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Simon, d’Ange à Démon.

Chapitre 26

Rêve ou réalité?

Inceste
  Persuadé que sa mère n’ira pas plus loin et qu’il ne lui fera pas l’amour, Simon s’endort doucement. C’est alors qu’une main vient se poser sur son torse, le ramenant à la réalité de la vie. Il laisse cette main baladeuse se promener sur son corps, laquelle lui procure de multiples sensations de douceur, le plongeant dans un bien-être profond. De caresses en chatouillement, puis de petits pincements que sa mère réalise sur une des parties les plus sensibles de son corps que sont, entre autres, la pointe de ses tétons, Simon sent alors son sexe se redresser rapidement. Huguette aime regarder, toucher et caresser son fils qu’elle chérit au-delà de tout ; elle est selon elle « une vraie Maman qui aime son enfant ». Mais là, elle sait qu’elle va dépasser les limites de la bienséance, c’est pourquoi elle a repoussé avec tendresse les mains de son fils, car elle veut assumer seule ce qu’elle est en train d’entreprendre. Alors elle se lance dans une exploration minutieuse des formes de son sportif de gamin ; lui se laisse faire en gardant les yeux fermés, de toute façon il n’y a rien à voir puisqu’elle a éteint la lumière. Elle apprécie d’être caressée et de le faire dans l’obscurité, ne pas voir est une délicieuse découverte encore plus sensuelle qu’il n’a pas encore expérimenté. Quant à Simon, il se concentre avec une certaine satisfaction sur ce qu’il reçoit.  Constatant  la belle érection de son fils, elle revient sur le torse et plus particulièrement les jeunes tétons qu’elle titille à nouveau, pince plus ou moins fort, car elle adore jouer avec cette partie du corps, que ce soit sur elle dans ses jeux solitaires ou sur les autres, ce qu’elle pratiquait par le passé entre filles ou avec des garçons. Sous ses doigts, elle sent déjà son Démon vibrer et constate avec une certaine satisfaction que l’érection naissante transforme la queue juvénile en un gourdin raide et dur comme du bois. En laissant glisser ses doigts vers le pubis toujours aussi lisse qu’à sa naissance, elle constate que le minet apprécie ses caresses par une jolie érection. Pour elle ce n’est pas une surprise, très experte de ses doigts elle va encore amplifier le désir qui commence à envahir tout le corps de Simon en enfonçant doucement son auriculaire dans l’orifice de la verge déjà bien tendue. Le léger mouvement de va-et-vient dans le méat augmente l’excitation d’une façon brutale ; il commence à respirer fortement et place sa main gauche sur la cuisse droite de sa mère. Il effleure la peau féminine, douce comme une peau de bébé, ces caresses ne font qu’attiser le feu de l’envie de sexe encore un peu plus. Alors que sa mère passe à la vitesse supérieure en embouchant le phallus de son diable de fils et lui offre une belle fellation, Simon joue avec ses tétons devenus aussi dur que de la pierre. Elle suce le braquemart et malaxe les couilles avec dextérité, mais surtout avec amour, car dans son esprit c’est de ça dont il s’agit. Elle veut lui offrir ce qu’elle a de plus beau, n’en déplaise aux donneurs de leçon, qui crieront au scandale quand ils apprendront la nouvelle ; même si, dans leur for intérieur, ils rêvent de réaliser ce fantasme inavouable en goûtant à la chair innocente de leur progéniture. Ce geste, qu’elle considère presque naturel, une simple preuve d’amour qu’elle veut offrir à son fils mais aussi un extrême plaisir pour elle, va sceller entre eux un lien de complicité et une force invincible pour affronter les épreuves à venir. Alors pour exciter encore un peu plus Simon, elle décide de faire une pause et allume sa lampe de chevet : — On se boit un petit coup ? Car tout ceci m’a donné soif, et je voudrais trinquer à ce qu’il va se passer, à nous et au plaisir charnel que nous allons vivre ? lui dit-elle sur le ton de la malice. Simon qui est maintenant persuadé qu’ils vont faire l’amour lui répond : — Maman tu es magique, personne ne m’a encore donné autant de plaisir, mais on avait dit que…— Je ne te demande pas ton avis sur ce qu’on avait dit, mais juste sur ce que tu ressens, lui dit-elle en lui tendant un petit verre de porto. Tout en sirotant son verre elle regarde le résultat de son travail. Satisfaite, elle ouvre le tiroir de la table de chevet datant des années trente, héritée de sa grand-mère et qu’elle chérit avec amour en l’enduisant régulièrement de cire. Elle plonge sa main dans les