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Ma soeur et les maths

Chapitre unique

Inceste
Nous habitons, maman qui est veuve, ma sœur et moi, une petite maison composée d’une cuisine, salle à manger, salon, une salle de bain et une chambre, celle de maman, et à l’étage se trouve celle de ma sœur, ainsi que la mienne.Maman est très prude, elle s’habille sobrement, et lors de notre dernier repas en famille, elle s’était embrouillée avec sa sœur qui lui reprochait d’être coincée, et après plusieurs piques, tatie lui avait cloué le bec en demandant à maman comment elle avait pu avoir deux gosses sans avoir ni vu ni touché la bite de son mari, maman s’était tue et deux heures plus tard, nous étions à la maison. Par la suite, ma sœur et moi n’avons jamais osé parler de l’incident avec maman.
— Jean, peux-tu aller dire à Laure que le repas sera prêt dans trente minutes ?
Je me lève du canapé et je m’apprête à crier lorsque maman me stoppe net.
— Non Jean, criez, moi aussi je peux le faire, mais j’en ai marre, alors tu vas monter voir ta sœur et lui demander de descendre.
Je monte l’escalier quatre à quatre, je toque et ouvre la porte de la chambre, Laure est en pleurs, assise à son bureau, devant une copie blanche.— Je ne comprends rien à rien, bredouille-t-elle.— Laisses-moi voir, ce n’est pas compliqué, lui dis-je après avoir lu l’énoncé et je résous le problème tout en l’expliquant à ma sœur.— Tu as compris ?— Oui je pense.— Bien, descendons manger et ensuite nous terminerons le reste des exercices.
Après le repas, ma sœur retourne à ses devoirs tandis que je dessers la table, prends une douche et en pyjama-short, je retourne dans ma chambre récupérer une chaise, je rejoins ma sœur qui porte maintenant une nuisette et m’assois à ses côtés.— Tu me fais une petite place ?
Son bureau est assez grand pour mettre deux fauteuils et nous commençons les exercices. Parfois, nos genoux se touchent, des pensées malsaines me viennent à l’esprit.
— Celui-là, je te laisse le faire toute seule.
Ma sœur se penche sur sa copie et en attentant, je pose me main droite sur mon genou puis je la laisse glisse sur le côté et le dos de ma main frôle la cuisse de Laure, et je la sens qui sursaute, mais elle ne dit mot, soudain la porte de la chambre s’ouvre et la tête de maman apparaît, les jambes de ma sœur se referment aussitôt, tandis que je retire la main prestement.
— Je vais me coucher, bonne nuit les enfants.— Bonne nuit maman, répondons-nous en chœur.
Ma sœur se replonge sur son exercice de maths, je ne sais pas comment me comporter, la venue de maman semble avoir brisé la perspective d’aller plus loin. Je reste perplexe un long moment, puis je tente quelque chose, j’imagine alors un plan qui consiste à laisser tomber mon stylo sur le sol, pousser ma chaise et plonger sous le bureau, à quatre pattes, ramasser le crayon et tourner de façon à avoir vue sur la chatte de ma sœur, je le mets aussitôt en œuvre. Je respire un grand coup et je passe à l’action, je suis sous le bureau, je me retourne de façon à me trouver pile en face de la chatte de Laure.
Ma sœur est avachie dans son fauteuil, les fesses au bord de l’assise, les jambes écartées, son sexe est très peu poilu, j’admire un instant son sexe puis prenant ma décision, je plaque ma bouche contre sa chatte et lèche les parties intimes de ma sœur qui sursaute avant de me tirer les cheveux et de me repousser brutalement en criant :
— Dégage gros dégueulasse !
Penaud, je sors de la chambre, cette déconvenue m’a fait débander, et je n’ai aucune envie de me branler, je me couche et m’endors rapidement. Le lendemain, je fuis ma sœur comme la peste et ce n’est que pour le repas du soir que je revois ma sœur.
