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Ma soeur Houda

Chapitre 1

Inceste
Houda et moi, Drab, son frère
Depuis ces trois derniers jours, j’ai remarqué que Houda, ma sœur, 18 ans et bien en chair, était franchement bizarre et toute chose. D’abord il y a ce nouveau T-shirt tout échancré qu’elle se mettait, d’où jaillissaient littéralement ses seins. Je pensais à part moi-même qu’elle a dû sûrement s’acheter un sou-tif une taille en dessous pour qu’ils soient aussi proéminents. J’avoue que c’est beau à voir toute cette masse de chair tendre et ferme à la fois, au volume si généreux. Je me secoue les idées et puis je n’y pense plus.
Et puis cette nouvelle manie qu’elle a de mettre aussi des minis super courtes qui laissaient voir la naissance de ses fesses, en plus de porter des bas résilles à damner un saint. J’ai bien remarqué qu’elle se baissait assez souvent, chaque fois que j’avais mon regard dans sa direction. Mine de rien, elle faisait semblant d’ajuster ses bas résille mais c’est sûrement pour que je puisse voir les lèvres de sa chatte traversée en leur milieu par le mince fil de sont string noir.
Je dois avouer que tout cela ne me laissait pas indifférent. Et puis Houda elle fait bander plus d’un quand elle sort. Tous les mecs du quartier voudraient se la faire, surtout ces vicelards de rebeux, ils sont réputés avoir une grosse bite toute juteuse. Toute leur énergie va se réfugier dans leurs couilles aussi grosses que des citrons, toujours remplie de bon sperme… C’est du moins ce que l’on raconte à leur sujet. Ils se sont envoyés toutes les transsexuelles du quartier qui en redemandent, les vicelardes…
Je me posais bien des questions au sujet de Houda, je me suis dit qu’elle devait être bien en manque, pourtant ce ne sont pas les mecs avec qui elle pourrait baiser qui manquent. L’idée m’est venue part moi-même qu’elle avait peut-être jetée son dévolu sur moi pour cette fois-ci. Je sais que c’est une chaudasse qui aime le sexe.
On m’en a raconté des choses à son sujet. Il paraît qu’elle fait des trucs incroyables. Un mec m’avait même raconté qu’au cours d’une soirée, elle s’est fait baiser par trois mecs à la fois, un dans la bouche, un autre dans sa fente et le troisième dans son cul, et qu’elle aime bien avaler le sperme. Quand le mec me racontait la chose j’ai bandé comme un âne et des idées m’étaient venues.
Ce qui justifie bien ses super formes féminines, ses seins volumineux et puis cette bouche si gourmande. Je me suis bien douté que le mec qui m’avait raconté ce qui s’était passé au cours de cette partouze était sûrement l’un de trois qui l’avaient trinqué… Enfin.
Après quatre jours de ce manège, j’ai conclu qu’elle en voulait. Ok me suis-je dis, cette nuit je vais aller dans sa chambre pendant que papa et maman dorment…
La nuit tombée, après que les vieux soient allés dormir, déjà à onze heures, parce qu’ils travaillent tôt tous les deux, vers minuit je me suis dirigé à pas feutré vers la chambre de Houda, J’étais en pyjama et je ne portais rien d’autre dessous. Je l’ai fait exprès pour qu’elle remarque bien la bosse de ma queue, elle était à moitié bandée et ça voyait bien à travers le pantalon léger de mon pyjama.
La lumière était toujours allumée, elle ne dormait pas encore. Je tournais doucement. J’entre, elle était sous la couette et je voyais bien, d’après son sou-tif et son string qui traînaient sur la descente de lit, qu’elle était étendue toute nue sous sa couverture… Dès qu’elle me vit elle dit « Oh Drab, mais que me vaut l’honneur de ta visite ? » Oh je n’arrive pas à dormir et je me suis dit qu’on pourrait bien faire la conversation ? « Ben, je vois pas bien ce qu’on pourrait se dire à minuit »… « Où que l’on pourrait faire », lui répondis-je » narquoisement, « commet ça faire ? » dit-elle.
« Allons, allons, j’ai bien remarqué ton manège de ces derniers jours. Tu as fini par m’allumer, tu sais. » « Enfin Drab, tu délires ou quoi » « Oh oui, je délire, c’est bien le cas, tu auras tout fait pour m’amener à cette situation » « Je… » dit-elle sans finir. Aussitôt je m’assis au bord du lit, j’avais bien remarqué » les bosses de ses seins sous la couette, j’en saisis un par-dessus la couverture. « Drab… mais enfin que… » dit-elle.
