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Simon, d’Ange à Démon.

Chapitre 21

Orage et damnation.

Trash
  Le piège se referme irrémédiablement sur le curé qui, obnubilé par ses tourments sexuels ne voit rien venir. Simon doit absolument amener l’ecclésiastique à l’acte interdit afin de le déstabiliser, et de l’obliger à avouer les fautes qu’il a commises par le passé, afin de les lui faire expier dans la souffrance. C’est alors que Simon dépourvu de tout complexe, et animé par la vengeance de faire payer le curé et un tantinet joueur, débute un strip-tease digne d’un professionnel, il s’effeuille avec lenteur et sensualité ; il caresse son sexe pour le faire monter. Le curé est dans tous ses états, ses mains tremblent, son visage devient rouge écarlate, il transpire à grosses gouttes ; le vice l’envahit progressivement, alors il s’approche de Simon pour le toucher, mais celui-ci recule en disant : — Pas maintenant curé ! Tu me toucheras après la messe, car il est temps de se préparer. N’oublie pas que tes fidèles t’attendent avec impatience afin d’assister à l’office, de participer en chantant les psaumes et en écoutant ton sermon. Si tu veux profiter de moi, tu devras parler d’amour, mais surtout des relations physiques qu’il doit exister entre un homme et une femme pour avoir des enfants. Non seulement ça, tu vas faire comme moi, ainsi nous serons nus sous nos aubes, tu mettras la plus légère et la plus transparente que tu trouveras. Pour expliquer cette tenue, tu affirmeras vouloir faire la charité et vendre toutes les tenues hors de prix que tu possèdes, tu appuieras sur le fait que tu as décidé de vivre avec le strict minimum et tu inviteras tes fidèles à en faire de même.— Et si je fais cela, tu me laisseras te toucher ? Tu aimes donc le sexe tant que ça ?— Oui, j’aime ça… Et alors ?— Je vais alors faire ce que tu demandes, et tu me promets de réaliser ce que je veux.— Tout ce que tu veux, tu l’auras. Simon enfile avec un certain plaisir son aube en regardant le curé se déshabiller entièrement. Lorsque le prêtre est nu, Simon reçoit en pleine figure l’image d’un homme gras et ventripotent dont le bide recouvre partiellement un sexe en érection. Avec ses couilles aussi velues que son torse, ses yeux exorbités par le vice qui semblent sortir de leurs orbites, son corps dégoulinant et poilu comme un gorille et des mains tremblantes ; donne à Simon l’envie de vomir. Le prêtre se cache rapidement sous une soutane à la limite de la transparence, et donc seul vêtement qu’il portera pour la cérémonie. — Alors curé prêt pour le grand saut ? Allez ! Reprenez vous, vous voulez du sexe alors je vais vous en donner…— Merci Simon, mais ce que tu me demandes m’est difficile à réaliser et me fait peur.— Ça, il fallait y réfléchir avant de commencer à me tripoter les cuisses en cherchant à me choper la bitte.— Mais comment parles-tu de ça?— Ça ? C’est du cul et visiblement ça a l’air de vous plaire vu comment vous bandez. Simon précède le curé pour entrer dans le saint des saints, au premier rang Laura et Huguette toutes deux habillées d’une minijupe et d’un chemisier à fleurs et au décolleté généreux, se tiennent bien droite sur leur séant en laissant la jupe remonter très haut sur leurs cuisses. De là où se trouvent curé et enfant de chœur, ils ont une vue plongeante sur leurs fente et sur leurs entre-seins impudiquement dévoilés par un décolleté trop profond ; à cause des chemisiers trop petits. Les deux femmes les regardent avec un air provocateur, dans l’assemblée les hommes se régalent, les grenouilles de bénitiers chuchotent en râlant sur la tenue du curé, et jettent des regards foudroyants à la mère de l’enfant de chœur. Le curé s’avance et sous le regard médusé de l’assemblée, il annonce après une rapide bénédiction: — Mes biens chers Frères, mes biens chers Sœurs ! Je vois que ma tenue vous surprend, elle sera ainsi tous les dimanches. En effet, j’ai décidé de ne plus porter que cette simple aube pour dire l’office du dimanche. La richesse de tous ces ornements que j’utilise ne font plus partie de mes convictions et je veux qu’ils soient tous vendus au profit des pauvres qui ont besoin d’argent pour vivre. Je vous invite à faire le tri chez vous pour vendre tout ce qui vous est inutile ; il faudrait rechercher où et comment les vendre ; je compte sur votre générosité et votre dévotion. