Simon et Jérémy n’ont pas entendu les appels du couple chaud comme la braise qui, après avoir assisté à la joute des deux garçons aurait bien aimé s’amuser avec eux ; déçu, il les regarde s’éloigner en direction du village. Les deux garçons se rendent directement chez Jérémy, ils récupèrent le panier très garni de victuailles et se dirigent chez Simon. En passant la porte d’entrée de la maison, Simon déclame :— Maman, c’est moi ; Jérémy est avec moi !— Bien… Fais-le entrer, je suis sur la terrasse et pour la tenue, il fait comme il veut…— Je sais Maman, t’inquiète je gère.— Dis ? Ta mère a l’air drôlement sympa.Les deux garçons se déshabillent entièrement et Simon en profite pour faire une petite branlette à son ami qui voit son sexe gonfler.— Te voilà présentable maintenant, allez ; suis moi.Ils vont dans la cuisine pour y déposer le panier et mettre ce qui doit l’être au frais, puis ils se dirigent vers la terrasse ; Huguette se lève pour accueillir l’invité.— Bonjour, alors c’est toi le fameux Jérémy dont Simon me parle souvent, installez-vous ; je vais aller chercher un truc à boire.— Bonjour Madame Huguette, je suis heureux de faire votre connaissance, et je vous remercie pour votre invitation.— Bon, tu oublies le « Madame ». Ça va, on dirait que tu m’as l’air un peu surpris de me voir toute nue, non ? Simon ne t’as pas prévenu ?— Si, mais c’est que je n’ai pas l’habitude d’être nu devant tout le monde à la maison ; mais ça va aller et je crois que je commence à apprécier, dit-il en regardant Simon d’un air interrogatif.— Maman, est-ce que tu pourrais lui épiler ça, demande-t-il en montrant l’endroit à traiter.— Bien sûr ! Va chercher mon épilateur et ce qu’il faut, t’inquiète pas ; je vais te faire tout beau mon garçon. C’est vrai que c’est plus joli tout épilé comme Simon ; n’est-ce pas ?— Oui… Huguette.— Reste avec lui Maman, je m’occupe de tout, il est dix-huit heures passé, je sers quoi à boire ?— Ce que tu veux, et puis nous avons un serveur dans la maison, alors autant en profiter ; mais pas trop d’alcool pour moi. Mets l’appareil dépilatoire à chauffer en premier, sinon demain on y est encore.Simon se presse, il branche l’appareil à liquéfier la cire dépilatoire et passe en cuisine pour préparer en fonction de ce qu’il y a dans le réfrigérateur : un Cocktail pêche et champagne. Sur le plateau, il dépose les coupes à champagne qu’il remplit de sa préparation, y ajoute des glaçons ; des coupelles remplies de fruits secs accompagneront le cocktail. Lorsqu’il revient sur la terrasse, Jérémy et sa mère sont en pleine discussion, armée d’une paire de ciseaux, elle débroussaille allègrement la forêt vierge qui envahit le pubis, le service trois pièces et les aisselles du jeune homme allongé sur un des transats.
— Alors, on désherbe ? demande Simon, qui se réjouit de voir son ami à poil sur un transat.Armée d’une tondeuse mécanique que son mari avait achetée pour couper des cheveux de Simon, Huguette débroussaille le pubis, puis les ciseaux de coiffeur dégrossissent les aisselles, les poils du service trois pièces que Jérémy offre de bonne grâce aux mains suffisamment experte de l’esthéticienne improvisée. Alors que le serveur arrive avec son plateau, elle vient tout juste de terminer de dégrossir la toison.— Bien, maintenant que le plus gros est fait, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses, annonce-t-elle.— Tenez, je vous ai préparé un petit apéro, on trinque et je m’occupe du barbecue pendant que tu continues à l’épiler.L’opération ne dure que quelques instants, car mis à part les endroits où la cire chaude a mené son action, aucune autre pilosité n’est à déplorer. Simon allume le barbecue ; sa mère étale une pommade adoucissante pour calmer le feu qui règne par endroits. N’osant rien dire, Jérémy se laisse faire avec un certain plaisir, car Huguette ne fait pas que masser les endroits douloureux ; elle les inspecte du bout des doigts avec application afin de déceler la présence de poils qui auraient pu échapper au traitement. Si le garçon ne dit rien c’est à