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Sodome Football League

Chapitre 2

Gay
La Sodome Football League entrait dans sa phase finale ; sitôt sorti du bureau où je travaille, je prends la direction du stade, affaires de foot dans mon sac, et une bonne playlist de metal rock pour me préparer au match de ce soir. J’ai envie de faire un sacrément bon match, et j’avais envie de baiser mes adversaires !  5 équipes jouaient cette saison de SDL : nous les Paladins, ensuite les Krakens, les Trolls, les Vikings qui étaient loin derrière nous ; et les Lycanthes qui étaient juste devant nous (14 points contre 12 pour nous) et à qui nous disputions le titre de champion, alors qu’il ne restait que 3 matches chacun. Et ce soir-là nous jouons contre ces Lycanthes, ces gros prétentieux qui ont choisi un nom compliqué juste pour pas dire "loup-garou". Je les hais. Ils sont prétentieux, baisent comme des porcs, et ils sont super attirants, ce qui donne une autre bonne raison de vouloir les baiser.  
Place à l’échauffement ; les sons de la grosse batterie de Sepultura résonnent encore dans ma tête pendant que je fais plusieurs fois le tour du demi-terrain. Plus que jamais j’ai envie de bouffer du loup-garou ; ce sera un match en 3 points, donc il y aura 3 enculés (et enculeurs donc), je m’imagine déja en train d’enfoncer ma fine bite dans le cul de Javier, un defenseur des Lycanthes qui a la sale tendance de mettre des coups de salauds aux joueurs d’en face, surtout s’ils convoitent comme lui le titre... Le voilà d’ailleurs sur le terrain, faussement décontracté. Il chambre même pendant l’échauffement, encore une habitude de ce fils d’argentin. Y a pas à dire, les latins sont vraiment les plus exaspérants des joueurs. Le match va bientôt commencer, il est temps de passer une dernière fois aux vestiaires. 
"Les gars, ce soir, je veux qu’on les défonce ! On n’aura pas beaucoup de chances de gagner ce tournoi à la con, je vous rappelle qu’ils sont devant nous, qu’ils chambrent comme des cons et que si on perd ils nous enculent ! " Mon laïus est rapide, concis, efficace, je suis pas trop connu pour mon lyrisme. Je roule un patin à Nolan une dernière fois avant de revenir sur le terrain, c’est notre petit rituel à nous. 
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils n’ont pas volé leur place : Javier bloque bien nos ballons et Ajani, leur meneur de jeu, n’est pas très mobile mais fait bien tourner le ballon. Heureusement, dès qu’on arrive à prendre un ballon, tout le monde fonce et Haymen, notre dribbleur, garde bien le ballon et force deux Lycanthes à venir défendre sur lui. Résultat, après un but chanceux pour les Lycanthes, on réussit à marquer très vite après par mon Nolan adoré. Là tout de suite je ne pense plus au sexe. Sauf que peut-être quand je regarde Nolan. Aaaaah arrête de penser au sexe, concentre-toi sur ce putain de match... 
Pour l’instant Javier est relativement calme ; avec son crâne rasé, sa barbe taillée courte et sa large paire d’épaules, on dirait vraiment un taulard de Buenos Aires. S’il y a bien un joueur qui peut me faire péter un plomb, c’est lui. Heuresement la mi-temps arrive au bout des 20 min sans un débordement, finalement on a fini par beaucoup défendre, il faut profiter de la pause au max... 
Dès qu’on arrête de courir, je me mets à entendre les bruits du public desquels j’avais fait complètement abstraction, à tel point que mes oreilles souffrent quand j’entends les gens autour des grillages qui vocifèrent. Un gros paquet d’excités est venu voir l’affiche, certians ont même commencé les rejouissances charnelles sans nous. Une cinquantaine de personnes en rut gueule depuis les gradins, c’est fou de voir ca pour un urban foot ! Ces cons me font repenser au sexe bordel, je ne m’en sortirais jamais, je vois quelques fous qui ont commencé à sortir leur bite ; il y a de tout, du décalotté ou non, de la bite blanche et de la bite noire, poilue ou imberbe....je sais pas qui gagnera, mais je suis sûr que ce sera une vraie apocalypse à la fin, une grosse orgie façon Rome Antique... 
Même dans les vestiaires, on entend les hurlements en rut de l’assistance. 
On se prépare à passer nos 20 dernières minutes à bien défendre ; plusieurs de leurs joueurs ont fait du centre de formation de clubs de foot, comme Ajani qui a l’air de débarquer tout droit de Jamaique avec ses dreads ; John-Do, leur attaquant a aussi fait du centre et on est constamment obligé de le marquer de près, sinon cet asiatique nous dépose tous en vitesse. Notre asiat’ attitré, Kim, se débrouille bien pour l’instant avec lui... Avant de se débrouiller plus tard, mais d’une autre manière, je pense en rigolant. 
