t’aime, George.
George est parcouru d’un frisson. Ce n’est pas de la surprise car ils s’aiment depuis longtemps déjà, mais cette déclaration a un goût de demande d’engagement. Il ne veut pas, fiancé avec la fille d’un lobbyiste très influent, se mettre à dos le beau-père qui a tant fait pour sa carrière.
— Je t’aime, Ana.
George embrasse Ana et file se nettoyer le sexe et le reste du corps avec l’espoir que ces déclarations demeuront sans suites. Ana, pendant ce temps, reste encore un peu sur le lit, s’allonge et se caresse pour y atteindre son troisième orgasme de la soirée avant de passer au canard de bain. Délassée, elle rejoint George dans la salle de bain.
— Dis, tu ne me rejoindrais pas dans la baignoire pour une fois ?
George grimace. Toutes ces habitudes rompues n’annoncent rien de bon. Je t’aime, d’abord, un bain à deux, ensuite, et puis quoi ? Elle va lui demander de quitter Logane ? Il ne lui refuse rien et va donc s’installer avec elle. Ana le regarde tendrement, une lueur de tristesse au coin de la joue.

— Tu ne la quitteras pas, n’est-ce-pas ?— Écoute, on en a déjà discuté. Je ne peux pas.
Un silence s’installe au-dessus des bulles de savon. George fuit le regard inquisiteur d’Ana et Ana fusille le visage fuyant de George. Elle est en colère contre lui. Une carrière ne justifie pas pour elle de se priver d’amour. Elle a plusieurs fois essayé de le convaincre, mais sans succès. Le smartphone de George vibre et il ne met pas longtemps pour saisir cette occasion d’échapper à une nouvelle confrontation. Il prend une serviette chaude posée sur le chauffage pour se sécher rapidement et prend l’appel.
— Oui, monsieur le président. Je… C’est un honneur pour moi. Le service de la France est… ma priorité.Après une discussion sommaire, il raccroche. Ana a tout entendu.
— Tu plaisantes, George ?— C’est ridicule, non, évidemment. J’ai du mal à réaliser mais… oui, je suis nommé ministre de l’intérieur.
George se passe une main dans les cheveux et l’autre devant la bouche. Il est effaré et euphorique. Ana sort brusquement de l’eau, le canard de bain dans la main droite. George évite de peu l’objet en caoutchouc lancé dans les airs. Triste, déçue et en colère, elle s’écrie :
— Je le sais bien, ne te moque pas de moi. Tu sais qu’il ne s’agit pas de ça. Pourquoi tu as accepté ? Je te déteste.— S’il-te-plaît, arrête.— Non, toi, arrête !
Ana s’habille précipitamment et fait son sac.
— Qu’est-ce que tu fais, Ana ? Tu ne peux pas partir.— Oh que si.
George essaie de retenir Ana mais elle le chasse. Il veut la raisonner mais elle lui rétorque qu’il l’a trahie.
— Qu’est-ce que ça peut bien te faire de toute façon ? On ne se verra plus.— On trouvera une solution, s’il te plaît, Ana.— Tu sais bien que non.— Je… je quitterais Logane.
Ana interrompt sa marche un instant. Elle interroge George, suspicieuse.
— Et le beau-père dans tout ça ?— Je vais être ministre de l’intérieur, qu’il aille au diable !— Tu pourrais perdre la proposition de ministère...— Je prends le risque. J’ai besoin de toi.
Ils se regardent puis, après une pause, Ana saute dans les bras de George. Elle exulte :
— Viens par là, mon ministre !
