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Simone, Albert et Jennifer au camping des flots bleus

Chapitre 3

près une belle journée à la plage

Inceste
Au matin du lundi, après une nuit plutôt calme, Albert et Jennifer se lèvent et décident d’aller passer la journée à la plage. Lorsqu’ils rentrent vers dix neuf heures au chalet, après une bonne douche, ils se retrouvent sur le canapé pour un petit câlin en attendant l’heure d’aller manger au resto du camping.
 C’est vers vingt deux heures, que les deux acolytes rentrent un poil éméchés au chalet. Et, à peine à l’intérieur.  - Papy, papy, je crois que j’ai trop bu de vin. Je suis saoule. - C’est pas grave ma chérie... ! - Mais, tu me feras l’amour, quand même ? - Oui mon petit cœur.
 Alors, ils regagnent la chambre et le grand lit de papy Albert. Aussitôt, Jennifer se jette sur le lit et papy Albert vient aussitôt l’effeuiller comme une marguerite. Mais, ça sera bien plus vite fait. Car, après son mini short, son débardeur et sa petite culotte, il ne reste plus rien à enlever. Voilà, cette belle fleur lisse comme un vers de terre.
 A ce moment là, papy Albert se penche sur elle, commence par lui donner un petit baiser. Puis il lui caresse et lui suçote, tour à tour, les tétons de ses deux monts blancs, ce qui la fait immédiatement réagir.  - Papy..., ça me fait encore l’électricité comme hier... ! - C’est normal mon cœur... ! Tu aimes ma chérie ? - Ha oui papy..., c’est vachement bon !
 Puis, ce coquin d’Albert vient lui caresser son ventre, ses cuisses et revient très lentement vers sa petite chatte. Puis, sa bouche vient, encore, se coller entre les lèvres de sa vulve pour lui dévorer son bouton d’amour puis, lui faire pénétrer sa langue le plus profondément possible à l’intérieur de son vagin. Ce qui, une poignée de secondes plus tard, la fait gigoter et pousser un énorme gémissement. Mais aussi, donne une belle et bonne envie à papy de poursuivre l’aventure jusqu’à son terme, cette fois encore.
 Alors, il se relève, se défait de son short de bain et de son tee-shirt et exhibe fièrement son érection à sa petite fille, qui là en riant.  - Mon papy... ! Viens vite que je m’occupe de ton gros zizi. - Ma chérie. C’est les petits garçons qui ont un zizi. Les adultes ont un pénis ou un sexe. - C’était juste pour rire... !
 Alors, Jennifer se redresse et vient se mettre à genoux devant son grand père, prends dans sa main ce gros machin, qu’elle a peine à tenir, l’enfourne dans sa bouche et, tout en continuant de le masturber le suce goulûment.
 Passé cinq bonnes minutes à lui masturber et lui sucer la queue, Albert lui demande de s’interrompre. Car il est temps de passer à la suite avant, qu’elle le fasse éjaculer.
 Alors.  - Jennifer, viens te mettre à quatre pattes sur le bord du lit. - Oui papy. Tu vas me faire la chevrette, comme hier ? - (rires) Non ma chérie... ! La levrette. - Excuse moi papy ! (rires)
 elle s’installe bien, comme elle l’a fait hier. Papy Albert vient derrière elle, la queue en main, et après deux à trois petits va et vient entre les fesses, lui plante, bien au fond, entre ses parois vaginales. Aussitôt, il met son marteau niqueur en route et, sa petite fille, après quelques va et vient, se met à fredonner les même mots de la chansonnette de la jouissance, tout comme hier. Au fur et à mesure que la queue de papy Albert accélère, Jennifer chante de plus en plus fort. Qu’est ce que cette petite coquine jouit bien. Elle jouit comme une petite cochonne.
 Après quelques minutes passées à lui bourrer sa moule avec beaucoup d’application mais aussi, à observer ses fesses et, surtout son petit orifice à la rondelle superbement étoilée, il lui lance comme ça.  - Dis moi ma poulette... ! Tu sais que t’as un bien joli trou du cul !
