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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La soeur de ma petite-amie!

Chapitre 1

Trash
Sans doute le titre peut déjà vous mettre sur la piste, il reste que c?est bien ce que vous pensez. Laissez-moi quand même vous racontez.Jessica (ma petit amie), partie pour un long voyage de quelques mois à l?étranger. Ce voyage lui permettait, en plus de s?amuser un peu et prendre de vacances mérités, de confirmer ses recherches fait par rapport à sa matrise à l?université. Bien peiné, j?ai flâné pendant plusieurs jours, attendant je-ne-sais-quoi?Un jour, je suis allé chez elle, tout simplement pour faire un tour dan sa chambre. Question peut-être de me remémorer nos petits moments.Sa s?ur, Christine, vint me répondre.Je ne sais trop comment, mais nous nous sommes rendus sur le lit de sa s?ur à parler de tout et de rien. Nous parlâmes pendant des heures et des heures. Il était presque minuit et nous discutions toujours de choses totalement inutiles? mais cela nous faisais du bien à tout les deux. Peut-être avions nous besoin de se confier l?un l?autre.---Je me réveille quelques heures plus tard? tout les deux ensemble dans le lit, en position cuillère. Lorsque je tends la tête afin de regarder l?heure, Christine m?arrêta en me chuchotant :? Nous sommes bien, ne regarde pas l?heure S.V.P., soyons sage et restons couché. ?Joignant une de mes mains à la sienne, elle ramena nos mains au creux de ses deux seins. Je remis la tête sur l?oreiller. D?un fait, je pris conscient de mon autre bras engourdit le long de mon corps. Au même moment ou je voulu le déplacer, elle me fit signe, en levant la tête, de reposer mon bras sous son cou.Elle me chuchota quelques mots doux, quelques mots rassurants et agréables qui traduisait son état d?âme du moment. Cette position, aussi romantique pouvant être, ne pouvais que ouvrir la porte à des idées moins catholiques. Ma tête dans les vapes, je ne m?aperçu pas que mon ? soldat ? se mis au garde à vous d?un seul trait. Christine poussa un petit gémissant lorsqu?elle le sentie à travers de ses vêtements. Je m?essayait de me tailler une place au milieu de ses rondes fesses. ? Mmmh? c?est gentil de ta part! Mais quand même, pas ici! ? me dit-elle avec le sourire moqueur.Je n?avais pas compris sur le coup se quelle me révéla. J?ai jonglé cette phrase pendant quelques instants me demandant vraiment se quelle voulait me dire. Ici? Dans la chambre de sa s?ur? Faire? oh! Eureka!D?une main experte (n?oublions pas quelle était dos à moi), elle défit ma ceinture, mes boutons de jean et extirpa mon ? caporal ? hors de sa cabane.? Bien, bien? mettons un peu de piquant dans cet ambiance alors ?Joignant les gestes à la parole, je lui administra la même médecine. Quelques instants plus tard, tout deux et sans changer de position, avions déshabiller le haut du pantalon de l?autre, soit les hanches.Elle allongea le bras vers la table de chevet de sa s?ur, l?ouvrit et en sortit un petit sachet. Elle me le donna déjà déballer afin que je puisse en couvrir mon ? sergent ?.Le tout fait, je m?approcha d?elle encore plus étroitement. Je pris ma main et la glissa vers sa chatte mouillé. Sans entrer très profondément, je pris le miel et en induisit sur l?autre orifice. Bien irriguer, il était prêt à recevoir, mon ? général ?.Je me glissa tranquillement, mais vraiment tranquillement au fonds d?elle? le dernier millimètre la fessa gémir.Je remis ma main dans sa chatte, juste pour la couvrir. Pendant plusieurs minutes, je dirais même presque une demi-heure, nous sommes restés comme cela, sans bougé, sans parler, sans rien faire? ne savourant que le moment présent.Mon ? général ? commença à rétrograder en devenant presque un simple sergent sans trop de fermeté. C?est lors qu?elle commença à basculer ses reins vers moi. Le départ était lancé, les troupes était prêtent à l?action.Je débuta ma petite aventure sur/dans sa chatte. Caressant chaque recoin en revenant souvent vers son mont de vénus. Ces tendresses lui avait pris toute son attention.Tranquillement, au même moment que je glissait au fond de son écrin, j?entrais plus profondément en elle. J?étais devenu le ? commandement ? au front, maniant les jeux à ma façon. Pénétrée de toutes les cotés, ma victime ne sachant plus ou prendre son plaisir, me demanda que je pousse mes troupes avec encore plus de convictions.Transpercé de long gestes fluides, elle se tordait de plaisir. La dernière frappe arriva, le coup de canon était lancé? je gémit de tout mon corps.Après nous avoir remis de nos états, nous nous sommes habillés, assis chacun de notre coté du lit. Nous nous sommes levé.Nous étions au point de sortir de la chambre quand nous avons remarqué qu?il fessait nuit. Je regarda le petit cadran de réveil sur la table de chevet : 3 :41. Elle me pris la main et m?amena vers SA chambre. Nous nous couchâmes, sa tête sur mon torse, ma main dans ses cheveux? un baiser sur son front et le sommeil nous rattrapa.Quelle nuit !
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