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Simon, d’Ange à Démon.

Chapitre 24

Une raclée pour la patronne.

Divers
 La soirée fut agitée, et la nuit reposante. En ce premier jour de l’été le soleil réchauffe déjà la campagne, le café est servi et le trio déguste les croissants tout frais que Simon est allé chercher de bon matin. Jérémy est songeur, il repense à la veille et à tout ce qu’il s’est passé, un ouragan travers son esprit, il se sent mal, mal l’aise d’être tombé si bas dans la luxure et le sexe alors qu’à Lyon quelqu’un l’attend ; ils avaient prévu de fêter l’arrivée de l’été ensemble au restaurant, il a oublié à cause de Simon et de l’emprise qu’il a sur lui. Quand il est avec lui, il se sent comme envoûté par un esprit malveillant, un simple regard de Simon et il perd tous ses moyens ; alors il prend une grave décision sans en connaître les conséquences, et pour ne pas croiser le regard de son ami il s’adresse directement à Huguette : — Huguette il faut que je retourne à Lyon, c’est important, car il faut que j’aille récupérer des cours et voir deux ou trois trucs.— Très bien, et quelles études poursuis-tu ? Mais tu reviendras me voir, lui demande-t-elle.— Je suis en deuxième année de droit et il faut que je révise pour être bien l’année précédente. Il faut absolument que je retourne à mon studio, dit-il en s’habillant.— Tu reviens quand ? interroge-Simon— Je ne sais pas, mais de toute façon avant le 14 juillet, car nous avons habitude d’aller à la fête foraine de Château. Si tout va bien, je serais là avant et passerais au bistrot. Bon, j’y vais, car mes parents doivent être arrivés, et je vais demander à mon père de m’accompagner à la gare de Château. Simon est un peu inquiet de ce départ précipité, car il espérait aller plus loin dans la perversité avec le jeune homme. Mais il doit se préparer pour aller travailler chez Georgette qui a vu son chiffre d’affaires augmenter grâce à la qualité du service et à l’efficacité de son serveur. Elle songe sérieusement à ajouter une corde à son arc en proposant aux clients de la petite restauration comme du snack, mais il lui faut un ou une cuisinière ; instinctivement elle pense à Huguette à la réputation de bonne cuisinière et au caractère bien trempé et dont la ténacité n’est plus à prouver. Alors qu’elle décroche son téléphone pour appeler Huguette, Simon est déjà en route vers le bistrot. En passant par la place du marché où se trouve l’église, il remarque un attroupement devant l’édifice qui porte encore les stigmates du coup d’orage de la veille. Au sommet du clocher : le coq, embroché sur le mât du paratonnerre tordu sous l’effet de la chaleur de l’arc électrique. Courbé en avant le gallinacé semble picorer le sol des collines lointaines. Les pierres noircies au-dessus des vitraux absents indiquent clairement que l’édifice a souffert par un feu intérieur. Simon essaie d’identifier les personnes et voit que les gendarmes sont présents et d’autres personnes dont des femmes, tout à coup l’une d’elles se retourne et crie en pointant son doigt dans sa direction : — C’est lui, c’est lui ; c’est Simon l’enfant de chœur ! crie une femme. Aussitôt les deux gendarmes se dirigent vers lui au pas de course, l’attrapent chacun par un bras et le traînent sans ménagement jusqu’au groupe qui est composé du Maire, du Préfet, les pompiers et quelques badauds ; Simon se rebelle : — Non, mais attendez ! Je peux savoir ce qu’il se passe?— Jeune homme, selon madame, vous avez été vu sortir rapidement de l’église au moment des faits ? Que faisiez-vous dans cette église ? Vous êtes soupçonné d’y avoir mis le feu !— Oui, c’est sûr que c’est ce petit voyou qui a fait le coup, je suis certaine qu’il est venu voler dans l’église et mettre le feu pour effacer ses traces ; ce genre de voyou je les sens à cent lieues, vous pouvez me croire. Insiste-t-elle. Le Maire qui préfère bouffer du curé plutôt que de partager les convictions des grenouilles de bénitier ne supporte pas que des accusations mensongères soient ainsi portées et c’est pour cette raison qu’il intervient. — Mais Madame Duchmole, ce garçon est le seul enfant de chœur qu’il reste dans cette paroisse. Je connais son père et sais que Simon a reçu une éducation stricte ; par conséquent, il ne peut être en aucun cas à l’origine de cet incendie. Vous n’allez donc pas à la messe ? demande le maire.— Mais Monsieur le Maire, ce garçon n’est pas l’enfant de chœur ! Regardez-moi comment il est habillé ! Il est presque nu avec ce short trop court et ce truc plein de trou ; c’est scandaleux de voir ça, mais comme je vois que vous êtes de son côté, je préfère me retirer. Je ne vous salue pas ; Monsieur le Maire !
