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Ma soeur fait des shows sexy en cam'

Chapitre 1

Inceste
Comment réagiriez-vous, si, par le plus grand des hasards, en surfant sur un site de webcams coquines, vous découvriez que l’un des modèles du site est membre de votre famille ?
C’est ce qui va arriver à Ludovic, dans cette histoire fictive, il tombe sur Amélie (j‘ai choisis Ashley Rickards pour l‘interpréter ) , sa propre sœur, en plein show sexy. Pour faciliter l’immersion, le récit est écris à la première personne.
Bonne lecture.
Chapitre 1 : Le déménagement.
« Bien sûr, pas d’problème, tu peux compter sur mes gros bras musclés pour t’aider à déménager .
— Tes bras musclés ? Hahahaha, arrête, tu va me faire mourir de rire. T’as jamais fais de sport de ta vie frangin. Et non, la branlette ne compte pas comme un sport, sinon tu serais champion du monde.
— Très drôle Am’ ! Bon tu la veux mon aide ou pas ?
— Mais oui, rooooh, tu manques d’humour. Soit prêt pour d’main aprem’, vers 15h environ, j’passe te prendre.
— Ok, ça roule ma grande. Alors à demain, passe une bonne soirée.
— Merci, toi aussi, Musclor. Hahahahaaha... »
Sans mot dire, je raccroche au nez d’Amélie. Même si je n’ose pas lui dire, ses propos m’ont un peu blesser. J’ai toujours été en admiration devant-elle. Quasiment amoureux. Elle a toujours tout réussis, sans se forcer et maintenant qu’elle a eu ce poste de responsable de magasin de lingerie, elle doit déménager sur Paris. Beeeuh, Paris, rien que d’y penser ça m’donne la nausée. J’vois mal Am’ vivre sur la capitale, alors qu’on a toujours vécu à la campagne. M’enfin, si c’est pour l’boulot, forcément…
Etrangement, Amélie n’a pas de petit ami. Y a quand même crime, quand on la voit, on se dit qu’elle ne devrait pas être célibataire, beaucoup trop belle pour l’être.
C’est en pensant à ma sœur que je finis par m’endormir.

Mes rêves de cette nuit là, tourne tous autour d’elle, tantôt de vague souvenir de jeunesse, comme cet été de canicule, où nous avions fait une bataille d’eau en maillot de bains, dans le jardin. En fait, dans mon rêve, je suis nu, mais pas Amélie. Cela ne semble pas la choquer et nous continuons à nous envoyer de l’eau, en riant.Ensuite, le rêve change d’endroit et on est dans le nouvel appartement d’Am’. On est là, tout les deux, assis dans un vieux fauteuil, main dans la main, comme un couple. Sans que je me l’explique, je sais qu’on a dépassé la quarantaine et aussi que cela fait vingt ans qu’on est ensemble. Après cela, j’entends une sonnerie dans mon rêve. Je réalise alors que c’est mon portable qui sonne et je me réveil. Je sens quelque chose de chaud et collant qui a coulé dans la nuit. Je jette mon drap au pied de mon lit, pour constater ce que j’avais déjà deviner. J’ai éjaculer en rêvant de ma sœur, encore.
Après avoir mis mes draps à laver et m’être changer, j’ai pris un rapide repas. Constatant qu’il est déjà 14h45 et qu’Am’ déteste être en retard (un comble pour une femme), je saute rapidement dans mon jogging et enfile un vieux t-shirt troué ça et là, puis noue mes baskets. Il n’est même pas 15h, que ma sœur m‘appelle pour me dire qu‘elle m‘attend en voiture, au pied de mon immeuble. Je sors à la hâte, emportant uniquement les clefs de mon studio, après l’avoir fermer bien entendu. Comme d’habitude depuis que j’ai emménagé, l’ascenseur est en rade et je suis obliger de ma farcir les 5 étages (j’habite sous les toits) qui me sépare de l’entrée, à pied.