cause d’une érection naissante qui fait sourire la masseuse. Elle qui n’a pas fait l’amour depuis des lustres ne peut s’empêcher d’insister sur la verge grandissante qu’elle commence à masturber avec sa délicatesse toute féminine. Jérémy s’inquiète de l’avenir, mais n’ose demander ce qu’elle a l’intention de faire ; lui qui n’a encore jamais fait l’amour avec une fille et encore moins avec une femme du double de son âge. Alors il se tend, serre les poings ; Huguette s’en aperçoit. « Simon ! » il se retourne en fixant sa mère, il comprend ce qu’il est en train de se passer :— Maman je monte une dizaine de minutes dans ma chambre, j’ai un truc à préparer pour tout à l’heure dit-il en chuchotant.Pour seule réponse, il obtient par sa mère un baiser soufflé de la main. Il monte s’enfermer dans sa chambre et s’allonge sur son lit avec au cœur une pointe de jalousie, il sait ce qu’elle va faire à Jérémy ; sa jalousie se transforme en colère, il s’assoit au bord de son lit et est prêt à descendre. Mais la voix revient :« Simon ! Que veux-tu faire ? Fais attention de ne pas faire d’erreur ! » Aussitôt sa colère redescend et il réfléchit. Il constate bien malgré lui qu’il doit se rendre à l’évidence : sa mère ne lui appartient pas, après tous les sacrifices qu’elle a faits pour lui et toutes les attentions qu’elle lui prodigue ; elle a le droit de s’amuser un peu avec des garçons et pourquoi pas avec des filles. Tout à coup plusieurs idées lui viennent à l’esprit, mais là il ne s’agit pas de livrer son âme au diable, mais bien au contraire lui offrir du plaisir, car elle le mérite plus que tout. Il reprend la revue avec l’homme qui se bouffe la bitte, il relit le texte explicatif et débute un échauffement avec la ferme attention de s’exhiber devant eux pour les exciter, puis il poussera sa mère à prendre Jérémy dans son lit. Au bout d’un bon quart d’heure d’entraînement, il redescend et retrouve sa mère et Jérémy en train de siroter leur cocktail en papotant.— Ah te voilà ! Viens avec nous, et ton ami à raviver le barbecue ; ça va ?— Bien sûr que ça va. Jérémy ! J’espère que le massage était bien ? Dit-il avec une pointe d’ironie.— Oui, c’était très…— Alors à notre santé. Djé ! Tu m’as dit que tes parents ne sont pas là du week-end ?— C’est exact, ils ne rentrent que demain dans la journée.— Alors, tu dors ici cette nuit, ordonne-t-il en riant.— Bah, c’est que…— Simon à raison, tu restes dormir ici et profiter de la soirée, et puis tu as le choix de la chambre : soit tu dors avec Simon, soit c’est avec moi.Jérémy rougit jusqu’en haut des oreilles, mais sa légère érection le trahit. Il s’imagine que faire l’amour avec cette femme si douce qui vient de lui faire en secret un massage très particulier.— Oui, mais…— Maman, il a une copine et je suis certain qu’il a peur de lui faire du mal en la trompant.— Pourquoi tu es marié ?— Bah non, répond Jérémy.— Hé bien alors ? Où est le problème, si tu n’es pas marié tu ne la trompes pas ; bien au contraire tes expériences te profiteront, et ton excuse ne tient pas, car je me doute de ce que vous avez fait tous les deux cette après-midi.Jérémy, toujours aussi rouge regarde Huguette du coin de l’œil en se disant que son « Amour » a déjà couché. La mère de Simon est si jolie et si gentille qu’il finit par décider de rester dormir ici ; Jérémy a bien de la chance, car après une après-midi torride avec Simon, voilà qu’il lui propose de dormir avec sa mère. N’ayant pour le moment que cet « Amour », qui par timidité reste platonique pour le moment, et auquel il tient plus que tout. Jérémy n’a encore connu l’amour physique avec une fille ; l’occasion de découvrir ce nouveau plaisir qu’on lui offre est une aubaine. Se résignant au fait qu’il ne soit pas marié et sur l’insistance de la mère de Simon, c’est avec la peur au ventre qu’il finit par accepter cette expérience en espérant y trouver toutes les réponses aux questions qu’il se pose depuis ses premières relations homosexuelles avec son ami. Il se sent comme poussé par une force invisible et envoûtante, qui lui donne de plus en plus envie de faire des choses qui l’entraînent petit à petit dans les abîmes du vice.