— Alors les tapettes, on a peur de se faire enculer? J’adresse un doigt d’honneur à cette vacherie de Javier qui n’a pas perdu son temps pour nous chauffer dès le retour sur le terrain. Mais comme cet enfoiré est nul quand il faut défendre près de ses buts, je profite d’un un-contre-un avec lui pour faire une feinte de dribble et servir Haymen : but, 2-1, et encore 15 min à tenir. "Bah alors Javier, on a appris à danser la Macarena au bois de Boulogne ou quoi?" (bah oui, c’est des Brésiliennes au Bois, et quand un défenseur sait plus comment défendre on appelle ca danser la Macarena :-)  ) 
Merde, je m’étais promis de plus penser au sexe. 
Comme si une sorte d’entité supérieure venait d’intercepter ma pensée, deux minutes après Javier se met à suivre Nolan qui dribblait, cette salope commencait à mettre des  coups d’épaule et j’etais attentif au moindre geste en-dehors de la limite de sa part ; si jamais il touchait à Nolan, ce salaud ne ressortirait pas du match. Et je le vois tout d’un coup prendre appui comme pour tacler Nolan par derrière.  Aucune hesitation, je me jette directement sur lui, même s’il n’a pas le ballon, rien que pour lui faire mal. Enfin j’essaie du moins, puisque deux lycanthes avaient déja anticipé ma reaction, me mettent une béquille pour me mettre à terre, et je recois même un bon coup de pied dans une côte. Quand je me relève mon visage, le jeu est arrêté, et j’ai pas l’impression qu’on ait marqué. 
— Bordel mais qu’est ce que t’allais lui faire à Javier ? — On se jette pas sur les gars comme ca, t’es taré !  Les récriminations des Lycanthes couvrent à peine les bruits de la foule qui vient d’exploser à la vue d’un joueur à terre. On prend tous un carton, ce dont je me fous royalement, mais ma cheville a salement tourné quand je me suis écroulé et ma douleur aux côtes me fait mal à chaque respiration. Ces salauds avaient tout prévu. 
Ils savaient que je me jetterai sur Javier à la moindre occasion, que je laisserai pas ce connard s’en sortir si jamais Nolan était blessé. Ils ont saisi l’occasion de me blesser, en état de quasi-légitime défense, et font les malins en me disant que je suis violent. Sale bande de connards, vous avez trop regardé La French… 
Le pire c’est que j’ai vu ce film y a deux jours, en imaginant Lelouch, le trafiquant, enculer Dujardin. C’est un film pas trop mal, vous le regardez un jour en repensant au piège à cons dans lequel je suis tombé. 
Et c’est peu dire que même à 2-1 en notre faveur, avoir les nerfs à vifs et un joueur à demi handicapé ne nous aidera pas à gagner le match. Je ne peux plus faire le pressing sur Ajani, et ce dernier glisse facilement une belle balle en profondeur à John-Do qui crucifie notre goal. Je me maudis de ma connerie à chaque fois que je met un pied devant l’autre, et même regarder Nolan de temps en temps ne m’aide pas. On défend comme des diables, mais je perd un dernier ballon à deux minutes de la fin, Ajani feinte les deux joueurs qui étant revenus sur lui à fond la caisse et marque le but de la victoire Lycanthe. 
Mais qu’est ce que j’ai foutu ??? 
Je reste effondré sur le terrain pednant les 5 minutes qui suivent, deux coéquipiers mettent un bandage sur ma cheville et ma vision est devenue complètement floue. Résultat, j’entend mieux les chants qui me parviennent de derrière les grillages et qui promettent un bel avenir à notre anus... "Les Paladins vont s’faire transpercer olé olé" ou "Les Lyccnathes vont démonter ces tantes" descendent vers nous, quelques chants sont plus particulièrement destinés au trou de balle de mon beau Nolan. Toute l’équipe doit me détester, bordel.... J’entend encore mieux les chambrages de Javier qui reprennent :  — Alors les Paladins? Dommage que vous n’ayez pas pu sauver votre cul ! C’est con, on coyait être tombés sur de vrais adversaires...mais bon, on va vous niquer à sec comme les autres au final ; quel gâchis... J’ai même pas la force de lui répondre. Je vois déja quelques Lycanthes qui vont vers le public. Ils vont prendre leur temps, mais les vêtements volent déja. 
Le jeu est le jeu, et une sanction est une sanction. On va se faire enculer par ces pédés de Lycanthes... 