Il sourit et ils s’enlacent. La température remonte dans la pièce. Il est toujours nu alors qu’elle est habillée. Le contraste est excitant. Lentement, Ana glisse le long du corps nu vulnérable de George jusqu’à s’agenouiller, jupe contre la moquette, la tête à la hauteur de son pénis. Il rebande vite et elle le prend par la bouche sans utiliser les mains. Elle le suce bruyamment comme il aime et il se livre à elle sans retenue. Elle masturbe son clitoris à travers sa culotte tout en poursuivant sa fellation. Il gémit et son sexe palpite sous les coups de langue, les veinures gonflées et le gland de plus en plus sensible. Ana reçoit des giclées successives de sperme dans la gorge. Elle poursuit sa fellation contre toute attente de George. Il veut l’en empêcher car cela devient douloureux mais elle insiste, et, les jambes bientôt tremblantes, il découvre, un fluide translucide abondant sortant par son urètre, un nouveau plaisir, plus long et intense que l’éjaculation.
— Oh que c’était bon ! Comment t’as fait ça ?— Tu savais pas que les mecs peuvent squirter ?— J’ai les jambes en compote ! C’est normal ?
Ana rit. Elle ne pensait pas qu’elle pouvait encore faire découvrir à George de nouvelles pratiques. Son ignorance la touche et elle ressent une certaine fierté et excitation à avoir dépucelé du squirt son partenaire favori.
— S’il-te-plaît, on se fait confiance, tu sais bien que je ne te ferai pas un sale coup, laisse-moi dix jours pour rompre.
Dix jours ! Quand elle pense que cela fait cinq ans qu’elle rêve qu’il quitte Logane, et aujourd’hui il se donne lui-même un ultimatum. Elle est contente, très contente même, mais préfère ne pas se montrer trop démonstrative :
— D’accord, mais pas plus !— À moi de te faire jouir maintenant.
George s’agenouille à son tour, enlève la culotte d’Ana et se glisse sous sa jupe. Elle frissonne. Il dirige sa tête puis sa langue entre les cuisses d’Ana. Elle pousse un petit cri de surprise. L’anus chatouillé, Ana profite, agréablement surprise, de son premier anulingus. Elle lui fait signe de se retirer le temps qu’elle se positionne plus confortablement. Elle s’allonge sur le ventre et il relève à nouveau sa jupe, écarte ses fesses et fait le tour de son orifice étoilé en stimulant en même temps son clitoris et la fente de son vagin avec une main.
Ana reçoit le plaisir par secousses à l’intérieur d’elle. Une chaleur irradiante et une montée d’hormones la traverse. Elle gémit sans retenue pour s’exciter et exciter George. Ils sont tous les deux très sensibles aux sons produits pendant le sexe. George s’applique à produire des bruits de succion en travaillant le trou du cul d’Ana. Une fessée surprise puis quelques fessées régulières, impliquant bien l’ensemble de la paume pour faire rebondir l’ensemble de la fesse sous une frappe sûre mais proportionnée, viennent compléter l’acte. Il propose de l’enculer et elle acquiesce. Quelques va-et-vient patients et réguliers viennent approfondir, aussi bien que le petit trou d’Ana, l’extase de la jeune doctorante en philosophie et du politicien. Après tout ce temps par terre, ils se lèvent pour rejoindre le lit puis s’endorment, insouciants, serrés l’un contre l’autre.

