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Un simple rencontre au bar

Chapitre 2

Erotique
Je suis toujours en elle. Je sens les derniers spasmes de son vagin autour de mon membre qui se décide à ramollir après mon éjaculation. Je me retire lentement, tandis qu’elle m’embrasse en caressant mon cou et mes épaules. Une fois dehors, je me recule, et la regarde écarter les jambes en grand avant de passer ses doigts lentement sur sa peau, contournant ses seins jusqu’à son ventre, puis son pubis, et enfin de glisser le long de sa fente, rentrant légèrement à l’intérieur. Je la vois remonter et lécher ses doigts avec application, la scène est érotique à l’extrême.
Je lui demande si je peux lui emprunter sa douche, n’étant pas particulièrement adepte de me coucher nu après l’acte ni de remettre un caleçon après. Elle me l’indique, et lorsque j’y entre, elle me suit. La lumière allumée, elle est toujours nue et je peux enfin la détailler exactement. Elle est plutôt svelte, son ventre est plat, mais pas avec les abdominaux apparents, ce qui me plaît beaucoup plus qu’une overdose de muscle. Son fessier est ferme, rond, bien dessiné, sûrement une adepte de la course, ses seins sont de taille respectable, ni trop gros ni trop petits, en forme de poire, ils tiennent haut, et semblent appeler à jouer avec. Elle a un tatouage sur l’avant-bras droit, et un autre sous les seins, qui en suit le galbe.
Je m’attends à ce qu’elle me suive, mais tandis que je rentre dans la douche, elle s’assoit face à moi, sur le lavabo, et commence à se caresser en me regardant. Ses mains empaument ses seins, jouent avec les pointes, les tirent, les font rouler, elle gémit en faisant cela. L’une de ses mains descend vers sa chatte. Elle glisse ses doigts dessus, tourne autour, elle ferme les yeux par moments, elle est belle ainsi, elle gémit doucement, elle commence à se doigter.
Le spectacle est trop érotique pour moi, je recommence à bander doucement, bien que j’ai déjà joui, et je me branle lentement devant elle. Nous nous regardons, nous ne parlons pas, on se donne du plaisir l’un en face de l’autre.
L’eau chaude coule sur moi, elle me soulage, et me détend, contrairement à mon membre qui est dressé face à elle.Cela dure de délicieux instants qui semblent s’éterniser, et pourtant ils sont si courts. Elle se doigte de plus en plus fort maintenant, elle pousse de petits cris, tandis que ma respiration devient saccadée, tout comme mes mouvements. Je vois son ventre se contracter, elle va jouir, on se regarde toujours, et elle jouit à nouveau, poussant un nouveau feulement rauque, suivi de quelques autres, les yeux vers le plafond cette fois.
Je sors de la douche pendant qu’elle est dans les vapes, je ne me suis pas séché, non, je veux la goûter, je m’agenouille alors qu’elle n’a pas encore baissé les yeux, et je pose ma bouche sur son puits d’amour. Elle laisse échapper un gémissement mêlant surprise et plaisir. Son jus est savoureux, fort, il a un goût que je ne saurais décrire. Je la dévore, ma langue passe partout, de haut en bas, rentrant par moments en elle, remontant, agaçant le clitoris, elle me tient la tête, elle crie à nouveau, j’ai mal à la mâchoire, mais de savoir qu’elle prend son plaisir me galvanise, alors je continue, son vagin va à l’encontre de ma bouche, je la sens grimper encore, je donne tout ce que j’ai, elle m’appuie fort au moment où elle jouit encore, elle crie cette fois, avant de retomber. Elle glisse du lavabo, je la retiens, elle passe ses mains sur mes épaules, sa respiration est difficile.
