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Simon et les salopes

Chapitre 1

Le videur viril

Trash
Simon est « videur » dans une petite boîte de nuit provinciale. C’est une brute assez sadique et il aime maltraiter les dames qui lui accordent leurs faveurs. Un jour, arrive une touriste perverse qui lui promet beaucoup d’argent s’il accepte de lui obéir… Cette femme a été autrefois victime d’un viol qui l’a traumatisée. Depuis, elle cherche à exercer sa vengeance sur les machos… Et elle ne manque pas d’invention ! J’oubliais : cette dame a une sœur… et Simon, lui, a une petite amie très docile…
Un par un, les derniers clients s’en allaient. Simon, le portier-videur du Biffin’s club, avait décidé de s’accorder une courte pause. Accoudé au comptoir du bar, il contemplait d’un œil vague les reflets sur son verre.
Il réfléchissait depuis le début de la soirée à ses problèmes d’argent et il n’avait trouvé qu’une seule solution : séduire une touriste riche et esseulée avant de la pressurer comme un citron. Odette ne serait pas contente mais elle était embarquée dans la même galère que lui.
Machinalement, il tourna la tête. Son regard accrocha alors celui d’une petite blonde, appuyée elle aussi sur le comptoir, à quelques pas de lui. Une cigarette non allumée entre les doigts, elle le fixait d’un air pensif. Ses seins débordaient d’un décolleté généreux et sa robe s’arrêtait à mi-cuisses.
— Vous avez du feu ? demanda-t-elle d’une voix douce, sensuelle, en s’avançant vers lui.
Il s’empressa de fouiller dans ses poches pour sortir son briquet. La blonde tira deux ou trois bouffées pour bien allumer sa cigarette.
— Merci, dit-elle.
— À votre service, madame, répondit Simon.
Il eut l’impression qu’elle l’évaluait à la manière d’un maquignon mais il ne fut pas surpris. Son physique d’athlète, près de deux mètres de haut pour quatre-vingt-dix kilos, et son beau visage brutal à la forte mâchoire ne laissaient pas les femmes indifférentes.
Sa voisine ne devait pas avoir plus de trente ans. Sa robe blanche dévoilait des cuisses minces et fermes. Plusieurs bagues de prix ornaient ses doigts, et une broche en or, sertie d’un diamant, était accrochée au revers de son vêtement. Simon se demanda s’il ne venait pas de trouver la proie idéale : jeune, jolie, riche, et seule.
La jeune femme se tourna vers le barman et commanda un gin-tonic. Son bras droit pendait mollement le long de son corps. Quand elle pivota, le dos de sa main effleura la braguette de Simon. La gorge de celui-ci se serra. L’invite était par trop évidente.
— Vous êtes seule ? demanda-t-il.
La femme lâcha un soupir.

