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Simon, d’Ange à Démon.

Chapitre 17

La séance d’épilation.

Hétéro
   La musique douce, la lumière tamisée, l’opacité de l’atmosphère et la chaleur rendent l’ambiance particulièrement sensuelle. À l’aveugle les deux corps se touchent, se rapprochent l’un de l’autre et s’enlacent. La mère et le fils se retrouvent comme des inconnus dans ce milieu opaque. Ils découvrent leurs corps parfaitement lisses après la cure de savon noir, ils s’imaginent étranger ; Simon n’embrasse plus le corps de sa mère, mais celui d’une femme qu’il essaie de séduire. Mais après les vingt minutes de cuisson vapeur accompagné d’un nettoyage méticuleux sous toutes les coutures avec le savon noir sablonneux qui a, comme l’avait prédit l’esthéticienne, laissé des traces sur le sol. L’ouverture de la porte engendre un courant d’air froid qui interrompt brutalement toutes envies de caresses.   Julie les invite à changer de salle. La mère et son fils tout dégoulinant de transpiration et rouges comme des écrevisses, sortent de la pièce et suivent la jeune femme qui ouvre une porte se trouvant directement à gauche de là d’où ils sortent.   — Comment allez-vous, pas trop chaud ? — Si un peu, mais vous aviez raison pour le savon ; nous avions l’impression de ne pas avoir pris de douche depuis huit jours. — Je vous l’avais dit, maintenant nous passons à l’étape suivante, informe-t-elle. Vous commencez par prendre une bonne douche pour éliminer les restes de savon, et vous vous sécherez parfaitement. La douche est au fond avec des serviettes sèches, pendant ce temps je vais chercher Clarisse.   Mère et fils découvrent alors une vaste pièce avec au beau milieu deux tables de massage espacées d’un bon mètre l’une de l’autre, en face de la porte un grand meuble blanc à portes et tiroirs ; au-dessus sont disposés tout un tas d’ustensiles totalement inconnus de Simon. Quelques posters de paysages ensoleillés invitent au voyage, les murs sont clairs, des patères accrochées au mur permettent d’y suspendre les peignoirs ; la même musique douce inonde les lieux. La même musique que dans le hammam semble sortir de nulle part. Sur une table un appareil en forme de sphère éclairée par l’intérieure diffuse une brume à la senteur de menthe et d’épices inconnues. Des spots au plafond émettent une lumière tamisée. Le couple de client, obéissant, se dirige vers la douche suffisamment spacieuse pour recevoir deux personnes, ils y entrent et se lavent mutuellement avec soin, Simon s’abstient de poser toute question concernant la suite, car il sait qu’il n’obtiendra aucune réponse. Quand les deux esthéticiennes réapparaissent, ils sont fin prêts.   — Prêts pour la suite du voyage ? — Oh oui, reprend Simon qui vient de comprendre que la suite va être une séance de massage des plus agréable ; une véritable invitation au voyage selon sa mère. — Alors allongez-vous sur les tables, on fait bien une intégrale ? — Oui, c’est cela, répond Huguette en plaçant son doigt sur sa bouche et en jetant un clin d’œil complice à Julie qui lui répond de la même manière.   Mère et fils prennent position sur les tables. Les deux esthéticiennes inspectent les corps en détail, puis installent un drôle d’appareil qu’elles placent sur une table roulante, il s’agit d’un épilateur à cire chaude ; seul matériel efficace actuellement. Simon complètement nu sur la table, s’inquiète à la vue de l’appareil interroge :   — Ça sert à quoi ce truc ? — Tu vas voir, c’est un peu barbare, car c’est un peu douloureux ; mais comme tu n’es pas vraiment pas très poilu, cela va bien se passer. Je vais t’épiler entièrement, tu seras aussi nu qu’un bébé. Je me le fais et je trouve cela particulièrement agréable, et tu n’auras plus besoin de te raser.   Simon ne s’attendait pas à de telles confidences, rougit et jette un regard réprobateur à sa mère qui lui envoie un joli sourire et un baiser de loin et interroge à nouveau :   — Vous allez faire vraiment partout ? — Oui, et si tu es d’accord, je te ferai entre les fesses autour de ton endroit secret, répond-elle.
