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Sofia

Chapitre 6

La leçon de Laura

Travesti / Trans
La fois que j’ai trouvé la plus excitante est celle où je me suis fait prendre par un inconnu devant une autre femme. Ce jour-là, j’avais décidé d’aller faire du shopping dans un immense complexe de vêtements. Il faut bien dire que depuis que je faisais du shopping en tant que femme et que ma chevelure m’arrivait au milieu du dos, j’attirais moins les regards interrogateurs sur mon genre.
Je me rappelle que c’était pendant l’été. J’avais mis une tenue assez légère : une jupe droite noire en satin avec un beau chemisier blanc en soie sans manche avec une fine lavallière noire nouée autour du col. Pour compléter tout cela, j’avais mis également des escarpins noirs que j’avais empruntés à Laura.
Je flânai dans le magasin, ne trouvant pas le style de vêtements qui me caractérisait mais, pour moi, le plus important était de me balader en femme devant tout le monde. Cela m’amusait et m’excitait tout à la fois. Soudain, j’eus une idée saugrenue qui me traversa la tête. Enfin pour quelqu’un de normal, par contre pour quelqu’un de déluré comme moi, l’idée me parut tout de suite abordable. Cette idée se rapportait à un lieu, un lieu dont tout le monde fantasme pour y faire l’amour : l’ascenseur.
En effet, en me promenant dans les rayons, j’étais tombé nez à nez avec un de ceux-ci. J’avais donc le lieu mais il me fallait trouver un partenaire de jeu. Ce fut d’ailleurs une première pour moi car, d’habitude, je provoquais mais c’était toujours l’autre qui prenait l’initiative.
Je me postai près de l’ascenseur et attendis ma proie. Plusieurs fois, des groupes montaient ensemble mais jamais un homme seul et convenable n’avait franchi le seuil de l’ascenseur.
Au bout d’une demi-heure, un bel étalon monta seul. Je me précipitai alors à sa poursuite et, ouf, j’avais réussi mon coup. J’étais à l‘intérieur. De plus, il me remarqua tout de suite et il me sourit. Je me dis à ce moment-là que c’était gagné quand la porte qui allait se fermer se rouvrit. Une femme d’une trentaine d’années entra et nous salua. Intérieurement, je la maudis car, un : cette conne était montée avec nous et deux : elle était super belle.
Je me mis à réfléchir à cent à l’heure. J’avais maintenant trop envie de me faire démonter le cul et le temps de retrouver un autre homme était trop long. Alors, en un éclair, je me dirigeai vers les boutons de l’ascenseur et j’appuyai sur stop. On sentit une secousse qui nous montra qu’il s’était arrêté. Des mécontentements fusèrent. Moi, jouant la comédie, je fis semblant d’appuyer sur les boutons pour le faire repartir, ce qui d’ailleurs énerva la demoiselle car elle me dit que cela ne servait à rien.
Je lâchai alors l’affaire et me plantai face à l’étalon. La miss sortit son portable et, bien entendu, comme dans tout ascenseur, il n’y avait pas de réseau. — Et merde, il n’y a pas de réseau, s’énerva cette demoiselle décidément pas ambiancée par mes petits plans.— Ce n’est pas si grave, nous sommes en charmante compagnie, dis-je tout en adressant un joli sourire au beau jeune homme.
Je le draguais ouvertement et lui me regardait. Je vis qu’il avait envie de moi. Alors, sans plus réfléchir, je me jetai sur lui et l’embrassai. Il accueillit bien ce baiser car il ne me repoussa pas. La miss se retourna et nous demanda :— Vous vous connaissez ?— Non, mais ce n’est pas une obligation pour avoir le droit de succomber à ses désirs.
Ma main descendit vers l’entrejambe de cet homme et atteignit la bosse qui s’était formée. Je pressai sa queue à travers son short. Je me mis à genoux et je descendis le bas de l’étalon qui n’afficha toujours pas de résistance. Je gobai sa queue déjà bien dure d’excitation et commençai à le pomper comme une salope.
— Eh mais vous ne pouvez pas faire ça ici, réagit la miss.