entrailles du meuble et en ressort un petit sachet bleu marqué « Durex » qu’elle déchire par le haut et en ressort un cercle en caoutchouc qu’elle déroule sur le membre de son fils qui vient de comprendre que les sensations seront bien diminuées à cause du latex qui limite la sensation de plaisir. Mais il se fait à cette idée, car il va pouvoir satisfaire ce fantasme ce soir même ; il est maintenant certain d’avoir gagné la partie et va pouvoir prendre les choses en main et emmener sa mère vers le plaisir incestueux tant désiré. — Tu vois mon chéri je te mets cela pour deux raisons : la première est que je ne veux pas que tu me fasses un enfant et la seconde est que je veux mettre entre nous une sorte de barrière qui me donnera peut-être l’impression de ne pas coucher vraiment avec toi, lui explique sa mère. Simon qui ne comprend pas vraiment où sa mère veut en venir, la laisse faire sans rien dire mais se doute qu’elle essaie de se dédouaner de ce qu’il va se passer ensuite. Une fois qu’elle a terminé d’habiller l’objet du délit, elle pousse son fils du bout des doigts pour qu’il reprenne sa position d’avant la pause « petite soif ».  Il  s’allonge dans la position qu’il avait avant, soit immobile et sur le dos avec les bras le long du corps. Ainsi Huguette a le champ libre pour agir à sa guise. Simon qui s’est laissé guider à chaque fois qu’il a fait l’amour avec une femme doit cette fois-ci ne rien faire et subir ce dont sa partenaire a tout simplement envie. Et cette fois sa mère, qui s’est toujours refusé au premier inconnu, pour qu’il puisse tirer sa crampe et la laisser sur le trottoir comme une vulgaire fille de joie,  passe à l’action ; mais sous protection. Après avoir chauffé à blanc le gamin par d’innombrables caresses et baisers sur tout le corps, elle l’attire sur elle et le guide pour que le phallus mi-latex mi nature vienne entrer doucement et avec diplomatie dans son antre. Sitôt en elle, elle rythme le mouvement en se cramponnant à la paire de fesses et en leur imprimant un mouvement de va-et-vient pour se faire astiquer le con jusqu’à ce que son orgasme soit aussi puissant que possible comme un ouragan dévastateur. Simon qui espère arriver aussi au plaisir suprême doit besogner fort, à cause de la médiocre qualité du doigt en latex épais qui ne retransmet quasiment aucune sensation. Suant comme un bœuf sous l’effort il met en action toute la fougue de son jeune âge pour arriver à satisfaire sa mère et lui avec. Au bout d’une interminable série de pistonnage, Huguette exprime enfin sa jouissance en enserrant Simon dans ses bras, en le couvrant de baisers et de caresses, et en le verrouillant contre elle en le bloquant avec ses cuisses. 
— Tu as été génial, mon Chéri ! Voilà bien longtemps que je n’avais joui aussi fort, même ton père ne m’a jamais rendu aussi heureuse, et je t’en remercie infiniment ; mais toi tu es resté sur ta faim à cause du préservatif, mais je tiens à ce que tu aies ton orgasme.. C’est pour cela que j’aimerais que tu m’offres ce spectacle de contorsionniste que tu sais si bien faire et je vais même y participer ; ne bouge pas je reviens. Ce que vient de lui demander sa mère va au-delà de ses espérances, il se prépare donc à lui offrir le spectacle de l’auto-fellation qui est pour lui maintenant bien rodée. En attendant qu’elle revienne, il retire le doigt de caoutchouc encore ruisselant de cyprine légèrement gluante et odorante, et ne peut s’empêcher de la humer, de passer son doigt dessus pour goûter le précieux liquide. Puis pour ne pas en perdre une seule goutte, il le met en bouche, le tète et le mastique comme un chewing-gum ; qu’il recrache rapidement en entendant les pas de sa mère dans l’escalier. — Ferme les yeux, j’arrive ! Comme il ne voulait pas se faire surprendre en train de mâchouiller la capote ni voir ce que sa mère rapporterait, il avait anticipé en tournant le dos à la porte. — Parfais, tu vas pouvoir me montrer ça et je vais y participer, dit-elle en s’installant en tailleur sur le lit pour le bonheur de Simon qui a une vue parfaite sur la vulve maternelle encore rosée de plaisir. À force d’entraînement, il présente à sa mère un véritable numéro de contorsionniste. Les gestes sont lents et fluides. Sa première chandelle réalisée tout en force est parfaitement droite ; avec ses mains en appui dans le creux de ses reins, il descend ses jambes jusqu’à son visage. Ses bras passent par-dessus ses mollets et sa bitte arrive juste au bord de ses