Cette vieille bâtisse n’est pas au top niveau sécurité, mais le loyer n’est pas bien cher et je suis pas obliger de crécher sur Paris. Au début, en empruntant ces vieilles marches en mauvaises état, je me suis plusieurs fois casser la gueule assez méchamment, mais maintenant, je sais celle qui doit-être éviter ou celle sur laquelle il ne faut pas trop s’attarder, de peur d’abîmer la pierre user par les rouages du temps.J’me suis bien plain à mon locataire, mais sa seule réponse a été « Si t’es pas content, tu peux toujours te casser, ça m’fra d’l’air ». Monsieur Dupond, n’est pas vraiment ce qu’on peut appeler une personne aimable. Perdu dans mes pensées, j’oublie d’éviter une marche et là, catastrophe, je dévale les quelques marches me séparant de la sortie dans un vacarme assourdissant. La première fois, ça fait un mal de chien, la cinquantième aussi, mais on y est habitué. Néanmoins, je me relèves avec difficulté, époussette mes fringues et c’est en boitillant que je rejoins Amélie.Elle est au volant de sa voiture et tourne la tête vers moi. Le carreau ouvert, elle pouffe un peu en me voyant, la tenue débraillée par la chute, puis s’inquiète tout de même de mon état.
« Tu parles, j’ai vu pire ici. Ca va, je m’en remettrais.
— Ca va l’faire pour le déménagement ?
— Impec’, c’est comme si j’étais jamais tombé dans ses saloperies d’escaliers. Allez, en route, c’est quand même pas la porte à côté et puis j’ai pas envie d’être dans les bouchons.
— Idiot, c’est les vacances d’été, -même si on dirait pas comme ça- y aura pas grand monde. Allez, grimpe là-dedans, j’veux avoir finis avant la nuit moi. »
Le trajet ce passe agréablement, entre anecdotes sur notre enfance, concours de chant en yaourt et confessions intimes.
« Ben c’est triste mais bon, j’vais pas allez m’foutre sous un train parce que j’ai jamais eu de copine…
— Nan mais Ludo’, quand même, à ton âge…
-Ben et toi ? T’as un copain peut-être ?
— Bien sûr que non, j’ai pas le temps moi. Je te rappel que je suis responsable de magasin.
— Ils font une grosse connerie en engageant une gamine.
— Hey ! Je t’emmerde petit con ! J’ai 24 ans pour mémoire, m’sieur le puceau !
— Traîtresse ! »
Nous éclatons de rire. Ah, ça fais du bien de revoir Am’.
« Tiens, mets donc un peu de chanson Française, tu sera chou.
— Roooh nan, pas des machins formater pour être au top 50... Combien d’fois j’ai rêver de balancer tes CD de M.Pokora par la fenêtre. Et je dis même pas le sort que je comptais réserver à tes disques de David Guetta.
— Crétin, Guetta c’est pas chanter en français…
— Alors déjà, tu sera mignonne de pas associer chanson et Guetta, si tu veux pas que je dégobille mon repas dans ta voiture et ensuite, même si c’est pas en français, il est français je te rappel jeune fille.
— En plus j’voulais t’faire écouter une chanson dans le style Saez, que tu aimes. Oh et puis merde, on est dans ma bagnole, je décide. A moins que tu préfères faire le reste à pied ?
— Nan nan nan, ça va, dis moi juste où je trouves ta bouse commerciale que tu oses comparer au GRAND Damien Saez.
— Ben mets mon MP3, j’ai un câble USB dans la boîte à gants… C’est la première de la liste. »
J’allume le MP3 et regarde le titre de la chanson. L’agneau de Bénabar. Mouais, pourquoi pas…Je branche l’appareil à l’autoradio de la frangine et enclenche la lecture. J’écoute attentivement la chanson et finis par reconnaître mon erreur.« Ok, faut reconnaître qu’elle est pas mal…
— Ah tu vois, j’connais encore tes goûts
— D’ailleurs, tes sapes, c’est pour moi que t’as mis ça ? Parce que pour un dérangement, c’est pas ce qu’on mettrais en premier. »
En effet, Am’ arbore un magnifique débardeur bleu ciel, au décolleté que je qualifierais d’arrogant, une mini-jupe blanche, ses jambes magnifiques sont nues et au bout de ses pieds, je crois reconnaître des escarpins vernis.Amélie ne répond pas et ce contente de chantonner la chanson de Bénabar, qui passe en boucle depuis tout à l’heure, en tapant sur son volant en rythme.