***

Le lendemain matin, ils prennent l’habituel petit-déjeuner au lit. George demande à Ana, après qu’elle ai trempé les lèvres dans le chocolat fondu :
— Il n’est pas trop chaud ?— Non, il est parfait.— J’ai envie de le boire autrement. Tu veux bien t’étendre sur les draps ?— Qu’est-ce que tu fais ?— Je déjeune.
Alors qu’Ana expose sa nudité le long du matelas, George verse doucement la boisson du haut de ses seins à son bas-ventre. Elle pousse un petit cri de surprise puis éclate de rire. Il continue en s’appliquant pour qu’il y en ai partout. S’efforçant de ne plus bouger pour lui faciliter la tâche, Ana se détend et prend de plus en plus de plaisir à ressentir le fluide sucré se déverser sur elle. George commence alors à la lécher lentement. Quand Ana est propre, il descend jusqu’à son triangle d’amour et lui prodigue un cunnilingus. Elle atteint vite l’orgasme et il change de position. George forme un crochet avec son index et son majeur, les doigts et le poignet figés, puis crée avec son avant-bras un mouvement vertical dans lequel ses doigts tapent derrière le bas-ventre, juste au-dessus du mont pubis, là où son autre main appuie pour stimuler la vessie et provoquer un squirt. George se rince la bouche avec l’eau de baise et, exténuée, Ana reprend son souffle avant de reprendre un bain. George reprend une douche. Ils s’habillent et quittent la chambre en précipitation pour être à l’heure à leurs rendez-vous respectifs.
— Bonne chance pour ta soutenance, Ana.— Merci, George. Bonne chance avec le président !
Sur ces mots, Ana émet un petit rire puis, un bisou sur la joue plus tard, précède George de quelques minutes dans l’allée de l’hôtel. George profite de ce délai d’éloignement pour ajuster sa cravate dans le couloir. Il s’affaire ensuite à rejoindre l’assemblée pour conserver son titre de membre du parlement le plus présent aux débats et votes de l’hémicycle.Ana soupire en traversant la cour en direction du parking des taxis. Il faisait déjà du zèle au parlement, qu’en sera-t-il maintenant qu’il aura littéralement un emploi du temps de ministre ? Son rêve de longs mois de baise permanente s’éloigne de plus en plus. Elle a beaucoup de travail en ce moment, elle aussi, mais comme elle y mettra un terme dans le courant des prochaines semaines, c’est très différent. En route pour sa soutenance, elle songe au congé sabbatique qu’elle va prendre et au peu de disponibilité prévisible de son George. C’est con mais que peut-elle bien y faire ?

***

— La parole est à monsieur le député de la majorité, député de la 1ère circonscription de Paris, George Delaville.— Merci, monsieur le président. Je vais tout de suite répondre à la question de Kévin Brahms, de la France Indocile.
C’est un matin tranquille à l’assemblée, parmi les plus calmes de la semaine, où une vingtaine de députés discutent des projets de loi les plus anecdotiques. C’est l’occasion pour les jeunes recrues de se faire les armes au parloir, à George Delaville de cultiver sa réputation et aux vieux briscards de piquer un somme sur les bancs. George tient cependant à marquer particulièrement les esprits ce matin, et il s’envole sur le barème de taxation des fonds subsidiaires de l’index des agriculteurs de zone C. À la pause de midi, il reçoit un sms de convocation à l’Élysée. Cette fois, ça y est. Il va vraiment devenir ministre de l’Intérieur.