— Bon, c’est d’accord, je vais rester dormir ici, mais il ne faut pas que cela vous dérange et que cela ne risque de créer des problèmes entre vous, car vous êtes tellement fusionnels que j’ai l’impression que vous êtes comme deux amants. Je vous avoue que je trouve cela particulièrement émouvant, oui je suis timide et particulièrement à fleur de peau ; j’espère que nous deviendrons de vrais amis. Huguette, je n’ai jamais fait cela avec une fille… Alors ?— Ne t’inquiète pas Jérémy, je n’ai pas encore mangé qui que ce soit, et, à force de vous regarder tous les deux, là, tout nu devant moi ; j’ai une terrible envie de faire l’amour. J’ai envie que cela soit fort, très fort. Simon, un jour tu m’as promis de faire quelque chose pour me faire craquer, alors, as-tu quelque chose de fort à nous montrer ? Ce soir je voudrais que nous célébrions à notre façon notre nouvelle amitié.— Oui Maman, je me suis entraîné à faire quelque chose et si tu le veux, je le ferai avant de manger ; vous pourrez vous amuser aussi avec moi.— Et pourquoi avant manger ? En dessert ce serait bien aussi ?— Parce que c’est plus facile à réaliser à jeun.Pour se donner un peu plus de folie, Simon boit un peu d’une nouvelle coupe de l’excellent cocktail qu’il a préparé. Et annonce :— Je vais vous proposer un numéro de contorsionniste, qui, je l’espère vous plaira.Sur ses mots il récupère le coussin du transat sur lequel il s’était installé et l’allonge sur le sol. Jérémy et Huguette s’interrogent du regard en cherchant à deviner ce que le démon prépare, bien qu’Huguette reconnaisse le sportif qu’est son fils ; elle a bien du mal à le voir en contorsionniste. Venant du salon, les premières notes de la chanson préférées de la maîtresse de maison arrivent par vagues en sortant des haut-parleurs du tourne-disque de papa. « Les sucettes » écrite pas son idole, Serge Gainsbourg et chantée par France Gall, qui avec son double sens plaît beaucoup, et indique à Huguette que me spectacle de contorsion de son fils va être chaud. Jérémy qui ne connaît pas la chanson, attend avec une impatience non dissimulée la suite de la prestation.Rapidement Simon s’allonge sur le coussin, réalise une magnifique chandelle bien droite, puis à la seule force de ses abdominaux ramène ses jambes à son front, les écartes et les place sur ses épaules. Puis il passe ses bras sur ses mollets, cette position le cul à la verticale avec les fesses largement écartées et l’anus impudiquement offert à la vue de tous ; fait monter le baromètre de Jérémy et mouiller la chatte de sa mère. Il reste un instant dans cette position en se caressant les fesses, qui à cause de l’huile de massage achetée par sa mère et dont il s’est enduit le cul, brillent comme un sou neuf. À la vue de ce spectacle elle ne peut s’empêcher de se lever pour voir de plus près ce que fabrique son fils avec deux doigts de chaque main dans son trou du cul. Pour gentiment l’aider elle se dirige vers la cuisine sans quitter des yeux son démon de fils, puis revient avec une bouteille d’huile et un concombre. Elle colle ses jambes contre le dos de l’artiste, verse de l’huile dans l’entonnoir culier et enfonce le légume par le petit bout en maintenant une pression constante. Sous les yeux ébahis de Jérémy, Simon embouche son sexe pendant que sa mère lui malaxe les couilles en le branlant jusqu’à ce qu’il arrive à l’éjaculation ; à la vue de ce spectacle Jérémy commence à se tripoter. Surexcité Jérémy commence à se masturber, mais elle s’en aperçoit et annonce :— Hop-pop-hop ! Jérémy, ça, c’est pour ce soir et pour moi, pas touche… Tu vas voir ce que je vais te faire ; tu m’en diras des nouvelles. Puis s’adressant à son fils, elle ajoute : Simon, ce soir j’aurais deux hommes pour m’endormir.Au menu : saucisses, côtes d’agneau grillées au barbecue, accompagnes de pommes chips, et dessert ; le tout accompagné de champagne est ce que l’on peut appeler un excellent repas plus que naturiste.[À suivre]