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Simon, d’Ange à Démon.

Chapitre 19

Des propositions alléchantes pour Simon.

Divers
Telle une volée de moineaux les commerçants ont déserté la terrasse en laissant l’argent des cafés, car les premiers clients affluent déjà devant les étals ; Simon ramasse l’argent, l’apporte à sa patronne, se fait couler un café et rejoint la table où son nouvel ami l’attend. Il se place de façon à avoir une vue dégagée sur l’endroit pour mieux surveiller l’arrivée des clients. Il tend le chocolat chaud à Jérémy et sucre son café. — Alors, que voulais-tu me dire ?— En fait… Non rien.— Tu n’as pas aimé ce que l’on a fait l’autre fois.— Oh si ! dit Jérémy surpris de l’enthousiasme et la rapidité de sa réponse.— C’est super, j’avais envie de recommencer demain après-midi, on pourrait se baigner à la gravière. Et je connais des endroits où personne n’y met les pieds et je voudrais te montrer quelque chose. Dans la tête de Jérémy un épais brouillard s’installe, il ne sait plus où il en est à cause de son Amour qui l’attend à Lyon, car la réponse qu’il voulait donner allait dans l’autre sens. Il voudrait au contraire tout arrêter, mais le regard de Simon l’en empêche, à chaque fois qu’il le croise il sent comme une attirance irrésistible envers ce garçon ; une force invincible le pousse et en le regardant, une érection commence à remplir son short neuf, acheté au marché le mercredi précèdent. Il regrette de ne pas avoir suivi sa première idée qui était d’imiter Simon en ne mettant pas de slip pour venir prendre un chocolat au bar de la place du marché. Alors comme pour s’enfoncer encore plus dans la luxure et se mettre en faute de cocufiage, il accepte l’invitation du bout des lèvres : — Oui, je veux bien pour demain.— Tu ne me sembles par très enthousiasmé, tu as peur de le faire ?— Bah c’est que je ne me suis jamais fait… enfin tu vois ce que je veux dire…— Oui je vois, mais moi non plus je ne l’ai jamais fait avec un garçon ; en baissant la voix il ajoute : je me suis juste mis une fois une bouteille de soda dans les fesses.— Et ça t’a fait quoi ?— Du bien, beaucoup de bien…— Tu as l’air de vraiment aimer le sexe.— Je n’aime pas, j’adore le sexe sous toutes ses formes, je vais te montrer un truc demain.— D’accord et en attendant je vais m’acheter un short comme le tien.— Que tu porteras sans rien dessous demain pour aller à messe.— Mais tu es fou !— Peut-être, et si tu me regardes minutieusement à la messe, tu devrais deviner que sous mon aube je suis complètement à poil.— Non ?— Tu verras… Bon, je dois y retourner ; je te laisse ?— Attends on fait comment demain ?
— On se retrouve ici en début d’après-midi, on va se balader et se baigner et tu pourrais venir manger à la maison le soir et dormir si tu le veux.— C’est sympa de m’inviter, d’autant que mes parents sont partis pour le week-end, et les tiens seront-ils d’accord ? Tu me diras si je dois apporter quelque chose.— Ah, il faut que je te dise que mon père est parti et que mes parents divorcent, il y a autre chose que tu dois savoir : depuis qu’il est parti, avec ma mère nous avons l’habitude de vivre nu à la maison quoiqu’il arrive. Tu ne seras pas obligé de le faire, tu pourras voir ma mère toute nue, elle est si belle.— Ouf… ? Je ne sais pas si cela va être possible, tu sais je suis un peu… enfin pas habitué.— Ah, mais tu t’y fais, regarde l’autre jour tu étais à poils quand je te suçais la queue.— C’est vrai, mais là il y a ta mère et…— Tu le fais avec ton amour de colocataire, de te balader à poil dans votre appart ?— Alors ça non, elle ne voudra jamais, on est assez pudique ; tu sais.— Pudique ou coincé du cul ? Moi je pense que tu es coincé, tu vas voir je vais te donner des cours et tu vas la surprendre. Tu sais j’ai de l’expérience en ce domaine.— Ah oui, et tu l’as fait depuis longtemps ?— Houlà oui, je ne sais plus mais cela fait pas mal d’années, ment-il. Il se lève en emportant sa tasse de café vide, laissant seul son ami en proie à une profonde réflexion. Jérémy essaye d’imaginer la scène où il serait nu devant la mère de Simon avec la honte de se balader à poil chez ces gens-là comme s’il retournait à la préhistoire. Si l’expérience le tente pour découvrir une façon de vivre totalement nu, comme sur l’île de levant bastion du naturisme ; le réaliser lui paraît être une épreuve insurmontable. L’annoncer à son « Amour », comme il dit, sera sans doute encore plus difficile à avouer. Amour, c’est le diminutif suggéré par sa colocataire qu’ils donnent à cet amour tout neuf, un coup de foudre du premier jour de leur rencontre, encore incertain, presque irréelle, ils sont timides, à dix-neuf ans ils se