— Tu ne devineras jamais combien Laure a eu à son devoir de maths ?
Je hausse les épaules, dix-huit ! Tu te rends compte, dix-huit, ta sœur a eu un dix-huit ! C’est magnifique, j’espère que tu continueras à l’aider.— Si elle en a besoin, bien sûr, tout en disant cela, je ne crois pas une seule seconde que Laure me demande un autre service, et la semaine se termine sans que ma sœur et moi nous adressions la parole.
Le lundi soir, lorsque je rentre à la maison, ma sœur me demande de l’aider pour des exercices qu’elle ne comprend pas.
— Bien sûr, mais si cela te dérange pas, on va faire cela tout à l’heure après le repas dans la salle à manger, pour l’instant, je vais prendre une douche.
Après le repas, Laure descend ses devoirs de maths, il y a toute une flopée d’exercices qui ne sont pas faits. Nous nous attelons à la tâche et il est vingt-deux heures lorsque maman nous annonce qu’elle va se coucher et que nous ne devons pas trop traîner à prendre le même chemin, je lui réponds qu’il nous reste que deux exercices et que ça devrait nous prendre pas plus qu’une demi-heure. Nous finissons le devoir, ma sœur range ses affaires quand elle fait tomber sa gomme qui roule sous la table.Je ne bronche pas, une fois pas deux, me dis-je, et ma sœur disparaît sous la table, je recule ma chaise, j’entends un : la voilà et je m’attends à voir réapparaître Laure quand soudain je sens une main se poser sur ma cuisse et un autre écarter l’élastique de mon short.
— Qu’est-ce que tu fais ? dis-je en reculant ma chaise, la main de Laure tient ma bite et commence à me branler, sa tête sort de sous la table.— Je vais me faire pardonner, dit-elle en posant ses lèvres sur mon gland.
Non ce n’est pas possible, je rêve, ma sœur commence à me tailler une pipe !
Incrédule, je me mets quand même à savourer cette fellation incestueuse, je sens que je ne vais pas tarder à juter, ma sœur doit le sentir, car elle stoppe sa pipe, elle se lève, remonte sa chemise de nuit, elle s’assoit sur la table en écartant les jambes.
— Tiens mon cochon, régale-toi, il y a un préservatif dans ma trousse pour après.
Mais à peine a-t-elle prononcé ces paroles, elle referme les jambes et se met debout. J’entends une voix dans mon dos.
— Je m’en doutais, file dans ta chambre petite garce, quant à toi, tu vas avoir la punition que tu mérites ! hurle maman.
Laure se sauve à toute vitesse. La bite toujours en érection, je me tourne vers maman, j’esquive les coups qu’elle tente de me donner un nerf de bœuf, mais soudain, je ressens une violente douleur dans le bas-ventre, je m’écroule, maman vient de me frapper le service trois-pièces, je crois que je perds connaissance, car lorsque j’émerge, maman et Laure sont penchées sur moi.— Oh mon chéri, tu m’as fait tellement peur, comment te sens-tu ?— Je ne sais pas, ça me fait bizarre au niveau de mon sexe, répondis-je.— T’as vu, tu l’as émasculé, t’es contente ? hurle Laure.— Va chercher des glaçons, ça va calmer la douleur.
Laure se lève et court chercher de la glace, à son retour, je fais signe discrètement du pouce que tout va bien.
— Tiens maman, débrouille-toi avec ça, dit-elle à maman en tendant un bac à glaçons.
Maman claque le bac et s’empare de plusieurs glaçons.— Ça va être froid, prévient-elle en posant sa main pleine de glace sur mes couilles.
Je pousse un cri de douleur.— Froid, c’est trop froid ! hurlé-je.— Mais enfin maman ! enchérit Laure, qu’est-ce qui te passe dans la tête, poser directement les glaçons sur la peau, tu veux coller la glace sur ses couilles !— Oui, oui bégaye maman, tu as sans doute raison, mais qu’est-ce que je peux faire d’autre, pleurniche maman, toujours aussi paniquée.— Je ne sais pas, répond Laure, peut-être que si tu refroidis ta main et que tu la poses sur ses bourses, ça le soulagera.