Je jetai un coup d’œil en arrière, tout en gardant cette queue en bouche, elle sembla choquée de ma représentation. Elle avait de grands yeux et elle ne bougeait plus.
— Tu es jalouse, tu veux peut-être participer ?
Je n’eus que du mépris pour réponse. N’oubliant pas qu’à tout moment, l’ascenseur pouvait reprendre sa course, je demandai à mon nouveau jouet de me démonter, ce qui d’ailleurs le réjouit.
Il écarta ma culotte et, surprise : il me regarda dans les yeux et ne voulant pas passer pour un con aux yeux de la miss, il fit comme si de rien n’était et il commença à me titiller la rondelle. Il me prit dans ses bras face à lui, me souleva, m’empala sur sa queue et me plaqua dos au mur, ce qui me permit en même temps de voir la réaction de la miss.
Sa surprise avait fait place à de la gêne. Elle nous demanda même d’arrêter, que nous n’allions tout de même pas faire ça devant elle. Le fait que cette garce nous observât m’excitait.
L’homme me pénétra de plus en plus fort et mon plaisir monta, le plaisir et l’envie de la miss s’afficha aussi sur son visage. Je savais qu’elle aurait aimé être à ma place. Il me secoua de plus en plus fort et moi, je pris mon pied dans cette situation d’exhibition. J’atteignis assez vite l’orgasme et alors mes jambes se mirent à serrer très fort autour de sa taille. Je descendis de mon promontoire et le branlai au-dessus de ma bouche où il finit par éjaculer de longues giclées blanches.
La bouche pleine, je me dis que j’allais partager mon plaisir avec la miss et, avant qu’elle n’ait pu bouger, je l’embrassai à pleine bouche, lui forçant le passage avec la langue. Elle se dégagea avec vigueur, me criant :
— Vous êtes une folle ! Ça ne va pas de faire ça. Espèce de nympho !!!
Mais c’était trop tard. Elle avait du sperme autour et dans la bouche. Je me dirigeai alors vers les boutons et débloquai l’ascenseur. Mon bienfaiteur sourit et la miss qui, si elle ne voulait pas passer pour une salope, dut, malgré son dégoût, avaler le sperme et se nettoyer la bouche avec sa langue pour en avaler encore plus. La porte s’ouvrit. La miss descendit, rouge de rage en quête d’un employé pour faire part de sa mésaventure et chacun de nous se sépara dans les rayons.
Arrivé à la maison, je racontai mon aventure à Laura. Nous avions pour habitude de rien nous cacher. Mais cette fois-ci, je sentis Laura plus tendue et elle me fit la morale :
— Non mais ça aurait pu être très dangereux. Tu aurais pu avoir des problèmes. Imagine, cette femme pourrait porter plainte.— Tu parles ! Elle aurait trop honte de tout raconter à qui que ce soit. Je suis sûr qu’elle a été excitée par ce qu’elle a vu.— Peut-être, mais tu prends trop de risques et je n’aime pas ça.
Je n’en revenais pas. Laura semblait jalouse. Je l’embrassai longuement et la pris dans mes bras pour la rassurer et elle me tint alors un propos énigmatique :
— Tu ne t’es pas mis une seule seconde à la place de cette femme. Tu verras un jour si cela t’arrive.
Quelques jours plus tard, Laura m’appela un matin pour me demander si je voulais bien déjeuner avec elle en faisant un déjeuner champêtre en précisant qu’elle souhaitait que ce soit Sofia qui vienne. Elle me demandait de plus en plus de m’assumer tel que j’étais et aimait me voir en Sofia. Je ne dis alors pas non à cette petite escapade.
Midi arriva et je me dirigeai vers notre lieu de rendez-vous. Plus je m’éloignais de ma voiture et m’enfonçais dans les champs, plus je me disais que Laura avait prévu plus qu’un pique-nique et que le moment serait plus qu’agréable.
Arrivé dans un champ de pommiers, j’aperçus de loin un couple sur un plaid en train de se bécoter. M’approchant discrètement, j’eus la surprise de voir qu’il s’agissait de Laura accompagnée d’un bel homme. Je la vis se laisser faire quand celui l’embrassa dans le cou.
« La petite coquine », pensai-je. Elle avait tout manigancé depuis le début. Elle aussi m’aperçut caché derrière un arbre et me sourit. Je l’entendis dire à son amant :
— J’ai envie de toi maintenant.
Aussitôt, il releva le bas de la robe de Laura qui s’avéra être sans culotte. Ainsi allongée, Laura se fit bouffer la chatte par cet homme. Je l’entendis gémir. Ses yeux trouvèrent les miens et un grand sourire se fit sur son visage. Je compris alors que c’était sa façon de me montrer ce qu’elle avait pu ressentir lorsque je lui avais raconté mon histoire. Elle voulait me rendre jalouse. Mais, bizarrement, cette situation m’excitait. Je l’enviais, je voulais être à sa place encore plus je voulais être avec eux deux.
Je fis mine d’avancer mais Laura, bien que très occupée, me fit comprendre par son regard que je n’avais pas le droit d’approcher mais juste de regarder.
Laura tira la tête son amant de son entrejambe et s’approcha langoureusement auprès de son amant. Elle déboutonna le pantalon et approcha sa bouche vers la queue de ce beau chanceux. Elle l’avala d’un coup et elle le pompa tout en le fixant du regard.
Certes, une certaine jalousie commença à naître à ce moment-là. C’était ma Laura. Mais l’excitation reprit le dessus et j’étais en feu. Mes mains se baladaient sur tout mon corps et, parfois, je pouvais accrocher le regard de Laura et la supplier de pouvoir me joindre à eux.
L’amant prit alors la tête de Laura pour accompagner les mouvements de succion. Laura n’en perdit pas une miette. Elle se donna à fond pour le satisfaire.
Puis Laura se rallongea et son amant vint placer sa queue dans son minou tout en mettant ses jambes au-dessus de ses épaules. Il la bourra et j’entendis les claquements de leurs corps l’un sur l’autre et je vis sur le visage de Laura que cette salope, ma salope, y prenait beaucoup de plaisir.
Je vis son bassin ne plus pouvoir tenir en place sous les assauts répétés de ce fougueux amant, signe chez Laura qu’elle était en train de jouir. Elle gémit, gémit, gémit... À ce moment-là, elle ne faisait plus du tout attention à moi. Il n’y avait qu’elle et son plaisir qui comptaient.
L’homme qui prenait ma femme finit par éjaculer en elle, la remplissant de son foutre pour son plus grand plaisir. Après quelques minutes à se remettre de leurs ébats, Laura remercia son convive à ce "déjeuner" champêtre et le laissa s’en aller, prétextant qu’elle allait se reposer.
Je n’attendis pas plus longtemps pour la rejoindre et l’embrasser.
— Alors tu en as pensé quoi ? me demanda-t-elle.— Je suis en feu et j’ai très envie de toi.— Arrête, tu n’as pas été jalouse ?— Si, bien sûr, mais je n’avais qu’une idée, c’était vous rejoindre et...— Tu es irrécupérable, lâcha-t-elle de dépit en se rallongeant.
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