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Ma soeur, la cam & moi

Chapitre 1

Inceste
Minuit est largement passé, je viens de quitter le vocal avec les potes, la dernière game était pourrie et on a tous rage-quit. Là, je suis trop à cran pour dormir, du coup, j’ouvre un site de cam amateur, je me dis que je trouverai bien une meuf sur qui me branler furieusement. Je suis donc posé au fond de mon fauteuil gamer, j’ai baissé mon boxer et je me tiens la queue encore molle alors que je zappe les différentes vidéos proposées. Il est tard, la plupart des meufs que je suis ont fini leur show. Alors je clique-clique pour trouver un truc bandant.
Finalement, je tombe sur une scène qui m’attire l’oeil. C’est un couple qui baise dans leur chambre. Vu le décor de la pièce derrière eux, c’est de l’amateur pur et dur. Par contre, leurs tenues me fait penser que ce ne sont pas des novices pour autant. Le gars, un peu bedonnant, porte une cagoule en cuir et un harnais sur son torse et sodomise violemment une femme dans un body camisole en vinyle. Elle aussi est cagoulée. Putain, elle prends cher la salope...Je sens ma queue se raidir à l’entendre gémir. Elle a le cul et la cuisse rouge. D’ailleurs, en guise de jarretière, elle a un tatouage, un genre de lettrage pas facile à lire sur l’écran. Cette vidéo me vide les couilles et je note le pseudo quand même : A_Lux.
Quelques jours plus tard, alors que je traine encore sur le site, le couple est en live. L’homme, la cinquantaine bien tassée en slip de cuir clouté, son éternel harnais et sa cagoule est en train de ligoter la femme. Je suis pas un adepte du shibari mais elle est souple et tellement bandante mise à nue. La peau blanche, le corps tout en ondulations. C’est pas un canon de prod X, non. C’est du naturel malgré les tétons roses percés et les lèvres étirées par de légers poids. A genoux sur leur matelas, elle tient la pose encore et encore pendant que le costaud la ficelle avec connaissance. Je m’attarde sur la jarretière encrée, remonte mon regard sur son sexe martyrisé, ses hanches taillées à la hache et son buste encordé. Sa bouche entrouverte est sertie d’un anneau labial : un labret centré. Son visage est mangé d’un loup qui m’empêche de voir correctement ses yeux. Ses longs cheveux noirs sont bouclés de deux tresses. Le spectacle est ravissant, ça me change des meufs qui se fistent avec des braquemarts en silicone. Je me sens me tendre et raidir au fur et mesure du live et finalement, c’est doucement que je me branle dessus. C’est super rare que j’arrive à jouir si lentement. D’habitude, il me faut beaucoup plus hard. En me finissant, j’avoue que je suis un peu confus mais trop fatigué pour y songer.
Le lendemain, un peu taraudé, je me reconnecte et je les attends. Ils s’installent, prennent le temps de se chauffer un peu. Lui toujours la même dégaine de maso et elle, dans un ensemble type bikini en latex noir. Elle porte un demi-masque avec de longues oreilles de lapin. Ce soir, ils font face à la caméra. Un énorme gode ventousé devant le nez, elle commence à le lécher, le sucer comme si c’était...ma queue. Enfin, la queue du spectateur quoi. Pendant qu’elle s’applique à la fellation de sa vie, le gars la culbute sec. Elle rebondit au rythme des claquements sur son cul. Le show est jouissif quand il lui écrase la gueule sur le gode. Mes yeux se révulsent d’extase et je jouis à nouveau. Ils sont trop bon les deux là. Quand elle a penché la tête, j’ai vu une fée clochette tatouée sur son omoplate. Ma soeur aussi en a une.
En vrai, je pensais pas qu’un simple détail comme ce dessin dans son dos m’aurait autant percuté mais du coup, j’ai rêvé de ma soeur toute la nuit. Elle a 11 ans de plus que moi alors on est pas super proche elle et moi. Elle m’a surtout babysitté toute mon enfance avant qu’elle parte de la maison de manière assez obscure. J’avais 9ans quand elle a pris ses clic et ses clac, disparaissant de nos vies à mes parents et moi. Ma soeur, c’est un peu un tabou, on n’ose pas trop en parler.
Les lives suivants de A_Lux, je les ai passé à essayer de deviner à quoi rassemblait la femme derrière ses différents masques. Ils alternaient parfaitement bien l’érotique au hard, le tout sous couture de BDSM. Franchement, ils auraient pu devenir pro. A côté, j’ai écumé la famille éloignée et les réseaux sociaux pour retrouver ma soeur. Un grand cousin a gardé contact avec elle et m’a filé son pseudo sur FB. Elle se fait appeler "Nie Nie" avec un nom que je suppose être celui de son mari vu qu’elle affiche dans ses infos qu’elle l’est. Je fouille un peu ses photos de profil précédentes. Surtout des selfies en voiture. Ok, elle aussi a un piercing à la lèvre. Une photo avec un homme assez mûr où elle a l’air amoureuse et PUTAIN! Dans une photo de plein pied face à son miroir pour montrer sa tenue de soirée, je reconnais dans le reflet la chambre! La fameuse chambre!!! Je vrille complètement, j’hallucine là! La soumise qui se fait défoncer tous les soirs là, c’est ma soeur! Je...Je sais plus où me mettre! Quoi dire? Quoi faire? J’hallucine...
Quelques soirs plus tard, je me connecte sur leur live. En tenue de catwoman BDSM, elle vient de finir de sucer son mari. Elle est assise face à la caméra, agenouillée et l’encagoulé tape de ses gros doigts sur le clavier pour répondre au tchat. Je m’en mord le poing de voir sa bouche pleine de sperme. Malgré moi, je bande comme un âne. Finalement, je me lance et dans le tchat, j’écris : "Tu t’appelles Mélanie???"
Je sais qu’elle peut voir l’écran et lire les commentaires mais pas de réactions de sa part, mon commentaire est noyé dans la masse de "Avale salope!", "C’est bon petite pute?" ou encore "Moi oci je vé giclé dan ta bouche!". Je retente avec un "Mélanie, c’est Marco...". Je vais pas cramer devant le monde entier que je suis son frère mais à entendre le safeword prononcé, le live prends subitement fin.
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