C’est trop gros pour qu’elle marche là-dedans et pourtant après un moment d’hésitation, maman prend de la glace dans la main, elle attend quelques minutes puis sa main froide sur mes couilles en murmurant :
— Je suis désolée mon chéri, pardonne-moi, je sursaute lorsqu’elle pose sa main froide sur mon service trois-pièces.— Masse-le doucement, dit ma sœur.
Maman s’exécute et arrête son massage quelques minutes plus tard.— Ça a l’air d’aller mieux, dit maman en montrant ma bite en pleine érection.— Ça me fait encore mal et plutôt sur mon zizi, dis-je.
Maman reste indécise et c’est Laure qui rompt la tension.— Et bien t’attends quoi ? Masse-lui la queue.
Maman, avec beaucoup d’appréhension, se saisit de ma pine et commence de lents allers-retours.— J’ai l’impression de masturber mon propre garçon, murmure-t-elle.— Mais c’est ce que tu dois faire, il faut le faire juter, applique-toi, tout ça, c’est de ta faute ! Utilise ta bouche s’il le faut !— Pardonne-moi, murmure maman en se penchant sur ma bite.
Je regarde maman qui est complètement déboussolée par la tournure des évènements qui commence à me sucer, Laure est hilare et elle filme cette fellation maternelle, nos regards se croisent, elle pose son téléphone portable et retire sa chemise de nuit puis complètement nue, elle s’agenouille sur mon visage et me donne sa moule à lécher. Je me délecte du jus dégoulinant de la chatte de ma sœur, savourant en même temps la pipe que maman me taille, c’est trop, je tente de prévenir maman, mais mes avertissements sont étouffés par la chatte de ma sœur et je jouis, inondant la bouche incestueuse tandis que ma sœur remue des fesses de plus en plus vite, j’entends des gémissements, j’ai la bouche pleine de cyprine que j’avale gloutonnement quand soudain je manque d’air, car ma sœur jouit sous mes coups de langue et écrase mon visage puis elle s’écroule sur le côté, je regarde maman qui s’active à me refaire bander, son visage s’illumine lorsque mon sexe est d’équerre, elle s’empale sur ma bite, mon ventre est vite trempé de cyprine, ma bite est prise dans un étau puis soudain maman relâche son étreinte et je jute dans son ventre tandis que maman est secouée de spasmes.
C’est maman qui reprend ses esprits en premier.
— Mon Dieu, les enfants qu’avons-nous fait ! Que personne ne reparle de cela, il faut oublier, il ne s’est rien passé, vous avez bien compris ?— Trop tard maman, c’est dans le cloud, répond Laure.— Dans le quoi ? demande maman naïvement.— Ta fille a filmé ta prestation, répondis-je, et c’est directement sauvegardé ailleurs que sur son téléphone, tu ne peux rien faire.
Maman me regarde, complètement hébétée.
— Fais quelque chose, toi ! — Ecoute maman, tu as pris ton pied comme nous, alors c’est d’accord, pour les autres, il ne se passe rien et nous sommes une famille tout ce qu’il y a de lambda, mais c’est impossible et je suis sûr que tu en veux encore.
Je me lève, je prends maman par les épaules et je la fais s’agenouiller.— Mon Dieu, mais tu rebandes déjà !— Tais-toi et suce !
Laure rejoint maman, elle lui embrasse les seins, les tétons, elle regarde maman qui me suce la bite :
— C’est vrai ce qu’a dit tatie l’autre jour ?
Maman lâche ma bite, se redresse et répond :— Oui c’est vrai, papa m’a connue vierge et il n’a jamais voulu faire des fioritures, il me disait que ce n’était pas le rôle d’une bonne épouse.
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