— Mon ami devait m’accompagner mais on s’est disputés et il m’a plaquée.
— L’imbécile, cracha Simon.
— Tout à fait. Et en plus, je suis à pied. Mon hôtel n’est pas loin mais j’ai horreur de me promener seule dans les rues la nuit.
— On ne va pas tarder à fermer, fit remarquer Simon. Si vous pouvez attendre un peu, je vous raccompagnerai.
— Ça, c’est gentil, merci.
Se rappelant qu’il ne devait pas trop s’attarder au bar, il vida son verre. La blonde but quelques gorgées de son gin-tonic pour l’accompagner.
— Je m’appelle Claire, précisa-t-elle.
— Et moi Simon, répondit-il.
Une demi-heure plus tard, ils quittaient le club. Accrochée au bras de son compagnon, Claire frottait sa cuisse contre la sienne. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle se montre aussi directe et il fut un peu surpris.
— Quel est le nom de votre hôtel ? demanda Simon.
— Le Grand Hôtel du Bourg.
Il hocha la tête. Ce n’était pas très loin mais la jeune femme ne semblait pas pressée et elle l’obligea à ralentir le pas.
Claire se serra plus fort contre lui et il eut l’impression que la chaleur de sa cuisse traversait son pantalon. Il se mit à bander.
Ils traversèrent un parking qu’éclairaient d’une lumière jaune rougeâtre les lampes au sodium des réverbères. Claire semblait excitée, soudain, et marchait plus vite.
— Dommage qu’il n’y ait pas de marchand de glaces par ici, murmura-t-elle. J’adore ça ! Un soir, j’avais seize ans… je revenais de chez une amie. Un vieux monsieur très distingué m’en a offert une. Ensuite, nous sommes allés dans un parc désert et il m’a dépucelée.
Sa main glissa le long du bras de Simon. Elle lui enlaça la taille sous la veste, puis lui palpa les fesses.
— Il y a un parc pas loin d’ici ?
Il hésita. La rapidité avec laquelle elle s’offrait à lui le déconcertait un peu. Une soudaine bouffée d’orgueil lui fit bomber le torse.
— Venez, dit-il, je connais un endroit pas très loin.
Après quelques détours dans des ruelles mal éclairées, il la poussa sous un porche surmonté d’une large imposte. Au-delà du seuil, s’allongeait un passage obscur. Dans la rue, au-dessus de la porte, un réverbère dispensait une clarté chiche. De part et d’autre de la galerie, se dressaient des éventaires métalliques vides devant des rideaux de fer baissés. Des relents de légumes pourris et de poisson flottaient dans l’atmosphère.
Simon obligea la jeune femme à avancer encore de quelques pas. Elle frissonna et pivota pour lui faire face. Dans la pénombre, seul l’éclat dur des yeux de Simon se distinguait dans son visage. La peur contracta le ventre de Claire mais elle mouilla plus fort. Ricanant avec suffisance, il tendit la main et la glissa dans le décolleté de la robe. Empaumant un sein, il se mit à le pétrir sans douceur. Il faisait très frais dans la galerie. Une humidité glaciale transperçait sa robe légère, enveloppait son corps moite de sueur. Les caresses brutales de l’homme sur ses seins la firent chanceler.
La troussant jusqu’à la taille, Simon la força à s’asseoir sur un des éventaires. Elle frissonna au contact du métal glacé. La main épaisse et rude de Simon l’obligea à écarter ses genoux. Du pouce, il lui massa les grandes lèvres, faisant entrer l’étoffe de la culotte dans la fente ouverte. Elle se mit à gémir alors qu’il défaisait les boutons de sa braguette avec sa main libre.
Il lui prit le poignet et guida ses doigts vers la bosse énorme du sexe, sous le slip.
— Comment tu la trouves ? Tu n’en as sûrement pas touché beaucoup de ce calibre.
Fascinée, elle palpa la bite et les couilles sous le tissu. Toute cette chair chaude, gorgée de sang, frémissait sous ses doigts.
Haletant, il déboucla sa ceinture. Son pantalon et son slip glissèrent le long de ses cuisses. Il contraignit Claire à refermer ses doigts autour de la hampe. Elle voyait à peine la queue dans l’obscurité mais sous ses doigts, le membre paraissait monstrueux. Une odeur de sueur aigre montait de l’entrejambe de l’homme.
Elle se cambra tout à coup. Simon la caressait de nouveau à travers sa culotte trempée. Elle glissa le long de la hampe, jusqu’à la racine et les poils de la toison lui chatouillèrent le dos de la main. Prenant les couilles à pleine paume, elle les soupesa.
— Mais qu’est-ce que tu attends pour me branler ? gronda Simon d’une voix rauque. Tu es idiote ou quoi ?
Elle fit monter et descendre sa main le long du membre. Par moment, elle pinçait et tordait le gland. Le ventre de l’homme tressautait. La tige de chair vibrait comme une corde trop tendue. Soudain, la jeune femme poussa un petit cri. Les doigts de l’homme s’étaient glissés sous sa culotte et s’accrochaient avec force à sa vulve.
D’un brusque coup de reins en arrière, Simon arracha sa queue de la main de Claire. Il obligea celle-ci à se mettre debout puis à lui tourner le dos avant de se plier en deux. Les seins écrasés sur le métal humide et froid de l’éventaire, elle se crispa. Une odeur forte, acide, salée, de crustacés et de coquillages, montait du support mal lavé.
Elle frissonna encore. Simon lui avait retroussé la robe sur le dos. L’air glacial lui mordait les reins et les cuisses couvertes de mouille. L’homme lui baissa la culotte et, de ses gros doigts, lui fouilla la raie sans douceur. Soudain, elle sentit glisser le gland chaud sur la peau tendre de ses cuisses. La pointe de la queue effleura les petites lèvres et s’enfonça dans l’orifice d’où débordait un jus épais.
Simon prit son temps, pénétra la jeune femme centimètre par centimètre. En gémissant, elle arqua les reins, le supplia d’aller plus vite, plus fort. La queue épaisse dilatait ses muqueuses gluantes et les muscles de son con se refermaient par spasmes sur le membre, redoublant le plaisir de l’homme. Quand le gland buta tout au fond, il donna un petit coup de reins supplémentaire et elle cria, avec l’impression d’être écartelée.
— Alors, elle est grosse ? haleta-t-il.
— Oh oui… oui, bredouilla Claire.
— Dis que tu n’en as jamais reçu une aussi grosse.
— Non… non, jamais, cria-t-elle, éperdue.
Il se mit à la limer en accélérant peu à peu son mouvement. Claire sentit le plaisir grandir au fond de son ventre. Elle se crispa dans un mouvement convulsif, les lèvres serrées pour maîtriser le hurlement qui menaçait de s’échapper de sa bouche, le corps baignant tout à coup dans une sueur glacée.
— Oh… non… non, murmura-t-elle sourdement alors que ses reins se creusaient dans l’attente de l’orgasme.
Soudain, elle ne put retenir un léger cri. Simon s’était immobilisé, sa queue engloutie au plus profond du vagin.
— Tu aimes ? haleta-t-il.
— Oh… oui, je t’en prie, continue.
— On recommencera souvent… et tu seras gentille avec moi ?
— Oui… oui…
Il reprit son va-et-vient, faisant ployer le corps de Claire à chacun de ses coups de boutoir. Alors qu’il sentait le sperme monter le long de la hampe, les muscles du vagin se refermèrent comme un étau sur sa queue.
— Tiens, pouffiasse, hurla-t-il alors que ses couilles se vidaient par saccades. Prends ça !
À suivre ...
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