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Le silence est d'or...

Chapitre 1

Gay

                                                                                    Le silence est d’or.



Cette année là, j’avais bossé pendant toutes les vacances d’été et je me retrouvai en ce début septembre avec un petit pactole qui me permettait enfin d’envisager l’achat de ce qui allait faire de moi un mec à part entière: une bagnole!



Après avoir fureté dans les garages, épluché les annonces, je finis par découvrir à deux pas de chez moi un petit bijou dont je tombais immédiatement amoureux: une Dauphine rouge, à la peinture ternie, belle comme un camion.



Je l’achetai et si je n’étais pas à l’arrière des berlines, cela ne m’empêchait pas d’être le roi des scélérats à qui souriait la vie. J’allais pouvoir monter à la fac comme je voulais pour y faire le marle, et lever des minettes.



Le roi n’était pas mon cousin!



Les cours ne commençaient qu’en octobre et je m’offris les vacances dont j’avais dû me priver en juillet et août. Septembre était radieux et j’en profitais pour partir le plus souvent possible en forêt de Brezolles que je connaissais comme ma poche pour me plonger en pleine nature.



Je pimentais mes escapades par de délicieuses récréations solitaires: je m’étais trouvé un coin retiré, caché au milieu des fourrés dans la grande hêtraie, un écrin de verdure où j’aimais me livrer à de lascives séances de naturisme: être nu au milieu de cette nature splendide me ravissait, et le parfum d’interdit qui entourait ces délicieux moments me procurait ce frisson que j’ai toujours recherché, j’avais le sentiment que ces moments me permettaient de calmer l’ébullition sexuelle dans laquelle je me sentais plongé en permanence et que rien ne semblait pouvoir apaiser.



Ce jour là, allongé sur le petit plaid écossais rouge, je me prélassais au soleil, les yeux fermés sur une rêverie de luxure, je bandais et me caressais langoureusement, laissant parfois échapper un soupir de bien-être...



Devant le kaléidoscope que la lumière jouait sur mes paupières fermée, soudain,  une ombre... Quelqu’un!



D’un bond, je me redressai.



Le garde! Il se tenait là, à deux mètres de moi, hochant la tête et me fixait indéchiffrable, d’un regard froid. J’étais tétanisé. Un shoot d’adrénaline me faisait battre le cœur à tout rompre...totalement désemparé, j’essayai de me redresser et m’agenouillai. Il fit un pas vers moi. Je levai le yeux vers lui, mais détournai vite le regard en proie à une gêne indicible.



Il n’était pas très grand mais était en revanche très trapu et dégageait une grande impression de force, dans son visage de gargouille si sa bouche lippue se tordait sur un sourire vicieux, ses petits yeux bleus me fixaient avec un éclat dur et froid.



Il s’avança encore, à me toucher. J’étais agenouillé devant lui, n’osant ni le regarder ni me mettre à parler, mortifié par son attitude de marbre.



Il resta un long moment immobile et silencuieux... j’étais perdu. Puis avançant une main, il se mit à me caresser les cheveux... je levai les yeux sur lui, il me prit alors le bas du visage et me relevant brutalement le menton, me força à le regarder.



De sa main gauche, il déboucla son ceinturon et déboutonnant son pantalon qu’il baissa fit jaillir son chibre comme un diable de sa boîte.



Son gourdin noueux et congestionné tressautait à quelques centimètres de mon visage, je pouvais en sentir l’odeur...Sans un mot, m’agrippant par les cheveux, le garde y dirigea ma bouche.



Cela me libéra.



Je l’entourai de mes bras et me mis à caresser et embrasser le ventre de sanglier couvert de poils gris, baisant le gourdin tiède et lourd que je sentais tressauter, caressant les grosses couilles velues. Je m’abandonnais.



Il se mit alors à me caresser les cheveux, le cou et les épaules, respirant profondément.



Il écarta largement les jambes et se renversa en arrière, ce qui dégageait sa bite qui se dressait, palpitante, dans sa superbe arrogance... J’étais subjugué par la vue du membre avec lequel je savais maintenant que ce type allait me posséder.



Lui, me regardait, jambes écartées sur sa queue turgide, avec un sourire hautain et dominateur.



Empoignant l’épaisse hampe, envoûté par la vue de l’impressionnante mentule, j’exhalai un gémissement de désir, en éprouvant la peau lisse et douce, fasciné par l’énorme cabochon bleuâtre, que je décalottais à gestes lents. De ses mains comme des battoirs il me pétrissait les épaules, impatient.



Je branlais lentement avec force le lourd mandrin. L’enserrant, maintenant, des deux mains je m’enivrais de son odeur chaude et lourde. Je commençai par en lécher longuement le gros gland violacé du plat de la langue. Je le fis avec lenteur, alternant avec le souffle tiède de mon haleine.