 Mais Jennifer est bien trop dans l’action. De plus, elle fait semblent de ne pas avoir entendu ce que son grand père vient de lui dire. Et comme elle ne réagit pas tout de suite, ce bon vieux cochon réitère son observation.  - Dis moi ma poulette... ! Tu sais que t’as un bien joli trou du cul. Il me fait très envie !
 Là, elle relève la tête, se tourne un peu vers lui et, en le regardant d’un air plutôt surpris lui rétorque.  - Qu’est ce que tu me dis là, papy ?
 Et, tout en continuant de lui farcir la chatte, il lui répond comme ça.  - Oui ma chérie. Je te disais que tu as un joli trou du cul ! Le même que ta grand mère, mais en bien meilleur état. - Pourquoi ça ? - Parce que celui de ta grand mère, il a beaucoup servi ! - Excuse moi papy... ! Je comprends pas bien. - Je t’explique ! Avec mamy, quand nous faisons l’amour. Très souvent, nous terminons par une sodomie. Et, je peux te dire qu’elle aime ça, la Simone. - Qu’est ce que c’est une sodomie. - C’est quand on pénètre l’anus avec le pénis. Tu saisis ? - Et là comme ça, tu veux me dire, que tu voudrais bien me faire comme tu fais avec mamy... ? - Voilà ma puce, t’as bien compris.
 Là, Albert stoppe le martellement de la chatte de sa petite fille, retire sa queue et vient prendre un flacon de lubrifiant anal, qui se trouvait sur la table de nuit et revient vers elle qui, n’a pas eu le temps de bouger. Il ôte le capuchon, qu’il jette sur le lit, le dirige vers la raie du cul de sa petite fille, presse le bouton, d’où sort une bonne quantité de gel qu’il étale tout autour de son anus avec ses doigts, et là.  - Tu fais quoi papy ? - Tu vas voir ma chérie. Je te mets du gel et après ton trou du cul va devenir très souple. - Et... ! - Après, je te dépucelle ton trou du cul. (rires) Comme ça, j’aurai, un peu, l’impression d’enculer ta grand mère à ton âge. - Oh papy... ! - Ben quoi ? Elle avait à peu près ton âge la première fois. (rires) - Et ben... ! J’aurai jamais pensé ça de mamy. - Ma chérie, ta grand mère aime le sexe encore plus que moi. Il me faut lui en donner encore au moins trois fois par semaine. - Et papy... Si je commence aujourd’hui, je vais devenir comme mamy ? - Je sais pas ma chérie. Mais à te voir, déjà, comme tu aimes baiser, je crois que tu vas aimer te faire enculer. On essaye... ? - De toute façon, je crois que tu as bien commencé. Alors, vas y maintenant !
 Alors, ce vieux cochon d’Albert, même s’il ne c’est pas vraiment arrêté de lui trifouiller le trou du cul, du temps qu’ils discutaient, reprend de plus belle la préparation de cet oignon encore bien serré.
 Quelques instants plus tard, à force de lui astiquer la rondelle, son majeur s’y introduit et Jennifer de réagir.  - Oh papy ! - Oui, qu’est ce qu’il y a ma puce ? - Heummmm ! C’est pas mauvais çà ! - Tu vois ma puce. Je te l’ai dit tout à l’heure. Tu vas aimer ! Si tu veux, je peux en mettre un second ! - Et, pourquoi pas trois ? - Deux, ça suffira... !
 Continuons le travail, se dit Albert. Il faut que cette petite cochonne me laisse l’enculer. Alors, massage après massage et introduction après introduction, la rondelle étoilée de la belle s’assouplit et s’élargit de plus en plus, jusqu’à satisfaire ce bon vieux cochon d’Albert. Alors.  - Dis moi t’es prête ma chérie ? Parce que ton trou du cul, lui, il est prêt... ! - Si tu veux papy !
