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Ma soeur Houda

Chapitre 6

Soulimaniyé le noir

Inceste
Il était 23 heures quand je suis allé frapper à la porte de Houda. Nous avons convenu que je gratterais deux fois, ainsi elle saura que c’est moi. J’ai dû attendre un petit moment avant que la porte ne s’ouvre. Surprise ! Elle était aussi nue qu’un ver ! Ses seins dandinaient avec les tétons qui pointaient comme si elle était sous l’effet du désir. Et pour cause. J’ai remarqué d’emblée que ses cuisses étaient humides pour la simple raison qu’elle était en train de se goder avec le braquemart noir que je lui avais offert ! Ah la salope !
— Oh, tu tombes à pic, j’étais sur le point de jouir avec ton joujou. Il est bien gros et je le trouve tout à fait à mon goût.
Oh la pute ! Ma queue fit un bond dans mon pantalon jogging. Je le baissai aussitôt, la pris aux seins en collant ma queue dans la rainure de ses fesses plantureuses. Je la dirigeais ainsi vers le lit où je la fis mettre à genoux sur la descente de lit, son corps étalé sur le lit. Elle se cambra d’elle-même en soulevant sa croupe et en écartant ses cuisses. Je la pris aux hanches, et aussitôt, je pénétrai son antre enflammé, déjà copieusement mouillé et tout rougi. Je me mis à la baiser furieusement tant elle m’avait mis en feu. Elle étouffait ses gémissements et ses couinements en enfonçant sa tête dans l’oreiller pendant que je l’entreprenais comme un dingue et en triturant tantôt ses hanches, tantôt ses seins.
Après quelques minutes de va-et-vient au cours desquelles je n’arrêtai pas de jouir aussi bien, alors que mon ventre battait ses fesses, je me retirai d’entre ses cuisses et aussitôt, lui offrit ma queue à sucer jusqu’à ce que je me mette à remplir sa gorge de mon foutre qu’elle avalait en s’étouffant. Cela lui ressortait par la commissure des lèvres avec un filet qui lui coulait sur le menton. Sa langue se promena sur ses lèvres, et du doigt, elle recueillit le sperme étalé sur son menton. Elle engouffra de nouveau mon gland dans sa bouche et cela m’électrisa. Ce fut une folle et brusque étreinte au cours de laquelle j’ai tout vidé du contenu de mes testicules.
— Il est inutile de te dire, encore une fois, que t’es une vraie pute avide de sexe !
Cela l’amusait beaucoup que je la traite de pute. Elle se coucha sur le lit, cuisses ouvertes et mains derrière la tête, semblant attendre que je la prenne encore une fois. Je me couchai à son côté et sa main prit ma queue comme par réflexe. Je me mis à lui palper les seins en la caressant sous les cuisses. Elle monta sur moi en restant assise de ses fesses sur mes cuisses, ses seins pointaient. Je l’attirai vers moi pour en prendre un dans la bouche pendant que je lui caressai le dos et les hanches. Elle se tortillait du bassin en glissant d’avant en arrière avec sa fente sur ma queue à demi bandée. Elle en voulait encore la salope !
— Bon, tu attendras tout de même un peu parce que là, tu m’as complètement vidé !
Elle s’étala sur le lit, s’étira comme une chatte avec un soupir de contentement, car elle était encore sous l’effet de la jouissance. Je pris sur la table de nuit un livre porno montrant un noir avec une bite monstrueuse en train d’investir la chatte rasée d’une blonde à quatre pattes sur la moquette. Au vu de sa bouche ouverte, la fille devait sûrement jouir comme une chienne. A la fin, le noir était là à gicler dans sa bouche des jets de sperme, lui inondant la bouche pendant que la blonde semblait aux anges, à voir son air extasié !J’avais compris pourquoi Houda s’était mise à se goder avec le braquemart noir en plastique. Subitement, pris d’un doute, je lui posai la question :
— Ne me dis que t’as des envies de baiser avec un noir ?!— Ben si, justement. Je n’ai pas osé te l’avouer, mais j’ai vraiment envie de sucer une bite de noir aussi grosse que celle du type dans le livre, de l’avoir dans ma fente et de goûter à son jus. Et puis, c’est bien ta faute en me donnant ce gros gode tout noir.
Ah la pute ! Une vraie nymphomane ! Je restai là à digérer la chose pendant un petit moment et pervers comme je le suis, il me vint une idée diabolique. Je connais un Nigérien du nom de Soulimaniyé. Il a une taille d’un mètre quatre-vingt avec un braquemart qui faisait bien ses 22 ou 23 centimètres. Il nous l’a montré un soir entre amis alors qu’on était éméchés. Je sais où il crèche. Je dis à ma sœur que je connais un noir avec une bite comme elle le souhaite.
— Non, c’est vrai ? Tu ne te paies pas ma tête par hasard ?— Oui, c’est bien vrai. Je te le présenterais dans deux jours ! Mais ce sera à une condition : il faut que je sois là pour le voir te la mettre. — Oh ! Mais t’es vraiment plus vicelard que je l’imaginais. Bon d’accord, après tout, y a pas de problème.
