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Simone, Albert et Jennifer au camping des flots bleus

Chapitre 1

1ère partie

Inceste
Simone, Albert et leur petite fille, de dix neuf ans, Jennifer viennent d’arriver pour un séjour de deux semaines, sur les bords de la grande bleue au « Camping des Flots Bleus ». Après avoir pris possession de leur chalet, Simone repart en voiture, pour faire quelques courses, à la supérette du village voisin. Pendant ce temps, Albert commence à mettre de l’ordre dans leurs affaires et Jennifer file vite prendre une douche.
 Un petit quart d’heure plus tard, alors que papy Albert est assis sur le bord du canapé lit, entrain de consulter son téléphone portable, Jennifer rapplique totalement nue dans la pièce et s’arrête devant sa valise qui se trouve au sol, pour y chercher, je ne sais quoi à l’intérieur.
 Sans plus prendre attention à son grand père, elle se penche vers l’avant, jambes écartées, ouvre la fermeture éclair et commence à farfouiller à l’intérieur. Et là, Albert relève la tête. Pour lui, c’est une surprise qui ne porte pas de nom. Avec un froncement de sourcils, les yeux ronds et sans pouvoir dire mot, il se retrouve face au sublime cliché que lui offre sa petite fille.
 Trois secondes plus tard.  - Dis moi, c’est mignon, ce que tu me fais voir là... !
 Jennifer sursaute et tourne légèrement la tête, puis regarde son grand père mais, ne change pas de position pour autant.  - Tu sais que tu as une magnifique paire de fesses et une bien jolie fente. - Oh papy... ! excuse moi. Je suis désolée. Je suis juste venue chercher une serviette. Il se met à rire et : - C’est pas grave...! je t’excuse. Mais dis moi ma chérie, je pourrai y voir d’un peu plus près stp ? - Papy... ! - Juste un petit peu ? - Ben... ! - On dira rien à mamy. - Alors, tu regardes juste un peu ! - Ok ma chérie. Ne bouge pas, reste comme ça, je viens.
 Alors, papy Albert pose son portable sur le canapé, se lève et fait les quelques pas qui le séparait de sa petite fille. Mais, son intention, à lui, n’est pas juste de jeter un coup d’œil. Ce vilain a bien une autre arrière-pensée qu’il ne va pas tarder à mettre à exécution.  Aussitôt auprès d’elle, il lui plaque ses mains sur les fesses et commence à la caresser.
 Et là.  - Papy... ?
 Mais ce vieux cochon ne répond pas. Il lui fait glisser les doigts entre les fesses à la rencontre de son bijou d’amour aux lèvres chaudes et humides, qu’il se met à doigter avec attention. Quand à son autre main, elle, vient très rapidement, faire le tour pour venir pétrir ses jolis petits seins.
 Sans protester vraiment, Jennifer laisse les mains baladeuses de son grand père vadrouiller sur son corps du jeune coquine.
 Quelques instants plus tard.  - Alors, ma petite chérie, elles sont bonnes les caresses de papy Albert ? - Ben oui... ! Là tu sais, t’es plus le gentil papy que j’ai connu, quand j’étais petite fille... ! - Et oui ma chérie. (rires) Mais toi, tu n’es plus la petite fille qui venait me sauter sur les genoux ! - Pourquoi ? - Parce que maintenant tu as un corps de femme. T’as de jolis petits seins, une belle paire de fesses, de belles cuisses, une petite chatte toute mouillée et... ! - Mais papy, si mamy arrive ? - T’inquiète pas, elle en a, au moins, pour deux heures. Ça risque rien ma chérie... ! Tu n’as pas envie que je continue encore un peu ? Elle le regarde en souriant et : - Ben si... ! Tu sais, tes caresses sont douces. J’aime bien.
 Alors, il l’invite à venir s’asseoir sur le canapé. Et là, ce coquin d’Albert repart à la découverte de son corps de jeune femme. Il lui pelote copieusement, tour à tour, ses deux jolis petits lolos et flatte, en particulier ses tétons qui ne tardent pas à se durcir et à s’ériger en doublant de volume. Après les avoir bien peloter, sa main droite descend petit à petit vers sa vulve, en caressant, minutieusement, au passage son petit ventre plat.
 Arrivé à destination, après quelques douces caresses, supplémentaires, adressées à celle-ci, il vient se mettre à genoux devant elle, lui replie ses jambes vers elle, se penche et colle sa bouche sur sa petite moule pour, lui léchouiller généreusement.   Quelques instants plus tard, Jennifer commence à gigoter sur le canapé. Son rythme cardiaque et sa respiration s’accélèrent, puis elle se met à soupirer fortement. Donc, ce vieux coquin d’Albert est entrain de la faire jouir tout simplement.
