Je vais me coucher. La porte de la chambre de ma sœur est grande ouverte. Je jette un œil rien que par curiosité. Le spectacle est \"charmant\". Elle a fait exprès de ne pas s\’enfermer: elle a les jambes grandes ouvertes, sa man gauche tient écartées les lèvres de son con et deux doigts de sa main droite caressent le clitoris. Comme elle ferme les yeux, je ne pense pas qu\’elle me voit encore: je bande fortement et je sors ma queue: je me branle. La garce ne ferme pas les yeux complètement: elle me voit parfaitement. Elle gémit et m\’appelle: le sexe n\’attend pas en tout cas pour moi. Sans réfléchir je m\’approche. Elle me demande de l\’embrasser. Mes lèvres vont sur les siennes, nos langues s\’enroulent et elle a tôt fait de me demander de lui caresser les seins pendant qu\’elle continue sa masturbation. Elle jouit presque de suite, c\’est à ce moment là qu\’elle prend ma bite en main et me branle très lentement. Je me laisse faire sans rien dire. Elle arrête pour avaler mon membre déjà bien raide. Je n\’en peux plus, je m\’allonge près d\’elle. Sa bouche tient bien ma pine et la suce comme une friandise. Elle sait fort bien sucer, je ne suis pas son premier amant. Avant de jouir je l\’avertis: elle me garde en bouche et déguste ma semence avant de l\’avaler à petites gorgées. Elle revient près de moi, m\’embrasse en me faisant goûter mon sperme. Je ne veux pas être en reste: à mon tour de sucer le con de ma sœurette. J\’y trouve un clitoris durci, j\’y passe ma langue et la lèche sans arrêt jusqu\’à ce que je la sente frémir en cadence: elle jouit. J\’ai débandé un peu: elle me remet en forme rapidement en me caressant les couilles et mettant deux doigts dans le cul. Elle arrive vite à me remettre en érection. Elle veut que je la baise. Couchée sur le dos, elle écarte bien les cuisses et me guide à peine pour que je la lui mette. Commence alors le concert des \"oui, oui encore, plus loin\"... Je la sens jouir encore plusieurs fois quand elle me demande de sortir d\’elle. Elle a un godemiché qu\’elle me donne, me couche sur le dos, se met sur moi avant de se coucher complètement en ayant mis ma pine au con. Quand elle s\’est bien mise ma queue dans son vagin, elle me demande de lui mettre le gode dans le cul. J\’obéi. Je ne m\’attendais pas à un tel plaisir au moins pour moi. J’ai coordonné mes mouvements avec le gode et je le sens très bien à travers les tissus entre le con et le cul. Nous jouissons ensemble. Nous nous écroulons. Je rejoins ma chambre. Le lendemain, au petit déjeuner nous nous disputons comme toujours pour donner le change à nos parents qui, coup de chance partent le jour même pour des vacances en amoureux. Tant mieux: dès leur départ nous vivrons nus pour baiser sans arrêt comme des sevrés du sexe.Je sens que nous allons vivre des jours pleins d\’érotisme tous les deux.