trouvent trop jeunes pour faire la « chose » comme ils l’appellent, ils osent à peine se toucher par manque d’expérience. Alors, comment la chose sera-t-elle prise ? Quelles conséquences cela va engendrer ? Va-t-il le perdre ou voudra-t-il au contraire aimera-t-il profiter de son expérience. Si le doute semble s’installer une certaine excitation commence à poindre le bout de son nez. Lui si réservé, si pudique commence à trouver Simon de plus en plus à son goût, alors face à cette situation inédite qui ne se reproduira sans doute jamais, il prend la ferme décision de se laisser aller « Pour ne pas mourir idiot » comme le dit souvent sa mère. Pour se forcer à réaliser ce qui est en train de devenir un véritable fantasme, il appelle Simon au moment où il l’aperçoit les bras chargés d’une grosse commande. Simon s’approche : — Oui, vous désirez ?— Simon, pour demain c’est d’accord, je viendrai, j’ai la trouille de ma vie ; mais c’est certains je viendrai chez toi et à la messe à poil sous mon short.— Eh bien toi ! Quand tu prends une décision c’est du rapide.— Je sais, c’est parce que j’en ai très envie maintenant et que ce soir je ne voudrais plus, cela dit je vais m’en mordre les doigts. Bref, j’apporte quoi ?— Je ne sais pas, je vais aller chez le boucher acheter des saucisses et des merguez…— Laisse tomber, je m’occupe de ça et du dessert, ça va ?— Alors, c’est d’accord ; nous aurons qu’à nous retrouver à la sortie de la messe. Nous passerons à la boulangerie avant de rentrer chez moi.— D’accord, réponds timidement Jérémy. Simon reprend son service. En ce jour de fête, les artisans sont nombreux à exposer leurs œuvres, il y a de tout dans la zone qui leur est réservée qui ressemble à un gigantesque bric-à-brac organisé. La terrasse du café est remplie de client, Simon doit être efficace, de sa rapidité à servir en dépend le chiffre d’affaires. Il s’imagine un instant être le patron de ce bistrot de campagne, mais revient vite à la réalité quand il sent une main lui toucher les fesses : « Garçon s’il vous plaît ! » En se retournant il croise le regard de la jeune femme de la maison à la sortie du village qu’il s’est tamponnée il y a peu. Elle est installée à une table en compagnie d’un homme à l’allure bourrue, physiquement il ressemble plus à un bûcheron qu’à un rond-de-cuir ; un frisson de peur lui parcourt tout le corps de bas en haut. Il est certain qu’elle est venue lui présenter son cocu de mari, mais dans quel but ? Si c’est pour lui casser la gueule, le combat est perdu d’avance, sauf s’il arrive à battre à la course le colosse qui le regarde fixement. — Simon, je te présente mon mari, n’ai pas peur il ne te fera rien ; il veut te proposer quelque chose.— Ouais, Bibiche ! Puis en regardant Simon, il continue : alors, c’est toi le p’tit enculé qui a baisé ma femme ! Si tu ne veux pas que je te casse ta p’tite gueule, tu vas ramener ton cul chez moi et dare-dare !— T’inquiète pas Simon, il n’est pas méchant ; hein mon Nounours ? C’est juste que quand il m’a vu dans l’état où tu m’as laissé, il est devenu comme fou, il m’a baisée comme un taré après avoir appris que je l’ai fait cocu. Maintenant il veut recommencer mais il veut voir et se branler pendant que tu me baiseras, bon après je ne te garantis pas qu’il ne t’enculera pas. Il faudrait que tu passes prendre l’apéro un de ces soirs pour en discuter, tu auras intérêt à avoir bouffé des vitamines avant de venir.— Euh… Oui, si vous voulez… Euh vous prenez un truc à boire ?— Mouais… ! Mets-moi une pression, et toi Bibiche ?— Je veux bien un Coca, s’il te plaît Simon. Quand il rentre dans le bistrot, Georgette l’interpelle. — Qu’est-ce qu’il voulait ?— Un demi-pression et un Coca.— Et ?— Rien, juste une histoire de canalisations bouchée.— Il faudra que tu me racontes ça, tu sais que je vais devenir jalouse à force de te voir sauter tout le village.— Je peux aussi vous le raconter en images, si vous voulez.— Eh bien toi, je vois que depuis que ton père est parti tu as sacrément pris du poil de la bête, c’est bien et je suis contente pour toi ; il faudra que je t’invite chez moi pour le récit en images. Et ta mère comment va-t-elle ?— Bien, très bien même, je retourne en terrasse. Il ressort du bistrot avec la commande de « Nounours et Bichette » qu’il dépose sur leur table. — Voilà pour Bichette, et voilà pour Nounours, dit-il en plaçant les consommations devant chacun.— Merci, et en plus il a de l’humour ce gamin, reprend Nounours. En quittant ses clients, il aperçoit le curé en soutane qui déboule du haut de la place et se dirige droit sur le bistrot. Simon l’observe en se disant que s’il vient le voir ce ne sera pas pour conter fleurettes avec lui, car le sujet il le connaît déjà. L’ecclésiastique pénètre sur la terrasse et s’adresse directement à Simon : — Je peux savoir ce que tu fais ici et dans cette tenue ?