— C’est cela allez donc au diable avec vos sornettes, lui réplique-t-il. Puis s’adressant à Simon, il demande : — Ne t’occupe pas des propos de cette vieille folle, dis-moi : tu as vu ce qu’il s’est passé, et sais-tu où est passé le curé ? À cette question, Simon est bien ennuyé, et réfléchit à ne pas trop en dire sur le sujet ; tout en restant suffisamment logique pour ne pas éveiller de soupçons. — Bah… J’étais en train de me changer avec le curé quand on a vu le ciel s’assombrir, puis il y a eu l’orage ; là je dois avouer que je n’étais pas fière à cause des éclairs et des bruits qu’il y avait dans l’église. J’ai juste regardé rapidement dans la nef, mais j’ai vite refermé la porte quand j’ai vu que tout tombait. Je crois que le curé est parti avec Laura, mais je ne sais pas où exactement.— Bon voilà qui me paraît assez logique.— Il faudrait aussi aller voir à l’intérieur pour l’étendue des dégâts pour faire faire un devis de remise en état, mais la porte est fermée à clé ; peut-être que l’enfant de chœur sait où est la clé ? demande le préfet.— L’enfant de chœur sait que la clé est sur la porte de l’autre côté et que pour y accéder il faut passer par la sacristie qui est de l’autre côté de l’église, ironise Simon. Simon précède les pompiers qui lui emboîtent le pas. La porte de la sacristie n’est pas fermée à clé, alors, les soldats du feu écartent tous ceux qui ont suivi et pénètrent avec prudence devant Simon. Ils ne remarquent rien d’anormal dans la sacristie, mais ils constatent les dégâts en pénétrant dans la nef. Une rapide inspection permet de constater qu’il n’y a visiblement pas de dangers apparents. Par contre la quasi-totalité des vitraux et des cadres sont brisés, la chaire s’est désolidarisée de la colonne où elle était fixée, plusieurs statues gisent brisées au sol. Près de la porte principale il ne reste que l’armature d’une table dont le plateau et tout ce qu’il y avait dessus  brûlé : à la question posée de savoir ce qu’elle contenait, Simon répond qu’il s’agissait principalement des carnets de chants et d’autres prospectus. En inspectant les murs portant une longe trace calcinée de haut en bas, les pompiers, experts en la matière, en déduisent que la foudre a suivi l’eau de pluie qui est entrée pas les rosaces supportant les vitraux ; la foudre fit le reste et enflamma la table. — Bien, que comptez-vous faire Monsieur le Maire ? questionne un des badauds.— Moi ? Rien, la commune n’est pas riche, alors il est hors de question que je dépense l’argent des administrés pour réparer ce tas de pierres. Bien, Simon tu n’as rien à craindre, n’est-ce pas Messieurs de la gendarmerie ?— Affirmatif ! Vous pouvez disposer ; jeune homme. Simon, un peu énervé par l’attitude de certains ne demande pas son reste et sort en laissant le soin au Maire de gérer la situation, et se rend directement au bar tabac. En pénétrant dans les lieux, la patronne qui a vu une partie de la scène l’interroge : — Dis-moi Simon, qu’est-ce que les cognes te voulaient ?— Rien, c’est juste à cause de la mère Duchmole qui m’accuse d’avoir mis le feu à l’église, mais je n’ai pas de soucis à me faire puisque les pompiers ont déterminé que tout est dû à l’orage ; donc tout va bien.— C’est parfait, et toi qu’en penses-tu ?— Pourquoi me demandez-vous cela ?— Parce que tu m’intrigues, je ne sais pas ce que tu as dans la tête, mais j’ai remarqué quelque chose d’étrange surtout dans tes yeux, et ton comportement a bien changé depuis le départ de ton père. Avant tu étais réservé, complexé et même timoré ; alors que maintenant tu t’es dévergondé au point de coucher avec tout le monde. Tu as fait cocu l’autre trouduc de bûcheron, sans compter Laura et puis maintenant Jérémy.— Mais non vous vous faites des idées…— Simon, arrête de me mentir, je le vois dans tes yeux… Mais qu’ont-ils tout à coup… Pourquoi deviennent-ils tout brillant on dirait du feu. Simon, je suis certaine que tu es possédé par le Diable, car je le vois dans tes yeux ; Simon réponds-moi, je t’en supplie.— Je ne peux rien vous dire…— Simon, tu es comme Laura, vous êtes deux Démon, pour accomplir des missions. Je suis certaine que ce qu’il s’est passé hier à l’église n’est pas le fait du hasard, un tel orage ne peut pas rester concentré sur un seul et aussi petit endroit. Simon, si tu me parles, je te promets que je n’en parlerai à personne ; aie confiance en moi, car si tu es réellement ce que je crois ; je t’offrirais mon corps et mon âme.— Mais qu’est-ce qui vous fait dire que je suis un démon ?