Nous sortons de la salle de bain ensemble, elle marche en tremblotant, sûrement autant dû au plaisir qu’à la fraîcheur, et va mettre un peignoir dans sa chambre.Je saisis mon téléphone, je vois l’heure, à quel moment il peut être déjà 6 heures du matin, le bar ayant fermé à 3 heures. Je commence à m’habiller, elle me regarde, me demande ce que je fais, et je m’excuse, devant aller travailler à 7 heures.Elle fait la moue, une moue terriblement mignonne, je dois l’avouer, et me propose un café, que je me dois de refuser, le temps de rentrer, il serait trop tard.Au moment de partir, elle m’ouvre la porte, et je me risque enfin à lui parler.
— Désolé encore de devoir te laisser, j’espère que nous nous reverrons ? dis-je après un moment d’hésitation.— Tu voulais certainement me demander mon numéro... Donne-moi plutôt le tien.

Elle plisse les yeux en disant cela, un sourire mutin sur le visage, et je pense que j’aurais dû flairer le piège, mais l’homme est si faible devant ce genre de créatures. Et je lui ai donné avant de partir, plein d’espoir en attendant un message.
Les jours passent, ayant un travail plutôt prenant, d’ordinaire, je ne vois pas les journées passer, et le soir, soit je suis avec des amis soit je passe mes soirées devant Netflix.
Mais là, c’est différent. Ma libido n’a pas baissé, mais si d’ordinaire des pornos amateurs ou des textes érotiques me satisfont, ce n’est plus le cas. Je repense encore à elle, à son odeur, à la texture de sa peau.Non pas que je n’arrive à bander sur autre chose, mais la stimulation est... décevante, fade. On dit souvent avoir quelqu’un dans la peau, là je l’ai littéralement dans les hormones. Et bien évidemment, je n’ai pas de nouvelles. Pas de messages, rien. Je sais où elle habite...
— Tu devrais y aller... Non, c’est trop... mais si... Mais non, elle joue, je dois tenir... mais c’était si bon... Mes pensées, plutôt bien résumées comme ça, tournent en boucle.
Au bout d’une semaine, j’ai presque abandonné, supposant qu’elle ai récupéré mon numéro pour l’oublier et ainsi éviter que moi je ne lui écrive. Et je me jette dans le boulot pour oublier. Sans grand succès, du moins au début. Et mes amis et collègues, voyant mon état, et connaissant certains détails, me proposent une sortie au restaurant pour me changer les idées.
J’ai dit oui, pas forcément enthousiasmé par l’idée, mais il fallait que je me change réellement les idées. Nous voilà donc à sortir dans un restaurant sympa et bonne ambiance. Interdiction pour moi de conduire ce soir, je peux donc consommer un peu tandis que mes amis s’enquièrent de plus de détail, que j’évite de révéler.J’invoque la déception douloureuse, pour ne pas dire frustrante, et échappe à la conversation.
Le repas se passe, les bières s’enchaînent, du moins pour moi, jusqu’à ce que je sente mon téléphone vibrer. N’étant pas particulièrement attentif, j’ai quand même ma montre pour me montrer la notification.Un numéro inconnu m’a écrit... Se pourrait-il que... ?
— Toilette de l’étage, deuxième porte, maintenant.
Je relève la tête si vite que tout le monde le remarque, mais je m’en fous, je scrute la salle, rien, elle n’est pas là, où du moins je ne la vois pas.Que faire ? Y aller, se faire avoir, est-ce un piège, non oui, peut-être, et si jamais... Mon cœur s’emballe, je ne contrôle plus mes pensées, je revois cette nuit...
— Je vais aller pisser, je n’en peux plus, dis-je en m’excusant auprès du groupe.
S’ils acquiescent, ils se doutent pour certains que quelque chose a changé.Me voilà à presque courir à travers le restaurant. Étage, toilette, deuxième porte.