***

— Monsieur le président.— Asseyez-vous, monsieur Delaville.
En face à face, attablés à un bureau Louis XV en bois de violette, le président et George parlent des affaires principales du pays. Uel Bichon dirige son 6ème remaniement et souhaite renforcer son pouvoir, sans cesse fragilisé mais toujours conservé, en nominant de nouvelles personnalités. Pour contrebalancer, il a réinvesti le salon doré, traditionnellement occupé par le président français depuis Charles de Gaulle et qu’il avait délaissé un temps.
— Votre prédécesseur a fait des dégâts. Je compte sur vous pour réparer tout ça.
Le président a l’air fatigué et un aveu de défaite si prompt surprend George, qui devine alors qu’il est missionné d’insuffler un vent de changement dans le ministère de l’administration et de la sécurité. Leur entretien est le plus long de tous ceux prévus en ce changement de composition du gouvernement. En premier lieu, Uel Bichon s’assure de la détermination de George et, ensuite, il le briefe rapidement sur les plus gros enjeux de son mandat à venir.
Une horde de journalistes attend George à la sortie des bureaux du président. George refuse poliment de prendre la parole et s’enfuit dans une voiture de fonction qui le ramène chez lui. Le nouveau gouvernement sera dévoilé formellement demain matin et les nominations officielles seront faites l’après-midi suivant. La journée est encore longue pour George qui commence par appeler son suppléant au poste de député.
— Samir Foula ? — Monsieur le député ?— Vous prenez ma place demain. Félicitations. Je voulais vous l’annoncer personnellement.— Ah ! Euh, demain ?— Vous n’êtes pas content ?— Monsieur le député, vous devenez ministre, c’est cela ?— Oui ?— Bien. Je ne vais pas entrer à l’Assemblée du jour au lendemain. Le secrétariat général va me contacter, non ?— Bien-sûr !— Bien. Veuillez m’excuser monsieur le député mais je suis en train de chercher mon fils à l’école, je n’ai pas trop le temps. Je verrais donc les détails avec le secrétariat général. Bonne chance au ministère, monsieur.
Samir Foula met fin à l’appel et George reste bête un moment. Il s’attendait à plus d’enthousiasme, mais qu’importe, sa journée est encore longue.
— Je vais être ministre de l’Intérieur. Qui devrais-je appeler maintenant selon vous ? dit George à son chauffeur. — Excusez-moi monsieur mais je ne peux pas vous répondre. Je ne suis que votre chauffeur.— Oui… bien-sûr.
George est irrité. Ça y est, il va occuper un poste très important et crouler sous les responsabilités mais, autour de lui, rien ne change. Ceux que le poste de député impressionne ne seront guère plus admiratifs et ceux qui s’en fichent continueront de s’en ficher. Enfin, c’est une impression bizarre qui l’envahit. Ministre de l’Intérieur. Réalise-t-il vraiment les implications de cette future nomination ?

