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Au ski avec mon chéri

Chapitre 1

Au casier à skis

Erotique
Ce texte a été publié car, au moment de sa publication, son auteur était certifié. Cependant il ne respecte pas les exigences d'XStory. Ceci implique que l'auteur a, depuis, perdu sa certification et les avantages qu'elle procure.
Ce qu’il y a de bien, quand on sort avec un mec qui a un peu de sous, c’est qu’on peut partir en vacances dans des endroits sympas. Comme au ski par exemple. Et on peut séjourner à l’hotel, pas entassés a 6 dans un studio de merde comme avec le BDE.
Ça permet de baiser énormément. Dans la chambre, mais pas que. Comme ce soir ou après le dîner, il m’entraîne vers les casiers à ski. La pièce est noire, froide, déserte. Il allume la lumière et referme la porte derrière nous. Il me prend dans ses bras et m’embrasse passionnément. Ce salaud sait que ça me fait fondre, que je suis folle de lui et que je ne peux rien lui refuser. 
"Déshabille-toi!" me commande-t-il.- Ici? Ça craint si quelqu’un débarque!Il hausse les épaules. Je crois pas que ca va se bousculer pour aller skier à l’heure qu’il est!Ca caille, mais avec lui je ne sais pas pourquoi, je ne fais jamais ma rebelle. Je porte la seule tenue un peu habillée que j’ai prise avec moi pour ces vacances sportives: une petite robe noire, avec des escarpins en velour noir. Les yeux fixés sur la porte, le cœur battant la chamade, je commence à déboutonner ma robe. Il me regarde avec une pointe de dédain. "Tourne le dos à la porte et regarde-moi!". J’ai du mal à soutenir son regard perçant. Ma robe entièrement déboutonnée se sépare d’elle même en deux pans ouverts sur ma lingerie un peu ridicule. Je ne suis pas très portée sur la lingerie fine, je porte une culotte et un soutif tout simple en coton à fleurs. Je dois avoir l’air tellement gourde! 
Samuel me demande de me mettre debout sur un de ces bancs sur lesquels les gens s’assoient pour mettre leurs chaussures de ski. Je lui obéis. Il s’approche de moi et dégrafe mon soutif, et le fait glisser le long de mes bras. Il fait ensuite glisser ma culotte le long de mes jambes. Il s’éloigne de quelques mètres, mes sous-vêtements à la main et les met à la poubelle. Ne portant plus que mes escarpins, nue debout sur ce banc, dos à la porte, je me sens tellement vulnérable! Je tremble un peu, de froid, de peur. D’excitation et d’impatience, aussi, pressée que je suis de passer à la suite, de sentir ses jolies mains fines de bourgeois parisien sur mon corps. 
La fraîcheur du lieu a raffermi mes chairs. Mes fesses sont fermes, j’ai la chair de poule sur tout le corps et mes seins sont particulièrement compacts et durs. Il vient vers moi, m’embrasse, pose ses mains chaudes sur mon petit cul froid et ses lèvres douces sur mes tétons tendus. Il les aspire un peu, les tétouille comme un grand bébé vicieux. Il m’excite, je mouille mais attends sagement la suite. Il va vers notre casier à skis, l’ouvre et me ramène mes chaussures de ski. "Enfile-les" me dit-il sans plus d’explications. Je suis un peu estomaquée. J’avais été confrontée à quelques fétichismes auparavant, mais le fétichisme des chaussures de ski, je ne m’y attendais pas! Qu’un garçon de mon âge préfère que je porte des chaussures en plastique de deux kilos chacune plutôt que mes petits escarpins mignons, je ne comprends pas. Cependant, résignée à lui faire plaisir je m’asseois sur le banc et glisse mes pieds nus dans les lourdes chaussures dont je serre chacune des quatres boucles comme je l’aurais fait pour aller skier. Sam s’asseoit à côté de moi et me fait un petit bisou dans le cou qui me fait tressaillir. "Mets toi debout et fais le tour de la pièce!". Son petit jeu n’est donc pas terminé. 