Je baissais alors résolument sa couette, elle était magnifiquement nue, une véritable déesse pleine de rondeurs et bien en chair, ma bite se réveilla d’un coup sous mon pyjama, elle le remarqua bien d’ailleurs. Je me mis à palper ses seins, « Ho Houda, tu sais que tu es franchement bandante, sur ce je lui montrais bien que je bandais, je baissais mon pyjama et ma queue jaillit toute raide, le gland turgescent et tout violacé tellement il était gonflée. « Oohhhh dis Houda, je… je… mais tu es fou ?!» Tu ne savais pas que ton frérot en avais une aussi grosse que celle des rebeux hein ? » Je sais bien que ta baisée avec au moins une demi douzaine parmi eux, vicieuse ».
« Mais enfin Drab, je.. nooonnn.. mais… » « Si, si, on me l’a raconté bien des fois, et puis je n’en suis pas étonné outre mesure… quand on a un corps comme le tien, on fini tôt ou tard par succomber à l’envie de le satisfaire, de donner à toucher tous ces appâts à damner le pape lui-même » Elle rougis à peine, ses yeux ne quittaient pas ma queue pendant que j’étais assis au bord de son lit et que ma main n’arrêtait pas de lui caresser le sein, ce dont elle faisait semblant de ne pas s’apercevoir, elle dit, « Ho les salauds ». “Ha, tu vois bien que ce n’est pas des cracs”.

Je me déshabillais et me glissais carrément auprès d’elle sous la couette, pousses toi jusqu’au mur que je m’installe lui dis-je. Ce qu’elle fit instantanément comme si la chose allait de soi : que son frère Drab viennent dormir auprès d’elle à minuit.
Je me collais à elle alors qu’elle me donnait le dos. Parle doucement lui dis-je maman a l’ouïe assez fine. Ok ok murmura-t-elle, déjà complice et, à l’évidence assez consentante.
Je me mis à la caresser des deux mains, ses hanches, ses seins que je prenais d’une main à la fois, mes doigts lui pinçaient les tétons en les faisant rouler entre deux doigt, elle haletait et gémissait tout doucement, « Draaab, ohhhhhhh, ahhhhhh, oh que c’est bon putain… », dit-elle dans un souffle. J’étais collé tout contre son corps, ma queue était coincé dans la rainure de ses fesse, elle gigotait avec son derrière pour mieux en sentir la haleur et la dureté… ma main alla se coincer entre ses cuisses au niveau de sa chatte, j’y introduisis un doigt alors que mon pouce n’arrêtait pas de lui caresser le clito, ça mouillait déjà fort, c’était même tout gluant, je sentais son odeur et ma queue durcit davantage. « Ho Drab… non…. » dit-elle, en poussant davantage son derrière contre ma queue. « Mais si ma belle, tu va voir comment je vais bien m’occuper de toi, chère sœurette ».
Je la retournais face à moi, je m’installais à califourchon sur son ventre et lui offrit ma bite à sucer. Ce qu’elle se dépêcha de faire en la saisissant d’une main, ouvrant sa bouche et sortant une langue en pointe elle se mit à me lécher sous le gland en l’entourant de ses lèvres pulpeuses, sa langue était toute mouillée et chaude autour de ma queue… Une vraie pro ma sœur…
Ma salope de sœur suçait admirablement bien, du coup je me mis à nourrir des jalousies en pensant aux mecs auxquels elle a sucé de cette manière… je n’osais imaginer la quantité de sperme qu’elle avait dû absorber alors qu’elle était en délire sous les coups de boutoir de ces mecs affamés de sexe… Ces rebeux… ha quand j’y penses… avec leur gland bien en évidence, et qui voyaient en elle une jolie pute consentante et tout aussi affamée de sexe, surtout qu’elle avait à peine dix huit ans et moi son grand frérot 23 ans. Mes parents ne s’étaient vraiment pas pressés de la concevoir ma sœur…
Pendant qu’elle suçait je n’arrêtais pas de lui peloter ses gros seins tendres et fermes, mon pouce lui effleurait la pointe des seins et à chaque fois elle se cabrait sous la décharge du plaisir que cela lui procurait. Mon autre main lancée derrière moi n’arrêtait pas non plus de parcourir sa fente de haut en bas, elle suçait de plus en plus furieusement, d’une manière avide comme si c’était la toute première fois. Mais j’ai bien compris que c’est là l’effet que lui procurait l’excitation de baiser enfin avec son frère. Ça devait être un phantasme qu’elle nourrissait depuis un sacré bout de temps déjà, mais elle ne l’avait jamais montré jusque là.