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit… Amen ! Simon époustouflé par l’annonce du curé, reste un instant pantois. Le curé poursuit son office avec une certaine désinvolture, pressé d’arriver à la fin de l’office, il écourte les lectures, supprime des chants et monte à la chaire et passe directement au sermon. À la grande surprise générale, il entonne son discours: — Au nom du père […] Mes bien chers amis, et comme une fois n’est pas coutume, alors aujourd’hui je vais vous parler d’Amour avec un grand A. Cet amour est important et même obligatoire pour que le couple puisse s’épanouir pour la vie et en toute sérénité. Mais cela ne suffit pas. Dieu a dit qu’il fallait laisser venir à lui les petits enfants, mais pour se faire faudrait-il qu’il y en ait. Alors vous devez vous chérir, l’homme doit s’occuper de sa femme par des caresses, des baisers tendres et amoureux ; et vous mesdames n’hésitez pas à vous occuper de votre mari mais surtout du bijou qu’il a entre les jambes. Prenez-le entre vos doigts, massez-le, et sucez-le jusqu’à ce qu’il répande dans votre gorge pour que sa future semence soit de bonne qualité lorsqu’il vous pénétrera avec force jusqu’à obtenir la jouissance finale, clame-t-il en levant son index vers le ciel. S’il le faut, recommencez plusieurs fois par jour et dans la position que vous souhaitez, faites du Kamasoutra votre livre de chevet. La femme est la plus belle des créatures au monde quelles que soient ses formes. Alors messieurs faites en le plus bel objet de vos jeux amoureux ou pas… Amen!
 La fin de l’homélie se termine dans un brouhaha général, on parle, on se regarde, on rouspète, des doigts accusateurs se dressent en direction du curé, qui sans se soucier du choc qu’il vient de créer sur ses fidèles ; il a plus important à penser. Il expédie le reste de la cérémonie à vitesse grand V. À la communion, Simon fait un pouce levé à Laura qui lui répond et quitte l’église. La fin de la messe se termine avec des regards foudroyants vers le curé, l’ambiance qui est habituellement courtoise et sympathique est devenue pesante. Le curé se précipite vers la sacristie, car quelques hommes commencent à s’approcher, mais tirés par leurs femmes font demi-tour ; le curé verrouille la porte et s’adresse à Simon : — Simon ! J’ai rempli mon contrat, à toi d’honorer le tien !— Pas de problèmes, ayez juste un peu de patience, laissez-moi le temps de me préparer ; vous savez je n’ai jamais fait cela avec un prêtre et je vois que cela me paraît plus difficile que je ne le pensais, informe-t-il en prenant le temps de se déshabiller totalement comme pour gagner du temps, et une fois nu le curé s’exclame.— Ô Simon comme tu es beau ! Ton corps est si parfait, et cette… Que tu as là me donne envie de la toucher, de la prendre entre mes doigts et si tu me le permets, de la prendre dans ma bouche ; autorise-moi.— Faites, curé faites-vous plaisir tant que vous le pouvez encore. Le curé tellement obnubilé par le sexe de Simon, n’a pas entendu la fin de la phrase et s’agenouille aux pieds du jeune homme qui ne bouge pas d’un pouce. Un regard vers le vestiaire où il se changeait avant, lui permet d’entrevoir une ombre se déplacer. Le curé trop occupé à caresser le ventre, les fesses et tout le corps en finissant par le service trois pièces de Simon avec délicatesse. Il ne voit pas l’ombre se déplacer jusqu’à l’entrebâillure de la porte. Pour motiver et aider Simon à supporter cette épreuve, Laura lève sa minijupe et dans un silence religieux elle se caresse la chatte à la façon des masturbations pornographiques qu’elle a pu regarder ; à force d’user du spectacle, Simon bande. C’est sans doute avec l’aide de Lucifer que son sexe atteint des proportions démesurées. Le curé ne s’en aperçoit pas et continue à malaxer les couilles à la peau si douce, puis, embouche le braquemart avec gourmandise. — Eh là curé ! Qu’est-ce que tu fais avec Simon ! hurle Laura. L’homme surpris fait un bond en arrière et se retrouve sur le cul puis roule sur lui-même pour finir à quatre pattes dans une position des plus obscènes ; à l’instar d’un verrat aux couilles pendantes. Rouge écarlate, il balbutie en tentant de cacher son érection : — Mais… Mais, qu’est-ce que c’est ? Simon qui est-ce ? Mais pourquoi tu as fait cela… ? s’étonne-t-il.