« … Le prêt à penser. C’est la cible idéal des démagogues de tout bords, suffit qu’on l’brosse dans l’sens du poil, pour qu’il soit d’accord ! »
J’aurais souhaiter entendre une réponse favorable de sa part. Mais après tout, son silence ne serait pas une réponse ?Après avoir tout les deux chanter la chanson en entier, on finis enfin par arriver devant l’immeuble d’Amélie.
« Et voilà, c’est là qu’on va devoir se remonter les manches. Enfin, moi faut d’abord que j’me changes. J’avais un rendez-vous tout à l’heure, je pouvais pas me permettre d’arriver en haillons… »
Am’ attrape sur une pile de cartons entasser sur la banquette arrière, des fringues assez quelconques et me fait signe après avoir fermé son auto, de la suivre.Je ne peut m’empêcher de mater ses fesses qui ondulent gracieusement. Elle pousse une lourde porte à la peinture usée et nous arrivons dans le hall de l’immeuble. Elle frappe à la porte de la concierge. Un temps s’écoule, avant qu’une vieille bonne femme viennent nous ouvrir. Pendant ce court moment, qui me semble à la fois court et infinis, je regarde ma sœur, comme un amoureux éperdu.
« Ouais, c’pourquoi ?
— Bonjour Madame De Souza, c’est Mademoiselle Client, je voudrais récupérer mes clefs s’il-vous-plait.
— Bougez pas, j’vais vous cherchez ça. »
Ladite De Souza nous claque la porte au nez et revient un instant plus tard avec un jeu de clés.
« Voilà, y a la clé de votre appartement et son double. Ne perdez aucun d’eux, sinon vous serez obliger de payez le changement de la serrure, l’ouvrier et bien entendu la facture pour les clefs.
— Ne vous inquiétez pas, je ne perds jamais rien. Merci à vous Madame et bon après-midi à vous. Allez, tu viens Ludo’ ? On a du pain sur la planche. »
Amélie appelle l’ascenseur, puis direction le deuxième étage, appartement 28, le sien donc. Elle rentre en premier et allume les lumières.
« Pendant que je me change, tu peux ouvrir les volets et les fenêtres ? »
Je m’exécute docilement, pendant qu’Am’ gagne sa salle de bains. C’est un volet roulant automatique, j’appuis simplement sur le bouton et laisse faire le reste. J’ouvre les fenêtres coulissante et décide de visiter pour prendre connaissance des lieux.Je constate que la porte de la salle de bains est entr’ouverte. Une mauvaise habitude de célibataire. Ni une, ni deux, à pas de loup, je vais me placer dans un angle en face de la pièce où se trouve Amélie et je la mate se changer.Malheureusement, elle me fait dos, mais je peux quand même voir ce qu’elle porte. Un magnifique soutien-gorge rose et un string de même couleur dont la ficelle lui rendre parfaitement dans les fesses.Avant de me faire choper la main dans le sac, je termine de faire le tour du proprio’.Le déménagement nous demande beaucoup de temps, mais grâce à l’ascenseur, nous gagnons en nombre voyage. Moi je vide sa voiture, charge l’ascenseur et Am’ répartie les cartons dans son appartement.
Il est déjà 19h passé lorsque nous terminons. Malgré le fait que me sœur n’est pas beaucoup d’affaires, les autres locataires empruntaient parfois l’ascenseur, nous retardant dans notre entreprise.Amélie me remercie chaleureusement pour mon aide et me promet prochainement, un restaurant pour récompense.
J’ai hâte d’y être, car je sais qu’elle va se mettre sur son 31, pour elle, pour moi et aussi pour les autres.

Si cette histoire, que j’ai écris d’une traite, en suivant l’inspiration du moment, vous a plu, je tâcherais d’écrire la suite le plus rapidement possible.
Styx
PS : Il est possible que vous retrouviez cette histoire sur histoires-de-chez-nous.xooit sous le pseudo Ulysse, c’est normal, je change de pseudo selon les sites, histoires de brouiller les pistes :D
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