Elle retira ma bite de sa bouche, la contempla un petit moment et dit dans un murmure : « Ho Drab, elle est si grosse, tellement dure et chaude », avant de l’engouffrer jusqu’au fond de sa gorge cette fois, en me massant doucement les couilles à la fois. Je le disais bien que ma sœur est une délurée lubrique.
Je me retirais de sa bouche, mis mes genoux sur la descente de lit, la traînait face à moi sur son matelas, lui soulevait les cuisses en les jetant de part et d’autres de mes épaules et plongeait ma tête jusqu’à sa fente toute luisante de cyprine. Une petite toison blonde garnissait son ventre, qu’elle avait rasée en forme de petit cœur. Elle savait y faire Houda. Tout pour susciter le plaisir et l’envie de la baiser.
Je me mis à laper sa chatte et du bout de lèvres je saisissait son clito que j’aspirais, elle gigotait de plus belle en étouffant des gémissements, son ventre balançait vers ma bouche, de mes doigts j’écartais les lèvres de sa fente et entrais ma langue dans sa caverne humide pour l’explorer.. « Drab… Draaab… » Disait-elle dans un halètement…
Je n’en pouvais plus, ma bite me faisait mal tellement elle était bandé au grand max, le gland était devenue aussi gros qu’un champignon, je saisis ma bite d’une main et la porta vers sa fente, je me mis à lui caresser le clito de mon gland turgescent et tout violacé. Elle bondit sous l’effet du plaisir et faillit crier. Je mis une main sur sa bouche « chhhhuuuttt, doucement que diable » « C’est toi qui me fait crier, tu me rends toute folle Drab », dit-elle en pleurant presque. C’est ce moment que je choisis pour la pénétrer doucement, elle se mordit la main tandis que de l’autre elle saisissait le drap entre ses doigts en le serrant à le chiffonner.
Je me mis à aller et venir dans sa fente toute mielleuse, cela faisait même des clapotis sous mes coups de boutoir, tellement elle était inondée. Sur son oreiller sa tête balançait de gauche et de droite, mordant toujours sa main pour s’éviter de crier. Je l’entreprenais sauvagement dans un va-et-vient sans répit, je lui bousculais la chatte tellement j’avais envie d’elle. Mes mains lui pelotaient sans arrêt les seins. Elle était entièrement livrée moi et à son plaisir. Je vis de larmes de plaisir qui coulaient de ses yeux, ses cheveux lui couvraient le visage, elle était sublime ainsi livrée à mes assauts.
Je consentis enfin à m’arrêter, elle haletait et soupirait. Je me retirais de sa chatte dégoulinante de son jus et la lui donnait ma queue à sucer de nouveau, ce qu’elle fit goulûment en l’avalant presque toute… Elle s’y prit tellement bien que je n’ai pas résisté ni pu retenir le flot de sperme que je sentais monter en moi comme la lave d’un volcan. J’entrais en éruption dans sa bouche, des torrents de sperme incandescents se déversèrent dans sa bouche, qu’elle avalait au fur et à mesure en déglutissant et en hoquetant…
Cela lui coulait de part et d’autre de la commissure de ses lèvres, elle hoquetait mais fini par presque tout avaler, c’est dans un râle silencieux d’un immense plaisir que je me déversais ainsi dans la bouche de ma sœur. Je me vidais sans arrêt dans sa gorge. Je sortis ma bite de sa bouche et continuais sur ses seins. Elle s’en empara de ses deux mains en les réunissant, j’écrasais ma bite dans le sillon de ses seins et me mis à aller et venir dessus, Céline affolée attendait que mon gland remonte pour encore le saisir dans sa bouche.
Par la suite je tombais de tout mon long sur son corps, ma queue encore dure et toute mouillée de mon sperme, se logea entre ses cuisses qu’elle serra pour mieux la ressentir. Je léchais encore la pointe de ses seins de la pointe de ma langue. Houda n’en pouvait plus. « Elle dit : « Ho Drab, jamais je n’ai baisée comme ça… » Elle tourna la tête de côté en fermant les yeux. Un sourire de béatitude étirait ses lèvres. Je m’affalais à côté d’elle en soupirant également.
Bon dieu quelle baise c’était.
La suite c’est quand je me réveille une heure après et que je décide cette fois de lui baiser le cul…
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