J’y suis, et mon état d’excitation est déjà monté d’un cran, sans aucun stimulus, seulement ma mémoire.Je pousse la porte, et n’y vois personne. Je fouille, cherche, rien, c’est sûrement une blague d’un ami finalement... Machinalement, j’en profite, je vais me soulager, bien que l’envie ne soit pas pressante, mais je vais devoir débander d’abord.C’est alors que je sens une présence derrière moi. Et CE parfum, oui, c’est elle, je veux me retourner, mais elle me bloque, passant son bras devant moi tandis que l’autre caresse mon dos.
— Ferme les yeux, me dit sa voix.
Je ne la vois pas, elle maintient ma tête pour que je regarde ailleurs, et son autre main glisse sur mon membre. J’ai fermé les yeux, par réflexe, tandis que sa main glisse lentement sur mon sexe dressé.Toute la pression accumulée puis revient en un instant, je bande si fort, sa main est si douce, elle me branle avec expertise, c’est si bon.Mon cœur bat fort, mon souffle s’accélère, le plaisir grimpe vite, j’entends aussi sa respiration, je sens son excitation, j’ai envie d’ouvrir les yeux, mais je tiens bon.
Rapidement, trop même, je me sens faiblir, bon sang, je vais jouir, juste en me laissant branler, je lâche un gémissement, mon membre gonfle, ses mouvements accélèrent, je me tends, quand sa main lâche ma tête et je la sens passer à côté de moi, puis sa bouche chaude englobe mon gland.Un soupir, presque un cri de soulagement m’échappe, tandis que mon plaisir explose, je jouis violemment, elle me tient toujours en bouche, ma queue tressaute entre ses lèvres, qu’elle tient bien fermées.Je jouis longuement, elle tourne sa langue autour de mon gland, le stimulant à la perfection.
Enfin elle se retire, mon membre glisse hors de ce fourreau brûlant. Je n’ai pas ouvert les yeux, je suis encore ailleurs, je ne sais combien de temps je reste ainsi, immobile, la queue à l’air.Quand je rouvre les yeux, je suis seul. Je me tourne, la cherche, ne la vois pas. Je range mon sexe qui a perdu de sa vigueur.Je comprends qu’elle a voulu jouer, je me décide à sortir des toilettes, après m’être lavé les mains. Et sur le lavabo, bien en évidence, un tangua. Noire, en dentelle, avec une tâche tout à fait distinctive. Je ne peux m’empêcher de le prendre et d’en humer l’odeur, que je reconnais immédiatement.Je sens mon sexe se réveiller, mais je ne veux pas éveiller trop de soupçons, et je me décide à quitter la pièce, le tangua dans ma poche.
Le reste du repas se passe normalement, j’évite comme je peux les questions sur le temps passer aux toilettes, inventant une excuse bidon.Je cherche la belle des yeux, mais je ne la trouve pas. Et nous finissons par nous en aller.Alors que j’arrive chez moi, je suis toujours obnubilé par elle, et bien que j’ai joui comme rarement, j’ai toujours envie d’elle.
Je prends mon téléphone, et me risque à lui envoyer un message.
— Merci.
Un simple mot, mais si évocateur de ce qu’elle m’a offert.

En réponse, je reçois une photo. Je l’ouvre fébrilement, je suis dans mon lit, j’espère, non je prie presque.
La photo s’ouvre. C’est une photo d’elle, je ne vois pas tout son visage, seulement sa bouche, son cou, et son corps. Elle porte une chemise blanche avec une veste noire par dessus. La chemise est ouverte sur sa poitrine tenue par un soutien-gorge en dentelle noire. La photo est prise par le haut, je peux voir le tatouage, et sa bouche est entrouverte, je vois clairement mon plaisir qui coule de sa bouche sur sa poitrine, tandis qu’un de ses doigts est sur ses lèvres.
La photo est accompagnée d’un message « j’avais besoin de finir la soirée sur une belle saveur, merci à toi. »
Je rebande fort, qu’elle est belle, provocante et sexy, je ne peux m’empêcher de me caresser à nouveau, cette photo m’accompagnant tout du long, et même après avant de m’endormir...
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