— Pour commencer : Bonjour !— Oui, bonjour…— Pour répondre à votre question, je travaille en tenue d’été pour un serveur ; il y a un problème?— Ton père est sans doute parti en mission, alors tu te crois tout permis ! Je te préviens, je lui raconterai tout à son retour. Demain matin je veux te voir à dix heures à la sacristie pour que je te confesse avant la messe ; et soit à l’heure ! dit-il en tournant les talons.— S’il touche au gamin, je lui démonte la tête, marmonne le bûcheron.— Laisse le faire, et s’il a besoin que tu interviennes ; il saura bien nous le demander. Il faut le bichonner en attendant, car on a besoin de lui ; tu vois je suis certaine qu’on va bien s’amuser avec lui. Simon regarde partir le prêtre quand son « Moi intérieur » lui parle : « Simon, tu as bien réagi et surtout ne lui dis pas que tes parents divorcent. Demain tu vas te laisser faire, ne lui résiste pas. En quittant ton travail, rends-toi à l’arrêt de car, tu y retrouveras Laura ; elle va t’aider à le faire avouer ». Il prend conscience que la mission que lui confie Lucifer à l’air d’une extrême importance, et ne comprend pas pourquoi cela se passe ainsi, pourquoi Satan entre en action pour récupérer l’âme du curé, la justice des hommes ne serait donc si inefficace ou alors le curé est protégé par quelqu’un. Il décide de terminer sa journée de travail et de se rendre à l’église comme le lui a demandé le prêtre. Doucement la place du marché se vide, reste quelques badauds qui tentent de négocier les prix. Sur les ordres de la patronne il commence à ranger la terrasse, puis de passer le balai ; en peu de temps la terrasse retrouve sa virginité de tout débris. En entrant dans le bar, il constate qu’une tempête a dû souffler sur le rayon livres et revues ; en bon employé, il range, redresse les piles de journaux, replace les revues de cul qui ont certainement fait à malaise puisque certaines ont descendu deux étagères, et sont même parties se cacher derrière d’autres revues moins provocantes. En se dirigeant vers le bar il voit la patronne en train de trier et compter de la monnaie, en faire des piles, les compter, noter la somme sur une feuille de papier. Une fois toute la monnaie empilée, elle recompte et vérifie avec ses notes, puis elle sort des billets et les tend à Simon en disant : — Tiens mon garçon, voici tes pourboires ; tu n’auras pas tout perdu et je note tes heures sur ce carnet.— Alors Georgette la journée a été bonne ?— Assez, oui, je suis très contente de toi : maintenant si tu veux rentrer chez toi, tu peux. Je vais fermer le rideau dès que j’aurais compté la caisse.— Je ne suis pas pressé, alors je vais le faire pour que vous aussi vous finissiez plus tôt. Il joint le geste à la parole, il ferme les deux lourds rideaux métalliques puis s’appuie sur une table et regarde sa patronne terminer sa comptabilité. Mais ses yeux sont plus attirés par le décolleté de la femme que par la monnaie. Il n’arrive pas à décrocher son regard de la paire de seins qu’il trouve énormes, il les trouve gros mais beaux, comme il aimerait bien y mettre sa bitte et se branler entre les deux ; alors une idée lui vient à l’esprit. Georgette vient de terminer — On va vont sortir par-derrière, je te laisse passer devant j’arrive dans une minute. Il la précède et attend sagement dans la réserve, la minute passe, la patronne pousse la porte et pousse un cri :— Oups ! Mais que fais-tu ? En regardant le jeune homme qui se tient devant elle ; il est entièrement nu.— Georgette je veux voir vos seins, montrez-les moi et je vous fais ce que vous voulez.— Simon nous sommes tout sale, nous avons transpiré toute la journée ; c’est vrai que j’ai envie de toi, mais pas comme ça, explique-t-elle en ôtant son chemisier et son soutien-gorge. Monte sur la pile de bouquins là, je vais te faire un truc. Il monte sur la pile de bouquins là, elle s’approche, écarte ses seins et en tenaille la bitte juvénile qu’elle branle entre ses deux globes mammaires. À force de va-et-vient il lui inonde de sperme l’entre sein de la femme. Les giclées sont même remontées jusque sous le menton et le liquide visqueux coule sur les seins gonflés ; elle en profite pour se les masser en étalant le précieux liquide, et dit : — Eh bien mon garçon ! Tu es plutôt productif, ça faisait longtemps que je ne m’étais pas pris une telle rafale ; tu ne perds rien pour attendre, je vais te concocter une petite sauterie dont tu vas te souvenir longtemps. [À suivre]
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