lèvres ; sa mère se dresse sur ses genoux. Elle attrape la bouteille d’huile « Lesieur », puisque selon la Pub du journal : « Elle est trois fois meilleure ». Huguette en verse un filet dans la zone culière formant un petit entonnoir ; alors que le trou se remplit doucement, elle y introduit un doigt qu’elle fait tourner en observant le niveau diminuer ; un second doigt accentue le débit et le trou se vide. L’expérience lui plaît et l’idée de vider la totalité de la bouteille dans le trou de balle de son fils lui effleure l’esprit ; alors pour augmenter le débit, elle introduit délicatement un concombre qui entre sans grande difficulté. Pendant que Simon se délecte du jus que son membre lui offre, il sent son cul se faire envahir de plus en plus par la chose qu’il identifie comme être un gode dont il a le souvenir d’en avoir vu quelques exemplaires dans le sex-shop de Château. La sensation douce mais étrange que lui procure l’objet, commence à exciter de plus en plus son dard qui laisse échapper de plus en plus de liquide pré-éjaculatoire ; il salive de bonheur. Sa mère qui excite l’anus maintenant dilaté, pense au plaisir qu’elle aurait pu avoir avec son crétin de mari s’il n’avait pas été aussi borné. C’est avec une certaine satisfaction qu’elle astique l’anus juvénile tout en se doigtant le con, qui lui inonde les doigts. Abandonnant provisoirement le concombre qui, grâce à l’huile et à une savante poussée, est entré en totalité dans le boyau en laissant le sphincter se refermer sur lui ; Huguette peut alors changer d’endroit et commence à malaxer les couilles gonflées de son démon de fils. Pour le confort de son chérubin, elle s’assoit sur ses talons, et glisse ses cuisses sous le dos arrondi en laissant reposer ses seins sur les fesses rondes et graisseuses de celui qui va dans peu de temps déguster son propre jus. Elle prend un plaisir particulier à malaxer les couilles et à astiquer la bitte gonflée de sang que son fils a abandonnée, au profit des mains expertes de sa mère. Son corps tout entier vibre de bonheur, un plaisir indescriptible l’envahit jusqu’au moment suprême où un flot de sperme envahit sa bouche. Il subit alors les assauts de sa mère qui d’une main astique la bitte et de l’autre plonge ses doigts dans l’anus dilaté pour en extraire le légume qui n’en sortira qu’après de multiples mouvements de va-et-vient.  Satisfaite de son œuvre, elle libère le gamin qui se laisse se dérouler sur le lit pour savourer encore un instant le plaisir qu’il vient de recevoir. C’est à sa grande surprise qu’il voit sa mère lui déposer sur le ventre le légume déjà épluché et enduit du corps gras en lui disant : — Tiens, voici ton entrée pour ton repas de demain midi, dit-elle en riant. Simon encore retourné par ce qu’il vient de se passer ne dit rien, mais offre un large sourire de satisfaction à sa mère qui ajoute : — Je pense que tu vas pouvoir aller te vider le cul et prendre une bonne douche, car il me semble que tu sois un peu gras. Pendant qu’il se lave, elle réfléchit à ce qu’il vient de se passer et surtout à l’affront qu’elle vient de faire à son mari et décide qu’elle lui racontera elle-même dans une lettre anonyme et d’en assumer les conséquences ; persuadée que cette fois, il va accepter de divorcer. Plongée dans ses pensées, elle entend à peine son fils, propre et parfumé, entrer dans le lit et se blottir contre elle et prendre l’initiative de caresser les seins, le ventre et même le sexe maternel. Quand elle réagit, elle croise le visage radieux d’un jeune homme rempli de bonheur et qui, sans aucune hésitation, vient lui offrir ses lèvres pour un baiser sans fin. Mais le sommeil est difficile voire impossible à trouver, étant côte à côte dans le lit. Simon qui en redemande se risque à quelques caresses en revenant sur la poitrine maternelle qu’il admire avec gourmandise. Elle se laisse faire sans rien dire, maintenant que le mal est fait, se dit-elle ; autant laisser son garçon s’amuser un peu, car elle a pris un plaisir immense et un sublime orgasme et voudrait aussi savoir de quoi son fils est capable de faire avec une fille entre les mains. Voyant que sa mère ne régit pas à son offensive, Simon en profite pour la couvrir de caresses et de baiser mais aussi de lui enfoncer sa bitte dans le vagin en l’astiquant avec sa vigueur diabolique. À près s’être bien purgé sur le ventre de sa mère, Simon s’endort comme une masse. [À suivre]
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