Puis je le fis lentement pénétrer tout entier dans ma bouche, répétant plusieurs fois le mouvement, j’accentuai à chaque fois, ma succion sur l’épaisse mentule.



Je gardais le gros gland en bouche, le pompant, le suçant, tournant ma langue autour, alternant avec les mordillements, qui mettaient mon amant en transes, puis lentement, le ressortais, le faisant glisser entre mes lèvres. Toute la salive que je produisais dans ces mouvements de succion s’écoulait de ma bouche et trempait la hampe que je branlais, engluant les lourds testicules que je pelotais pour son plus grand plaisir.


M’agrippant d’une main par les cheveux il se branlait dans ma bouche à longs mouvements lascifs. Tout en tétant le lourd gland avidement, je geignais d’ivresse. Je le sentais se tendre, de spasmes en frissons sous les stimuli qui l’assaillaient. Il se tendait, montait, à courts râles précipités, et se crispant dans un tressautement de tout son corps, il eut un cri rauque et déchargea son sperme en lourdes giclées dans ma bouche, il se retira un instant m’aspergeant le visage d’un jet de son épaisse semence, puis l’y enfonça de nouveau où il continua à y vider son sperme à longs traits... je n’en avalai qu’ une partie tant son éjaculation était abondante alors que le reste s’écoulait de mes lèvres, sur mon menton, dans mon cou, trempant ma poitrine..



Le visage dégoulinant de son épais jet de sperme, je levai mon regard vers lui...s’agenouillant, il m’enlaça et m’embrassa , longuement.



Je sentais pourtant son impatience : il voulait me baiser, et cela, rapidement. Il bandait de nouveau et me caressait avec une ardeur accrue .



Toujours muet, il me fit me tourner, appuyant sur mes reins me fit cambrer et se penchant embrassa ma rosette où il déposa toute sa salive.



Je le sentis aboucher son énorme gland à mon œillet .



Je me laissai doucement basculer en arrière, commençant à m’enfoncer sur le pal dressé, grimaçant et haletant sous la douleur délicieuse que me causait le chibre distendant mes sphincters, mon amant ayant saisi ma taille, me tirait à lui pour m’enfoncer sur sa mentule, je sentais son pal, lentement me pénétrer et m’envahir, me forçant anneau par anneau, tout entier, pour me soumettre à sa loi.



Alors qu’il m’empalait sur son magnifique mandrin il m’enserrait des deux bras la taille, dans un geste de possession totale, pour finir par s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles. Ahanant sous le joug impitoyable de l’impérieux chibre qui me labourait, je jouissais.



Il m’attirait doucement sur sa terrible massue sur laquelle je me sentais lentement glisser, pour venir m’empaler, sentant ses poils crisser contre mes fesses, alors qu’il m’embrassait le cou... je gémissais . Cela se poursuivit pendant de longues minutes.



Il m’enfonçait au plus profond sur sa belle queue effectuant d’amples rotations du bassin qui me faisait pousser des cris de jouissance.



— Oh ! Oui, chéri ! Encore ! Baise moi!



Il eut un rire silencieux...



Je m’enfonçais encore et encore sur le chibre magnifique, qui distendant mon fourreau, déclenchant une houle de jouissance qui déferlait, me noyant de sensations ineffables... lentement il me faisait monter, me caressant les flancs, le ventre, branlant mon sexe, caressant mes cuisses, alors que je sentais son gros chibre me distendre et s’enfoncer dans les profondeurs interdites de mes entrailles.



A la façon qu’il avait de m’enserrer de ses bras noueux, à ses râles de plus en plus précipités, je sentais que lui aussi maintenant montait très vite. Il m’avait déjà fait jouir à plusieurs reprises. Je sentis son souffle se précipiter et il se mit à pousser de petits cris sourds et tout soudain, m’étreignant avec une violence incroyable, dans un long feulement rauque, il se lâcha, libérant au fond de mon ventre un flot de foutre, qui m’envahit à longues giclées. Ces sensations firent exploser un apex de jouissance en moi me faisant presque défaillir...



Encore planté en moi, il me caressait, m’embrassait le cou, les épaules, le dos. J’étais prostré, dans un état second...



Il se redressa alors que je m’affalai sur le plaid, sonné par l’orgasme qu’il venait de m’offrir reprenant mon souffle. Lui, à gestes lents tout en me toisant, impavide, finissait de se rhabiller... il recula, en silence, hochant la tête.



Puis se retournant, en deux pas disparut derrière le buisson.



Il n’avait pas dit un mot.



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