Deux jours après, j’ai été en contact avec Soulimaniyé pour lui exprimer mon souhait de le voir baiser ma sœur en ma présence en lui expliquant qu’on baise ensemble depuis pas mal de temps. Ce qui ne manqua pas le surprendre et l’étonner, bien sûr. Je lui avais montré une photo de ma sœur toute nue, prise la veille que je l’avais baisée dans sa chambre. Elle était couchée sur le côté, les jambes ramassées, montrant sa croupe de jument, en étant tournée à demi pour laisser apparaître un gros sein tout gonflé de désir. Elle était souriante sur la photo. Soulimaniyé banda aussitôt, car j’ai vu la bosse que formait sa queue sous son pantalon.
— Oh le sublime cadeau que tu me fais là mon frère, c’est à peine si j’y crois ! OK, je veux bien baiser ta sœur et même que je vais bien la défoncer. Tu parles d’un morceau de roi !
Sur ce, après avoir convenu d’un rendez-vous le lendemain, je passai le prendre en voiture, accompagné de ma pouffiasse de sœur, à laquelle le noir semblait beaucoup plaire. Nous nous dirigeâmes vers la campagne et, une fois arrivés, on alla vers le ruisseau, là où j’avais déjà tringlé ma sœur le week-end dernier. On se déshabilla tous. Soulimaniyé avait sa queue à la verticale, tressautante, toute gonflée, lisse et brillante. Ma sœur se mit à en baver, et aussitôt, s’en empara à deux mains pour engouffrer goulûment le gland dans sa bouche. Elle suçait comme une folle tout en le masturbant. Soulimaniyé était aux anges. A mon tour, je bandai aussi.
Dix minutes plus tard, ne pouvant plus tenir d’impatience, harcelée par le fou désir d’avoir cette formidable queue dans sa fente, ma sœur se mit à quatre pattes sur l’herbe, remonta sa croupe en invitant le noir à la baiser comme une chienne. Soulimaniyé ne se le fit pas dire deux fois, il se mit à genoux, s’empara de sa formidable queue et se mit à la passer entre les cuisses de ma sœur, lui caressant les lèvres de sa fente en s’attardant avec son gland sur le clitoris.
Se faisant, Houda se tortillait de plaisir en haletant. Au bout d’un petit moment, il la crocheta aux hanches et se mit à investir lentement sa fente rougie de désir, bien ouverte et dégoulinante de mouille. Il s’y prit à plusieurs fois, lui écartant de sa bite les lèvres de son vagin, avant de lui introduire d’un coup 20 bons cm de son pieu de chair marron chocolat. Houda ouvrit grande la bouche en laissant s’échapper un feulement de bête en rut. C’était délirant de voir ainsi ma sœur tringler sans ménagement la bite de Soulimaniyé aller et venir comme un piston dans son ventre. Émoustillé et pour ne pas demeurer en reste, je me présentai devant sa bouche et l’invitait à me sucer, ce qu’elle fit aussitôt.
Elle gémissait longuement et haletait, tant Soulimaniyé la baisait sans rémission. Elle me suçait avec acharnement en tortillant sa croupe sous les assauts répétés de Soulimaniyé. Au bout d’un moment, je leur dis d’arrêter un instant. Je m’assis sur l’herbe, attirai ma sœur sur ma queue pour lui investir le cul tandis que Soulimaniyé se mit à genoux, en face d’elle pour introduire sa fente de ses 23 centimètres. Ma sœur délirait sous le double plaisir qu’elle éprouvait, elle jappait comme une chienne alors que Soulimaniyé lui triturait les seins en l’investissant de toute la longueur de sa bite. Vingt minutes après de cette monstrueuse baise, Soulimaniyé se retira de la fente de ma sœur pour présenter à sa bouche une bite turgescente, au gland super gonflé, et toute brillante de mouille. Houda se mit aussitôt à la sucer fébrilement et avec délice.
Deux minutes plus tard, Soulimaniyé explosa dans sa bouche à travers de longs jets de sperme brûlant, tout blanc et grumeleux à souhait, que ma sœur avalait sans retenue en se pourléchant les babines. Je sentais son cul se serrer autour de ma queue, ce qui déclencha mon éjaculation pour arroser copieusement le tunnel de ma sœur, avant de me retirer d’elle et de m’étaler sur l’herbe. Tout le monde était heureux et repu ! Houda étalée sur l’herbe emprisonnait dans sa main la queue encore dure et chaude de Soulimaniyé, passant le gland sur ses tétons en emprisonnant cette matraque entre ses seins. Ce qui, au bout d’un petit moment, lui valut une autre giclée de sperme bouillonnant, lui éclaboussant les seins et le visage alors que Soulimaniyé tressautait de plaisir.
— Ah putain, quel sublime pied j’ai pris, les gars ! Toi je te retiens mon petit salaud, s’adressant à Soulimaniyé. Tu m’as vraiment bien baisée, j’aime ta queue et j’adore le goût de ton sperme. Un vrai nectar.— Ah Houda, dit Soulimaniyé, jamais je n’ai aussi bien baisé également. Tu sais, je suis à ta disposition autant de fois que tu le désires.
Elle était toute suintante de sperme et heureuse comme jamais pour avoir autant joui. Elle alla se nettoyer au ruisseau à côté. Nous nous rhabillâmes, montâmes dans la voiture et regagnâmes la ville. On se fixa rendez-vous pour la semaine prochaine, mais cette fois dans notre appart, vu que mes parents avaient décidé d’un voyage en Tunisie pour une durée de dix jours.
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