— Curé ! Te voilà pris sur le fait de relations sexuelles strictement interdites et tu as de la chance, car Simon est majeur. Contrairement à lui et à ses camarades enfants de cœur que tu obligeais à servir la messe, nus sous leurs aubes, affirme-t-elle avec culot sur des on-dit.— Mais, j’avais fermé la porte… pleurniche le curé encore assis au sol.— Tu l’avais effectivement fermée, sauf que j’étais déjà là à attendre que tu commettes l’irréparable. Tu es pris sur le fait, et tu ne peux pas le nier. Avoue ce que tu as fait par le passé !— Je n’ai rien fait de mal, je vous le promets, mais avant de m’accuser il faudrait avoir des preuves et les paroles d’enfants n’ont aucune valeur ; l’évêque me défendra et me soutiendra, se rebelle-t-il.— Oh curé ! Tu veux que je sorte l’appareil photo pour afficher sur la porte de l’église ce que j’ai sous les yeux actuellement. Tu sais pertinemment que tu as fait de très grosses bêtises, tu veux que je te rafraîchisse la mémoire : Jean Charles et Pierre, tu les connais ? Ils ont parlé avec d’autres enfants embarqués sur le « Karrek-Ven ». Le scandale est en train d’éclater et je pense qu’il va y avoir de la casse, c’est à toi de voir.— Non, je ne les ai pas touchés, je les ai juste motivés ainsi que leurs parents pour tenter l’expérience de ce mode d’apprentissage ; je ne savais pas ce qu’ils comptaient leur faire, se défend-il.— Tu les as motivés en leur caressant les cuisses et le reste comme que tu as commencé avec moi ? interroge Simon en haussant le ton.— Vous m’avez piégé, c’est ça ? Mais pourquoi avez-vous fait cela ? On aurait pu s’amuser et personne n’aurait rien su. Oui, j’avoue avoir incité les jeunes à aller dans cette école, Simon, j’en avais même parlé à ton père pour qu’il t’y envoie au tout début du projet en 1969. C’était un beau projet avec les voyages et les apprentissages de la vie. Mais maintenant qu’allez-vous faire de moi ?— Tu as le choix entre te rendre à la police, avouer tes fautes auprès de tes supérieurs, passer au tribunal, finir en prison et avoir ta photo dans les journaux et un reportage à la télévision et une interview prime ; ou…— Non Non ! Je ne veux pas aller en prison, faites ce que vous voudrez de moi, mais pas ça ; pitié, je vous en supplie.— Il suffit de te regarder pour comprendre que tu aimes le sexe et que ça, tu ne peux le cacher maintenant. Alors il y a une autre possibilité : offrir ton âme au diable en devenant un prêtre défroqué. Tu quitteras cet endroit car avec ta prestation de ce matin, je pense que tes fidèles risquent de te coller une belle branlée.— Oui, je préfère plutôt souffrir physiquement… et : L’homme rongé par les remords croise le regard des deux jeunes gens et s’effondre en larmes. Il comprend alors que le feu qui brille dans leurs yeux est celui de l’Enfer, il sait qu’il va devoir avouer ses fautes. Tout va très vite dans son esprit, les questions se posent sur les deux jeunes gens et leurs regards où il a cru voir pendant un court instant l’image de Satan. Avouer, mais quoi ? Les caresses, les gestes déplacés, les arguments qu’il a donnés aux parents des garçons et des filles qui se sont trouvés piégés sur ce bateau. Nu et en pleurs, il se sent ridicule, tremblant de peur ; il balbutie des mots incompréhensibles. — Je ne comprends rien ! Lève-toi et regarde-nous, tu aimes le sexe ?—…, mais l’homme reste silencieux.— Réponds ! hurle une voix qui arrive de nulle part, mais qui n’est pas celle qui semble sortir de la bouche de Simon.— Oui, j’aime le sexe.— Alors suis-nous !