J’enlève mon short et je me met à quatre pattes. Kim est à côté de moi et s’apprète à sucer John-Do, et à sa droite Nolan est dans la même position que moi. Je me fous de perdre ce tournoi à la con, mais tout sauf Nolan...je me dit que ca ne pourrai pas être pire, jusqu’à ce que Javier se place derrière moi. Ce salaud n’allait évidemment pas passer à côté de la chance qu’il avait de me pénétrer. Je déglutit en anticipant la honte. " Alors mon p’tit Raph, on a envie de ma bite? T’inquiètes pas va, je m’en vais vite d’agrandir un peu ton trou de balle... — t’es mort, Javier....  
Je crois que ce sont les dernières paroles conscientes que j’ai sorties. L’arbitre distribue le gel, et donne l’ordre de baisser les shorts pendant que mes membres tremblent. Mon vainqueur ne se fit pas prier et enfonce aussitôt sa queue dans mon anus. Il essaie de le bourrer plusieurs fois pour faire rentrer son gland, ce qui ne me fait que plus frémir en sentant son gros appareil qui tapote l’entrée de mon cul. Il doit prendre plaisir à me faire sentir combien sa queue est grosse, cet enfoiré. Après avoir fait un peu durer le suspense, il m’enfonce sa queue d’un bon coup sec. Je ne peux me retenir de crier quand je sens la douleur de ce gros coup de reins. Il est lui-même en recherche de son souffle tellement l’idée de m’enculer doit le faire baver, il donne tout de suite quelques coups de bite rapides suite à l’excitation. Après le coup initial, j’encaisse bien, ces petits mouvements sont parfaits pour atténuer le gros coup de queue que j’ai pris au début. Pour un peu, je dirais même qu’il a une bonne technique. 
A côté de moi Kim est en train de sucer John-DO à fond, John n’a même pas besoin de ses mains pour faire éxecuter à mon coequipiers ses mouvements de bouche. On dirait même que Kim se prend de plaisir à sucer, il grattouille les petites couilles de notre adversaire. Il a l’air d’aimer ca le con. 
Les deux lycanthes qui ont passé leur tour pour sauter des adversaires sont devant le public ; un fou furieux dans les tribunes s’est retourné et a offert son cul directement à un des joueurs, suppliant de se faire enculer. Le lycanthe ne s’est pas fait prier et claque avec régularité les fesses qui se sont docilement ouvertes à lui ; putain ce que c’est bon d’être un vainqueur....A côté, deux spectateurs se relaient pour sucer le deuxième lycanthe qui est allé vers le public ; certtains spectateurs s’enculent entre eux, beaucoup de ces salauds se masturbent tout simplement, bite bien en évidence, sur cette orgie impovisée. 
C’est peut-être ce climat qui m’adoucit un peu ; je ne dis plus rien quand Javier me traite de lopette, j’acceuille sans résistance sa belle bite en moi, je me met même à bien me cambrer pour que sa queue touche mon tréfond ; l’idée que je me fasse enculer devant tout le stade m’accomode de plus en plus ; il faut dire que ce salaud de Javier baise bien, un peu violemment à mon goût mais je finis même par m’habituer aux bras qui me prennent par les hanches pour mieux me faire niquer par cet homme bronzé, idem pour le claquement de ses jambes contre les fesses, ce bruit devient de plus en plus rapide et j’appréhende un peu moins... Mes cris commencent à ressembler à des jappements, cela semble plaire à Javier... 
"MMhh alors ca te plait de te faire enculer ma chienne ? Vas-y donne-moi ton cul gors looser, t’attendait ca depuis le début hein? C’est ca dis rien, j’aime bien profiter de ton cul moi...c’est bon comme t’es serré, t’as le cul d’une fille putain ! Attends un peu je vais te donner le goût de la bite moi ! " 
Et il redoublait d’ardeur, une part de moi voulait qu’il s’arrête au plus vite mais l’autre part prenait plaisir à se faire défoncer, à accepter docilement son châtiment pour la défaite. Je ne pouvais plus me retenir de jouir de cette belle bite en moi, pendant que celui qui enculait Nolan avait déja rendu sa semence. Dans les gradins, les lycanthes roulaient des pelles à tous les mecs aux alentours, c’était presque bandant. Javier finit par vider son jus en moi. Il se retira très vite, me laissant à demi conscient ; mon regard était concentré sur tous les mecs du public qui nous regardait en se branlant sans complexe. Trop de blanc d’un coup, on dirait que c’est Noël.  Mes coequipiers me ramènent au vestiaire sans un mot. Tout ira mieux demain, sauf le classement. 
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