   Elle qui commence à avoir le feu en elle à cause de ce garçon décomplexé qui s’offre à sa vue. D’autant qu’elle n’a encore jamais pratiqué d’épilation intégrale sur un homme, car, rares sont les hommes qui daignent pousser la porte de son établissement : l’homme se doit d’afficher sa virilité. Elle est naturellement depuis peu la patronne de ce salon de beauté où elle avait été embauchée après deux ans d’école et trois ans comme esthéticienne, opiniâtre au-delà de tout et à force de travail ; elle reprit le salon de sa patronne malade.   — Vous savez, ça me fait tout drôle d’être là, allongé tout nu devant vous et je ne sais même pas ce qu’il va m’arriver. — Relaxe-toi et laisse-toi aller, je me charge du reste. En attendant une jolie suite, serre les poings et les dents.   Résigné, Simon se laisse aller et pour éviter le regard de Clarisse, il ferme les yeux. Clarisse inspecte avec rigueur les endroits où elle va poser la cire de façon à arracher un maximum de poils le plus efficacement possible. Vu la faible pilosité du garçon, elle sait que le travail sera rapide ce qui lui laissera plus de temps pour pratiquer le massage aux huiles parfumées. Simon se laisse faire sans broncher. Une douce chaleur envahit tout son corps lorsqu’elle pose la cire sur son pubis et ses organes génitaux, il aime ce mélange de légère souffrance due à la chaleur et à l’arrachement du peu de poils qui couvrent le bas de son corps et d’exhibition obligatoire. Il attend avec une certaine impatience le moment où elle va lui demander de se retourner et de lui présentant son trou de balle. Justement elle vient de terminer la première face et lui chuchote en lui effleurant le sexe :   — Tu peux te retourner maintenant.   Il s’exécute sans dire un mot et présente son dos et ses fesses. Clarisse ne perd pas un seul instant. Elle enlève pour le principe les quelques poils qu’il a sur les épaules, puis du bout des doigts lui écarte les cuisses afin d’atteindre la partie très intime. Simon, commence à avoir une érection qui monte au fur et à mesure que la cire recouvre son entre-fesses jusqu’à ses testicules, il sursaute quand elle arrache sadiquement la couve de cire ; puis elle ôte les restes avec minutie et lui demande de se retourner à nouveau. À la vue de l’érection de Simon qu’elle recouvre immédiatement d’une serviette, son bas-ventre se tord d’envie et lui lance un regard de gourmandise. Simon comprend ce que veut la jeune femme, mais il est pour lui impossible de faire quoique ce soit avec sa mère et la seconde esthéticienne juste à côté d’eux.   — Ne bouge pas, je reviens, dit-elle en sortant de la salle.   Quand elle revient, Simon remarque qu’elle a changé de blouse et que celle-ci n’est pas boutonnée jusqu’en bas et laisse voir le haut de ses cuisses.   — Mets-toi sur le ventre, ferme les yeux, fait le vide dans ta tête et laisse-toi bercer par la musique   Il se remet sur le ventre, plonge son menton dans le creux de la table de massage prévu à cet effet et attend. Rapidement un liquide froid coule entre ses omoplates, descend doucement jusqu’au creux de ses reins puis sur les côtés de ses hanches ; mais vite rattrapée par deux mains expertes qui étalent l’huile de massage douce, à l’odeur subtile. Grâce au bien-être que lui procurent les mouvements délicats des mains expertes de Clarisse, Simon sombre dans un doux rêve, ou le sexe est le principal sujet. Une main lui écarte le bras et sa main gauche sortant de la table touche du tissu puis à cause de mouvements semble-t-il bien calculés ses doigts atteignent une peau douce. Il se rend compte que sa main vient de s’immiscer par l’ouverture de la blouse et qu’il est en train de toucher le haut d’une cuisse il monte encore pour se rapprocher de plus en plus de l’entrecuisse humide. Comme pour faire écran, Clarisse change de place et s’installe entre les deux tables. Elle commence à lui masser les fesses et dans un geste vif elle place cette fois-ci la main droite du jeune homme dans son entrejambe.   Simon rencontre alors du bout des doigts une chatte douce et humide ; Clarisse est nue sous sa blouse ! L’irrésistible invitation d’aller découvrir la fleur inconnue qui ne demande qu’à être explorée lui met le feu. Le menton bloqué dans le creux de la table, l’empêche de croiser le regard de Clarisse pour y voir un quelconque indice afin d’aiguiller ses doigts de débutant. Toucher sans voir, sentir sans humer et bander sans le montrer, c’est à l’aveugle qu’il débute son exploration. C’est sans surprise qu’il découvre un abricot aussi doux que le fruit juteux qui  a mûri au soleil, il enfonce deux doigts au plus profond qu’il peut. Il sent à peine celui qui entre dans son anus qui le fait bander encore plus, il écarte les fesses en espérant se faire pénétrer encore fort, encore plus loin, encore plus gros, et plus profond