Je me releve et commence à marcher lourdement pour traverser la pièce. La situation est à mes yeux assez surréaliste, loufoque, ridicule... Je surjoue un peu la démarche pataude que les chaussures m’imposent,  accompagnant mes grands pas sonores de grands balancements de bras et d’un rire un peu forcé. Lui n’a pas l’air très gêné par le caractère comico-bizarre de ma parade. Resté assis sur le banc, il se masturbe tranquillement et me regarde en souriant gentiment. Mon tour de piste me ramne à mon point de départ: à ses côtés. Debout près de lui, je me fais pétrir les fesses d’une main, alors qu’il se branle de son autre main. "Ecarte un peu les jambes et tiens-toi les chevilles!" Cette requête ne me surprend pas, il aime profiter de ma souplesse, héritée d’années de pratique de la danse classique et de gymnastique. Je laisse glisser mes mains le long de mes jambes et m’accroche à la poignée de la languette des chaussures. Mes petits seins pendent en direction de mon visage. Sam se met debout et caresse mon cul, encore, et glisse sa main entre mes cuisses. Il me masse la vulve, m’enfonce un doigt, puis deux, les écarte en moi. J’ai envie de sa queue. Il l’approche, frotte son gland contre ma fente et me pénètre en me tenant par la taille. Un coup de rein, deux, trois, dix... le sang me monte à la tête, je lui dis, il ressort et me laisse me redresser. Puis je m’accroupis, les avants bras posés sur le banc. Je relève les fesses, je relève la tête. Je suis en levrette, et ne tarde pas à me retrouver de nouveau pénétrée. Je halette. Mon chéri se démène dans mon dos. Soudain du bruit dans le couloir. Une arrivée tardive à l’hôtel, avec des chieurs qui n’ont rien d’autre à faire que de ramener leur matos au placard à skis! C’est la panique! Je suis à poil en chaussures de ski comme une conne et mon homme ne pense qu’à remballer sa queue!  Je regarde autour de moi, affolée. Je vois un placard ouvert, vide. Je m’y précipite. Sam m’y rejoint. Quelques secondes plus tard, on entend les nouveaux arrivants entrer dans la pièce. Ils parlent allemand, sont sûrement trois ou quatre, probablement une famille. 
Dans la pénombre du placard, je sens la main de Sam me caresser de nouveau. Le ventre, puis le sexe. ses doigts glissent sur mon clito humide. Il m’embrasse. J’enroule ma langue sur la sienne, lèche ses lèvres en ressortant sa bite. Son gland est tout doux. Il me doigte, c’est bon. J’effleure son torse de la pointe de mes seins. Il me branle la chatte comme je lui branle la bite: intensément, ni trop lentement ni trop vite, avec la plus grande amplitude possible . Je serre sa queue assez fort, ma main va et vient le plus loin possible. Il me doigte fort, je sens son doigt se replier un peu au fond de ma chatte, je dois mordre un truc sinon je vais crier... ce sera son épaule, tant pis pour lui. Putain il joui! Sans aucun bruit! Comment fait-il? Ma paume couvre son gland, je sens son sperme gicler dans ma main, il y en a qui retombe sur mes chaussures... Mon vagin se contracte sur son doigt, je jouis... Blackout.Les Allemands sont partis, on sort du placard. Sam rentre sa queue dans son pantalon, je m’assoie sur le banc pour retirer mes chaussures de ski. Une des boucles est engluée de sperme, ça me fait sourire. J’enfile ma robe, referme quelques boutons pour être décente, remet mes escarpins. On prend l’ascenseur pour aller boire un verre au bar avant d’aller au dodo. Qu’est ce que j’aime ça, être au milieu des gens après un orgasme. Sans sous-vêtements, c’est encore meilleur.
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