— Je le sais et tu te comportes comme Laura qui sait aussi s’y faire pour attirer les gens dans ses griffes, vous étiez tous les deux avec le curé, et que l’orage d’hier est lié avec ce qu’il a fait.— Tu veux m’offrir ton corps, alors je veux que tu te déshabilles entièrement dans la réserve le temps que je ferme le bar provisoirement et j’arrive. Pendant que la patronne disparaît dans la réserve, Simon ferme le bar et installe une pancarte accrochée par une ficelle à une ventouse collée sur la vitre de la porte avec marqué dessus : « Fermé jusqu’à quinze heures » ce qui laisse plus d’une heure à Simon pour se taper sa patronne. En entrant dans la réserve, il découvre Georgette entièrement nue au beau milieu du local. La seule lampe accrochée au plafond diffuse une lumière blafarde à cause du chiffon que la tenancière a accroché à l’abat-jour circulaire en céramique blanche aux bords ondulés. Même s’il a déjà vu la poitrine de sa patronne grâce à ses décolletés plongeants, cette fois il est comme au paradis, il préfère et de loin la taille de Laura bien plus fine ; mais sa patronne à l’allure de déménageur ne le laisse pas indifférent. Bien qu’il n’ait aucune notion sur les tailles de soutifs il se doute bien que les énormes mamelles semblables à des ballons de rugby qu’elle lui plante sous le nez doivent mériter des sous-vêtements de très grande taille ; tout comme les culottes qui doivent avoir l’allure de véritables parachutes. En plus des bracelets, elle s’est affublée d’une sorte de soutien-gorge, sans bonnet fait de lanières de cuir noir, accordé à un string de même facture. L’ensemble lui parait ridicule pendant un court instant, mais au final Simon trouve cet ensemble assez sexy. De chaque côté de la femme, il aperçoit des cordes terminées par des mousquetons descendre du plafond. Sur le meuble qui habituellement sert à trier les revues, il découvre tout un tas de jouets pour adulte, dont un certain nombre de martinets et de fouets en tout genre ; la patronne s’est déjà passée des bracelets en cuir noir à ses poignets et aux chevilles. Ce genre d’accoutrement, Simon les connaît déjà pour les avoir vus dans les diverses revues qu’il feuillette régulièrement dans l’arrière-boutique ; il les regardait avec attention, les trouvait sexy porté par des top-modèles du porno à la morphologie parfaite. — Simon, jusqu’à présent tu as joué le parfait courtisan avec Laura, l’entremetteur avec la femme du bûcheron, l’apprenti pédé avec Jérémy et maintenant je veux que tu deviennes mon tortionnaire. Simon, j’aime ce qui fait mal, j’aime le fouet, le martinet, j’adore être insultée et traitée de tous les noms. Tu vas te mettre nu et me fouetter jusqu’à ce que je supplie d’arrêter, choisis, le ou les instruments qui te plaisent le mieux ; tout est sur la table. Commence par m’attacher les poignets aux cordes et frappe-moi. Il inspecte la table et découvre un fouet, un martinet des pinces, un bâillon boule et d’autres accessoires, son expérience littéraire lui permet d’au moins savoir à quoi servent tous ses objets ; mais il hésite, car pour lui et à cause de ses convictions personnelles : frapper une femme est tout simplement inconcevable. « Simon, vas-y puisqu’elle te le demande, souviens-toi du plaisir que tu prenais lorsque ton père te frappait ; n’hésite pas un seul instant, car cette femme aime ça. » Son guide qui vient de le pousser une fois de plus l’incite à frapper, alors il frappe jusqu’à ce que sa patronne le supplie d’arrêter. Il constate le résultat de son œuvre : elle est rouge du haut de dos jusqu’au bas des fesses. Après lui avoir libéré les mains, Simon ne sait plus quoi faire ; elle prend le relais. Après avoir hissé le garçon sur la table, elle lui offre un cunnilingus dont il se souviendra longtemps. Elle enfonce dans de longs mouvements de va-et-vient, en écartant les petites fesses de ses mains, sa langue puissante au plus profond du trou de balle du gamin qui ondule sous ce plaisir encore inconnu. Puis elle l’accompagne pour revenir au sol et dit : — À toi maintenant ! Peu enclin à bouffer le trou du cul de la bonne femme, il arme son dard et l’enfile d’un coup sec et jusqu’à la garde dans une moule bien baveuse. À force de coups de reins, il finit par envoyer la matrone au septième ciel sous des : « Ah ouiii… Vas-y encore, plus vite… Plus fort… Ah ouiii… Je jouieeee… » Et Simon de se répandre abondamment dans le vagin dégoulinant du jus de la femelle en chaleur.
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