en lui. Quand elle lui demande de se retourner, il sait qu’il va offrir à la belle, la vue de sa teub gonflée de désir ; la honte de se montrer ainsi s’empare de lui un bref instant, car l’exhibitionniste qui dort en lui le pousse à se retourner. Clarisse sourit à la vue de queue dressée comme un obélisque sur laquelle elle jette pudiquement une serviette en lui chuchotant à l’oreille : « S’il te plaît, remets ta main là où elle était… »   Le regard doux qu’elle lui lance oblige Simon à glisser sa main par la fente de la blouse et cette fois de pouvoir admirer la cuisse et plus, car la blouse presque grande ouverte lui montre un Mont-de-vénus impeccablement lisse. Il replace alors sa main où elle était, l’endroit est encore plus qu’humide tout comme sa verge qui laisse également échapper le liquide qu’il connaît bien maintenant. Clarisse se déplace un instant pour masser le torse, les épaules, les bras, les mains qu’elle lèche comme pour récupérer sa cyprine. Pour les cuisses, les gestes sont rapides, car elle est pressée de retrouver le membre si excitant qui lui fait tant envie ; en secret, elle échafaude un stratagème pour lui proposer un petit coup ; mais elle sait aussi que la tâche sera difficile à cause de la présence de la mère du garçon et de son équipière, qui est bourrée de complexes. Alors que Julie s’occupe de la partie la plus intéressante de Simon, elle s’aperçoit que sa collègue et la mère de Simon s’apprêtent à sortir.   — Déjà fini ? interroge Clarisse. — Oui, mais prenez votre temps, Madame désir prendre un thé au salon. — D’accord, j’aurais terminé dans deux ou trois minutes…   Deux ou trois minutes ! Simon est un peu déçu que cela s’arrête si vite, il meurt d’envie que cela continue encore un peu ; il ferme les yeux pour savourer ces derniers instants. Il entend la porte de la salle se refermer et aussitôt une main se saisit de son sexe et commence à le masturber, surpris il rouvre les yeux d’un coup et croise le regarde de Clarisse qui lui souffle :   — Je vais plus loin ? — Oh, oui…   D’un geste vif, elle dégrafe sa blouse qui n’était fermée que par trois boutons-pressions et s’expose entièrement nue à la vue de Simon qui découvre un corps de déesse presque parfait. L’esthéticienne, qui met un point d’honneur à être toujours irréprochable physiquement pour son image et celle de son salon, pratique le sport et surveille son alimentation avec opiniâtreté. Cela ne l’empêche pas d’utiliser soins de peau, maquillage, épilation intégrale qu’elle montre avec une certaine désinvolture à ses clientes hésitantes ; comme si cela faisait était quelque chose de naturel. Avec la diététique et les activités sportives elle s’est donc sculptée un corps long et fin, sa poitrine relativement petite lui permet de porter de robes et des hauts au décolleté profonds à la limite de la décence. Sa chevelure châtain clair encadre un visage sympathique aux yeux pétillants marron clair, un nez fin et une bouche souriante, font craquer Simon. La belle qui a bien l’intention de dévorer le jeune giron, fait suite au « Je vais plus loin ? » en embouchant le chibre tendu, et comme si cela ne suffisait pas ; elle saute sur la table de soin et s’empale et faisant pénétrer le braquemart tout au fond d’elle. La sensation est forte et l’orgasme instantané et puissant, jamais elle n’avait ressenti chose pareille ; électrisée jusqu’au fond d’elle, elle en redemande et cette fois s’agite comme un pantin désarticulé. Elle souffle, râle de plaisir, se malaxe les seins, s’étire les tétons et aussi ceux de Simon ; jusqu’à ce qu’un nouvel orgasme s’empare d’elle. Cette fois, il est rusé long à venir, elle le réclame, le supplie, il disparaît pour mieux revenir et explose en feu d’artifice dont les étoiles envahissent tout son corps en un millier de picotements.   Simon est aux anges, elle se dégage et embouche à nouveau le sexe et masse les testicules gonflés de sperme. Simon se retient jusqu’à ce qu’il lâche tout, les jets sont puissants et le plaisir grandissant, la bouche de Clarisse est trop petite pour tout contenir ; elle en avale une partie et recrache le reste en le laissant couler le long de la verge victorieuse.   Dans le car qui les ramène vers le village, Simon somnole en revivant cette magnifique journée de plaisir, que sa mère vient de lui offrir et qui restera gravé dans sa mémoire. Alors qu’il rêvasse, sa voix intérieure se fait entendre, c’est la même que celle de veille :   « Ah Simon ! Comme je suis fière de toi ; tu viens de faire cocu une lesbienne. En récompense toutes les parties de ton corps épilées aujourd’hui resteront imberbes jusqu’à la fin de tes jours. »  Simon accueille cette nouvelle avec joie, car il n’aura plus besoin de souffrir sous le feu du rasoir pour entretenir son corps.   [À suivre]
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