 Lorsqu’il s’aperçoit de l’état de sa petite fille, il relève la tête et lui dit comme ça.  - Ça va ma chérie ?
 Un peu étourdie c’est en bafouillant qu’elle lui répond.  - Oui... papy... ! - Ça te plaît ? - Oui... papy, c’est... bon. Mais..., tu... sais, c’est... la... première... fois... ! - Que tu jouis, ma chérie ! - Oui papy... !Tu sais, ça fait tout drôle ! Ça m’est jamais arrivé ! - C’est pas grave, ma chérie. Tu vois, il faut toujours une première fois pour savoir... ! - Et, c’est toujours comme ça ? - Oui mon cœur... ! Mais si tu veux, je peux t’apprendre plein d’autres choses aussi ! - Comme quoi papy ? - Tu veux savoir ? Alors, je vais te montrer quelque chose.
 Alors, il se relève, dégrafe son pantalon, le fait glisser à ses pieds et lui dit.  - Ma chérie, glisse ta main dans mon caleçon.
 Un peu hésitante, elle regarde son grand père et, en particulier, la bosse qu’il a sur le devant de son caleçon.
 Alors, c’est lui qui lui prend la main et la plonge à l’intérieur. El là.  - Oh papy ! - Qu’est ce qu’il y a ma chérie ? - Mais, il est très gros ton sexe... ! Pourquoi, il est gros comme ça ? - Tu vois ma chérie, lorsqu’un homme caresse une petite chatte, comme je viens de le faire, et bien, son pénis grossit comme ça ! - Et après, ça fait quoi papy ? - Et bien ma chérie..., après ils font l’amour. - Mais papy... ! Comment on fait l’amour ? - Tu veux savoir ? - Oui papy... ! Tu peux m’expliquer ? - Oui... ou si tu veux, on peux le faire ! - Là maintenant ? - Bien sûr ma poupée. On peut le faire maintenant ! - Et mamy ? - T’inquiète pas. Elle n’est pas prête à arriver. Ça fait guère pus d’un quart d’heure qu’elle est partie. T’es d’accord Jennifer ? - Heu oui papy ! Mais je sais pas comment on fait. Tu me montres ? - Oui ma puce. Tout d’abord, tu vas commencer par me masturber pour que mon sexe soit bien dur. - Pourquoi, Il n’est pas assez dur là ? - Non ma puce. Si tu me masturbe bien, il va grossir encore... ! Tu veux bien me masturber ? - Comment je fais papy ?
 Alors Albert, ôte son caleçon, reprend sa petite main dans la sienne, entoure son sexe et lui fait faire des va et vient le long de son énorme calibre.
 Quelques instants plus tard.  - Alors ma chérie, ça te plaît ? - Oui papy, c’est bien... ! - Tu vois. Là comme ça, tu m’as bien fait bander ! On continu ? - Si tu veux papy... ! Mais je fais quoi maintenant ? - Tu continus à me masturber. Et si tu veux, tu peux aussi le sucer. T’es d’accord ? - Je fais comment ? - Mets toi à genoux. Puis, tu viens prendre mon sexe dans ta bouche et tu fais des va et vient, comme tout à l’heure, avec ta main, mais en aspirant et en serrant tes lèvres. Puis, avec ta langue tu lèches le bout.
 Après cette explication sommaire, Jennifer s’exécute, certes un peu maladroitement au départ. Mais, ça s’améliore très très vite. Moins de deux minutes plus tard, c’est papy qui est ravi. Sa petite puce lui fait une bien bonne fellation. Elle le suce, lui lèche le gland et même, le masturbe en même temps.
 Ce petit manège, ils le font tourner, encore, pendant près de cinq bonnes minutes. Puis les choses vont très vite évoluer. Papy Albert commence a ressentir les fourmillements qui précèdent l’éjaculation. Mais celui-ci fait comme si de rien était et, quelques secondes plus tard, il lui crache une bonne dose de son sirop d’homme dans la bouche.
 Et là, Jennifer retire le pénis, de son grand père, de sa bouche et crache son sperme.   Puis.  - Bah... c’est pas bon papy ! - Mais si ma chérie... ! Ta grand mère adore ça. - Ça a un drôle de goût ! J’aime pas papy. - Sinon, ça te plaît ? - Oui papy. Alors, c’est comme ça quand on fait l’amour ? - Non ma chérie. Ça, c’est que la première partie ! - Et, la seconde, c’est comment ? - Si tu veux, on le fera la prochaine fois. Car ta grand mère risque d’arriver d’un moment à l’autre, maintenant. - Oui papy mais, j’espère que c’est bientôt. - T’inquiète pas ma chérie. Je vais trouver une solution pour l’envoyer faire une course en ville. - Merci mon papy chéri. Je t’aime... !
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