 Alors, papy Albert enduit sa queue de gel et la présente à la rondelle étoilée qui attend patiemment de se faire dépuceler. Petites poussées après petites poussées, le gland, plutôt volumineux, d’Albert commence à s’introduire entre ses parois anales. Car le monsieur est plutôt très bien monté et.  - Oh papy ? - Qu’est ce qu’il y a mon cœur ? - Il est énorme ton pénis... ! Putain, je le sens bien là. - T’as mal ? - Non papy. Mais, je le sens bien quand même ! - Et, est ce que ça te plaît ? - Ah oui... ! C’est bon papy. - Alors, j’y vais maintenant... ! - Si tu veux papy... ! Vas y, encule moi bien.
 Avec son accord, Albert saisit sa petite fille par les hanches et pousse, pousse jusqu’à ce que son pénis ait investi entièrement l’anus de cette dernière. Puis, le piston de la machine à plaisir commence à aller et venir lentement, comme une locomotive qui se met en route. Mais quelques secondes après, le piston s’accélère et commence à bien exciter la belle Jennifer. Le frottement entre l’énorme sexe de papy Albert et l’anus encore serré, fraîchement dépucelé, de sa petite fille, bien qu’il soit parfaitement lubrifié, leur donne des sensations, tant à l’un qu’à l’autre, assez colossaux Papy Albert grogne et souffle comme un taureau tout en flattant sa petite fille.  - Qu’est ce qu’il est bon ton trou du cul ma chérie... ! Tu me régales... !
 Et Jennifer, qui tout en gémissant de plaisir, lui répond.  - Oh oui papy... ! Vas y encule moi encore... ! Elle est bonne ta queue !
 Ces deux là, sont bien fait pour s’assembler. C’est d’ailleurs ce qu’ils font depuis un bon moment.
 Dans cette position de levrette, papy Albert, s’active à lui bourrer le cul avec beaucoup d’application, et Jennifer, elle, jouit comme une véritable petite salope qu’elle est entrain de devenir. Après un bon quart d’heure d’aller retour, l’animal commence à montrer quelques signes de fatigue, et dans un dernier aller sans retour, il lui décharge tout le sperme que ses testicules contenaient, au fond de son trou du cul dans lequel, il reste bien quelques secondes immobile, bien calé au fond et cramponné à ses hanches.
 Afin de la combler encore un peu plus, après ce petit stop, il reprend ses va et vient jusqu’à ce que sa queue commence à se ramollir puis, il retire lentement son phallus à demi bandé, de celui-ci qui, reste béant pendant plusieurs secondes encore et, duquel s’écoule le sperme de son grand père.
 Et là, voyant la queue de son grand père qui commence à pointer vers le bas, elle lui dit en riant.  - Qu’est ce qu’il t’arrive papy ? - Ma chérie..., je suis vidé ! - Tu veux dire plutôt. « Je me suis vidé »... ! Parce qu’avec ce que tu m’as largué... ? - Les deux ma puce... ! - Tu m’as rempli le trou du cul. J’ai du sperme qui me coule partout. - Mais, c’était bon ? Tu t’es réglée... ! - Ha oui. J’aurai pensé que tu allais me déchirer avec ton gros machin... ! - Et ton papy, t’a fait ça en douceur... ! Comme pour ton dépucelage, l’autre jour ! - Ça a été encore mieux. Là, j’ai presque pas senti quand, tu m’as pénétré mon trou. - Alors, c’est bon. Tu es prête à recommencer ? - Oui papy. Tu m’enculeras encore avant que mamy revienne ? - Oui mon cœur. Demain, si elle n’est pas rentrée ! - D’accord papy... ! Je me languis d’être à demain. Bon en attendant, j’ai du sperme partout sur les cuisses. Je vais à la douche. - Aller, je viens avec toi. Comme ça, je te ferais la toilette. - Merci papy... ! Comme tu es gentil... ! Je t’aime beaucoup... !
 Après une douche bien méritée, les deux complices reviennent à la chambre, prennent au passage une petite bière dans le frigo qu’ils sirotent avant de se coucher, ensemble bien sûr.
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