***

George arrive chez lui. Logane arrive dix minutes après. Elle le prend dans ses bras et il lui rend la pareille. Comment a-t-il pu faire une telle promesse à Ana ? Il aime toujours Logane. Il aime aussi Ana. C’est compliqué. Un jour, il brisera le cœur de l’une ou des deux. George sent une immense tristesse l’envahir à cette pensée.
— Qu’est-ce qu’il y a George ? -,Je… je vais bientôt être ministre.— Oh ! Mais tu rêvais de ça ?! Pourquoi cette tête ?— Oui… ministre de l’intérieur.— C’est génial. Je suis fier de toi, mon chéri.— Oui… tu as raison. Je suis juste un peu stressé.— Viens par là mon coquin. Je vais te remonter le moral.
Logane n’aime pas son mari, mais il l’ignore. Enfin, elle l’apprécie. Elle prend du plaisir avec lui. Elle n’a jamais aimé quelqu’un. Leur union est de toute façon un arrangement, presque un mariage arrangé d’ailleurs, et cela lui convient. George est un gentil gars mais il reste un gars comme un autre : il a son caractère, sa personnalité, son physique, c’est un bon coup, mais George est George. Il est une personne, une seule, et Logane a besoin de plus. Elle a besoin de diversité. Cela n’a rien de personnel. Elle aurait trompé son mari de toute manière. Elle s’est mariée pour les avantages qu’elle y a trouvé et singe la fidélité par commodité. Tous les jours, elle baise un autre homme et elle joue de cela comme une gamine qui compte les points. Neuf-cent-quatre-vingt-dix-neuf partenaires journaliers atteints aujourd’hui. Elle est tout de même restée fidèle à George quatre mois, hein. C’est un autre record qu’elle affectionne mais voilà, demain, mille, mille hommes qu’elle a baisé sans que George ne la surprenne, et pourtant, elle en a pris des risques. Elle est fière. Puis, il faut bien avouer qu’elle prend d’autant plus de plaisir à baiser avec son cocu de mari.
Logane est urbaniste, fille d’un lobbyiste influent dans Paris, et jouit à ce titre d’un réseau qui facilite tout de même ses ambitions professionnelles. Quand on a dans sa famille un membre dont le métier est de peser dans les décisions qui impactent sur le bon déroulement des affaires de son entreprise, il est naturel pour elle que ce membre mette aussi ses compétences à disposition de sa famille. Bref, Logane a des facilités, mais ce n’est pas pour autant qu’elle a un travail facile, car elle utilise chacun de ses avantages pour redoubler de succès dans ses projets. Elle a, en somme, un projet de cœur qu’on peut présenter sobrement bien que sa réalisation soit plus complexe : végétaliser et transformer en potager l’ensemble des toits de la capitale, voire de la France puis du monde entier. Depuis des années, elle travaille d’arrache-pied à convaincre les différents acteurs impliqués par cette démarche de permettre ce projet à une échelle sans cesse élargie, en plus de coordonner ingénieurs, mairies, particuliers et bien d’autres pour la réalisation concrète de cet objectif fou.
Aujourd’hui, elle a signé d’importants accords pour la végétalisation des toits de Paris et elle exulte. Beaucoup de choses bien agréables ont comblé sa journée. Ce soir, elle va prendre son pied avec George pour la terminer en beauté.
Elle sort de son sac un tout nouveau jouet sexuel qu’elle a acheté en rentrant de sa journée de travail. C’est un objet connecté : un monstre d’intelligence artificielle orgasmique avec un dard, un suce-clito et une surface lubrifiante qui se plaque contre soi et provoque des contrastes de température et de toucher étudiés pour procurer du plaisir. Doté d’une caméra, de nombreux capteurs et d’une capacité de déplacement robot à peau, l’automate métallique d’Aphrodite fait, paraîtrait-il, des miracles, pourvu que la connexion Internet permette au délicat ouvrage de se connecter aux serveurs très gourmands en puissance de calcul qui guident ses gestes.
— George, je te présente Plaisir, le sextoy le plus high-tech du moment. Je m’en suis procuré un des premiers exemplaires tests. On va bien s’amuser.
George est amusé, un peu sidéré aussi, mais pas surpris : Logane adore les sextoys et elle lui a fait découvrir des procureurs de plaisir dont il ne soupçonnait même pas la possibilité d’une existence avant qu’elle ne l’initie à ces objets. Qu’est-ce que cette chose allait bien pouvoir apporter pour pimenter leurs ébats aujourd’hui ?
— Ah. Attends… normalement il est déjà configuré et tout mais je ne comprends pas, il arrive pas à se connecter à Internet.— Oh ! Pas de problème, chérie. J’attendrai le temps qu’il faut.
Logane tapote son smartphone tandis que George s’étend sur leur lit conjugal, se reposant un peu après cette journée riche en action.
— Merde. J’ai pas du tout de réseau en fait. C’est bizarre. Bon, je vais redémarrer mon tel, ça suffit en général.
George prend acte des propos de Logane. En fait, il n’est pas pressé. Il s’accomoderait bien de simplement dormir à présent.
— Bon. Ça fonctionne pas. T’as de la connexion, toi ?
George soupire. Il était bien allongé. Il espérait pouvoir déconnecter, justement, et se réjouissait d’avance que Logane prenne tout en main. Il sort tout de même son téléphone.
— Non. Il doit y avoir une panne du réseau.— Ça n’arrive jamais. On a été prévenu de rien et il fait un temps superbe.— Mais détend-toi. Viens dans mes bras plutôt. On le testera demain, ton jouet.— D’accord…
George et Logane s’allongent l’un contre l’autre et, déconnectés, s’endorment finalement sans crier gare, jusqu’à ce qu’un violent coup de poing contre leur porte ne les réveille.
— Qu’est-ce que c’est que ça ?!
George se réveille en sursaut et accourt vers l’entrée. Il reconnaît un policier en uniforme par le judas et ouvre alors aussitôt.
— Qu’est-ce qu’il se passe ?— George Delaville ?— Oui, c’est bien moi.— Veuillez me suivre monsieur le député. Ne prenez que l’essentiel avec vous. Nous sommes en état d’extrême urgence. Vous êtes seul ?— Euh, non. Ma femme est avec moi.— Bien, venez tous les deux. C’est le bordel dans la capitale. Il faut faire vite.
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