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Désir de garçons

Chapitre 1

Gay
Un jour je fais la connaissance de Georges, un jeune homme de 23 ans qui paraît en avoir tout juste 18 ans. Ce garçon au visage d’adolescent mesure 1 m 74 pour 60 kg. Ses cheveux blonds sont bouclés et courts. Une certaine naïveté, que sa timidité n’arrive pas à contenir, le pousse à agir contre sa volonté. Un jour que nous discutons dans la pièce où je suis seul, il ôte son tee-shirt en disant qu’il a trop chaud. Je ne tarde pas à l’imiter et, lorsqu’il voit les poils autour de mon nombril, il me demande pourquoi je n’en ai pas sur le torse. Je lui réponds que je rase fréquemment le fin duvet afin d’en accélérer un peu la repousse. Il veut également savoir si mes cuisses sont garnies ou pas. Je n’ose pas trop lui montrer, mais je lui rétorque que je ne suis tout de même pas totalement imberbe. Il baisse alors son pantalon pour mettre en évidence la peau douce entre ses jambes et s’assied sur le canapé, pantalon aux chevilles. Il ouvre ses jambes pour que je voie bien l’intérieur des cuisses. Mais mon attention est plutôt attirée par la bosse qu’il a sous son mini-slip. Je me mets dans la même tenue que lui pour comparer nos pilosités respectives. Il s’étonne de découvrir le Jock-Strap qui moule parfaitement mon anatomie intime, tout en laissant les fesses à l’air. A l’évidence je suis un peu plus velu que lui, bien que ne possédant pas une pilosité abondante. Il écarte alors son slip pour me montrer son pubis à la fine toison blond foncée. Je commence à être excité par nos gestes, et cela se devine à travers le tissu de mon couvre-sexe. Lui non plus ne semble pas insensible à la situation. Il s’approche de moi et pose ses mains sur mes cuisses en disant que c’est agréable de sentir ces petits poils sous ses doigts. Il ne tarde pas à baisser mon slip pour, enfin, découvrir la toison fournie de mon pubis. Sur ce, mon sexe à demi bandé sort, il le soulève délicatement pour admirer mes glandes sexuelles, elles aussi poilues. A mon tour, j’entreprends de le mettre entièrement nu. Je pose ma main sur son ventre, et tout en le caressant, je la descends vers son pénis qui gonfle à vue d’oil. Je l’allonge sur le canapé, je me couche à côté de lui en présentant mon bassin près de son visage et mes yeux sur son bas-ventre. Il se place également sur le côté, prend mon bâton de chair à pleine main et commence à le triturer, en tournant ses doigts autour. Ma main vagabonde entre ses cuisses douces, vont malaxer ses petites boules avant de s’emparer de son phallus qui perle déjà de désir.
Soudain je sens l’humidité chaude de ses lèvres sur mon ventre. Elle progresse vers mes cuisses pour remonter sur mes couilles qu’il prend en bouche pour les sucer et les lécher du bout de la langue. Mon excitation s’accroît et je ne peux m’empêcher d’aller prendre à mon tour son gland entre mes lèvres et aller lécher le liquide qui sort du méat. Mes doigts furètent entre ses fesses et cherchent le doux oillet encore vierge de mon ami, pour s’y introduire avec attention. Lorsque je sens ses lèvres se fermer sur mon membre je commence des mouvements de bassins pour pénétrer l’antre humide de salive. Ses doigts se frayent un chemin entre mes globes qui s’ouvrent pour mieux les accueillir. La jouissance approche, je le place au dessus de moi, toujours en 69, pour jouir entre ses lèvres serrées, tandis que son sperme jaillit en petits jets sur ma bouche. Il s’allonge sur moi, son sexe gluant se pose sur mon ventre, ouvre ses cuisses pour laisser ma queue se placer à l’orée de son oignon dilaté par mes doigts. Ma verge redevenue souple ne peut s’introduire. Mais je sais que bientôt, Georges recevra le plus bel hommage en lui : je lui ferais l’amour, pour qu’il découvre à son tour les plaisirs insoupçonnés de le sodomie. Nous restons deux heures allongés, enlacés. Avant de nous rhabiller, nous nous levons et échangeons un long baiser au cours duquel nos langues se mêlent. Nos sexes se joignent, se frottent l’un à l’autre, reprenant un peu de vigueur : ils s’excitent comme pour ne faire qu’un. Mais l’envie est plus forte que l’obligation de se quitter. Il lui reste une heure et demi pour aller se doucher, manger et aller travailler. Mes mains caressent ses fesses, tandis que nos lèvres restent soudées. Instinctivement ma main va entre ses fesses. Mes doigts cherchent l’entrée de son anus. J’entreprends de lui dilater l’ouverture. Il s’accroupit, m’entraînant avec lui. Ses fesses s’écartent, mes doigts gagnent l’intérieur de son antre. Dés qu’il sent que le troisième doigt est bien installé et que son anus est prêt à me recevoir, il s’allonge sur le dos, relève ses jambes de chaque côtés de son torse en les maintenant. Je me place entre ses cuisses, pointe mon gland à l’orée de son trou et lentement je force l’anneau de chair qui accepte peu à peu ma présence. Une fois que le gland est passé mon phallus n’a pas de mal à progresser en lui. Au contraire je suis comme aspiré à l’intérieur de ses muqueuses. Quand mon scrotum se colle à ses fesses, il relâche ses jambes qui viennent m’enserrer pour me plaquer à lui. J’entame de lent va et vient, tandis qu’il remue du bassin pour mieux me sentir. Nos gémissements se mêlent. Georges me demande soit d’accélérer ou de ralentir selon le moment. Il se branle pour maintenir son sexe érigé. Soudain nos mouvements se font plus désordonnés. Georges amplifie ses jeux de bassins, ses mains plaquent mes fesses, me retenant contre lui. Je suis enfoncé jusqu’à la garde. Mes aller et venues sont de plus en plus violents, malgré une amplitude diminuée. Je sens les muqueuses anales se serrer autour de mon pieu. Nous sommes serrés l’un contre l’autre. Je sens son pénis battre sur mon ventre avant de lâcher des flots de sperme par saccades sur nos peaux glabres. A mon tour je décharge de longs jets d’écume à l’intérieur de son boyau, restant figé au fond.
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