— Qu’allez-vous me faire… J’avoue. Simon le prend par le poignet, et le tire de force jusqu’au centre du chœur, Laura qui a revêtu la même tenue qu’eux, les suit en arborant avec fierté ses formes ; arrivés devant l’autel les deux jeunes ordonnent d’un même son de voix. — À genoux et regarde-nous ! puis Laura enchaîne :— C’est le sexe que tu veux ? Alors tu dois tout avouer en détail et donner ton âme au diable si tu veux avoir la vie sauve. Regarde-nous et maintenant tu peux rêver à ce que tu n’obtiendras jamais, disent Laura et Simon en exhibant leurs corps nus du haut des marches de l’autel. À ce moment-là, le ciel se couvre et plonge tout le village dans la nuit, des bourrasques balaient tout sur leurs passages. Le sol se met à trembler, les cadres dans la nef tombent les uns après les autres. Des éclairs illuminent le ciel, immédiatement suivis du fracas assourdissant du tonnerre, des grêlons perforent les vitraux et la toiture. — Curé ! Réponds vite ou Satan va brûler toute l’église, hurle Simon d’une voix puissante qui n’est pas la sienne.— Oui, je donne mon âme au diable, je vais me défroquer. S’il le faut, je signerai tous les papiers pour subir les punitions afin d’expier mes fautes ; mais pitié ne me tuez pas… Un nouvel éclair, dix fois plus puissant que les précédents, tombe sur la girouette du clocher, le mât se torde sous la puissance du courant électrique et enflamme le clocher. Rapidement les flammes envahissent le mobilier et se propagent et avancent vers le trio. — Sortez-moi de là, je vous en supplie, je ferais tout ce que vous voudrez ; mais par pitié ne me laissez pas ici. En guise de réponse c’est un vent violent qui se met à souffler en tourillonnant dans l’église, en faisant glisser les bancs en bois massif vers le fond de la nef, les chaises se soulèvent et volent puis s’écrasent sur les bancs qui s’enflamment comme des allumettes sous l’effet d’un nouvel éclair qui entre par un vitrail. Le curé tétanisé supplie à nouveau : — Pitié, je ferai tout ce que vous voulez mais… Cette fois c’est une voix encore plus puissante qui sort de la bouche de Laura et qui ordonne : — À partir de maintenant tu ne pourras dire que des messes noires sur les corps de femmes et d’hommes nus que tu embrasseras mais sans pouvoir les toucher avec tes mains pendant que tu seras flagellé. Tu devras vivre nu, été comme hiver ; pour sortir du couvent dans lequel tu seras enfermé tu ne porteras qu’une seule et unique soutane usagée. Ton corps deviendra le jouet des autres défroqués que tu rencontreras là où Laura va t’emmener. Laura retrouve sa voix habituelle et ordonne : — Suis-nous, ordonne-t-elle. Pour sortir de cet enfer, ils doivent repasser par la sacristie, ils y récupèrent leurs vêtements, se rhabillent et sortent par la porte arrière. Aussitôt l’orage cesse comme par miracle et est remplacé par une pluie dense qui éteint rapidement le début d’incendie, le soleil réapparaît et darde ses rayons sur le village qui sèche en quelques minutes en abandonnant l’église fermée à son triste sort. — Mais que s’est-il passé, et vous qui êtes-vous réellement ? interroge le prêtre.— Nous sommes les envoyés du diable pour lui offrir toutes les âmes pécheresses, tous ceux qui nous résisteront finiront en Enfer. Mais toi tu vas devoir partir d’ici, je vais t’accompagner dès maintenant dans un endroit tenu secret où tu seras initié à certaines choses et devras subir le châtiment que le tribunal de Lucifer t’imposera ; mais comme tu le sais déjà, tu serviras de jouet sans rien dire. Enfile uniquement ta soutane. Nous partons maintenant ! ordonne Laura. L’homme encore tremblant de peur suit Laura avec la plus grande humilité. Simon un peu étourdit par ce qu’il vient de vivre, termine de se rhabiller et rentre tranquillement chez sa mère quand son "Moi intérieur se manifeste à nouveau" : « C’est bien ce que tu as fait là, et comme tu as pu le constater ; je t’ai un peu aidé. Laura l’a emmené dans un endroit que tu découvriras bientôt ; mais en attendant, continue à t’amuser avec ce garçon et avec tous ceux que tu voudras ». Dès son arrivée chez lui, Huguette le questionne : — Alors mon chéri tu en as mis du temps, et quelle mouche a piqué le curé?— Maman, le curé est parti avec Laura, il nous a avoué avoir fait de mauvaises choses, mais je ne veux pas t’en parler, pas maintenant…— Je comprends… Viens passons à table et tu pourras sortir te promener cette après-midi avec ton nouvel ami…— Oui maman, c’est prévu je vais courir avec Jérémy et nous baigner à la gravière. [À suivre]
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